l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> L’union européenne paie la machine de guerre yankee

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          Jens Stoftenberg a mangé le morceau. À l’occasion d’un voyage effectué aux États-Unis afin d’obtenir une nouvelle enveloppe budgétaire au profit de l’Ukraine, le secrétaire général de l’Otan a confirmé que les Américains étaient les premiers bénéficiaires de la relance de la course aux armements.

          Les membres du bras armé de l’Alliance atlantique ont en effet décidé d’acheter pour 120 milliards de dollars aux entreprises de défense américaines. Conclusion de Jens Stoltenberg, dont on oublie parfois qu’il a fait ses premiers pas politiques au sein du Parti travailliste de Norvège : « Grâce à ces acquisitions, les alliés contribuent à l’essor des entreprises américaines. L’Otan est donc une bonne affaire pour les États-Unis. »

          Merci de confirmer que cette structure militaire héritée de la guerre froide et remise en selle par l’agression russe en Ukraine roule d’abord pour les marchands de canons d’outre-Atlantique.

          Pendant qu’on nous abreuve de propos rassurants sur une « Europe de la défense » qui n’existe pas, ou sur la nécessité d’une fumeuse « souveraineté européenne », Jens Stoltenberg confirme que l’Otan est une assurance tous risques pour les tenants d’une souveraineté atlantiste sous direction américaine, payée en grande partie par les Européens. Cela s’appelle un retour sur terre. ( jack dion )

De Gaulle l'avait bien compris depuis longtemps, mais Sarkozy, outre le fait d'avoir pas respecté le choix négatif du référendum concernant l'union européenne de merde, nous a aussi revendu aux américains...

 

> les USA sont de gentils amis ?

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          « les États-Unis représentent la moitié des 92 cas d'ingérence dans des entreprises françaises par extraterritorialité du droit (lawfare) relevés par la DGSI depuis 2020 jusqu'à fin 2022 »

On peut arrêter de croire que les USA sont de gentils amis ? Ce sont des concurrents.

          Corollaire: N'utilisez aucun logiciel ou service appartenant à une entreprise de droit américain. La loi FISA (section 702) permet au gouvernement américain de mettre son nez dans les données des clients de ces entreprises, quelle que soit la localisation du serveur. ( source )

sans oublier l'extraterritorialité du droit américain qui est le nom donné à l'ensemble des dispositions du droit américain qui peut être appliqué en-dehors des frontières des États-Unis à des personnes physiques ou à des personnes morales de pays tiers.> iCi : les américains sont nos pires meilleurs ennemis...

 

💩 le cadre de transfert de données entre l’UE et les États-Unis

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Les eurodéputés demandent une renégociation
du cadre de transfert de données entre l’UE et les États-Unis

          Les eurodéputés devraient adopter une résolution non contraignante exhortant la Commission européenne à ne pas approuver le cadre transatlantique de protection des données personnelles tant que les préoccupations en matière de droits fondamentaux ne sont pleinement prises en compte.

          Le projet de motion devrait recevoir un large soutien au sein de la commission des Libertés civiles (LIBE) du Parlement européen ce jeudi (13 avril).

          Bien que la commission soit généralement plus progressiste que le reste de l’assemblée, la résolution devrait être confirmée lors du vote de l’ensemble du Parlement en plénière, et certains amendements de dernière minute de la part de législateurs plus conservateurs ou libéraux ne sont pas exclus.

          Le vote en plénière est prévu pour la semaine du 8 mai. La semaine suivante, une délégation de députés européens de la même commission devrait se rendre aux États-Unis pour rencontrer des membres de l’administration fédérale, des agences gouvernementales et des organismes chargés de faire appliquer le nouveau cadre de protection de la vie privée.

          La Commission européenne travaille actuellement à l’adoption d’une décision d’adéquation des données afin de fournir une base juridique pour le transfert des données des résidents de l’UE vers les États-Unis. Un nouveau cadre juridique était nécessaire, les précédents ayant été jugés illégaux par la Cour de justice de l’UE (CJUE) dans les affaires Schrems.

          Après des mois de négociations, la Commission et l’administration américaine ont trouvé un nouvel arrangement limitant l’accès des agences de renseignement américaines aux données et mettant en place un mécanisme de recours par le biais d’un décret.

         Le Comité européen de protection des données (CEPD), qui regroupe toutes les autorités de protection des données de l’UE, a déjà examiné le cadre de protection des données UE-États-Unis et a émis un avis non contraignant. Tout en saluant les progrès réalisés par les États-Unis, le Comité a émis d’importantes réserves.

► pour lire la suite...

> le puritanisme américain : Etats-Unis, ce pays qui marie ses enfants

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          Aux États-Unis, en moins de 20 ans, 300.000 enfants ont été mariés, essentiellement des jeunes filles de parfois dix ans à peine. Bien que peu connues des Américains, ces unions sont tout à fait légales dans 43 des 50 états du pays. Et dans neuf d’entre eux, elles se font sans aucune limite d’âge.

          Dans 90% des cas, ce sont des jeunes filles. Elles ont 16 ans, 15 ans, parfois tout juste 10 ans. Souvent victimes d’abus sexuels, elles sont poussées par leurs parents, leur communauté religieuse ou leur milieu social à une union qu’elles ne désirent pas. Entre 2000 et 2018, 300.000 mariages d'enfants ont ainsi été recensés. “A 13 ans, on m’a obligé à épouser l'homme qui me violait. Ça faisait deux ans qu'il m'agressait sexuellement. Le mariage a eu lieu pour lui éviter d’être poursuivi en justice. Et je me rappelle avoir eu l'impression d'être en train de mourir. C'était comme une mort lente”, témoigne Dawn, mariée de force en 1986 à un homme de 20 ans son aîné.

          Selon les Nations unies, ces mariages précoces " privent les filles de leur enfance et constituent une menace pour leur vie et leur santé ". Elles sont " plus exposées à la violence domestique et moins susceptibles de poursuivre leur scolarité ". Conscients de ces faits, aux États-Unis, des associations et des élus se battent pour changer la loi et interdire, sans aucune exception, le mariage au moins de 18 ans.

De puissants lobbies

          C'est le cas de Jerry Hill, ancien sénateur de Californie, qui a découvert que ces mariages étaient autorisés et légaux dans son état. “ Un jour, une jeune fille de 16 ans m'a appelé. Elle m’a raconté qu'une élève de son collège, âgée de 13 ans, était fiancée à un homme de 28 ans. Elle m’a expliqué qu’ils prévoyaient de se marier et que l'école était au courant. Quand j'ai entendu ça, les bras m'en sont tombés ! “, raconte l'ancien élu démocrate.

          Il a tenté de changer la loi, mais comme beaucoup d'autres avant lui, il s'est heurté à de puissant lobbies américains refusant la moindre concession au nom " des libertés individuelles ". Ce qui fait enrager de nombreuses anciennes victimes, comme Sara, mariée de force à 15 ans et mère de deux enfants. Aujourd'hui âgée de 42 ans, elle vit à l'est de San Francisco et milite sans relâche pour qu'un âge minimum soit fixé dans tous les états américains.

          " En dessous de 18 ans, vous n’avez pas les mêmes droits qu’un adulte. En fait, c’est comme si on demandait à un mineur de prendre une décision qu’il n’est pas en âge de prendre. Quand la loi interdira aux adultes de se marier avec un enfant, là les enfants seront protégés, point final “, explique-t-elle. - source -

Étonnant quand on constate la vocation mondiale d'un puritanisme forcené prôné, entres autres, par les évangélistes et une grande partie nos amis américains, non ? Sans oublier que des pays comme l'Iran - et d'autres arriérés - font de même : vous voulez vous marier, facile, violez une mineure...

 

> les interrogations de l’état-major français face aux opérations cyber américaines en Europ

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          Depuis la guerre en Ukraine, les Etat-Unis ont envoyé plusieurs équipes spécialisées pour aider les pays se sentant vulnérables aux cyberattaques russes. Du côté français, on s’inquiète que ces démarches ouvrent la voie à des opérations plus larges d’espionnage.

          C’est une mise en garde sobre, mais formulée de manière insistante par le patron du commandement de la cyberdéfense (Comcyber) français, le général Aymeric Bonnemaison. Les opérations de soutien technique effectuées par des équipes de militaires américains sur les réseaux de plus en plus de pays européens, notamment depuis le début de la guerre en Ukraine, afin de traquer d’éventuelles intrusions russes, « questionnent », a déclaré ce haut gradé français, jeudi 12 janvier, à l’occasion du point presse hebdomadaire du ministère des armées.

          Un euphémisme poli de la part du très discret chef du Comcyber, qui avait déjà qualifié de « relativement agressives » ces opérations américaines lors d’une audition à huis clos devant la commission de la défense de l’Assemblée nationale, en décembre 2022, rendue publique le 4 janvier. Ces propos viennent mettre en lumière les inquiétudes françaises vis-à-vis de ces manœuvres de Washington, en particulier auprès des pays du flanc est de l’Europe.

          En ouvrant le cœur de leurs réseaux aux cybercombattants américains, ces pays s’exposent à une forme d’« entrisme », avait été jusqu’à affirmer, devant les parlementaires, le général Bonnemaison. Cet « entrisme » n’a pas été détaillé plus avant, le 12 janvier. Mais tous les spécialistes estiment qu’en matière cyber, le simple fait qu’un pays laisse accéder une puissance étrangère, même alliée, à ses capacités les plus sensibles, est la porte ouverte à des opérations de collecte de renseignements, donc d’espionnage.

          Outils intrusifs : le risque est d’autant plus élevé que les outils de surveillance des Etats-Unis sont considérés comme parmi les plus performants, mais aussi les plus intrusifs, du bloc occidental. Les Etats-Unis sont venus « combler un vide », « je ne peux pas m’y opposer », a commenté le général Bonnemaison, jeudi. Mais la démarche américaine « va assez loin », avait-il aussi glissé lors de son audition devant les députés en décembre, ajoutant : « Elle protège, mais avec une présence marquée au service de la diplomatie. »

          « Derrière le soutien technique américain en matière cyber, il y a clairement un enjeu de renforcement des alliances avec un certain nombre de pays, décrypte Julien Nocetti, enseignant-chercheur à l’académie militaire de Saint-Cyr et chercheur à l’Institut français de relations internationales (IFRI). A terme, cela pose nécessairement la question des frictions avec les réseaux alliés. »

          Plus d’une trentaine de ces opérations, baptisées « Hunt Forward Operations » (HFO – littéralement « opérations avancées de chasse ») par le Cyber Command américain, ont été menées depuis 2018 dans quelque 18 pays, selon des éléments rendus publics par le Pentagone à la fin de 2022. Cela a été le cas avant la guerre en Estonie, au Montenegro et en Macédoine du Nord, en mai en Lituanie et, en août, en Croatie. Or, ces HFO sont clairement définies par le Pentagone comme une stratégie de « défense avancée » et d’« engagement constant » visant à protéger les réseaux américains « en opérant aussi près que possible de l’origine de l’activité de l’adversaire ».

          Liens étroits entre le Pentagone et les Gafam : la plus importante de ces HFO a été conduite en Ukraine. Une équipe composée d’opérateurs de l’US Navy et du corps des marines était présente aux côtés des Ukrainiens pour s’assurer que leurs réseaux n’avaient pas été infiltrés par la Russie jusqu’à quelques jours avant le déclenchement de l’offensive russe. La résilience du réseau ukrainien face au très grand nombre de cyberattaques russes se révèle désormais un passeport en or pour l’offre de service américaine.

          Si cette stratégie contrarie Paris, c’est aussi parce qu’elle prend de court ses propres ambitions. Voilà des années que la France, avec d’autres pays, pousse au renforcement des capacités cybermilitaires européennes, notamment à travers la création de groupes d’intervention cyber (GIC) pouvant aider les pays qui subiraient une attaque majeure ou se sentiraient vulnérables. Mais c’est seulement en novembre 2022 que la Commission européenne a accouché d’une stratégie concrète en la matière, soit plus d’un an et demi après l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN).

          Les Etats-Unis ont aussi une longueur d’avance en raison des liens étroits entre le Pentagone et les Gafam sur certaines briques technologiques. D’autant que Google et Microsoft ont débloqué des sommes colossales pour soutenir Kiev depuis la guerre. Le vice-président de Microsoft, Brad Smith, a annoncé, en novembre 2022, une enveloppe de 100 millions de dollars (92 millions d’euros). « Cette aide s’ajoute à celle déjà fournie par sa firme pour héberger les données ukrainiennes dans des data centers hors d’Ukraine et qui pose des questions éthiques et juridiques », détaille M. Nocetti, de l’IFRI.

          Un « cyberparapluie » Ce tournant du Pentagone donne progressivement corps à une notion jusqu’ici limitée aux cercles d’initiés : celle de « cyberparapluie » (cyber umbrella), comme il existe un parapluie nucléaire. « Aux Etats-Unis, on se demande si la coalition ad hoc déployée pour défendre l’Ukraine pourrait être reproduite ailleurs, notamment contre une menace chinoise à Taïwan. Mais en Europe, la perspective de s’appuyer sur un parapluie cybernétique fourni par une poignée de sociétés américaines suscite un certain malaise. Les points de vue se heurtent aux questions sans réponse concernant le financement et la souveraineté », décryptaient en décembre 2022 des spécialistes du cyber dans une note pour la fondation Carnegie.

          Les investissements dans le cyber font aujourd’hui figure de priorité pour l’exécutif dans le cadre de la future loi de programmation militaire (LPM), mais les arbitrages sont toujours en cours concernant les montants qui pourraient être réellement alloués. Depuis le début de la guerre, la France n’a mené qu’une seule opération comparable à celle des Américains : au Monténégro, en août, après qu’une importante cyberattaque a ciblé les institutions du pays. - Elise Vincent - source -

Tu parles ! L'objectif essentiel de nos "amis" américains - aux abois - est de détruire l'économie européenne, et avec la guerre en Ukraine ( dont ils sont les seuls bénéficiaires ) celle de la Russie avec... Que ce soit Obama, Trump ou Biden ou celui d'après, c'est et sera toujours : "Make America Great Again" !