l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> Rachida Dati ; la dame d’affaires

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          Nouvelle ministre de la Culture reste maire du VIT arrondissement de Paris et n’en a pas non plus fini avec les ennuis judiciaires.

          Elle arrive quelque part, balance une vanne qui fait marrer les gens, fait son cirque, joue de sa différence, minaude, copine, prend des numéros de téléphone, arrange des coups, voit les failles des uns et des autres, qu’elle saura utiliser ultérieurement, ment effrontément et repart, laissant ses interlocuteurs sous le charme. Ça fait trente ans qu’elle fait ça. » Ce témoignage d’un socialiste qui l’a maintes fois croisée résume bien la méthode Dati. Culot, énergie, humour, génie pour se mettre les gens dans la poche... Rachida Dati n’est pas revenue au gouvernement par hasard. « Elle a su séduire Brigitte Macron, qui a soutenu sa nomination », assure un membre du gouvernement.

          Mais la nouvelle ministre de la Culture n’hésite pas non plus à utiliser la menace. En privé, bien sûr. Quand la journaliste Bérengère Bonte, auteure de « La République française du Qatar » (Fayard), enquête, en 2016 et en 2017, sur les liens de Dati avec l’émirat, elle reçoit un coup de fil virulent : « Eh bien, on se retrouvera au tribunal. » Evidemment, Bonte attend toujours. Qu’avait-elle découvert de si gênant ? Des petites histoires qu’on préfère glisser sous le tapis. Comme cette demande au fonds souverain qatari d’un modeste virement de 400 000 euros pour une vague association des ambassadeurs du Golfe qu’elle venait juste de créer. L’ambassadeur du Qatar l’ayant renvoyée dans ses buts, la sémillante Rachida Dati s’était pointée le lendemain à un dîner où elle avait fait la même demande au ministre des Affaires étrangères qatari, en visite à Paris. La lettre de refus fut cinglante. Petit détail marrant : Dati avait prévu, pour accueillir le magot, de créer une société immatriculée... au Luxembourg. Elle était, à l’époque, députée européenne. Oups.

► pour lire la suite...

> radars routiers : en route pour un record

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          L’État table sur 769 millions d’euros de recettes issus des PV réglés dans les temps, et 1 milliard en ajoutant les amendes forfaitaires majorées.

Parc maintenu à 4600 radars fixes et mobiles.
Les modèles les plus anciens - dont 200 cabines Mesta 21OC - seront remplacés par autant de radars discriminants dotés de “flashs” infrarouges invisibles. Par ailleurs, les 1500 radars tourelles seront, a priori, tous actifs, alors qu’ils étaient prévus pour être “occupés” à tour de rôle. A voir, sachant que notre petit doigt nous dit que cette fonction “leurre” n’est pas totalement morte (voir p. 15).

Deux fois plus d’autonomes.
On comptera 800 radars “de chantier” fin 2024 ! Chacun flashant deux à cinq fois plus que les autres radars, les 10 millions de flashs sont à leur portée (contre 6,5 en 2022) !

Statu quo pour les mobiles.
Parc des 500 hiboux maintenu en l’état, tout comme celui des 500 voitures radars, dont la privatisation dans les quatre dernières régions attendra.

Les radars urbains mis en route ?
Prévue en mars 2023, la mise en service des “minitourelles” en test à Belfort, Marseille ou Toulouse a été reportée. A mi-janvier 2024, comme l’évoque la presse franc-comtoise ? Ou après les JO, sachant que leur gestion est désormais confiée aux collectivités locales ? Lorsque ce sera fait, les 400 radars de feu rouge céderont en tout cas leur place aux urbains. Nouveauté: il se pourrait bien que ces cabines contrôlent simultanément les feux rouges et la vitesse.

Premiers PV par les “radars de covoiturage”.
2024 devrait voir les grands débuts des dispositifs chargés de compter les passagers empruntant les voies “VR2+” (réservées aux véhicules transportant au moins deux personnes), mais aussi les voies olympiques parisiennes. Ces appareils déjà en test dans une dizaine d’agglomérations doivent - en principe - démarrer leurs verbalisations prochainement.

Objectifs de tout cela, facile ! Rendre l'usage des moyens de transports individuels de plus en plus difficiles et réduire ainsi leur nombre sur les routes. Le tout, certainement pour les plus grands profits des assureurs car moins de kms parcourus et des assurances de plus en plus chères => les actionnaires s'en mettent encore plus dans les poches...

 

> édito de M. François Tarrain, rédacteur en chef adjoint du magazine Auto-Plus de cette semaine

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          J'aimerais profiter de cette tribune pour me confesser. Voilà : j'ai péché. Ça s'est passé début décembre à Nanterre (92), sur une 2x2 voies rectiligne avec séparateur central, limitée à 50 km/h. Vous me voyez venir? Il est 13h, le trafic est fluide, la météo clémente. Aucun piéton à l'horizon, j'ai les yeux rivés sur la route. Bref, je ne suis un danger pour personne. Et pourtant, j'ai péché : j'ai oublié de me prosterner devant le saint radar ; de courber l'échine sur mon tableau de bord pour vérifier ma vitesse. Une grave erreur, sanctionnée par la lumière divine (que je n'ai pas vue). Mea culpa : contrôlé à 56 km/h, vitesse retenue 51 km/h. Vous me direz un Ave, trois Pater, vous préparerez 90 € et, avec un peu de chance, vous aurez droit au pardon de Darmanin si vous avez attendu 2024 pour les glisser dans le tronc. Amen.

          Une fois passé à confesse, ma conscience devrait être soulagée. Mais non! La Ligue contre la violence routière m'a appris, au détour d'une interview de son vice-président, Pierre Lagache, sur France Info, que "les petits excès de vitesse tuent. Les études qui ont été menées montrent que les excès de vitesse de moins de 10 km/h sont impliqués dans la moitié - à peu près 46% - des accidents graves avec des morts". Quoi, comment, la moitié !? Pour apaiser ma conscience, ou au contraire me flageller pour mes 51 km/h, je dois en avoir le cœur net...

          Quelles sont ces "études" ? Après recherche, nous n'en voyons qu'une qui mentionne ces 46%. Celle de l'Ifsttar qui, en 2013, notait en gros ceci : sur la période 2001-2010, la proportion des grands excès de vitesse a chuté de façon spectaculaire, surtout entre 2003 et 2007, tandis que celle des petits excès de vitesse a diminué plus lentement. Et de conclure que, parmi les accidents mortels liés à la vitesse, "la proportion [...] imputable aux excès de vitesse à faible vitesse est passée de 16% en 2001 à 46% en 2010". Ah OK ! La nuance a son importance : il ne s'agit donc pas, comme le laisse entendre M. Lagache, de la moitié des accidents mortels, mais de 46% de ceux liés à une vitesse excessive... Et il se garde bien de préciser que ces données ont près de quatorze ans. Sachant, enfin, que tout cela reste approximatif. Car, comme nous le confirme notre expert Antoine Jacquot, "lors d'une expertise, l'incertitude sur la vitesse au moment du drame est d'environ 10% (dans certains cas, c'est même une fourchette qui est indiquée)". Alors certes, ça ne ramènera pas les morts, mais cette mise au point a le mérite de remettre l'aiguille au milieu du compteur. Et de battre en brèche les raccourcis d'une ligue qui n'a d'autre but que de nous faire culpabiliser. A tort. ( Edito, du n° 1844 de la semaine du 5 au 11 janvier 2024, de M. François Tarrain, Rédacteur en chef adjoint du magazine Auto-Plus )

Bravo et merci pour cet édito M. Tarrain - Auto-Plus est l'un des rares magazines où je suis abonné -. Cela peut conforter les automobilistes qui pensent que les associations de défense des victimes de la route ne sont que les faux-nez des assureurs qui dominent tout ce qui touche aux transports nationaux ou européens pour pérenniser et maximiser leurs gargantuesques profits... La répression routière tout azimut et sans distinction peut être considérée comme le premier module du crédit social chinois à la française.

 

> la dictature macroniste s'étend...

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La nouvelle loi anti-casseurs dont rêvent les macronistes

          Après une Saint-Sylvestre plutôt pépère mais à quinze jours d’une grève des policiers pour grappiller de plus grosses primes aux JO, la sécurité intérieure reste à la une. Et les initiatives des députés macronistes spécialistes de ces dossiers se succèdent avec un objectif affirmé : toujours mieux surveiller - et punir - l’agitation sociale. La contestation écolo et la « désobéissance civile » qui l’accompagne sont en effet considérées par eux comme le vrai « danger à venir », sans qu’ils récusent pour autant la menace de l’ultradroite (quelque 3 000 militants, dont 1 300 fichés S).

          Le député Renaissance de la Gironde Eric Poulliat, rapporteur d’une récente « mission d’information sur l’activisme violent », prévoit ainsi de transposer plusieurs de ses conclusions dans une proposition de loi d’ici au second semestre 2024. Objectif : mieux réprimer la participation à des manifestations interdites. Un projet souvent rembarré par le Conseil d’Etat. Mais une obsession chez les macronistes depuis les affrontements de Sainte-Soline, en mars dernier.

          Au-delà des joyeusetés déjà prévues par la loi anti-casseurs de 2019, le but est de relever jusqu’à 1 500 euros l’amende qui sanctionne cette infraction. En outre, un régime complémentaire d’interdiction administrative de manifester est imaginé à titre expérimental, et pour une durée de deux ans. Les préfectures pourraient alors plus facilement bannir toute « personne qui constitue une menace d’une particulière gravité pour l’ordre public du fait de ses comportements ».

          L’objectif avoué est d’éviter que les représentants de l’Etat dans les départements ne soient freinés par les cadres juridiques actuels, comme l’a été le préfet de Nice ces dernières semaines. Un multirécidiviste, celui-là, dont cinq arrêtés d’interdiction de manifestation du Collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens ont été successivement retoqués par le tribunal administratif...

Les belles vérités de la police

          Une seconde proposition de loi est pareillement mise en chantier. A la suite du texte sur les « séparatismes » voté en 2021, des députés Renaissance, mobilisés autour d’Eric Poulliat et de Florent Boudié, veulent assouplir les procédures de dissolution d’organismes jugés dangereux. En s’appuyant sur la notion de « provocations implicites et indirectes à des agissements violents contre des personnes et des biens ». Ça existe ?

          Dans le même temps, l’incrimination des associations et des groupements serait rendue plus facile, en s’appuyant par exemple sur des courriels et des communiqués d’appel à des manifestations marquées ensuite par des échauffourées. Il s’agirait ainsi de retenir le « soutien indirect » - et plus seulement « direct » - à des agissements violents en s’adossant à une notion de « responsabilité commune » partagée avec des fauteurs de troubles. Les députés Renaissance mobilisés - tous proches de Gérald Darmanin - répondent là à l’odieux désaveu infligé au ministère de l’Intérieur par le Conseil d’Etat, qui a annulé l’interdiction du mouvement des Soulèvements de la Terre, le 9 novembre.

          Ces douceurs seraient accompagnées de mesures annexes permettant notamment la confiscation des biens des associations dissoutes. Dans la même logique, les initiateurs de ces (possibles) propositions de loi veulent assouplir les procédures de judiciarisation des notes du Renseignement territorial et de transmission aux procureurs pour faciliter leur utilisation par la justice.

          En revanche, rien n’est dit sur un contrôle de qualité de ces notes avant utilisation ! Il s’agirait simplement, indiquent les futurs législateurs, de réduire l’écart d’appréciation entre un préfet et un juge, au nom d’un « principe de précaution face aux menaces sociétales ». Et rien sur le principe de précaution relatif aux libertés publiques ? ( Jérôme Canard )

Au plus on donne des pouvoirs aux préfets et aux policiers, au plus la dictature s'intensifie...

 

> santé publique : la macronie sourde, aveugle et muette...

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L’année du foie gras

          Ça fiche les foies. A cause de la malbouffe, 900 000 Français souffrent de la « maladie du foie gras ». Une inflammation hépatique qui, sans la moindre goutte d'alcool ingérée, peut causer un cancer dutoie ou une cirrhose. D'après l'Inserm, l'Institutnational de la santé et de la recherche médicale, 220 000 de nos compatriotes auraient déjà une cirrhose non alcoolique ou seraient à deux doigts de la déclencher. Et le pire est à venir. Les spécialistes mondiaux de la maladie, gui se sont réunis en congrès a Paris en septembre dernier, estiment que le nombre de victimes aura doublé d'ici à 2030. La « NASH », acronyme anglais de « stéatohépatite non alcoolique », qui est actuellement la deuxième cause de greffe du foie en France, est sur le point de détrôner les cirrhoses alcooliques et virales.

          Cette « épidémie », qui sévit depuis plus de quarante ans, est en grande partie due au gavage en mauvais gras et en sucres que nous impose l'industrie agroalimentaire. Sans oublier notre appétence pour les fast-foods, dont le nombre d'enseignes a quintuplé en vingt ans. Alors que l'Organisation mondiale de la santé recommande de se limiter à 25 grammes de sucre par adulte et par jour, les Français en ingurgitent quatre fois plus, en moyenne. Notamment en sirotant des sodas (50,9 litres par an et par personne). Or le foie fabrique encore plus de mauvais gras lorsque le sucre est ingéré sous forme liquide.

          Les aliments ultra-transformés, eux aussi, pèsent lourd dans la balance : plus on en met dans l'assiette, plus le danger grandit. Une récente étude britannique menée sur 173 000 personnes vient ainsi de montrer que le risque de développer une maladie du foie gras est 43 % plus élevé chez les plus gros consommateurs de plats transformés, avec une probabilité de fibrose hépatique ou de cirrhose augmentée de 18 % et jusqu'à 50% pour les maladies hépatiques graves (« American Journal of Clinical Nutrition », 21/10/23).

          Encore une fois, ce sont les plus pauvres qui trinquent. En France, la NASH frappe 79 % des obèses, lesquels, selon l'Observatoire des inégalités, sont deux fois plus nombreux chez les ouvriers que chez les cadres supérieurs. De là à dire que les fabricants de malbouffe sont sans foie ni loi...

En macronie et dans cette union européenne de merde, c'est la priorité absolue aux bénéfices des entreprises...

 

> choisir une bouteille d'eau de source ou d'eau minérale naturelle ?

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          Les eaux de source n'ont pas l'obligation d'avoir une concentration en minéraux stable, à l'inverse des eaux minérales. Voici les critères différenciant une eau minérale naturelle d'une eau de source.

          L'eau minérale naturelle est une eau d'origine souterraine provenant d'une nappe phréatique profonde et protégée de toute pollution liée à l'activité humaine. Ses caractéristiques chimiques, c'est-à-dire sa concentration en minéraux, doivent être stables dans le temps, car elles peuvent donner lieu à des allégations et/ou des contre-indications pour certaines parties de la population. Et bien sûr, elle ne doit subir aucun traitement chimique de désinfection avant mise en bouteille.

          L'eau de source est également une eau d'origine souterraine, protégée de toute pollution, qui ne doit subir aucun traitement chimique de désinfection ni adjonction avant sa mise en bouteille. Elle doit par ailleurs être consommable par tous, ce qui n'est pas forcément le cas d'une eau minérale naturelle.  ( extrait de 60 millions de consommateurs de janvier 2024 )

Boire de l'eau de source en bouteille semble le choix le moins pire... Perso, j'utilise depuis des 10zaines d'années un osmoseur > wikipedia