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> le Parlement suisse vote une définition plus large du viol

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
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          Le texte requérant le consentement explicite pour des actes sexuels est passé de justesse à la chambre basse dans une ambiance électrique. Amnesty International a salué « un immense succès ».

          La notion de consentement dans une relation sexuelle fait l’objet d’âpres débats en Suisse. Dans une ambiance électrique, la chambre basse du Parlement a grandement élargi, lundi 5 décembre, la définition très restrictive du viol en vigueur dans le pays, en adoptant de justesse l’option « Seul oui veut dire oui » – 99 voix pour, 88 contre et trois absentions.

          Selon la législation actuelle, seule une pénétration vaginale contrainte, s’accompagnant d’un certain degré de résistance de la femme, est considérée comme un viol. Il existe un consensus sur le fait que la définition du viol devrait inclure toute pénétration non consentie, quels que soient le sexe de la victime et son degré de résistance. Mais c’est l’interprétation de ce dernier point qui suscite tant de discussions.

          Certains défendent une approche « non, c’est non », selon laquelle il y aurait viol si une personne s’est explicitement opposée à la pénétration. La chambre haute du Parlement, le Conseil des Etats, a déjà voté en ce sens cette année. Mais le vote lundi de l’option « Seul oui veut dire oui » du Conseil national – la chambre basse – offre une définition plus large, requérant le consentement explicite pour des actes sexuels.

« Le corps de l’autre n’est jamais un open bar »

          « Il va de soi qu’on ne prend pas de l’argent dans le porte-monnaie de son voisin sans lui demander. Il va de soi qu’on n’entre pas chez quelqu’un sans sonner. Pourquoi mon porte-monnaie et ma maison seraient mieux protégés que mon corps ? », a interrogé la députée socialiste Tamara Funiciello, selon l’agence de presse ATS. Le Vert Raphaël Mahaim a abondé : « Le corps de l’autre n’est jamais un open bar. Avant d’avoir un moment de partage sexuel, il faut s’assurer du consentement de son partenaire. »

          Beaucoup d’élus de droite ont combattu l’option « oui, c’est oui », affirmant qu’elle créerait de la confusion et serait difficile à appliquer.

          L’antenne suisse de l’ONG Amnesty International a salué le vote de lundi comme « un immense succès après des années d’activisme politique de militants défendant les droits des femmes et les victimes de violences sexuelles ».

          Les deux chambres vont devoir trouver un compromis avant que le processus puisse continuer. Cela fait, le sujet sera probablement proposé au vote populaire, comme le permet le système suisse de démocratie directe.

          Plusieurs pays européens ont fait évoluer leur définition du viol comme étant une atteinte sexuelle sans consentement explicite, dont l’Espagne, la Suède, le Danemark et la Belgique. - source -

Consentement explicite ! C'est-à-dire que l'homme doit faire signer un papier explicite avant toute relation ??? Les femmes pourront accuser n'importe quel homme de viol pour simplement se venger ou le faire payer ??? L'air du temps de la répression sexuelle généralisée :  “Venger ma race et venger mon sexe” du nouveau prix Nobel Annie Ernaux.

"On" rejoint ainsi les dogmes religieux pour lesquels une relation sexuelle ( non stérile ) est faite uniquement pour procréer. On peut effectivement mesurer le pouvoir d'une religion à ses interdictions sexuelles, les "mal baisées" remplacent donc la religion...

D'un autre côté, pour sortir de cette dictature féminine spécifique, il serait utile qu'un couple indique sa volonté d'avoir un enfant en rédigeant et signant un papier, évitant ainsi à des milliers d'hommes de se faire piéger sans recours...