l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées... « Les opportunités qui se présentent à nous n’ont jamais été aussi grandes » Larry Fink
( octobre 2024 ) patron de BlackRock, gestionnaire américain d'actifs aux 11 500 milliards de dollars…
Depuis leur découverte au début du XXe siècle, les antibiotiques ont transformé la médecine, humaine comme animale, en permettant de faire reculer de nombreuses maladies bactériennes. Mais leur utilisation s’est accompagnée de l’émergence de souches résistantes qui menacent leur efficacité.
Pour freiner le grave risque que représente l’antibiorésistance pour la santé publique mondiale, certains pays ont pris des mesures drastiques, notamment en ce qui concerne les pratiques d’élevage. D’autres, au contraire, tardent à agir.
Jean-Yves Madec, directeur scientifique antibiorésistance de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) et Florent Parmentier, secrétaire général du Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof) font le point sur la situation et nous expliquent pourquoi il est si difficile de prendre des mesures à la hauteur de la menace.
Des cas de contaminations humaines par le virus de l'encéphalite à tiques via l'alimentation ont été observés pour la première fois en France en 2020. Plusieurs laboratoires de l'Anses se sont mobilisés afin d'en comprendre les circonstances, d'améliorer la détection du virus dans les produits au lait cru et de prévenir ainsi les risques de contamination similaires. Les premiers résultats de leurs travaux sont parus récemment.
Au printemps 2020, 43 personnes habitant l’Ain ont souffert de méningites, de méningo-encéphalites ou de symptômes grippaux causés par une contamination par le virus de l’encéphalite à tiques (TBEV). Elles avaient toutes consommé du fromage de chèvre au lait cru.
Il s’agissait de la première infection par voie alimentaire connue en France, le TBEV se transmettant généralement par piqûres de tiques. « En avril 2020, le premier confinement a favorisé la consommation de produits locaux, rappelle Gaëlle Gonzalez, chargée de projet à l’unité de virologie du laboratoire de santé animale de l’Anses. Le fait que les cas soient groupés a facilité l’identification de l’origine de la contamination. ».
Les laboratoires de santé animale, de sécurité des aliments et de la rage et de la faune sauvage de l’Anses ont participé aux investigations menées dans l’exploitation agricole où ont été produits les fromages suspectés d’être à l’origine de la contamination. Les résultats de ces travaux scientifiques, qui ont également impliqué d’autres équipes françaises d’infectiologie, ont été publiés dans la revue Frontiers in microbiology.
Tracer le virus des fromages jusqu’aux tiques
Il est apparu que tous les fromages impliqués provenaient d’une même exploitation. Suite à l’alerte sanitaire, les fromages ont été retirés du marché afin d’éviter d’autres contaminations. En parallèle, les chèvres ont été confinées à l’intérieur.
Un quart des chèvres présentaient des anticorps contre le virus de l’encéphalite à tiques, ce qui indique qu’elles avaient été exposées au virus et que celui-ci était assez fortement présent dans la zone. Le virus a été détecté dans le lait de trois d’entre elles. Sachant que le TBEV peut être excrété dans le lait jusqu’à 23 jours après l’infection, les chèvres avaient été contaminées récemment. Des tiques porteuses du virus ont été trouvées dans le sous-bois présent dans la pâture des chèvres, elles sont probablement à l’origine de leur infection.
Ce premier cas d’infection par voie alimentaire en France a souligné l’importance de disposer de méthodes efficaces pour la détection du virus de l’encéphalite à tiques dans les produits laitiers. Les scientifiques de l’Anses ont donc participé à l’évaluation de la méthode utilisée pour s’assurer qu’elle était suffisamment sensible et spécifique au TBEV.
Des infections en dehors de l’aire géographique connue du virus
Ces contaminations ont pour la première fois révélé la présence du virus de l’encéphalite à tiques dans l’Ain, alors que sa présence en France était jusque-là surtout connue en Alsace, en Lorraine, en Savoie et en Haute-Savoie. Ce n’est cependant pas étonnant pour les scientifiques, qui savent que l’aire de répartition du virus a tendance à s’étendre depuis l’est de l’Europe et que sa présence peut passer inaperçue. « L’encéphalite à tiques ne cause pas de symptômes chez les animaux. Chez les humains, seuls 10 à 30 % des cas provoquent une méningite ou une encéphalite. Le reste du temps, les symptômes sont de type pseudo-grippal et passent donc inaperçus. », explique Gaëlle Gonzalez, première auteure de l’article publié dans Frontiers in microbiology.
Étudier les facteurs pouvant influencer le risque de contamination
Depuis les premiers cas du printemps 2020, quelques autres cas de contamination par voie alimentaire ont été signalés en France. Des études sont actuellement en cours au sein des laboratoires de l’Anses pour identifier les facteurs pouvant influencer ces risques de contamination.
Une de ces études vise ainsi à comprendre l’effet du microbiote sur le risque de transmission. Elle va prendre en considération l’ensemble des microorganismes présents dans le système digestif des tiques, dans celui des animaux domestiques et dans le lait.
Par ailleurs, on sait que la pasteurisation du lait élimine le virus et que celui-ci ne survit pas dans les fromages ayant un temps d’affinage de plusieurs mois. Une thèse a débuté en 2021 pour déterminer l’incidence des étapes de fabrication du fromage au lait cru sur le virus : diminuent-elles la quantité de virus par rapport à celle présente dans le lait ? Celle-ci est-elle homogène dans tout le fromage ? Ces connaissances supplémentaires devraient permettre de mettre en place des mesures de surveillance et de prévention adaptées. - source -
Ma fille a de la fièvre depuis 5 jours. Visite chez la pédiatre vendredi : "c'est probablement pas grand chose, il y a plein de virus qui circulent, mais si la fièvre continue, il faudra aller à l’hôpital faire une analyse au cas où ce soit une infection urinaire". Le lendemain, rebelote, fièvre à plus de 40 pendant toute la journée. On file aux urgences pédiatriques, une grande première pour ma compagne et moi, bientôt parents depuis un an.
À l'arrivée à 18h30, la salle d'attente est pleine. Au guichet, on annonce 5h d'attente. Génial.
On attend, les heures passent. On observe tous les autres patients (mot qui n'aura jamais autant pris son sens que dans ces circonstances), il y a de tout. Un gamin avec un énorme pansement sur son nez le t-shirt plein de sang. Une fille avec un œil gonflé comme une patate, plein d'enfants qui toussent, des enfants qui vomissent toutes les 10mn.
5h... 6h...
Soudain des parents qui attendaient depuis plusieurs heures eux aussi se mettent à crier. Dans leurs bras un enfant visiblement inconscient, yeux révulsés. Il est pris en charge et on commence à relativiser... À culpabiliser aussi parce que face à ces urgences vitales, on se sent con avec son gosse qui n'a "que" de la fièvre. Beaucoup d'autres enfants ne sont pas en urgence vitale, mais quelle alternative a-t-on ? Si on veut des résultats rapides pour les analyses on a pas d'autre endroit où aller...
7h... Un autre parent se met à crier. Cette fois ci c'est sur le personnel au guichet d'accueil. C'est la 20eme fois que sa fille vomit, elle n'a plus de vêtements propres, sa mère est seule avec ses deux enfants, elle attend depuis 8h, elle n'en peut plus. On la comprend, on est tous à bout de nerfs. Mais on la recadre: "évidemment que c'est long, mais on est en sous effectif. On vous comprend mais on est sous l'eau. Actuellement les médecins de garde sont occupés avec des enfants qui ne respirent plus alors oui, votre fille qui vomit c'est pas prioritaire".
8h, alors qu'on y croit plus, on nous appelle, à 2h40 du matin. Le médecin est extrêmement sympathique, pro, rassurant. Il ne précipite rien, prend le temps qu'il faut malgré tout le monde qui reste dans la salle d'attente. Alors qu'on a peur de se faire faire la morale parce qu’on est venus pour un "petit" truc, il nous dit qu'on a bien fait de venir, 6 jours de fièvre c'est inquiétant.
On attend encore 45mn les infirmières qui viennent faire prise de sang et prélèvement urinaire, là aussi super pro, puis encore 1h45 d'attente pour les résultats, qui s'avèrent négatifs, pour enfin pouvoir rentrer à la maison à 6h du matin.
Ce que je retire de cette nuit c'est que l'hôpital public est dans un état effarant. On en entend parler depuis un moment mais être plongé en plein dedans de cette manière, wow. Le fait qu'on doive aller aux urgences pour faire des analyses, qu'on doive engorger des urgences qui seraient déjà sous l'eau sans ça, il y a vraiment quelque chose qui cloche. (...) - source -
un des nombreux commentaires : " On a les hommes politiques qu'on se choisit. On continue à fermer des lits. Macron voulait encore supprimer des hébergements d'urgence (il a renoncé... Pour l'instant). Ils vont aller où les SDF qui trainent dehors par -10° à votre avis ? On a eu 30% d'abstention à l'élection présidentielle récemment... 53% aux législatives. Parmi ceux là combien viennent chialer maintenant que les hôpitaux sont devenus pourris, que pôle emploi c'est nul et que la retraite sera bientôt a 70 ans. Ça fait 20 ans qu'on se paye des libéraux qui veulent faire des économies, ou ''limiter la dette ''. Voilà ce qu'on a."
ou celui-ci :" il y a aussi quelque chose de très insidieux derrière. Rendre un service public inapte via des coupes budgétaires ou un alourdissement administratif permet aussi d'ouvrir la porte à la privatisation. Quelque chose que certains gouvernements aiment beaucoup. Il y a une infiltration des cercles politiques par les intérêts privés qui va passer des petites mesures qui vont aboutir à ça. C'est fait de manière volontaire."
Blocs opératoires fermés, salles de réveil saturées de patients faute de place en réanimation, manque de personnel... L’hôpital parisien Necker, l’un des fleurons de la pédiatrie française, est en surchauffe. Les chirurgiens passent leur temps à annuler des interventions et cherchent désespérément des places pour hospitaliser les enfants malades.
Le problème le plus crucial concerne la réanimation et les unités de soins continus : elles souffrent d’un manque cruel d’infirmières. « Nous sommes arrivés à un point où nous devons choisir les malades, confie Sabine Sarnacki, présidente de la Société française de chirurgie pédiatrique et cheffe du service de chirurgie viscérale et d’urologie pédiatrique de Necker. Il y a deux semaines, nous avons dû choisir entre deux gamins avec une tumeur cérébrale. » Finalement, une infirmière a pu être trouvée au dernier moment, et les deux patients ont été pris en charge. « Mais une petite fille a attendu deux jours pour être opérée de l’appendicite, alors elle a fait une péritonite, ajoute le professeur Sarnacki. Là, je dois programmer des tumeurs, et je ne sais pas où les mettre. Nous ne faisons que décaler, mais ce n’est pas possible de reporter cinq fois une intervention ! Si les autorités ne font rien, elles vont se prendre un scandale sanitaire terrible. »
Circuit congestionné
Un soignant de Béclère, à Clamart, constate, lui aussi : « Contrairement à l’an dernier, nous avons une unité (soit 10 lits) fermée. » A l’hiver 2021, il y avait 14 lits de plus. Il en faudrait une trentaine. Conséquence ? Les petits Franciliens sont hospitalisés à Orléans, Rouen ou Reims - un phénomène déjà décrit par « Le Canard »... en novembre 2019.
Fin septembre, trouver une place pour un jeune malade souffrant d’asthme sévère a tenu du parcours du combattant, comme en témoigne un document hospitalier : « Bicêtre : 0, Necker : 0, on me dit pas de place en Ile-de-France, Raymond-Poincaré : 0 », puis, enfin : « Orléans : 1 place !!! » Pareil pour ce cas de pneumopathie avec crises convulsives : « Transfert en hospitalisation en pédiatrie à Fontainebleau par manque de place à Béclère. »
Un toubib résume : « Les parents d’enfants hospitalisés doivent savoir que l’hiver va être rude, et, faute de place en Ile-de-France, ils vont devoir faire de gros trajets pour [qu’ils soient] soignés. » En espérant qu’ils aient les moyens de faire le plein.
Priorité aux dividendes et aux cliniques privées ! Vive l'union européenne de merde qui a tué - entre autres - le système de santé de la France ! Des statistiques montrent qu'il y a de plus en plus de décès d'enfants de - de 5 ans en Europe ! Et après, "on" va vous demander de faire des gosses ! Et surtout, faites-en beaucoup, car "on" aura de gros besoins d'esclaves...
Conservateurs : - E210 à E213 (acide benzoïque et ses dérivés), susceptible de déclencher des crises d’asthme caractérisées par des difficultés à respirer, un manque de souffle, une respiration sifflante et de la toux chez les individus sensibles (par ex. les asthmatiques) (EFSA) - E211(benzoate de Sodium). Répandu dans les boissons gazeuses, mais aussi, le benzoate de sodium est un allergène également responsable de cas du syndrome d'hyperactivité chez les enfants. De plus, il peut former des composés toxiques ou cancérigènes selon l'Association pour la Recherche Thérapeutique Anti-Cancéreuse (ARTAC, France). - E214 à E219. Méthylparabène ou 4-hydroxybenzoate de méthyle (E218) et son sel de sodium (E219) ; éthylparabène ou 4-hydroxybenzoate d'éthyle (E214) et son sel de sodium (E215) ; propylparabène ou 4-hydroxybenzoate de propyle (E216) et son sel de sodium (E217). Il s'agit des tristement célèbres composés de la famille des parabènes, suspectés d'être cancérigènes. - E220 à E228 (sulfites inorganiques), susceptible de déclencher des crises d’asthme caractérisées par des difficultés à respirer, un manque de souffle, une respiration sifflante et de la toux chez les individus sensibles (par ex. les asthmatiques) (EFSA) - E249ou nitrite de potassium. Ce conservateur a de nombreux effets pervers : entrave le transport de l'oxygène par le sang, peut entrainer des difficultés respiratoires, favorise les allergies, détruit les vitamines A, B1 et B2.... (Manger Sain). Attention ! Il est autorisé dans les produits BIO. - E250ou nitrite de sodium. Ce conservateur et colorant est utilisé pour donner une couleur rose aux produits de charcuterie, donnant le sentiment au consommateur que le produit est frais. Il est présent dans pratiquement toutes les charcuteries où il se combine avec les protéines de la viande pour donner des nitrosamines, hautement cancérigènes. A ce titre, il est interdit dans plusieurs pays et déconseillé (Manger Sain). Attention ! Il est autorisé dans les produits BIO. - E251ou nitrate de Sodium. Comme pour les nitrites, voir ci-dessus. Cancérigéne. Les sels de l'acide nitriques (nitrates) se transforment en nitrites dans l'organisme. - E252ou nitrate de potassium (salpêtre) : voir E251 - E280ou acide propionique, induit des changements comportementaux chez les rats de laboratoire : hyperactivité et perte de la sociabilité. Cet acide est soupçonné de contribuer à la régression autistique. Autorisé en France.
Agents anti-oxygène : - E320ou butylhydroxyanisole (BHA). Cet additif est utilisé pour éviter aux matières grasses de rancir. Le BHA est un cancérigène possible selon les données du CIRC et un perturbateur endocrinien. Le BHA est difficilement biodégradable et a un haut potentiel de bioaccumulation dans l'environnement. Il est notamment présent dans les chewing-gums. - E321ou butylhydroxytoluène (BHT). Comme le BHA, il s'agit d'un Antioxygène utilisé pour retarder l'oxydation des aliments, notamment des matières grasses, et éviter leur rancissement. Il se retrouve dans de nombreux plats cuisinés et chewing-gums... Comme le E320, le 321 a été classé "cancérogène possible pour les humains" (par le CIRC et l'OMS). De plus, il peut provoquer des allergies cutanées, digestives et serait suspecté de favoriser le dépôt des graisses dans les artères chez certaines personnes. - E324ou Ethoxyquine. Ce pesticide synthétisé par Monsanto en 1950 est un antioxydant utilisé pour conserver notamment le saumon mais aussi dans l'alimentation du bétail. Considéré comme toxique.
Agents de texture : - E441ou gélatine. Sous cette appellation se cache un composé d'origine alimentaire : « 80% de la production en Europe provient de couennes de porcs. 15% provient de peaux de bovins, et plus particulièrement de la fine couche située entre la peau et le tissu sous-cutané et contenant du collagène. Les 5% restants proviennent d'os de porcs et de bovins, de volailles et de poissons », détaille l'association Gelatine Manufacturers of Europe (GME), qui regroupe les principaux producteurs européens de gélatine. Son pouvoir gélifiant apporte de l'élasticité aux bonbons mous, de la consistance à la crème dans les gâteaux et de l'onctuosité aux desserts lactés. Elle est aussi utilisée pour donner du corps aux produits allégés contenant beaucoup d'eau. A bannir pour tous ceux qui sont végétariens ou qui évitent soigneusement les déchets alimentaires provenant des animaux.
Autres additifs : - E450diphosphates. L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) notait en 2013 les risques pour la santé (principalement cardiovasculaires) d’une surconsommation de phosphates. En juin 2019, elle a durci la dose journalière acceptable de phosphate dans notre alimentation, en soulignant qu’il y avait un risque de dépassement de cette limite pour les adolescents et les enfants. - E551(dioxyde de silicium) nanoparticule pouvant être préjudiciable pour la santé. - E621(glutamate monosodique ou glutamate de sodium). Cet additif alimentaire qui donne du goût aux aliments est présent dans pratiquement tous les produits de viande transformés. Il serait lié à des troubles neurologiques tels que la migraine, la maladie d'Alzheimer, la perte de contrôle de l'appétit, l'obésité et d'autres maux. - E951(aspartame). Cet édulcorant remplace le sucre dans plus de 6000 produits dits "light". Certaines études ont mis en évidence l'apparition de cancers chez des rongeurs. De plus, des études ont alerté sur des risques neurologiques (épilepsie, maux de tête), la prise de poids (un comble) et des risques d'acidents vasculaires cérébraux et cardiaques (Science & Vie, juillet 2011). Cependant, l'EFSA, suite à son analyse des données scientifiques disponibles sur l'aspartame a conclu que "l'aspartame ne pose aucun problème de toxicité pour les consommateurs aux niveaux d'exposition observés. La Dose Journalière Admissible (DJA) actuelle est considérée comme sûre pour la population générale et le niveau d'exposition des consommateurs à l'aspartame est inférieur à la DJA." - E900ou dimethylpolysiloxane. C'est un agent anti-moussant utilisé dans les jus de fruits et les conserves de fruits et légumes. - source -