l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

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🎨 Andrei Protsouk, vous connaissez ?

Classé dans : arts

          Né en 1961 dans la ville industrielle de Donetsk, Andrei Protsouk a manifesté dès son plus jeune âge un don exceptionnel pour l'art. Son père étant photographe et sa mère maître brodeuse, il semblait naturel qu'il poursuive lui aussi une carrière artistique. Après avoir quitté l'école, Protsouk a fréquenté la prestigieuse école des beaux-arts de Lugansk, puis a obtenu une maîtrise à l'Institut Ilya Repin de Leningrad, largement considéré comme l'un des meilleurs programmes de formation artistique au monde. Protsouk y a étudié sous la direction d'Evsey Moiseenko, un contemporain mondialement connu de Marc Chagall et de Pablo Picasso. Moiseenko a adopté Protsouk comme protégé, reconnaissant le potentiel de son talent déjà remarquable. Les premières œuvres de Protsouk reflètent la mélancolie des conditions de vie des Soviétiques, en utilisant des textures lourdes et des couleurs sombres.

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🏛️ couteau romain multi-fonctions ( italie, 201 à 300 )

Classé dans : curiosité

          Conçu dans les années 200 à 300 de l’Empire romain, cet outil multi usage peut être aujourd’hui considéré comme l’ancêtre du couteau suisse. Il a beaucoup d’outils escamotables : un couteau, une pointe, une fourche à 3 dents et une cuillère. Contrairement à son équivalent moderne, ce n’est pas un couteau, mais une cuillère qui en est l’objet principal, ce qui rend probable que cet objet de fer et d’argent, trouvé quelque part dans les pays méditerranéens, a été conçu pour le diner. Il fait parti d’une collection se trouvant au musée Fitzwilliam à Cambridge en Angleterre.

 

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> pas de bénévoles pour les JOP 2024 : un tutoriel pour gâcher leur campagne de travail dissimulé

Classé dans : autres

          Le recrutement de 45 000 volontaires pour les JO 2024 est en cours, mais des organisations dénoncent une « présomption de salariat totale » dans cette tribune. « Comment peut-on laisser outrepasser le droit du travail ? »

          Le Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (COJOP) a ouvert, depuis le 22 mars 2023, une « campagne de recrutement » de 45 000 bénévoles pour les JOP de Paris 2024. Les candidatures seront examinées pendant l’été et les réponses données à l’automne prochain. Ces volontaires travailleraient entre huit et dix heures par jour, six jours sur sept, non rémunéré·es, et sans prise en charge de leurs frais de transport ou d’hébergement pour celles et ceux qui viendraient de loin.

          Pour certains « postes », des compétences spécifiques sont même demandées (médecine, langues...). Les bénévoles auraient des fiches de postes, des missions, des supérieurs hiérarchiques et leur présence serait essentielle au bon fonctionnement des Jeux. Les « volontaires » seraient donc à la disposition du COJOP, exécuteraient leur prestation en se conformant à des directives sans pouvoir vaquer librement à des occupations personnelles : la présomption de salariat est totale. Parallèlement, de nombreux volontaires en service civique sont mis à disposition du COJOP pour prôner les valeurs olympiques dans tout le territoire, à travers le programme « Génération 2024 ».

Profits pour les entreprises du BTP, de l’immobilier et des technologies sécuritaires

          Comment un mégaévènement sportif aussi lucratif pour ses organisateurs et ses sponsors peut-il reposer sur tant de bénévoles et de service civiques ? Rémunérer au SMIC horaire toutes ces personnes reviendrait pourtant à moins de 1 % du budget total des JOP (évalué actuellement à 8 milliards d’euros). Que ce soit clair : les missions des bénévoles pendant l’évènement sont du travail. Mais derrière, c’est le Comité international olympique (le CIO, l’organisation qui détient la marque JOP), les sponsors (Airbnb, Carrefour, Coca-Cola...) et les entreprises du BTP, de l’immobilier et des technologies sécuritaires, qui tirent profit de ce mégaévènement.

          Par quelle définition de « l’intérêt général » peut-on laisser cette organisation outrepasser le droit du travail ? Les Jeux olympiques et paralympiques n’ont jamais été profitables financièrement aux villes, aux régions et aux pays qui les accueillent. Même les économistes du sport, souvent pro-JOP, le reconnaissent : il n’y a pas de bénéfice des Jeux pour les comptes publics. C’est même souvent l’inverse, notamment parce que les JOP sont exonérés d’impôts dans le pays d’accueil. Pour défendre cet évènement, il reste aux instances organisatrices des effets « intangibles », comme la fierté nationale ou « l’héritage » pour le territoire.

Effets destructeurs

          Pourtant, les effets des JOP sont bien tangibles et destructeurs. Leurs aménagements commencent déjà à rendre de plus en plus difficiles la vie et le travail dans les quartiers populaires où ils ont lieu : expulsions à Saint-Ouen, augmentation des loyers, pollution doublée dans le quartier Pleyel de Saint-Denis, réductions des places en hôtels sociaux dans tout Paris, conditions de travail dégradées sur les chantiers, etc. Ils bétonnent et privatisent des parcs publics et des jardins ouvriers à Taverny, à La Courneuve, à Aubervilliers et à Tahiti (où se dérouleront les épreuves de surf, ndlr).

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> dur, dur, d'être un bébé...

Classé dans : presse

          Il n'y a pas de quoi rendre jalouses les têtes grises qui croupissent en Ehpad... Les tout-petits souffrent, eux aussi, de mauvais traitements dans les crèches. C’est le constat d’un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) rendu le 11 avril.

          Commandée en juillet après la mort d’une fillette dans une crèche People & Baby, l’enquête a duré quatre mois. Résultat : 2000 situations de maltraitance ont été remontées. Dans ces « usines à bébés », il n’y a pas de petites économies ! Les témoins rapportent des « privations d’eau », un « manque de couches », parfois changées seulement avant l’arrivée des parents, « tant que ça ne déborde pas ».

          Côté cantine, pas de quoi gazouiller ! Sont relatés des « commandes intentionnelles de repas en moins pour faire des économies » et même le fait que « des professionnels (...) mangent les goûters des enfants » ! Quand ils n'oublient pas de « nourrir un bébé une journée entière ».

          Plus dur encore, le document, accablant, évoque des insultes, contentions et oublis : « Un bébé a vomi à force de pleurer parce que personne n’était disponible pour répondre à ses pleurs », « Des bébés de 4 mois qui hurlent de faim, de sommeil et ont besoin d’être rassurés doivent attendre, en silence si possible ».

          En cause ? Des formations et qualifications insuffisantes ainsi qu’une pénurie de personnel dans la petite enfance avec 10 000 postes vacants. Ces « machines à fric » instaurent alors un travail « à la chaîne » : les inspecteurs ont constaté « des moments de change réalisés de façon mécanique, sans parler à l’enfant et parfois sans le regarder ».

          Et les rapporteurs de s’interroger : les deniers publics servent-ils à accueillir les bambins ou à gonfler les marges des gestionnaires ? « Les leçons tirées en 2022 des rapports entre la puissance publique et les gestionnaires privés d’Ehpad peuvent à ce titre être très largement appliquées au secteur des crèches. » Mais moins de 10 % des établissements d’accueil du jeune enfant restent contrôlés chaque année, et uniquement sur les questions d’hygiène et de sécurité, pas sur la qualité de l’accueil.

          Vite, une internationale de la compote ! F. R.-G.

Mais, voyons, c'est une situation tout à fait normale en ces temps de mondialisation insatiable où le moindre centime doit être récupéré pour les actionnaires plus cupides les uns que les autres ! Il faut être totalement inconscient ou taré pour faire des enfants aujourd'hui, futurs esclaves de demain !!!