l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


🎼 The Shadows - Apache (1960)

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          Apache est une composition de musique western-rock instrumental du compositeur britannique Jerry Lordan, inspirée du film western américain Apache de 1954. Elle est enregistrée en single en 1960, par le groupe britannique Cliff Richard et The Shadows, au Studios Abbey Road de Londres, un des succès emblématiques de leur carrière.

 

 

💩 Europe : la Hongrie se rapproche de Moscou, l’Espagne et le Portugal se rebellent : l’Europe se déchire sur le gaz

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          La crise majeure entre l'Union européenne et Moscou met rudement à l’épreuve la cohésion des Vingt-Sept en matière énergétique, alors que certains Etats membres refusent de se retrousser les manches pour aider ceux qui seront les plus affectés par une rupture des livraisons de gaz russe. Pis : la Hongrie semble vouloir faire cavalier seul, et préfère se tourner vers Vladimir Poutine plutôt que de se plier aux règles de Bruxelles.

          Une fois encore, l'unité européenne vacille sur le front de l'énergie : alors que Bruxelles tente de trouver la voie vers une réponse unifiée pour préparer le continent à passer l'hiver sans gaz russe, les Etats membres ne semblent pas sur la même longueur d'onde. Tandis que certains d'entre eux, l'Allemagne en tête, se trouvent très exposés à la baisse des livraisons par Moscou et en appellent à la solidarité, d'autres refusent de payer pour les premiers. D'autant que des rancœurs s'en mêlent : les rôles de la cigale et de la fourmi semblent s'être inversés depuis la crise financière de 2008, signalent des pays ayant subi à l'époque l'austérité allemande.

          « Contrairement à d'autres, l'Espagne n'a pas vécu au-dessus de ses moyens en termes énergétiques », a lancé hier la ministre espagnole de l'Energie, Teresa Ribera, faisant allusion à la façon dont Berlin, notamment, avait fait payer à plusieurs pays du Sud le fait d'avoir « vécu au-dessus de leurs moyens » en 2008.

          Aux côtés de la Grèce et du Portugal, Madrid a ainsi rejeté avec véhémence l'appel à la sobriété énergétique de la Commission européenne, qui a demandé hier aux Vingt-Sept de réduire de 15% leur consommation nationale de gaz naturel au cours des huit prochains mois, afin d'économiser le précieux hydrocarbure pour aider les Etats les plus affectées par la crise.

          « Nous ne pouvons pas assumer un sacrifice disproportionné sur lequel ne nous a même pas été demandé une opinion préalable », a opposé Teresa Ribera.

          Dans une interview accordée au quotidien Público, le secrétaire d'État à l'Environnement et à l'Énergie portugais, João Galamba, a quant à lui déclaré que le gouvernement « n'accept[ait] pas » une proposition qu'il qualifie d' « insoutenable » et de « disproportionnée » .


Bruxelles appelle à l'unité

          Et pourtant, selon l'exécutif bruxellois, un tel effort permettrait d'économiser quelque 45 milliards de mètres cubes de gaz (soit peu ou prou la consommation de la France chaque année), une quantité équivalente à ce qu'il viendrait à manquer si la Russie coupait totalement les flux et dans le cas d'un hiver particulièrement froid. Dans ces conditions, « des mesures unilatérales ne mènent à rien d'efficace et risquent d'affecter toute la sécurité énergétique du marché unique », a ainsi mis en garde hier Frans Timmermans, le vice-président exécutif de la Commission.

          « Tous les États membres subiront les conséquences d'une perturbation à travers le marché unique. C'est pourquoi il est important que tous les États membres contribuent désormais aux économies, au stockage et soient prêts à partager le gaz avec les autres voisins en cas de rupture. La solidarité énergétique est un principe fondamental de notre traité », a ajouté la cheffe de l'exécutif bruxellois, Ursula von der Leyen.

          De fait, sans partage des efforts, certains pays comme la Bulgarie devraient diminuer drastiquement leur consommation de gaz, jusqu'à près de 50%, quand d'autres n'agiraient pas sur leur demande. « Une telle granularité est difficilement envisageable si l'on veut préserver la solidarité de l'UE », estime Phuc-Vinh Nguyen, chercheur en politiques énergétiques européennes à l'institut Jacques Delors.

          Mais face à cet argumentaire, l'Espagne et le Portugal font valoir leur très faible exposition au gaz russe, leurs investissements conséquents dans les énergies renouvelables ces dernières années, ainsi que leurs grandes capacités de stockage et de regazéification du gaz naturel liquéfié (GNL) acheminé par navire. Autant de paramètres qui les placent dans une « situation différente » du nord de l'Europe. « Nous serons solidaires, mais la solidarité veut aussi dire que nous ne ferons pas payer les Portugais pour compenser le retard des autres quand ils auraient pu, comme nous, investir dans les renouvelables », a ainsi défendu il y a quelques jours le Premier ministre portugais, Antonio Costa.

Temps de latence

          Ces dissensions ne devraient cependant pas, pour l'heure, faire exploser en vol le plan de Bruxelles. Car celui-ci reste volontaire, en tout cas dans un premier temps. « Cela permet à la Commission de se donner un temps de négociation avec les Etats membres, pour que chacun expose ses revendications, ses craintes, ses arguments éventuellement légitimes, afin de voir comment préserver la solidarité européenne », souligne Phuc-Vinh Nguyen.

          Reste que, en cas de graves pénuries dans les semaines ou les mois qui viennent, la Commission a indiqué qu'elle demandera la création d'un dispositif d'alerte qui lui permettrait de rendre obligatoire la réduction de 15%. Une mesure qui serait forcément rejetée à la majorité qualifiée par les Etats membres, ont néanmoins prévenu des commissaires sociaux-démocrates et Renew (libéraux). Celle-ci promet en tout cas d'animer les discussions lors du conseil des ministres européens de l'Énergie, qui ont prévu de se réunir à Bruxelles en début de semaine prochaine.


Coup de poignard de la Hongrie

          Un autre sujet risque lui aussi de rythmer les pourparlers : le rapprochement récent de la Hongrie et de la Russie sur la question du gaz. En effet, le chef de la diplomatie hongroise, Peter Szijjarto, s'est rendu ce jeudi à Moscou afin de discuter de nouvelles livraisons, a annoncé le parti Fidesz du Premier ministre, Viktor Orban. Un nouveau pied-de-nez à la communauté européenne sur la question de l'énergie, après que le pays d'Europe centrale a bloqué pendant des semaines le projet d'embargo sur le pétrole russe, puis interdit au gaz de quitter ses frontières à partir d'août.

          Concrètement, la Hongrie, qui importe 80% de son gaz de Russie et bénéficie déjà de prix d'ami, « a décidé d' [en] acheter 700 millions de mètres cubes supplémentaires [...], en plus des quantités déjà prévues dans les contrats de long terme », écrit le parti dans un message posté sur Facebook. Une possibilité que Moscou va « étudier », a répondu le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, à l'issue d'un entretien avec Peter Szijjarto.

          « C'est potentiellement dramatique pour l'unité européenne. Alors que le continent se trouve soumis au bon vouloir de Vladimir Poutine pour son approvisionnement en gaz, la Commission a été claire sur la nécessité impérieuse de considérer dès à présent qu'on n'aura bientôt plus de gaz russe, et de modéliser les scénarios comme tels. Si l'action hongroise aboutit, qu'est-ce qui empêcherait au Portugal de se retirer des mécanismes de solidarité, par exemple ? », souligne Phuc-Vinh Nguyen.

          Pour sûr, un resserrement des liens entre Budapest et Moscou promet d'envoyer un signal politique retentissant, alors que l'Europe peine déjà à s'accorder sur les sanctions à imposer à la Russie en matière énergétique. Pis ce rapprochement risquerait même « représenter un point de rupture », avertit Phuc-Vinh Nguyen. De quoi possiblement rompre la cohésion des Vingt-Sept face à cette crise majeure, dont l'issue semble encore incertaine. - source -

 

Vivement que cette union européenne de merde éclate en morceaux, les populations, qui sont en train de crever à petits feux, en seront gagnantes...

 

💩 Europe : l'inaction de l'union européenne face à la Hongrie

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          Les valeurs européennes sont confrontées aux menaces systémiques de la Hongrie, estime la commission des libertés civiles, mettant en exergue les dernières évolutions dans le pays.

          Dans un projet de rapport adopté mercredi par 47 voix pour, 10 contre et 2 abstentions, les députés ont fait part de leurs préoccupations concernant la Hongrie, notamment :

- le fonction de son système électoral et constitutionnel ;

- l'indépendance de son pouvoir judiciaire, de ses institutions ainsi que les droits des juges ;

- la corruption et les conflits d'intérêt ;

- le respect de la vie privée et la protection des données ;

- la liberté d'expression, notamment le pluralisme des médias ;

- la liberté académique ;

- la liberté de culte ;

- la liberté d'association ;

- le droit au traitement équitable, notamment les droits LGBTIQ ;

- le droit des personnes issues de minorités, notamment les communautés roms et juives, et la protection contre les discours de haine;

- les droits fondamentaux des migrants, des demandeurs d'asile et des réfugiés ; et

- les droits sociaux et économiques.

Aggravation de la situation depuis 2018, notamment en raison de l'inaction de l'UE

          La commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures a condamné les tentatives intentionnelles et systématiques du gouvernement hongrois visant à saper les valeurs européennes telles qu'inscrites dans l'article 2 du TUE. La situation s'est fortement dégradée depuis 2018, époque à laquelle le Parlement a lancé la procédure prévue à l'article 7 du TUE. D'après les députés, le manque d'action déterminante de la part de l'UE a contribué à l'émergence d'un régime hybride d'autocratie électorale.

          En outre, les eurodéputés déplorent l'incapacité du Conseil à réaliser de véritables progrès pour contrer le recul démocratique. Ils ont également souligné que l'article 7 (1) du TUE ne requiert pas l'unanimité pour identifier les risques réels de violations graves des valeurs de l'UE, de même qu'il ne dispose pas la nécessité d'établir une quelconque recommandation ou date butoir. À ce sujet, le projet de rapport précise que tout retard d'action supplémentaire au titre des dispositions de l'article 7 visant à protéger les valeurs de l'UE en Hongrie constituerait une violation du principe d'État de droit par le Conseil.

          Éviter tout détournement des fonds de l'UE de la part du gouvernement hongrois : les députés ont invité la Commission à faire entièrement usage des outils à sa disposition, notamment le mécanisme de conditionnalité budgétaire liée au respect de l'État de droit. À la lumière de la guerre russe en Ukraine et des actions lancées par la Hongrie allant à l'encontre de l'UE, les eurodéputés ont aussi appelé la Commission à :

- ne pas approuver le plan de relance hongrois jusqu'à ce que le pays respecte l'ensemble des recommandations du Semestre européen et applique toutes les décisions de justice pertinentes rendues par la Cour de justice de l'UE et la Cour européenne des droits de l'homme;

- exclure des financements tous les programmes de cohésion qui contribuent à l'utilisation abusive des fonds de l'UE ou violent l'État de droit; et

- mettre en œuvre le règlement portant dispositions communes et le règlement financier de façon plus rigoureuse afin de lutter contre tout détournement des fonds de l'UE à des fins politiques.

Citation : la rapporteure du PE Gwendoline Delbos-Corfield (Verts/ALE, FR) a déclaré: "À la suite des dernières évolutions inquiétantes en Hongrie depuis 2018, il était plus qu’urgent de mettre à jour le rapport Sargentini. Les conclusions sont un appel fort de la majorité des groupes politiques : la Hongrie est devenue un régime hybride d’autocratie électorale, et l’inaction de l’UE a contribué à cet effondrement de l’État de droit, de la démocratie et des droits fondamentaux." - source -

 

A la demande expresse des multinationales, toujours plus cupides, des pays de l'Est ont été intégrés à l'union européenne alors qu'ils étaient bien loin de respecter les droits fondamentaux prônés par celle-ci. Cela a permis aux multinationales d'y transférer leurs usines pour faire travailler des ouvriers à très petits salaires, ( et, créer le chômage qu'on connait dans les pays de l'ouest ).

 

🎭 loisirs créatifs > TemplateMaker, base de modèles pour créer des objets en papier

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          Ce site propose une quantité pratiquement illimitée de modèles (également appelés "dielines" ou "filets") pour le bricolage, l'emballage, la conception d'emballages, le matériel d'apprentissage, la décoration et bien plus encore.

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          Après avoir saisi les bonnes dimensions, vous pouvez télécharger les modèles dans différents formats. Le format PDF est probablement le plus facile à utiliser. Vous pouvez donc commencer à imprimer, découper et plier immédiatement.

 

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> une bouteille au plastique recyclé libère 180 fois plus de microplastiques qu'une bouteille non reclycée

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(...) On aimerait nous faire croire que la solution au fléau du plastique passe par le recyclage. Or, en dehors des bouteilles et flacons, moins de 3% des plastiques sont réellement recyclés. Pire, en recyclant les plastiques, des additifs interdits sont réintroduits, y compris dans des emballages alimentaires, créant de véritables bombes toxiques à retardement. (...) - source -

Je recherche l'étude allemande ( il y a 4 ou 5 ans ) qui déterminait qu'une bouteille plastique d'eau recyclée libérait 180 fois plus de microplastiques dans l'eau de cette bouteille qu'une bouteille plastique non recyclée... Cette étude semble avoir complètement disparue de la circulation, omerta ?

 

> la gazette des communes : les salaires (et autres) de la fonction publique de votre collectivité publique

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informations très intéressantes sur la gestion du personnel de votre collectivité publique !

- aller sur le site  de la gazette des communes >>> par ici

- dérouler la page pour aller à "Retrouvez l'ensemble des déclarations pour les 152 collectivités recensées pour l'année 2021"

- inscrire (1) le nom de votre collectivité publique, exemple de ma collectivité : Royan

- cliquer sur (2) pour avoir les détails

 

pour les détails :

► pour lire la suite...

💩 Europe : « Uber Files », les liaisons dangereuses entre Uber et la commissaire européenne Neelie Kroes

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          La dirigeante néerlandaise a été embauchée par le groupe en mai 2016, un « pantouflage » préparé alors qu’elle était encore en poste à Bruxelles, et réalisé au prix de multiples irrégularités. A l’époque, ce « pantouflage » a pu sembler au-dessus de tout soupçon. Mais les « Uber Files » éclairent ce dossier d’un jour nouveau. Ces documents confidentiels montrent que la Néerlandaise a, en réalité, entretenu des relations régulières avec le groupe californien lors des derniers mois de son mandat, multipliant même en privé les initiatives en faveur de la société avant son embauche, à une période où elle avait des obligations de réserve liées à ses fonctions passées. Un cas d’école de la passivité dont l’Union européenne peut faire preuve face aux intérêts privés. (...)

          Elle avait ainsi esquissé un accord avec la société dès l’été 2014, avant de rencontrer, le 18 octobre 2014, à moins de deux semaines de son départ de la Commission, un représentant du cabinet de lobbying Fipra, missionné par Uber, avec qui elle discute notamment de son futur rôle dans l’entreprise.L’affaire est alors particulièrement sensible tant pour l’intéressée que pour la start-up. Le lobbyiste en chef d’Uber en Europe, Mark MacGann, donne ainsi pour consigne, en interne, que rien ne filtre auprès du cabinet de Mme Kroes, car celui-ci « n’a pas connaissance » des tractations en cours avec la commissaire néerlandaise. Ce qui donne lieu à des situations dignes du théâtre de boulevard.La direction d’Uber est également avertie par ses conseils juridiques des contraintes spécifiques au recrutement d’une ancienne dirigeante européenne. Celle-ci doit notamment notifier à la Commission des fonctions qu’elle envisage de prendre avec un préavis d’au moins quatre semaines. Plus embêtant : tout lobbying vis-à-vis de la Commission en lien avec ses anciennes prérogatives lui sera prohibé pendant les dix-huit mois qui suivent la fin de son mandat.En mars 2015, Mark MacGann réprimande deux cadres d’Uber lorsqu’il s’aperçoit que Neelie Kroes est mentionnée sur un document interne :« C’était une erreur (euphémisme). Son nom ne devrait jamais apparaître sur un document interne comme externe. Nous avons une relation spécifique avec [Neelie Kroes] actuellement qui est sensible et hautement confidentielle. Ce serait inapproprié et dangereux pour elle et pour nous. » (...) Les tractations précoces entre la Néerlandaise et Uber pourraient théoriquement justifier des poursuites à son encontre. L’article 245 du traité de fonctionnement de l’Union européenne lui imposait alors, en effet, des « devoirs d’honnêteté et de délicatesse » quant à l’acceptation de certaines fonctions après son départ de la Commission. (...)

          Autre entorse à l’éthique, voire à la loi : Neelie Kroes a œuvré en faveur d’Uber sans même attendre son embauche officielle par l’entreprise. Au mois de mars 2015, le service de chauffeurs particuliers UberPop est en passe d’être interdit aux Pays-Bas. Elle se propose de contacter le premier ministre néerlandais de l’époque, Mark Rutte, pour plaider la cause de la plate-forme, à qui elle demande de brèves notes pour pouvoir lui expliquer « ce qui est en jeu ». L’année suivante, quelques jours avant l’officialisation de son rôle dans la multinationale, Neelie Kroes est de nouveau sollicitée par l’entreprise pour intervenir en sa faveur auprès de son compatriote Frans Timmermans, vice-président de la Commission européenne. « Oui, je ferai tout mon possible » pour que Travis Kalanick puisse le rencontrer, répond-elle, à un moment où tout lobbying auprès des commissaires européens lui est encore interdit. Selon le registre de transparence de l’Union européenne, M. Timmermans n’aurait finalement pas rencontré le dirigeant d’Uber. Interrogé à ce sujet par le quotidien britannique The Guardian, un porte-parole de la Commission européenne affirme n’avoir aucune trace de correspondance entre le responsable et Neelie Kroes – ce qui n’exclut pas des échanges privés non répertoriés. (...)

          Plus surprenant encore, le groupe américain a sollicité l’aide de l’ancienne commissaire en pleine perquisition aux Pays-Bas, visant les activités d’UberPop. Le lobbyiste Mark MacGann affirme alors dans un e-mail interne que « Neelie Kroes appelle le ministre de l’économie [Henk Kamp] et d’autres membres du gouvernement pour forcer la police à se retirer ». Une intervention qui, si elle était avérée, pourrait être vue comme une tentative d’obstruction de la justice. Interrogé à ce sujet, M. Kamp dit ne pas se souvenir de conversations avec Mme Kroes au sujet d’Uber. (...) - source -

S'en suit le bal des "faux-culs" où plus  aucun responsable européen cité se souvient de quelque chose et où les données enregistrées disparaissent mystérieusement...

 

🗡️ nos "amis" américains : les armées secrètes de l'OTAN en Europe

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          Ce livre raconte comment, après la seconde guerre mondiale, la CIA et le MI6 britannique mirent en place des armées secrètes anti-communistes dans tous les pays d'Europe de l'Ouest, et par quels processus ces réseaux Stay-Behind de l'OTAN s'allièrent dans certains pays à des groupes terroristes d'extrême droite, avec des conséquences particulièrement tragiques. L'existence de "Gladio", l'armée secrète italienne, fut révélée par le Premier ministre Giulio Andreotti en 1990 ; à la suite de quoi la presse parla du " secret politico-militaire le mieux gardé,… depuis la fin de la deuxième guerre mondiale " et nota que : " L'histoire semble tout droit sortie des pages d'un thriller politique ".

          Depuis, ces armées secrètes de l'OTAN, ont également été découvertes en France, en Belgique, au Luxembourg, en Suisse, en Espagne, au Portugal, en Allemagne, aux Pays-Bas, au Danemark, en Norvège, en Suède, en Finlande, en Autriche, en Grèce et en Turquie. Au niveau international, leurs actions étaient coordonnées par le Pentagone et l'OTAN, et leur dernière réunion connue se déroula à Bruxelles en octobre 1990. A l'heure de la menace de "l'hyperterrorisme", ce livre de référence revient sur les attentats de la gare de Bologne, de la Piazza Fontana, les attaques des tueurs fous du Brabant, l'enlèvement et l'assassinat d'Aldo Moro et demande, s'il s'agit d'actes de terrorisme sous fausse bannière, fabriqués pour accroître la stratégie de la tension…

 

 

La guerre en Ukraine et Europe ne tombe pas du ciel...

 

💩 Europe : cancer, en Europe, seuls cinq pays ont instauré le droit à l’oubli

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          Au sein de l’UE, le droit à l’oubli après une longue maladie est plutôt…oublié. Seuls cinq pays sur 27 ont instauré ce droit dans la loi : la France, la Belgique, le Luxembourg, les Pays-Bas et le Portugal.

          Le droit à l’oubli permet aux anciens malades de ne pas avoir à mentionner leurs antécédents médicaux, comme les cancers par exemple, afin notamment de souscrire plus facilement un prêt à la banque. « Le droit à l’oubli concerne les assurances et les emprunts (crédits immobiliers, professionnels…). Le but ? Éviter la double peine et le casier judiciaire cancer », explique Véronique Trillet-Lenoir, eurodéputé (Renew) et cancérologue lors d’un entretien avec EURACTIV.

          Alors qu’en Europe un cancer est diagnostiqué chez 2,6 millions de personnes chaque année, le droit à l’oubli est étape essentielle pour les anciens malades, souvent victimes de discrimination.

          « Les survivants ont besoin de retrouver une vie sociale, affective, professionnelle, normale. Ils ont besoin de ne pas se sentir exclus », ajoute Mme Trillet-Lenoir.

          Seul signe d’espoir pour les personnes guéries : le Plan européen pour vaincre le cancer présenté le 3 février 2021 par la Commission européenne. Le plan définit quatre grands axes de travail : la prévention, la détection précoce, le traitement et l’amélioration de la qualité de vie.

          « Le plan concerne la santé, mais il va au-delà de la politique de santé. Il s’agit d’un effort de l’ensemble de la société », avait déclaré le vice-président de la Commission Margaritis Schinas. Des textes seront bientôt présentés par la Commission et traiteront de la lutte contre le cancer comme la directive sur les produits du tabac, la taxation des boissons alcoolisées, la législation pharmaceutique, la directive amiante, l’étiquetage nutritionnel ou encore le plan zéro pollution. (...) - source -

Pas de droit à l'oubli pour les cancéreux allemands, cela me m'étonne pas du tout, d'où le fait qu'il y a seulement 5 pays sur les 27 à le pratiquer... Europe de merde !