l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


> une justice au service des multinationales

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« Tout ce qu’elles ont à faire, c’est brandir la menace de l’arbitrage »

          Les populations ignorent souvent que, grâce au mécanisme d’arbitrage international, les entreprises sont en mesure de mettre au pas les États, parfois au mépris des lois ou des Constitutions. Ce système de justice privée aux pratiques opaques figure pourtant dans la plupart des traités bilatéraux d'investissement (TBI), signés au prétexte de faciliter la circulation des capitaux.

un excellent article sur le sujet à lire dans le Monde diplomatique de mars 2024,... si vous le trouvez encore.

> pays d'origine des produits importés en UE présentant la plus forte contamination par PFAS en 2021

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( traduit à l'aide de DeepL )

          En 2021, les échantillons de fruits et légumes importés de l'UE présentant le taux de contamination par PFAS le plus élevé provenaient du Costa Rica (41 %), d'Inde (38 %) et d'Afrique du Sud (28 %). Dans l’ensemble, 16 % de tous les échantillons de produits importés de l’UE contenaient des résidus d’au moins un pesticide PFAS.

          La Turquie est le pays d'origine avec le nombre maximum de pesticides PFAS détectés dans un seul échantillon, avec certains individus échantillons turcs contenant des résidus de cinq pesticides PFAS différents. De plus, les échantillons provenant de Turquie contenaient la plus grande diversité en termes de différents pesticides PFAS détectés dans tous les échantillons.

source - pour les FPAS

Conforme à ce que l'on peut en connaitre, le Maroc est dans le club de tête...

 

> nouveaux OGM : les combines de l’agrochimie pour s’approprier le vivant

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          Prix des semences, brevets et droits de licence, présomption de contrefaçon : le projet de réglementation sur les nouveaux OGM menace les petits semenciers et les paysans, au bénéfice des multinationales agrochimiques.

          Avec les nouveaux OGM, « nous livrons encore un peu plus notre souveraineté alimentaire aux mains des grandes firmes agrochimiques ». Le représentant de la Confédération paysanne Guy Kastler connaît le sujet par cœur. Voilà 30 ans qu’il suit les tentatives successives des grandes firmes agrochimiques — telles les géants Corteva ou Bayer — de faire entrer les OGM dans les champs européens. Depuis l’été dernier, une proposition de la Commission européenne l’inquiète. Elle envisage d’assouplir considérablement les modalités de mise sur le marché des « nouveaux OGM », des variétés produites à l’aide de nouvelles techniques d’édition du génome (NGT).

          Le texte — qui est présenté au Parlement ce 6 février — prévoit notamment d’exempter d’étiquetage, d’évaluation des risques et de suivi une large palette de plantes obtenues par ces techniques de modification génétique. Mais la question du régime de propriété intellectuelle associé à ces nouvelles semences crispe de nombreux États membres.

          En Europe, les semences disposent d’un régime de protection de la propriété intellectuelle particulier : le certificat d’obtention végétale. À la différence du système des brevets appliqué aux États-Unis, ce régime octroie aux producteurs de semences — les sélectionneurs — européens le droit de disposer du « matériel génétique » pour le faire évoluer. En d’autres termes, un sélectionneur a le droit d’utiliser une plante de l’un de ses concurrents à des fins de recherche et de s’en servir pour développer de nouvelles variétés. Il pourra ensuite la commercialiser, si, bien sûr, la variété obtenue présente de nouvelles caractéristiques. Les nouvelles techniques d’édition du génome — des procédés technologiques déjà brevetés — pourraient remettre en cause ce système.

► pour lire la suite...

> la capitalisme dans toute sa splendeur...

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          Pour mettre une musique lors d’un enterrement, il faudra payer des droits à la Sacem.

          Après une longue bataille judiciaire, la Sacem a obtenu que les pompes funèbres règlent des droits aux auteurs lors de la diffusion d’une chanson lors d’un enterrement, ce 31 janvier. Une décision qui suscite de vives réactions.

          La Sacem a remporté une longue bataille judiciaire. Le 31 janvier, le tribunal de Paris a statué que la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique était en droit de toucher des droits d’auteurs pour des chansons diffusées lors des cérémonies d’enterrement, rapporte l’Informé.

          Alors qu’elle payait ces droits d’auteur depuis 15 ans, la société des Pompes funèbres générales (PFG) a décidé, en 2019, d’arrêter de régler ces frais, en conséquence d’une hausse des tarifs de 72 % réclamée par la Sacem. Le géant de l’enterrement estimait alors que les obsèques se déroulent dans un cercle privé et donc hors des exigences de l’organisme de droits d’auteur.

          Dans sa décision finale, la justice a estimé que la société propriétaires de pompes funèbres générales était une société commerciale et que le prix final devait être inclus dans le prix de la prestation. Au final, les PFG ont été condamnées pour contrefaçon pour avoir diffusé des musiques sans autorisation. Elles doivent désormais rembourser 70 000 euros à la société des droits d’auteur ainsi que 10 000 euros de dommages et intérêts.

          Désormais vous le saurez, la prestation d’un enterrement devrait à l’avenir être augmentée de quelques euros pour pouvoir diffuser de la musique dans son dernier voyage. - source -

Pourquoi se gêner, on est dans un monde où le moindre centime doit être récupéré, non ? Dans quelques temps, ils arriveront à nous mettre obligatoirement un masque - pour éviter les cancers avec l'air complètement saturée de pesticides et autres - et, évidemment, nous feront payer de plus en plus cher les filtres nécessaires, ou, nous les supprimeront si on manifeste par exemple,...

 

> le séparatisme climatique des ultrariches ( partie 2/2 )

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Îles privées, piscines fortifiées... Ces boîtes qui font du blé sur la survie des riches

          L’effondrement est devenu un marché comme un autre. Pour accompagner les ultrariches en quête d’évasion face à la crise climatique, tout un business s’est développé. Depuis trois ans, avec les confinements successifs et la menace de la guerre, le secteur, en plein boum, surfe sur l’angoisse apocalyptique.

          Construction de bunkers, achat de propriétés survivalistes « clés en main », yachts prêts à voguer sur les eaux internationales, réseaux secrets de fermes autonomes… Les entrepreneurs proposent à leurs clients fortunés toute une déclinaison d’offres pour se préparer sereinement à la fin du monde.

          L’intellectuel américain Douglas Rushkoff, qui a mené une enquête sur le sujet, raconte même dans le Guardian comment de nouveaux métiers émergent : des agences immobilières spécialisées dans les logements « résistants aux catastrophes », des entreprises du BTP tournées vers les « habitations souterraines », des sociétés de sécurité privée offrant toutes sortes de « gestion des risques ». Les ultrariches sous-traitent à des experts des plans d’évacuation d’urgence et sollicitent des services médicaux spécialisés.

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