l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

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> la tarification saisonnière de l'eau potable, nouvelle bataille de l’eau

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" La Garonne est sous perfusion à Toulouse ": la tarification saisonnière, nouvelle bataille de l’eau

          « La Garonne est sous perfusion, pour préserver notre ressource en eau, il faut agir le plus vite possible »… À l’heure de présenter, aujourd’hui, au vote du conseil de la métropole, les nouvelles dispositions sur la gestion de l’eau à Toulouse et notamment la nouvelle tarification saisonnière, qui entrera en vigueur dès l’été prochain, Jean-Luc Moudenc a parlé d’urgence. « Il faut changer le comportement des usagers pour baisser leur consommation et les urbains doivent prendre leur part en montrant l’exemple », souligne le président de la métropole. Pour amorcer ce cercle vertueux, la collectivité a donc décidé de jouer sur les tarifs à partir d’un principe simple.

Plus cher l’été, moins cher l’hiver…

          Faire payer l’eau plus cher l’été, quand elle est plus rare et que la Garonne est à sec et baisser son prix en période hivernale, quand son débit a regonflé. Concrètement, à partir du 1er juin prochain et jusqu’à fin octobre, pendant 5 mois, le tarif de l’eau augmentera de 42 % par rapport au prix actuel pour baisser ensuite de 30 % entre le 1er novembre et le 31 mai. Pour une facture annuelle qui n’augmenterait qu’à la marge à consommation constante pour la plupart des foyers. Selon les calculs des services d’Eau Toulouse Métropole pour une famille de trois personnes, qui dépense 120 m3 par an, la facture actuelle est de 400,50 euros avec la tarification saisonnière, ce sera 401,50 euros, soit 60 centimes d’euros de différence. Une paille. Et cela, si aucun effort de sobriété n’est fait. Pour un foyer avec jardin et piscine, qui consomme 100 m3 l’hiver et 150 m3 l’été, l’addition passera en revanche de 820,90 euros à 904,30 euros. Ainsi, seuls les usagers qui consomment le plus d’eau l’été pour arroser leur jardin, remplir leur piscine ou laver leur voiture payeront leur surconsommation au tarif le plus haut. Ceux qui ont les moyens. « Le but n’est pas d’encaisser plus d’argent, mais de faire prendre conscience aux gens qu’il y a un effort à faire pour économiser la ressource », ne se lasse pas de répéter Robert Médina le président d’Eau Toulouse Métropole.

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> les produits de première nécessité toujours plus chers

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             Et destruction des droits sociaux, non augmentation des salaires, chasse aux pauvres, expulsions locatives... De surcroît, avec la précarité accrue et les lois répressives de merde imposées par le régime macroniste, les expulsions de logements sont en hausse.

          Le chacun pour soi, le profil bas, la retenue et la passivité ne mènent à rien, si ce n’est dérouler le tapis rouge aux pires oppresseurs, tyrans et exploiteurs, qui ne se gênent pas pour aggraver l’essorage des peuples au profit des possédants. Il est grand temps de les faire tomber en tirant le tapis, par la lutte et la solidarité. C’est la révolte généralisée qui est de première nécessité.

          150,58 €. C’est le prix record d’un chariot de course de produits de base, selon La Voix du Nord. Depuis 2008, le journal achète les mêmes produits dans les mêmes enseignes afin de suivre l’évolution des prix. En mars 2024, le chariot test de 45 produits n’a jamais été aussi cher. En 2022 déjà, La Voix du Nord s’alarmait d’un « nouveau record » pour son chariot-test et titrait : « le seuil des 120€ franchi ». Il a quasiment pris 20% d’augmentation depuis.

          Comme sur tous les sujets, le gouvernement ment éhontément. Bruno Le Maire a annoncé au moins quinze fois que « le pic de l’inflation est derrière nous », et que la crise est terminée. Il osait même récemment à l’antenne de BFM : « aucun pays en Europe n’a plus protégé ses concitoyens que la France ». En septembre dernier, le même Bruno Le Maire affirmait tranquillement que « les prix ont moins augmenté en France que chez tous nos grands voisins européens. Les décisions prises avec Emmanuel Macron pour protéger les Français ont été efficaces ». La preuve : même le prix de l’électricité fixé par l’État a augmenté de 44% en deux ans ! Alors même que l’électricité ne coûte pas plus cher à produire.

          Non seulement les macronistes mentent, mais dans les pays voisins les gouvernements ont justement massivement augmenté les salaires pour faire face à l’inflation. C’est le cas en Allemagne, en Espagne, en Angleterre… Mais pas en France. À tel point que le salaire minimum chez nous est désormais plus bas que chez nos voisins, pourtant réputés « libéraux », comme l’Angleterre ou l’Allemagne. Mais ce n’est pas tout, en pleine explosion des prix, le gouvernement est en train de massacrer les droits au chômage et les protections sur le logement. Il envisage même de s’attaquer aux APL. Et un plan massif « d’économies » sur les services publics est programmé. Macron et son clan sont en guerre totale contre tout ce qui permet à des millions de personnes de survivre.

          En parallèle, les spéculateurs se portent bien. 49,6 milliards d’euros ont été versés en dividendes, en France, l’automne dernier, en trois mois seulement. Un record également. Et la grande distribution fait des marges de plus en plus énormes en escroquant les consommateurs et en exploitant les agriculteurs. Pour parler vulgairement, on se fait entuber sur absolument tous les plans.

          La faim justifie les moyens : un jour il ne restera plus que les riches à manger. En attendant, il y a bien plus de raisons de se révolter qu’à l’automne 2018, à la veille du surgissement des Gilets jaunes. - source -

Dans le monde ultra-libéral et capitaliste de cette union européenne de merde, pour que les entreprises soient compétitives, une inflation délibérée entraine une baisse généralisée des salaires, solution où l'état fait semblant évidemment de ne pas être mis en cause. La stagnation des salaires en France, au contraire, montre qu'il participe pleinement à cette manip., et entraîne une perte financière certaine des économies que peuvent encore avoir quelques gueux encore plus précarisés !

 

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🤿 trois générateurs d'image IA sans login ou inscription

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Des générateurs d'image à base d'IA mais sans inscription...

> https://perchance.org/ai-text-to-image-generator : très complet avec des dizaines de type de rendus. Rapide.

> https://www.artbreeder.com permet de mélanger des images, des prompts etc et d'appliquer des modifs en manipulant des curseurs...

> https://deepai.org/machine-learning-model/text2img permet de générer à partir de prompt mais aussi en choisissant le sujet attendu (par exemple: a cute animal)

source et source

 

à essayer...

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> prévention de la corruption en France : quels progrès concernant l’exécutif et les services répressifs ?

Classé dans : europe de merde, presse

          L’organe anti-corruption du Conseil de l’Europe (GRECO) vient de publier un rapport qui évalue les mesures prises par les autorités françaises pour mettre en œuvre les recommandations de 2019 concernant la prévention de la corruption et la promotion de l’intégrité au sein des gouvernements centraux (hautes fonctions de l’exécutif) et des services répressifs. Le GRECO conclut que la France ne se conforme pas suffisamment à ces recommandations.

           S’agissant des hautes fonctions de l’exécutif, plus de la moitié des recommandations ont été partiellement mises en œuvre et certains développements positifs ont eu lieu.

            L’Agence française anti-corruption (AFA) et la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) ont renforcé leur coopération sur le thème des personnes exerçant de hautes fonctions de l’exécutif (PHFE).

            Un questionnaire d’autodiagnostic des risques de conflits d’intérêts a été remis aux membres du Gouvernement lors de leur prise de fonction pour la première fois au mois de juillet 2023. Le contrôle préalable effectué par la HATVP sur les projets de nomination des membres des cabinets ministériels et collaborateurs du Président de la République issus du secteur privé a prouvé son efficacité, mais devrait être étendu à l’ensemble des conseillers. Des registres de déports existent pour les membres des cabinets et les services de la présidence, mais n’ont pas été rendus publics.

          Le GRECO conclut que la France a mis en œuvre ou traité de façon satisfaisante 2 des 18 recommandations contenues dans le Rapport d’Évaluation de 2019. Sur les 16 recommandations restantes, 10 recommandations ont été partiellement mises en œuvre et 6 n’ont pas été mises en œuvre. Par conséquent, la France est invitée à fournir un rapport sur l’avancement de la mise en œuvre des recommandations avant le 31 mars 2025. - source -

A quoi sert cet organe anti-corruption du Conseil de l’Europe (GRECO) ? Établir des rapports sans aucun pouvoir ; bref, un ectoplasme européen. C'est beau l'union européenne de merde. Et pendant ce temps-là Macron et ses sbires, comme toute dictature, pondent des lois liberticides à tour de bras et font la chasse aux associations comme Anticor et aux journalistes qui déplaisent...

ET, s'il le fallait encore, cet article du Canard enchaîné n° 5396 d'hier :

Une patate chaude à Matignon

          A l'image de Macron et de Sarkozy, deux de ses modèles, Gabriel Attal saute sur tout ce qui bouge... sauf lorsque cela ne l’arrange pas ! Au risque de mettre le gouvernement dans l’illégalité. Le Premier ministre avait jusqu’au 2 mars pour justifier le « rejet implicite » par le gouvernement de l’agrément d’Anticor. Plus d’un mois plus tard, Matignon demeure étrangement silencieux.

          Renouvelé tous les trois ans, cet agrément permet à l’association, comme à d’autres, de se porter partie civile dans des affaires de corruption. Anticor a ainsi déclenché ou relancé des enquêtes contre l’ancien président de l’Assemblée nationale Richard Ferrand, l’actuel ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti, ou encore le secrétaire général de l’Elysée, Alexis Kohler.

          Le 23 juin dernier, l’association dépose sa demande auprès d’Elisabeth Borne, alors en poste à Matignon. Normalement, c’est au garde des Sceaux d’y répondre. Mais, comme Dupond-Moretti s’est vu traduire devant la Cour de justice de la République par Anticor, il s’est « déporté » vers la cheffe de gouvernement, qui dispose de quatre mois pour faire part de sa décision.

Déports de l’angoisse

          Première surprise, Elisabeth Borne réclame, et obtient, deux mois d’instruction supplémentaires. Seconde surprise, soixante-douze heures avant de livrer son verdict, elle se déporte à son tour ! Potentiellement impliquée dans l’affaire dite « de la tour Triangle » et dans celui des autoroutes, Borne refile le bébé à... Catherine Colonna. Pourquoi la ministre des Affaires étrangères ? Personne n’en sait rien...

          Toujours est-il qu’à la date fatidique, le 23 décembre, après six mois d’instruction, donc, Colonna ne dit rien. C’est ce qui s’appelle un « rejet implicite ». Depuis, les responsables d’Anticor cherchent à savoir ce qui leur a fait défaut. Un nombre d’adhérents insuffisant ? La présence dans leurs rangs de magistrats trop méchants avec Macron et ses amis ?

          Le 2 janvier 2024, l’association demande au ministère des Affaires étrangères de bien vouloir lui communiquer les motifs de sa décision. Mais ni Colonna ni son successeur, Stéphane Séjourné, n’ont pris la peine de répondre avant le 3 février, comme la loi les y obligeait. A défaut d’obtenir des explications, Anticor a déposé une nouvelle demande d’agrément le 19 mars.

          Et, cette fois, c’est Attal qui devra vraiment s’y coller...

 

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> l’outrage en ligne – une nouvelle connerie qui menace notre liberté d’expression

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" Tremblez, chers lecteurs, Big Brother arrive et il n’a pas le sens de l’humour !

          Figurez-vous que nos honorables députés s’apprêtent, le 10 avril prochain, à adopter définitivement une loi qui risque de transformer le web français en cimetière de la liberté d’expression. Le projet de loi « visant à sécuriser et réguler l’espace numérique », aussi rassurant que le sourire d’un crocodile, nous promet en effet une toute nouvelle terreur juridique : le délit de, je cite, « outrage en ligne » .

           Ainsi, si jamais vous osez publier un contenu créant une « situation intimidante, hostile ou offensante » envers un quidam (mais surtout envers une personne de pouvoir, j’imagine), vous voilà bon pour un an de vacances à l’ombre et 3750 euros d’amende ! Et quand on vous dit « en ligne » , c’est large : réseaux sociaux, forums, et même les groupes WhatsApp privés, tout y passe ! À ce tarif, autant fermer Twitter.

          Par contre, pas de panique si vos propos relèvent déjà d’infractions comme le harcèlement, les menaces ou les injures raciales. Ce nouveau délit exclut bizarrement ces cas-là… Cherchez l’erreur.

           À l’origine de ce chef-d’œuvre, on retrouve donc notre champion Loïc Hervé, sénateur centriste autoproclamé grand pourfendeur du cyberharcèlement. mdrrrrr…. il a l’air de kiffer Wikipédia en tout cas.

           Et son idée géniale c’est de s’inspirer de l’outrage sexiste, déjà en vigueur, mais en retirant allègrement le côté sexuel. Résultat, un propos isolé un peu taquin ou un trait d’humour acide pourra vous valoir de goûter au régime des prisons françaises. Vive la proportionnalité et la bouffe de merde !

           Mais le pire, c’est que la notion d’outrage en ligne est tellement vague et subjective qu’elle pourrait s’appliquer à peu près à tout et n’importe quoi. Et « Situation intimidante, hostile ou offensante », ça vous parle ? Non ?

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