l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

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> déchets toxiques : enfouir quoi qu’il en coûte

Classé dans : presse, santé

          En Alsace, l’affaire StocaMine dure depuis plus de vingt ans et empoisonne la vie des habitants de Wittelsheim (Haut-Rhin). Mais, grâce à Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique, tout s’accélère. Fini l’enfouissement temporaire de 42000 tonnes de déchets hautement toxiques, place à l’enterrement définitif de la question, selon une vision toute administrative du problème. La petite histoire retiendra peut-être que, le 19 septembre 2023, M. Béchu, grand apôtre du bien commun, a décidé, contre l’avis de 98 % des habitants du territoire, qu’il était urgent d’acter à jamais l’enfouissement de dizaines de milliers de tonnes d’arsenic, d’amiante, de cyanure, de plomb dans les entrailles de la terre, et de commencer « immédiatement » les travaux de confinement des déchets toxiques sous le béton, afin qu’ils soient « impérativement terminés en 2027».

          Le ministre, fan des adverbes définitifs, considère qu’il s’agit de la « seule solution » permettant de s’assurer que des déchets ne pourront pas contaminer la nappe phréatique rhénane. Quand les associations estiment au contraire que les poisons, stockés dans les galeries des mines situées pile poil à la verticale de la nappe, sont une menace directe sur l’approvisionnement en eau potable de quelque 8 millions d’habitants. L’opposition citoyenne locale, rassemblée au sein du collectif Destocamine, a dénoncé « une provocation » du ministre et annoncé dans la foulée l’organisation d’une manifestation, samedi 23 septembre, rameutant, au-delà des associations locales, des collectifs comme Les Soulèvements de la Terre ou encore Extinction Rébellion. La précipitation ministérielle vient aussi heurter l’actualité judiciaire puisque le parquet de Strasbourg enquête actuellement sur la nature des déchets toxiques qui, prétendument non inflammables, sont pourtant à l’origine de l’incendie dramatique de 2002 sur le site de StocaMine. Preuve qu’en matière de déchets toxiques la décision politique devrait au moins laisser place au doute, et reconnaître que, s’il n’y a aucune bonne solution, celle d’enterrer le problème en pensant que ce qu’on ne voit plus n’existe pas est la pire de toutes. Et StocaMine n’est qu’un exemple parmi d’autres...

          À Bure, dans la Meuse, c’est le projet d’enfouissement de déchets radioactifs qui pourrit la vie des habitants depuis des années. Là encore, en 2023, les choses se précipitent. Début janvier, l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) a déposé auprès du gouvernement sa demande d’autorisation de création du centre Cigéo. Les étapes administratives passées, Cigéo - « projet grandiose », selon les conclusions de l’enquête publique - devrait devenir la nouvelle poubelle nucléaire française, capable de contenir quelque 83000 m3 de poisons radioactifs. Ouverture prévue du mégacentre de stockage : année 2030, et ce malgré les incertitudes sur l’évolution des roches argileuses en sous-sol. « Il fut un temps où, pour cacher ces vilains déchets radioactifs, l'industrie nucléaire se contentait de les jeter à la mer », note Greenpeace. Aujourd’hui, elle les enterre, mais serine toujours l’air entêtant du « tout est sous contrôle »... Et prêt pour un requiem en sous-sol. ( Natacha Devanda )

sans oublier les milliers d'autres endroits où sont entreposés ( cachés ou pas ) des dizaines de milliers de tonnes de déchets industriels toxiques ! Après on s'étonnera du nombre exorbitant de cancers et autres maladies endémiques en France !

 

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> 238 nouvelles brigades de militaires chargés d'une mission de police à travers le territoire

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          Comment Emmanuel Macron, avec ses brigades de gendarmerie, tente d’incarner le combat contre l’insécurité. Avec sa virée dans le Lot-et-Garonne et son passage dans le « 19/20 » de France 3, le président de la République tente d’incarner un combat prioritaire pour les Français.

          Changement de casquette. Une semaine après la présentation de sa fameuse planification écologique, depuis l’Élysée, Emmanuel Macron a mis l’accent ce lundi 2 octobre sur les enjeux liés à la sécurité avec un déplacement dans le Lot-et-Garonne. Une des priorités des Français.

          Avant de dévoiler la carte des 238 nouvelles brigades de gendarmerie à travers le territoire (38 de plus que prévu), le président de la République a donné de sa personne, en effectuant une patrouille avec des membres de force de l’ordre ou en flashant un véhicule qui circulait en excès de vitesse avec un radar portatif. Une journée consacrée à la « ruralité » et à la « sécurité » conclue sur France 3, la « chaîne des territoires », selon l’expression d’Élysée.

          « Le besoin de sécurité et d’ordre est un besoin du pays tout entier », a insisté Emmanuel Macron dans un entretien diffusé dans le « 19/20 ». La dernière étape d’une virée qui lui aura permis de valider sa promesse de campagne sur les 200 brigades. Mais également d’incarner en personne ce combat contre l’insécurité, un thème considéré comme l’un de ses points faibles dans l’opinion.

Incarner un « réinvestissement historique »

          En dévoilant la carte de ces nouvelles brigades, Emmanuel Macron a mis l’accent sur le « réinvestissement historique » qu’elles représentent, après la suppression notamment de 500 unités entre 2007 et 2016. « Les gens ont besoin de votre présence parce qu’elle rassure, parce qu’elle dissuade, parce qu’elle accompagne », a lancé le président de la République aux forces de l’ordre dans l’assistance. « Il y a de l’insécurité car il n’y a pas assez de présence », a-t-il ajouté quelques heures plus tard sur France 3, en insistant sur la dimension de « proximité. »

          Parmi ces nouvelles unités qui verront le jour entre novembre de cette année et 2027, 93 seront fixes tandis que 145 seront mobiles. En dehors de Paris, tous les départements accueilleront entre une et quatre brigades nouvelles. De quoi répondre aux craintes des Français « qui veulent vivre tranquille », selon les mots du président de la République ? Et aux critiques de l’opposition de droite, toujours promptes à fustiger le bilan de l’exécutif en la matière ?

          Sur la forme, la prise de parole du chef de l’État, lundi dans l’après-midi, pouvait apparaître en léger décalage avec la portée souhaitée pour ce sujet. Emmanuel Macron a prononcé un discours bref pour justifier ces renforts, avant de remercier son ministre de l’Intérieur et de lui passer la parole pour plus de détails.

          C’est donc Gérald Darmanin qui est revenu sur l’implantation de ces brigades en prenant une poignée de départements comme exemple. Mais sa présentation a été perturbée par des soucis techniques, et un écran qui n’affichait pas les informations souhaitées. Une mise en scène quelque peu laborieuse, avec pour décor le site − austère − d’une caserne de gendarmerie à Tonneins.

Répondre aux extrêmes ?

          Sur le fond, en revanche, l’entreprise du locataire de l’Élysée, mise en avant à travers ce déplacement, est saluée par de nombreux responsables politiques. Y compris au sein de l’opposition, dont certains députés sont ravis de pouvoir compter sur de nouveaux effectifs de forces de l’ordre dans leurs circonscriptions.

          « Le président de la République vient d’annoncer la création d’une nouvelle brigade de gendarmerie à Tourrette-Levens, à quelques kilomètres de Nice », a ainsi écrit Éric Ciotti sur les réseaux sociaux, en remerciant avant tout le ministre de l’Intérieur. À gauche, le député communiste André Chassaigne « se félicite » pour sa part de la création d’une brigade mobile basée à Thiers, dans le Puy-de-Dôme.

          Autant de réactions qui témoignent de la demande de « bleu » sur le territoire. Pour Emmanuel Macron et le camp présidentiel, l’enjeu de la sécurité est crucial, tant il est prioritaire pour les Français, et investi par le Rassemblement national depuis des années. Pour faire ses annonces, Emmanuel Macron a d’ailleurs choisi un département plutôt favorable au parti d’extrême droite, fort de 2 députés sur 3 dans le Lot-et-Garonne. À Clairac, là où il a enregistré son entretien avec France 3 et là où une brigade mobile verra le jour, Marine Le Pen est arrivée en tête du second tour de la dernière présidentielle avec 53 % des voix.

          De là à voir ce déplacement comme une réponse ? « À chaque fois que nos compatriotes ont le sentiment que l’efficacité n’est pas au rendez-vous, que la République n’est pas assez présente, ils peuvent se tourner vers les extrêmes », a plaidé Emmanuel Macron ce lundi auprès des caméras, tout en assurant qu’il s’agissait avant tout d’une « réponse à l’insécurité ». Comme la première étape de « l’ordre, l’ordre, l’ordre » qu’il a promis cet été. - source -

  Très mauvaise nouvelle ! Déploiement de milliers de militaires dans les campagnes françaises dans un enfumage macroniste de sécurité soi-disant au service du citoyen des campagnes, tu parles ! Mais tout à fait normal en dictature soutenue par un ordre militaire qui n'hésitera pas, comme l'histoire l'a montré maintes fois, à tirer à balles réelles sur des manifestants affamés... 60% de ces nouvelles créations qui concernent 145 brigades mobiles soit environ 2500 militaires ! Brigades mobiles spécialisées, "dans le maintien ou le rétablissement de l'ordre". Cela montre aussi que la grande bourgeoisie financière et industrielle a peur d'une rébellion sanglante de sa population qu'elle dépouille tous les jours un peu plus...

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> médailles vinicoles et foire au vin des hypermarchés

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Foire aux vins : pourquoi les médailles qui couvrent les bouteilles des supermarchés sont un business juteux, mais pas un gage de qualité

 

          Les concours vinicoles français ont attribué plus de 24 000 médailles en 2022, selon les calculs de franceinfo. Mais les règles qui encadrent cette pluie de distinctions sont bien souvent méconnues des consommateurs.

          La France croule sous les médailles. Non, pas encore aux JO de Paris, mais dans les supermarchés. Et, plus précisément, au rayon vin. Comme dans ce magasin d'Ile-de-France où 136 cuvées de rouge sont alignées dans les étals pour la foire aux vins 2023, fin septembre. Parmi elles, 36 arborent un macaron brillant, collé sur la bouteille. Concours général agricole, concours international de Lyon, concours des grands vins de France à Mâcon... La liste des compétitions et des breloques donne le tournis.

         Pourtant, dans les allées sans charme des hypermarchés, les clients sont nombreux à être attirés par ces autocollants dorés. "Pour les vignerons, ils permettent de se différencier et de rassurer le consommateur. En grande surface, il faut une vraie stratégie marketing pour vendre, surtout avec la baisse de la consommation que l'on observe en ce moment", explique Emmanuelle Rouzet, consultante spécialisée en marketing du vin. Pour 85% des acheteurs, ces distinctions sont un gage de qualité, observait un sondage Viavoice commandé par l'Association des grands concours vinicoles français en 2022. "Un vin médaillé ne peut pas décevoir !" , affirme son président, Michel Bernard. Un avis loin d'être partagé par tous. "Ce sont des attrape-nigaud, plutôt signes de médiocrité", assure de son côté Antonin Iommi-Amunategui, auteur et éditeur spécialisé dans le vin. Alors, que se cache-t-il vraiment derrière ces médailles de la discorde ?

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> la grande gabegie de l'été 2024 : les conditions de travail et d'emploi

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          En 2023, un reportage de France 24 révèle que certains sous-traitants de Solideo emploient des travailleurs sans-papiers. Selon un syndicaliste, plusieurs sous-traitants seraient des sociétés turques qui se placeraient en liquidation en cas de problème. L'inspection du travail a créé une unité spécialisée qui a contrôlé près d'un site par jour depuis deux ans sans pouvoir mettre fin au phénomène. L'unité ne comprend que sept inspecteurs du travail pour plusieurs dizaines de sites et des milliers d’ouvriers, ce qui rend difficile son travail.

          En juin 2023, c'est Franceinfo qui rend public le procès aux prud'hommes que font plusieurs travailleurs contre une dizaine d'entreprises du BTP. Ces personnes expliquent avoir travaillé « sans contrat de travail, sans fiche de paie, sans congés payés ni heures supplémentaires », et avoir subi du chantage lié à leur condition de sans-papiers. Les entreprises concernées sont Eiffage, GCC, Spie Batignolles et Vinci, les principaux maitres d'ouvrage des chantiers des Jeux olympiques, ainsi que huit sous-traitants.

> toutes les autres infos sur ces jeux > wikipedia

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> nos ancêtres...

Classé dans : humour ?

          Il y a quelques années, les Russes ont découvert des fils de cuivre à 1000 mètres sous terre, les analysèrent, les datèrent de plus de 3000 ans avant JC, et en déduisirent que leurs ancêtres disposaient déjà du téléphone.

          Les Américains, un peu vexés, creusèrent eux aussi et découvrirent à 1000 m des fragments de ce qui ressemblait à de la fibre optique datant de plus de 5000 ans avant JC : conclusion, leurs ancêtres maîtrisaient déjà internet.

          Les Français, pour ne pas être en reste, creusèrent à 500 mètres, puis 1000, puis 2000, mais ne trouvèrent rien. Ils en conclurent que nos ancêtres utilisaient déjà, il y a 10 000 ans, le téléphone portable.