l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial - Karl Marx

> Google installe un espion ( SafetyCore ) dans votre smartphone sans votre avis !

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                 De nombreux utilisateurs ont remarqué qu'une étrange application s'est installée discrètement sur leur smartphone Android à leur insu. Et ils s'inquiètent naturellement sur sa nature et son rôle.

                 Si vous avez un smartphone sous Android, il est fort probable qu'une nouvelle application se soit installée récemment dessus. Mais de manière très discrète, sans vous demander votre avis. C'est ce qu'ont remarqué de nombreux utilisateurs ces derniers temps, qui se sont naturellement inquiétés, en lançant des alertes sur Internet. Il n'en effet pas normal qu'une application s'installe toute seule : en général, c'est le signe d'un piratage ou d'une infection par un virus.

           Ce n'est heureusement pas le cas ici. L'application en question, c'est SafetyCore – Android System SafetyCore de son nom complet. Et c'est Google qui l'a développée et installée, à votre insu, sans vous informer sur sa nature et son rôle. Et vous n'en saurez pas plus en cherchant à la lancer ; car contrairement aux applications traditionnelles, il est impossible de l'ouvrir pour voir à quoi elle ressemble et ce qu'elle fait !

            Et si vous cherchez sur Internet ou sur le Google Play Store, la boutique d'applications, vous apprendre seulement que c'est "composant système Android qui fournit une infrastructure de protection des utilisateurs sur l'appareil tout en préservant la confidentialité des applications". Une description pas très claire qui ne donne aucune information sur son rôle.

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> la Bourse et le bruit des canons

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          En moins de deux mois, l’indice CAC 40 de la Bourse de Paris a enregistré une hausse de 10,5 contre 4,4 % sur l’ensemble de l’année dernière ! Une poussée qui n’est pas due, comme d’habitude, à une progression des valeurs des entreprises du luxe, tels LVMH, Kering ou Hermès, mais en grande partie à la flambée des prix des actions des industries françaises d’armement. Mieux encore, malgré une économie hexagonale en piètre forme et une situation budgétaire catastrophique, le CAC 40 a, la semaine dernière, de nouveau approché un record, en atteignant 8154 points.

                Les pourcentages parlent d’eux-mêmes. Depuis le 1" janvier, l’action Thales a gagné 31,45 %. L’action Safran,15,13 %. L'action Dassault Aviation 19 %. Semaine après semaine, les principales sociétés ne cessent d’annoncer à leurs actionnaires d’excellentes nouvelles. Leurs chiffres d’affaires et leurs résultats opérationnels augmentent, tandis que leurs carnets de commandes s’épaississent. C’est le cas, par exemple, de Dassault Aviation, qui s’apprête à construire pas moins de 220 nouveaux Rafale dans les prochaines années.

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> Christine Lagarde appelle les pays européens à acheter des équipements militaires américains

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           Dans une nouvelle chronique, le groupe Mars s'indigne des propos de la présidente de la Banque centrale européenne (BCE) Christine Lagarde, qui appelle les pays européens à acheter des équipements militaires américains pour empêcher une guerre commerciale entre l'Europe et les Etats-Unis dirigés par Donald Trump. Par le groupe de réflexions Mars.

            Il est rassurant de se savoir dirigé par des femmes et des hommes de génie. Mme Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne, en fait incontestablement partie. Son dernier coup de génie en date est d'avoir appelé, dans le quotidien économique britannique de référence Financial Times (FT), les États membres de l'Union européenne, dont elle est mandataire, à « acheter américain pour éviter la guerre commerciale de Trump ». Le constat initial est imparable : l'Union européenne (UE) réalisant plus de 12 milliards d'euros par mois (150 milliards d'euros par an) d'excédents commerciaux aux États-Unis, une guerre commerciale serait désastreuse. La conclusion est logique : offrir une contrepartie à ces excédents en ouvrant le marché européen de la défense aux fournisseurs américains.

           Dans son dernier rapport annuel « CARD review » rendu public le 19 novembre, l'agence européenne de défense (AED) évalue à plus de 100 milliards d'euros le montant dépensé en 2023 par les États membres de l'Union européenne au titre de l'investissement de défense. Mme Lagarde estime donc que si cette somme était dépensée auprès d'industriels américains, la guerre commerciale serait évitée. Génial ! Sauf que c'est déjà largement le cas.

Europe : près de 100 milliards par an captés par les Américains

          En fonction du périmètre de dépenses pris en considération (incluant ou non le Royaume-Uni par exemple, ou les dépenses auprès de ses propres fournisseurs nationaux), la valeur des investissements militaires européens captés chaque année par des industriels américains est estimé entre la moitié et les deux tiers du montant total, soit près de 70 milliards d'euros en 2023.

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> les multinationales achètent à bas prix l’Europe

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            BlackRock fait ses courses dans une Europe qui traverse une crise historique et où les élites des pays pensent à s'enrichir au lieu de protéger les intérêts nationaux. Une braderie gigantesque a lieu sous les directives des banques d'affaires et des gestionnaires d'actifs.

          Le Premier ministre britannique, Keir Starmer, s'est entretenu le 21 novembre avec le directeur général du fonds d'investissement américain BlackRock Larry Fink, rapporte le Financial Times. Leur réunion au 10 Downing Street a été rejointe par un certain nombre de hauts responsables de BlackRock, ainsi que par la ministre britannique des Finances, Rachel Reeves, et de la ministre d'État en charge de l'Investissement, Poppy Gustaffsson.

             Au cours de la réunion, les dirigeants de BlackRock se sont dit préoccupés par les retards concernant les choix pour les entreprises mondiales afin de faciliter leur intrusion dans le pays. Keir Starmer a rassuré les dirigeants du plus grand fonds d'investissement du monde, qui gère des actifs de 11000 milliards de dollars, sur son projet de révision de la législation britannique conformément à leurs souhaits.

            Le 1er octobre dernier, Larry Fink a déclaré à Berlin à la Conférence sur le dialogue mondial que l'Europe devait s'orienter plus rapidement vers un marché bancaire. Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne (BCE), appelle — plus d’un mois après — à une union des marchés des capitaux, également. « L’Europe doit renforcer le système des marchés des capitaux et elle a besoin d’une plus grande unité du système bancaire », a martelé Fink lors d’une conférence de presse à Berlin.

          Dans le même temps, le directeur de BlackRock a refusé de commenter l'éventuelle acquisition de la banque allemande Commerzbank par le groupe financier italien UniCredit. « Unicredit est devenu le deuxième plus grand actionnaire de la banque allemande. Le numéro trois, avec environ 7%, est le gestionnaire d'actifs américain BlackRock », rappelle Zone Bourse. « La consolidation du secteur bancaire italien bat son plein depuis des années », souligne Der Aktionär.

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> ouvrons les yeux sur la collecte de nos données par les Américains !

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          L'indifférence face à la collecte de nos données par des entreprises américaines pose un réel problème. Les lois telles que Cloud Act ou FISA, permettent aux autorités américaines d'accéder aux données des citoyens européens sans réelle contrainte, dénonce William Méauzoone, cofondateur de Leviia.

             « Google informe par la présente de son obligation légale de divulguer certaines informations confidentielles aux autorités gouvernementales américaines. » Cette citation est tirée d'un mail que les utilisateurs de Google Mail ont reçu cet été. Ces « informations » auxquelles fait référence Google, ce sont vos données . Celles qui sont stockées en France et Europe et appartenant aux citoyens, entreprises, voire aux États européens. Le non-respect de la confidentialité des données par Google était déjà connu, mais a rarement été exprimé aussi clairement.

           Que se passerait-il si La Poste expliquait faire la même chose ? C'est-à-dire lire nos courriers postaux et en dévoiler le contenu à des tiers ? Quelle serait notre réaction ? Cette nouvelle ferait sans doute la une des médias, toute la classe politique serait en émoi et une enquête serait ouverte.

          Que faisons-nous avec Google ? Rien. Aucune réaction politique, aucune enquête. Pourquoi ?

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> trahison de l'Allemagne qui s'allie aux américains et israéliens pour un projet antimissile européen (ESSI)

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          Le bouclier antimissile européen ne protégera pas en cas de conflit militaire majeur.

          En Europe, le déploiement du programme de défense - le projet de bouclier antimissile européen (ESSI), qui profitera des technologies américaines et israéliennes, lancé en septembre 2022 à l'initiative et sous les auspices de l'Allemagne, prend de l'ampleur.

          Le 16 juillet, la Suisse a présenté une demande de participation à ce projet militaire. La Belgique, la Bulgarie, l'Estonie, la Finlande, le Royaume-Uni, la Lettonie, la Lituanie, les Pays-Bas, la Norvège, la Roumanie, la Slovaquie, la Slovénie et la Hongrie participent déjà au programme ESSI. France Info soulignait : « il n'aura aucun équipement de fabrication française ». Toutefois, les principaux membres de l'OTAN, dont la France, l'Italie, la Pologne, l'Espagne et la Turquie, se sont abstenus de rejoindre l'ESSI.

          Le chancelier allemand Olaf Scholz a proposé de lancer l'ESSI en août 2022, agissant en vue de la création d'une structure de défense intégrée utilisant les systèmes allemands IRIS-T, les Patriot américians et les systèmes israéliens Arrow-3, situés dans toute l'Europe, avec une répartition des coûts entre les participants. Berlin refuse fondamentalement d'inclure dans la configuration du système de défense aérienne/ABQ créé dans le cadre de l'ESSI, les complexes franco-italiens SAMP/T pour maintenir un rôle clé dans la construction du système de défense aérienne/système de défense UE.

          En novembre 2022, le président français, Emmanuel Macron, a exprimé son mécontentement à l'égard d'une telle discrimination, soulignant que la défense aérienne ne devait pas se limiter à la promotion des différentes industries au détriment de l'autonomie européenne. En outre, le Délégué général pour l'armement du gouvernement de la Ve République, Emmanuel Chiva, a critiqué l'initiative allemande, affirmant que les systèmes actuellement soutenus par l'ESSI ne répondaient pas aux besoins opérationnels car ils n'ont pas l'interconnexion nécessaire pour une défense intégrée.

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