l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


Liberté, égalité, fraternité ! Paroles vaines, funestes même, depuis qu'elles sont devenues politiques ; car la politique en a fait trois mensonges - Louis Veuillot

> la dictature, ce n'est pas que chez les autres

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
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          « Coup d’État », « dictature », « illibéralisme », des qualificatifs que l’on entend, par ci par là, depuis la dissolution surprise décidée par Emmanuel Macron à la suite des élections européennes. Et d’autant plus depuis la nomination de Michel Barnier en tant que premier ministre, homme issu d’une formation minoritaire à l’Assemblée nationale. Alors, qu’en est-il ? La constitutionnaliste Eugénie Mérieau propose un pas de côté. Bien que toute cette « séquence » soit conforme, si on suit la lettre, à la Constitution de la Ve République, encore faut-il s’intéresser à la nature même de cette dernière. Et remonter à la manière dont, dès l’annonce de sa mise en place, la Ve République s’inscrit dans une logique de Coup d’État. Aussi, et peut-être surtout, voir un peu au-delà : comprendre comment l’État d’urgence permanent, notamment sous la présidence d’Emmanuel Macron, a subvertit l’État de droit en profondeur. Si bien que la France n’a aujourd’hui rien à envier aux pays voisins qualifiés, parfois avec un certain dédain, « d’illibéraux ».

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Explications claires et bien utiles en ces temps : de plus en plus de personnes s’aperçoivent que sous l'enfumage d'une soi-disante démocratie nous vivons en réalité dans une dictature qui devient de jour en jour de plus en plus féroce sous Macron.