l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> tous d'accord sur l'identité numérique européenne, sauf les citoyens non consultés ?

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Accord sur l'identité numérique européenne

          La Commission européenne vient de trouver un accord avec le Parlement et les États pour créer une plateforme à laquelle auront accès tous les habitants de l'Union. Ils pourront y retrouver leur carte d'identité, leur permis de conduire ou encore leurs ordonnances médicales. Cet équivalent européen du service France Identité, qui ouvrira dans deux au minimum servira aussi à effectuer des transactions bancaires.

Bé bien sûr, rien de tel pour fliquer constamment les gueux européens par ailleurs non consultés sur cette mesure inique car cette union européenne de merde ne veut surtout pas de démocratie directe et d'un référendum, il n'y a pas de citoyens, juste des administrés !

 

> Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne et Albert Bourla, le PDG de Pfizer...

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          Frédéric Baldan, le citoyen belge qui a porté plainte contre Ursula von der Leyen dans l'affaire du SMSGate fait-il l'objet de représailles de la part de la Commission européenne ? Son accréditation en tant que lobbyiste lui a en effet été retiré sous un prétexte apparemment sans fondement et d'une façon peu scrupuleuse du droit. Ce qui arrive à M Baldan en dit long sur des institutions européennes qui n’œuvrent plus que pour elles-mêmes, dans l'intérêt de ceux qui la dirigent. Que contiennent les SMS échangés entre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne et Albert Bourla, le PDG de Pfizer ? On ne le sait toujours pas malgré les nombreuses exhortations. - source -

 

l'union européenne de merde dans toute sa splendeur ! Et, dites-vous bien, que tout ce qui a trait à cette union européenne de merde est de la même veine...

 

> prosulfocarbe : « Combien de potagers contaminés sans que les gens le sachent ? »

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          Deuxième herbicide le plus vendu après le glyphosate en France, le prosulfocarbe se retrouve partout. L’air, l’eau et nos aliments sont contaminés par cette molécule. Son autorisation vient d’être renouvelée, malgré l’absence de données sur les effets chroniques sur la santé humaine.

          Le prosulfocarbe est l’herbicide le plus vendu en France après le glyphosate, mais son nom est loin d’être aussi connu. « L’agriculture française montre une forte dépendance au prosulfocarbe » indique un récent rapport de l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE). Les tonnages de cette substance active ont été multipliés par six depuis 2010 ! Avec plus de 6500 tonnes achetées en 2021, les ventes de prosulfocarbe ont augmenté de 14 % en 2022. « D’autres herbicides ont vu leurs conditions d’utilisation se durcir, voire ont été retirés du marché » note l’institut, ce qui expliquerait en partie cette hausse.

          Les produits à base de prosulfocarbe sont essentiellement utilisés sur les cultures de céréales. La moitié des surfaces cultivées en blé tendre en reçoivent. Deux tiers des surfaces cultivées en pommes de terre sont traités avec cet herbicide. Celui-ci est particulièrement épandu à l’automne, dans le bassin parisien où pousse une grande partie du blé tendre, dans le Sud Ouest pour le blé dur, et dans le Nord de la France au printemps pour les pommes de terre. À ce jour, 19 préparations commerciales à base de prosulfocarbe sont autorisées, dont deux appartiennent au groupe suisse Syngenta, en tête des ventes

          Au total, les surfaces avec des cultures traitées au prosulfocarbe représentent 7,6 millions d’hectares en France, soit un quart de la surface agricole utile. Si les surfaces traitées n’augmentent pas depuis quelques années, la quantité d’herbicides, elle, progresse. Cela signifie une hausse des doses épandues à l’hectare. « Ce recours croissant s’explique notamment par la montée de résistances de certaines adventices [mauvaises herbes] » souligne l’INRAE.

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> le retour du cartel du jambon

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          Un tour de cochon pour l'industrie de la cochonnaille. D'après les informations du « Canard », l'Autorité de la concurrence vient de perquisitionner le siège parisien de la Fict, la puissante Fédération française des industriels charcutiers traiteurs, alliée aux gros producteurs de viande de porc. Les enquêteurs soupçonnent plusieurs grandes marques de jambon de s'être entendues sur le prix de leurs charcuteries sans nitrites pour saler leurs marges sur le dos des consommateurs.

          Rappelons que les sels nitrités sont la baguette magique pour donner au iambon sous Cellophane un alléchant teint rose vif, même sous la lumière livide des présentoirs, tout en allongeant sa durée de vie en rayons. Sauf que, en octobre 2015, l'Organisation mondiale de la santé a estampillé la charcuterie farcie aux sels nitrités « cancérogène certain pour l'homme ». Rien qu'en France, plus de 4 300 cancers, pour l'essentiel colorectaux, pourraient, d'après
les autorités sanitaires, être attribuables à la charcuterie nitritée. La Ligue contre le cancer et l'association de défense des consommateurs Food Watch ont beau avoir lancé, il y a quatre ans, une pétition pour interdire les sels nitrités, avec à la clé 550 000 signatures, rien n'a bougé.

          A force de lobbying, la Fict a tué dans l'œuf toutes les tentatives pour bannir les fameux sels de nos assiettes. L'an dernier, le député MoDem Richard Ramos, qui avait, dans une proposition de loi, essayé d'en finir avec les additifs nitrités, s'était fait renvoyer dans les cordes pour la deuxième fois. Parmi ses farouches opposants, Martine Leguille-Balloy, alors députée Renaissance, devenue depuis présidente de... la Fict. Malgré les ravages sanitaires de cette cochonnerie, le gouvernement a renvoyé à la saint-glinglin toute mesure d'interdiction, se contentant, en mars dernier, d'un vague plan d'actions volontaires prévoyant de réduire de 20 % à 30 % l'ajout de sels nitrités.

          Résultat : les industriels du jambon peuvent continuer de « nitriter » leurs produits premier prix - tant pis pour les pauvres -, tout en vendant aux consommateurs qui ont de l'oseille des denrées garanties sans nitrités au prix fort, grâce à une éventuelle entente secrète. Les industriels du jambon s'étaient déjà fait rentrer dans le lard par l'Autorité de la concurrence pour s'être entendus afin d'acheter moins cher leurs pièces de porc auprès des abatteurs. Onze d'entre eux, condamnés en 2020 à 93 millions d'euros, attendent le verdict en appel pour savoir à quelle sauce ils seront mangés. Dans l'immédiat, ça part plutôt en eau de boudin...

  La santé publique, la macronie s'en fiche éperdument ; bien au contraire, les gueux peuvent crever, quelle importance, ils sont RIEN !!! Quant à l'union européenne de merde, évidemment, elle ne bouge pas d'un cil...

 

> L’institut européen des normes de télécommunications (ETSI) vire américain

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Le choix du nouveau président de l’organisme européen de normalisation
des télécommunications dérange la Commission

 

          L’Institut européen des normes de télécommunications (ETSI) vient d’élire un représentant d’une société américaine à la présidence de son principal organe décisionnel, une décision qui va à l’encontre de la promotion de la « souveraineté numérique », prônée par la Commission européenne.

          Depuis sa création à la fin des années 1980, l’ETSI joue un rôle majeur dans l’élaboration de normes techniques des principales technologies mondiales. Toutefois, l’année dernière, lorsque le commissaire européen au Marché intérieur, Thierry Breton, a présenté une stratégie européenne de standardisation visant à mieux faire entendre la voix européenne au niveau international, l’ETSI avait été pointé du doigt comme source de problèmes.

          Citant l’exemple d’une demande de standardisation pour le système de satellites Galileo que l’ETSI a rejetée, M. Breton a reproché à l’organisme d’être sous « l’influence indue » d’entreprises non européennes et a proposé une réforme de son fonctionnement interne afin de donner plus de poids aux représentants nationaux par rapport aux entreprises. Depuis, la Commission européenne a entrepris d’exclure l’ETSI de la définition des normes, notamment en ce qui concerne les lois sur l’IA et la cyberrésilience, les deux dossiers numériques les plus importants du moment.

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> directive contre les recours abusifs : les institutions de l’UE concluent un accord

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          Le Parlement européen et le Conseil de l’UE sont parvenus à un accord concernant la directive contre les recours abusifs — ou « poursuites-bâillons » — visant à protéger les personnes visées par des poursuites judiciaires infondées concernant des questions d’intérêt public.

          Les poursuites stratégiques altérant le débat public (SLAPP en anglais), aussi appelées « poursuites-bâillons », visent à intimider et épuiser les ressources d’une personne cible, par exemple un journaliste ou un organisme de défense des droits humains. Elles sont de plus en plus nombreuses en Europe, avec plus de 160 actions en justice intentées en 2022.

          Au terme de négociations qui se sont poursuivies jusqu’aux petites heures jeudi matin (30 novembre), le Conseil et le Parlement sont parvenus à un accord politique provisoire sur la nouvelle directive visant à protéger les victimes de recours abusifs au niveau de l’UE. « Malgré de fortes divergences entre les positions du Conseil et du Parlement, nous avons réussi à faire en sorte que cette directive aille plus loin que les simples aspects procéduraux et reflète dûment l’impact plus large et le contexte de ces poursuites », a déclaré le rapporteur du Parlement pour la directive, Tiemo Wölken du groupe des Socialistes et Démocrates européens (S&D), aux journalistes.

          L’accord reprend une grande partie du texte du Parlement, y compris certaines dispositions clés telles qu’une définition large de ce qui constitue une incidence « transfrontière », les procédures de rejet rapide et les remboursements de frais et de dommages. « Je pense qu’il y a encore du travail important à accomplir, mais nous avons franchi une étape très importante hier soir. J’espère donc que la nuit dernière peut être considérée comme une étape positive dans la défense de nos valeurs en tant qu’union », a déclaré M. Wölken.

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> une arnaque, parmi tant d'autres, relative aux voitures électriques...

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extrait de quechoisir.org dont le sujet est : BORNES DE RECHARGE, un déploiement du réseau à accélérer, des dérapages tarifaires à stopper

(...)

          La tarification, l’affichage des prix et le paiement aux bornes sont également à revoir complètement. En effet, les tarifs sont extrêmement variables. Des écarts de prix de plus de 800 % entre deux opérateurs sur un même point de recharge peuvent être constatés. De plus, les formules tarifaires utilisées par les opérateurs sont particulièrement compliquées. Elles peuvent se baser sur une tarification au kWh, une tarification à la minute, des frais fixes ou encore des frais de stationnement, amenant à des aberrations tarifaires. Nous relevons par exemple, dans le cadre d’une tarification à la minute sur une borne de faible puissance, un prix au kilowattheure supérieur à 3 €, soit plus de 13 fois le tarif réglementé de vente de l’électricité.

          Cette situation s’explique par l’opacité du système actuel. D’une part, l’affichage des prix au kWh hors abonnement au niveau des bornes n’est pas obligatoire. D’autre part, le paiement par carte bancaire est indisponible pour la quasi-totalité des bornes. Par conséquent, le paiement grâce à une carte de recharge est quasi-systématiquement obligatoire pour accéder à un point de recharge. Dans ce cadre, la tarification est dépendante des pratiques de l’opérateur de mobilité et des accords conclus par celui-ci avec les opérateurs de bornes de recharge. Elle est dès lors très difficilement accessible pour les consommateurs, incapables d’estimer le prix de leur recharge et victimes récurrentes d’aberrations tarifaires.

(...)

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> lutter contre les algorithmes de contrôle des administrations sociales !

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          Retraité·e, étudiant·e, chômeur·se, parent, agriculteur·ice ou bénéficiaire de l’Assurance maladie : quelle que soit notre situation, nos données les plus intimes viennent nourrir des dizaines d’algorithmes dont la tâche est d’évaluer notre intégrité. Ces algorithmes nous comparent en continu à des listes de « profils-types » de suspect·e·s: chômeur·se dilettante, précaire mal-intentionné·e, mère isolée, retraité·e friand·e de voyage, handicapé·e mensonger·ère, agriculteur·rice paresseux·se ou encore malade malhonnête.

          C’est à l’avènement d’une véritable version « libérale » du système de crédit social que nous assistons. Si elles diffèrent des projets de régimes autoritaires assignant une note unique à chaque citoyen·ne sur laquelle se baserait l’ensemble de nos interactions avec les administrations, les logiques de contrôle à l’œuvre dans les régimes libéraux, faites d’une multitudes de scores gérés par différentes administrations, n’en sont pas moins violentes et génératrices d’exclusions.

         Développés en toute opacité au nom de la « lutte contre la fraude » par les administrations sociales – CAF, Pôle Emploi, Assurance maladie, Assurance vieillesse, Sécurité sociale agricole… -, chacun de ces algorithmes nous alloue une note – ou « score de suspicion » – servant à sélectionner celleux d’entre nous devant faire l’objet d’un contrôle.

          La documentation de ces pratiques est longue et compliquée du fait du refus de communiquer la moindre information par les administrations. Signe d’embarras généralisé, nous combattons cette opacité et publierons ici les informations au fur et à mesure qu’elles nous seront communiquées.

           A la Quadrature du Net, nous refusons que notre système social soit transformé en un gigantesque système de surveillance en temps réel. Nous refusons le détournement à des fins de contrôle social des immenses quantités de données détenues par les administrations sociales et initialement collectées pour assurer leur bon fonctionnement. Nous refusons que l’informatisation du monde soit synonyme de rationalisation déshumanisante à travers la course au « rendement », à la réduction de nos vies à une poignée de chiffres, au tri et à la comparaison permanente entre individus. Nous vous invitons à nous rejoindre pour lutter contre l’extension sans limites des logiques policières au sein de nos administrations sociales. Nous avons besoin d’aide pour cartographier les pratiques de surveillance numérique de nos administrations, de conseils juridiques et de vos retours d’expériences ! - source -

Ben, pas de surprises. Nous sommes sous le joug d'une dictature qui ne dit surtout pas son nom et pour la soutenir et la perfectionner, un crédit ou score social individuel est nécessaire... C'est ce qui est mis en place petit à petit et jour après jour.

Demande ton score
Vous avez récemment fait l’objet d’un contrôle CAF, Pôle Emploi, URSSAF ou de l’Assurance maladie et vous voulez comprendre sur quels critères vous avez été sélectionné·es ? Vous êtes simplement curieux·se de savoir si aux yeux de l’État et ses administrations vous êtes dignes de confiance ? Les administrations sont légalement tenues de vous communiquer les « scores de suspicion » qu’elles vous ont alloués ainsi que des explications concernant leur calcul. Nous mettrons bientôt en ligne des exemples de courriers à envoyer ainsi qu’un petit guide juridique. En attendant, vous pouvez vous contacter à algos@laquadrature.net !