l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


Le moyen le plus efficace de rendre les pauvres inoffensifs est de leur apprendre à vouloir imiter les riches - Carlos Ruiz Zafon

> que Dieu nous préserve de nos amis (Sam, l’Oncle qui nous veut du bien)

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L’Oncle Sam, allié et ami ? Vraiment ?

          Et si l’Oncle n’était qu’une puissance étrangère agissant (parfois maladroitement, souvent brutalement) pour ses propres intérêts qui ne coïncident avec les nôtres que par…coïncidence ?

          Et si son intérêt en Ukraine était diamétralement opposé au nôtre ? Si il consistait à « diviser pour régner », en l’occurrence à nous opposer à la Russie, vu que l’ensemble UE+Russie (quelle que soit le format de cet « ensemble ») serait une puissance incontournable de nature à détrôner l’Empire US et le roi dollar ?

          Et si le conflit ukrainien n’était qu’un moyen pour nous aliéner la Russie ? L’aliénation étant manifestement réussie, à qui profite le crime ? Qui pousse la Russie dans les bras de la Chine, de l’Iran, de la Corée du Nord et d’autres infréquentables ? Qui nous aliène aussi, au passage, le « sud global » ? Sachant que cela nous coûte déjà cher et pourrait in fine nous coûter la guerre, la vraie.

          Or, l’Oncle est coutumier du fait ; comme atteste la liste suivante (non exhaustive) de ses exploits passés.

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> L’union européenne paie la machine de guerre yankee

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          Jens Stoftenberg a mangé le morceau. À l’occasion d’un voyage effectué aux États-Unis afin d’obtenir une nouvelle enveloppe budgétaire au profit de l’Ukraine, le secrétaire général de l’Otan a confirmé que les Américains étaient les premiers bénéficiaires de la relance de la course aux armements.

          Les membres du bras armé de l’Alliance atlantique ont en effet décidé d’acheter pour 120 milliards de dollars aux entreprises de défense américaines. Conclusion de Jens Stoltenberg, dont on oublie parfois qu’il a fait ses premiers pas politiques au sein du Parti travailliste de Norvège : « Grâce à ces acquisitions, les alliés contribuent à l’essor des entreprises américaines. L’Otan est donc une bonne affaire pour les États-Unis. »

          Merci de confirmer que cette structure militaire héritée de la guerre froide et remise en selle par l’agression russe en Ukraine roule d’abord pour les marchands de canons d’outre-Atlantique.

          Pendant qu’on nous abreuve de propos rassurants sur une « Europe de la défense » qui n’existe pas, ou sur la nécessité d’une fumeuse « souveraineté européenne », Jens Stoltenberg confirme que l’Otan est une assurance tous risques pour les tenants d’une souveraineté atlantiste sous direction américaine, payée en grande partie par les Européens. Cela s’appelle un retour sur terre. ( jack dion )

De Gaulle l'avait bien compris depuis longtemps, mais Sarkozy, outre le fait d'avoir pas respecté le choix négatif du référendum concernant l'union européenne de merde, nous a aussi revendu aux américains...

 

> les USA sont de gentils amis ?

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          « les États-Unis représentent la moitié des 92 cas d'ingérence dans des entreprises françaises par extraterritorialité du droit (lawfare) relevés par la DGSI depuis 2020 jusqu'à fin 2022 »

On peut arrêter de croire que les USA sont de gentils amis ? Ce sont des concurrents.

          Corollaire: N'utilisez aucun logiciel ou service appartenant à une entreprise de droit américain. La loi FISA (section 702) permet au gouvernement américain de mettre son nez dans les données des clients de ces entreprises, quelle que soit la localisation du serveur. ( source )

sans oublier l'extraterritorialité du droit américain qui est le nom donné à l'ensemble des dispositions du droit américain qui peut être appliqué en-dehors des frontières des États-Unis à des personnes physiques ou à des personnes morales de pays tiers.> iCi : les américains sont nos pires meilleurs ennemis...

 

💩 le cadre de transfert de données entre l’UE et les États-Unis

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Les eurodéputés demandent une renégociation
du cadre de transfert de données entre l’UE et les États-Unis

          Les eurodéputés devraient adopter une résolution non contraignante exhortant la Commission européenne à ne pas approuver le cadre transatlantique de protection des données personnelles tant que les préoccupations en matière de droits fondamentaux ne sont pleinement prises en compte.

          Le projet de motion devrait recevoir un large soutien au sein de la commission des Libertés civiles (LIBE) du Parlement européen ce jeudi (13 avril).

          Bien que la commission soit généralement plus progressiste que le reste de l’assemblée, la résolution devrait être confirmée lors du vote de l’ensemble du Parlement en plénière, et certains amendements de dernière minute de la part de législateurs plus conservateurs ou libéraux ne sont pas exclus.

          Le vote en plénière est prévu pour la semaine du 8 mai. La semaine suivante, une délégation de députés européens de la même commission devrait se rendre aux États-Unis pour rencontrer des membres de l’administration fédérale, des agences gouvernementales et des organismes chargés de faire appliquer le nouveau cadre de protection de la vie privée.

          La Commission européenne travaille actuellement à l’adoption d’une décision d’adéquation des données afin de fournir une base juridique pour le transfert des données des résidents de l’UE vers les États-Unis. Un nouveau cadre juridique était nécessaire, les précédents ayant été jugés illégaux par la Cour de justice de l’UE (CJUE) dans les affaires Schrems.

          Après des mois de négociations, la Commission et l’administration américaine ont trouvé un nouvel arrangement limitant l’accès des agences de renseignement américaines aux données et mettant en place un mécanisme de recours par le biais d’un décret.

         Le Comité européen de protection des données (CEPD), qui regroupe toutes les autorités de protection des données de l’UE, a déjà examiné le cadre de protection des données UE-États-Unis et a émis un avis non contraignant. Tout en saluant les progrès réalisés par les États-Unis, le Comité a émis d’importantes réserves.

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> le puritanisme américain : Etats-Unis, ce pays qui marie ses enfants

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          Aux États-Unis, en moins de 20 ans, 300.000 enfants ont été mariés, essentiellement des jeunes filles de parfois dix ans à peine. Bien que peu connues des Américains, ces unions sont tout à fait légales dans 43 des 50 états du pays. Et dans neuf d’entre eux, elles se font sans aucune limite d’âge.

          Dans 90% des cas, ce sont des jeunes filles. Elles ont 16 ans, 15 ans, parfois tout juste 10 ans. Souvent victimes d’abus sexuels, elles sont poussées par leurs parents, leur communauté religieuse ou leur milieu social à une union qu’elles ne désirent pas. Entre 2000 et 2018, 300.000 mariages d'enfants ont ainsi été recensés. “A 13 ans, on m’a obligé à épouser l'homme qui me violait. Ça faisait deux ans qu'il m'agressait sexuellement. Le mariage a eu lieu pour lui éviter d’être poursuivi en justice. Et je me rappelle avoir eu l'impression d'être en train de mourir. C'était comme une mort lente”, témoigne Dawn, mariée de force en 1986 à un homme de 20 ans son aîné.

          Selon les Nations unies, ces mariages précoces " privent les filles de leur enfance et constituent une menace pour leur vie et leur santé ". Elles sont " plus exposées à la violence domestique et moins susceptibles de poursuivre leur scolarité ". Conscients de ces faits, aux États-Unis, des associations et des élus se battent pour changer la loi et interdire, sans aucune exception, le mariage au moins de 18 ans.

De puissants lobbies

          C'est le cas de Jerry Hill, ancien sénateur de Californie, qui a découvert que ces mariages étaient autorisés et légaux dans son état. “ Un jour, une jeune fille de 16 ans m'a appelé. Elle m’a raconté qu'une élève de son collège, âgée de 13 ans, était fiancée à un homme de 28 ans. Elle m’a expliqué qu’ils prévoyaient de se marier et que l'école était au courant. Quand j'ai entendu ça, les bras m'en sont tombés ! “, raconte l'ancien élu démocrate.

          Il a tenté de changer la loi, mais comme beaucoup d'autres avant lui, il s'est heurté à de puissant lobbies américains refusant la moindre concession au nom " des libertés individuelles ". Ce qui fait enrager de nombreuses anciennes victimes, comme Sara, mariée de force à 15 ans et mère de deux enfants. Aujourd'hui âgée de 42 ans, elle vit à l'est de San Francisco et milite sans relâche pour qu'un âge minimum soit fixé dans tous les états américains.

          " En dessous de 18 ans, vous n’avez pas les mêmes droits qu’un adulte. En fait, c’est comme si on demandait à un mineur de prendre une décision qu’il n’est pas en âge de prendre. Quand la loi interdira aux adultes de se marier avec un enfant, là les enfants seront protégés, point final “, explique-t-elle. - source -

Étonnant quand on constate la vocation mondiale d'un puritanisme forcené prôné, entres autres, par les évangélistes et une grande partie nos amis américains, non ? Sans oublier que des pays comme l'Iran - et d'autres arriérés - font de même : vous voulez vous marier, facile, violez une mineure...