C’est une information un peu trop passée sous le radar : la grande divergence économique entre les États-Unis et l’Europe depuis 15 ans. Non pas que le modèle économique états-unien soit un modèle, il ne l’est pas. Mais il est de plus en clair que l’UE, loin d’apporter croissance et prospérité à ses membres, est un poids de plus en plus lourd pour nos économies, tant sont nombreux ses vices de formes.
L’UE, c’est l’appauvrissement, sauf pour les plus riches
Avant l’intégration économique européenne apportée par le marché unique mis en place en 1992, dans les années 1980, les pays européens avaient une croissance économique plus forte que les États-Unis. Depuis, la croissance est plus forte de l’autre côté de l’Atlantique, et l’écart tend à s’accroître année après année. Et les chiffres sont assez incroyables : en 2008, alors que l’euro était à un sommet, le PIB de la zone euro était proche du PIB des États-Unis. Aujourd’hui, le PIB des USA est 80% plus important ! Et même si une part importante de la population des États-Unis s’est appauvrie en 20 ans, dans l’UE, c’est la population de pays représentant 89% du PIB de l’UE dont le niveau de vie a baissé. Le choc est particulièrement dur pour l’Europe du Sud, dont les salaires ont baissé depuis 2008, notamment en Grèce. Pour couronner le tout, dans la plupart des pays européens, le niveau de vie des ménages en 2022 reste inférieur au niveau de vie en 2019, alors qu’il a sensiblement progressé outre-Atlantique.
Le pire, c’est que ces moyennes, comme la plupart des moyennes, sous-estiment l’ampleur de la crise et de la détresse économique de la population. En effet, la pointe des classes supérieures n’a pas vu cette crise. Depuis 15 ans, ses revenus continuent de progresser, fortement au sommet. Les patrons du CAC40, qui gagnaient 3,6 millions d’euros en 2008, ont touché une rémunération de 7,9 millions en 2022, et ont entrainé les cadres dirigeants, et une partie des cadres supérieurs dans leur course au sommet. En clair, ces moyennes sous-estiment le recul de pouvoir d’achat des 80 à 90% de la population, compensé, dans des statistiques moyennes par l’enrichissement d’une petite minorité. Le phénomène est aussi valable pour les États-Unis, pour lesquels j’avais publié une analyse de statistiques en libre accès d’Emmanuel Saez il y a 10 ans, mais la situation est donc encore plus critique sur notre vieux continent.
Et parce que l’économie est le principal motif de coopération entre les pays de l’UE, et que l’intégration économique n’a cessé de progresser, comment ne pas incriminer l’UE (et tous les dirigeants français et européens qui ont contribué à construire ce monstre institutionnel) dans le fiasco économique européen ? Car derrière quelques réussites individuelles, ce qui frappe ici c’est la marche arrière enclenchée pour des dizaines, voir des centaines de millions d’européens, pris au piège de cette construction byzantine qui ne sert que les intérêts de l’oligarchie européenne et globalisée. Les mécanismes sont multiples. D’abord, le laisser-passer des biens, capitaux et hommes. Ce faisant, les marchés européens ont été offerts aux produits et services venus du monde entier, trop souvent élaborés avec des normes sociales et environnementales bien inférieures aux nôtres, notamment venant d’Asie et d’Amérique.
Ceci a permis les transferts d’usines dans d’autres pays. Et l’effondrement productif a été camouflé dans les statistiques du commerce extérieur par le recul du pouvoir d’achat, et donc de la consommation, limitant la progression des importations... Et la persistance d’un flux migratoire important a permis de maintenir la pression sur les travailleurs, comme le dénonçait Jean Jaurès il y a près d’un siècle. Mais à cette machine infernale du laisser-passer, l’UE y a ajouté deux autres mécanismes redoutables. En premier lieu, une monnaie unique complètement inadaptée à une zone euro si hétérogène, imposant une politique taille unique qui ne convient à personne. Cela a produit un penchant austéritaire structurel, très clair lors de la crise sanitaire, où les plans de relance européens n’ont été que des broutilles par rapport aux plans de soutien votés par les républicains et les démocrates aux USA.
Autre levier de déclassement économique : la privatisation de service public qui sont des monopoles naturels, créant des rentes juteuses pour tous les investisseurs à la recherche de rentabilité et de sécurité, que ce soit avec les autoroutes ou le marché de l’énergie. Bref, c’est en menant des politiques servant les intérêts de l’oligarchie globalisée que l’UE s’appauvrit. Seul le Frexit permettra de s’en sortir. - source -

Bref, l'union européenne de merde dans toute sa splendeur, et, malheureusement, ce n'est pas demain qu'on quittera cette merde puante ambulante, la dégringolade va continuer de plus belle !
Moyens alloués, besoins des citoyens, concurrence du privé... Ce que révèle un rapport accablant sur l'état des services publics en France
Le collectif "Nos services publics" a analysé deux décennies de politiques publiques et les a comparées à l'évolution des besoins, dans l'éducation, la santé, la justice, la sécurité ou encore les transports.
"Les moyens des services publics augmentent depuis vingt ans moins rapidement que les besoins sociaux", c'est-à-dire les besoins des citoyens, alerte un rapport publié jeudi 14 septembre par le collectif "Nos services publics", et rédigé par une centaine d'agents du service public, de chercheurs et de citoyens.
Selon les auteurs, les politiques publiques n'ont pas su s'adapter aussi rapidement à l'évolution de la société. Le secteur privé en profite donc pour se développer, en proposant une réponse à ces besoins non assouvis. Pour arriver à ce constat, le rapport s'appuie sur l'analyse de deux décennies de politiques publiques, en comparaison à l'évolution des besoins dans l'éducation, la santé, la justice, la sécurité ou encore les transports. Tour d'horizon des grands axes de l'étude.
Santé
Le nombre annuel de passages aux urgences est passé de 17 millions en 2010 à 21 millions en 2019, soit une hausse de "plus de 20% en moins de dix ans". Le vieillissement de la population et la "croissance massive" des maladies chroniques pèsent sur le système de santé, alertent les auteurs du rapport. Cela "nécessite une meilleure coordination et répartition des soins". Dans le même temps, les cliniques privées "augmentent leur place".
Justice
Concernant la justice et la sécurité, le "sentiment d'insécurité ressenti par la population demeure élevé". Mais malgré l'augmentation des moyens alloués, les auteurs notent une "dégradation de la qualité et de l'efficacité de la réponse judiciaire". Le délai de jugement d’une affaire civile devant le tribunal de grande instance, par exemple, est passé de sept mois en 2005 à 14 mois en 2019.
Éducation
Le rapport note aussi un "phénomène de massification" dans l'éducation : il y a de plus en plus de bacheliers et d'étudiants. "La proportion de diplômés du supérieur a été multipliée par deux en 25 ans chez les 25-34 ans". Dans ce contexte, de plus en plus de parents se rabattent sur les écoles privées et les cours particuliers, mais majoritairement des "famille favorisées". La "part des enfants à fort capital culturel" dans les écoles privées sous contrat est passée de "29% en 2003 à 40% en 2021".
Les politiques publiques en matière d'éducation ne "parviennent pas à se renouveler" pour prendre en compte ces inégalités et le bien-être des élèves, insiste le rapport. D'après ses auteurs, les services privés sont plus coûteux pour l'État, et ils ne permettent pas un "accueil inconditionnel", contrairement aux services publics. Les inégalités ont donc encore tendance à se creuser.
"Ce développement d'un service privé entraîne progressivement la transformation du service public en un service minimum et dégradé, et, donc, la perte progressive de sa vocation universelle", alerte le collectif, qui espère susciter un débat public après ce rapport inédit. - source -

Ben, on s'en doutait presque pas ! Sarkozy, l'ignoble Hollande et Macron, en respectant les ordres de l'union européenne de merde et de la finance, font en sorte de détruire - tous les jours un peu plus - les services publics français pour que s'installent à la place des services privés payants et juteux. Au sein de cette union européenne de merde, les pays nordiques - qui ont le pouvoir - considère par ailleurs la France comme les USA, c'est-à-dire un pays d'esprit communiste, qu'il faut détruire pour un capitalisme et une finance triomphant européens ... Donc, contrairement à l'article, il n'y a pas de surprise !
Un rapport d’un régulateur estime que le niveau de risque ne justifie pas d’interdire le glyphosate.
Pour les écologistes, ce n’est ni plus ni moins un « scandale ». La Commission européenne a proposé ce mercredi aux États membres de renouveler pour dix ans l’autorisation du glyphosate dans l’UE, jusqu’au 15 décembre 2023. Elle se fonde sur le rapport d’un régulateur, qui estime que le niveau de risque ne justifie pas d’interdire cet herbicide controversé, selon un texte mis en ligne.
La proposition de l’exécutif européen sera examinée vendredi par les Vingt-Sept qui devront ensuite la valider le 13 octobre. Cette proposition précise que l’usage de glyphosate doit s’accompagner de « mesures d’atténuation des risques » aux alentours des zones pulvérisées, en « apportant une attention particulière » aux effets indirects sur l’environnement.
L’autorisation actuelle du glyphosate dans l’UE, renouvelée en 2017 pour cinq ans, expirait le 15 décembre 2022, mais a été prolongée d’un an dans l’attente d’une évaluation scientifique sur l’herbicide.
Début juillet, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) avait finalement publié son rapport. Verdict : elle n’a pas identifié de « domaine de préoccupation critique » chez les humains, les animaux et l’environnement susceptible d’empêcher son autorisation. Mais elle avait aussi relevé « un risque élevé à long terme chez les mammifères » et reconnu que le manque de données empêchait toute analyse définitive.
Pour en tenir compte, la Commission enjoint les États, chargées de délivrer les autorisations au niveau national et de fixer les conditions d’utilisation selon les spécificités locales, à « apporter une attention particulière » aux effets sur l’environnement et les petits mammifères. En envisageant, « si nécessaire », des mesures d’atténuation ou des restrictions.
« Quel scandale ! Les études scientifiques, y compris celles très partielles de l’EFSA pointent la toxicité à long terme de cette substance, souligne l’agronome Benoît Biteau, également député écologiste européen. Et même avec ça, la Commission européenne persiste et signe. Kafkaïen ! »
La députée écologiste européenne Marie Toussaint parle également « d’aberration totale » : « Sa ré-approbation et pour une telle durée constituerait une violation des droits humains à la vie et la santé, et des droits du vivant. »
Le glyphosate, la substance active de plusieurs herbicides - dont le célèbre Roundup de Monsanto, très largement utilisé dans le monde - avait été classé en 2015 comme un « cancérogène probable » pour les humains par le Centre international de recherche sur le cancer de l’Organisation mondiale de la santé.
À l’inverse, l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) a jugé l’an dernier que les preuves scientifiques disponibles ne permettaient pas de classer le glyphosate comme cancérogène. - source -

Annonce faite mercredi 20 septembre, la veille de la journée mondiale de la maladie d'Alzheimer dont l'origine de dégâts neurologiques, comme pour celle des maladies de Parkinson ou la sclérose en plaques est dûe en grande partie par ce glyphosate ! La maladie d'Alzheimer touche de plus en plus de personnes en France et malheureusement des personnes de plus en plus jeunes, ça craint ! Mais l'union européenne de merde va autoriser pour 10 ans ce poison, voilà, c'est ça l'union européenne de merde dont les français n'ont surtout pas voulu par référendum du 29 mai 2005 !!!
Le projet de loi visant à sécuriser et réguler l’espace numérique (aussi appelé « SREN » ou « Espace numérique ») est actuellement en discussion à l’Assemblée nationale, après avoir été voté en juillet dernier au Sénat. Ce texte, présenté comme une simple adaptation d’une série de règlements européens, change en réalité la manière de concevoir la régulation des plateformes en ligne. En voulant instaurer une censure autoritaire et extra-judiciaire, en voulant mettre fin à l’anonymat en ligne et en répétant les erreurs déjà commises avec la loi Avia, le gouvernement fait une nouvelle fois fausse route. Ce projet de loi étant très dense, commençons par une présentation générale des éléments importants du texte (nous reviendrons plus tard en détails sur certains points avec des articles dédiés).
L’accès au porno, prétexte pour mettre fin à l’anonymat :
► pour lire la suite...

Attendons de voir, car la voiture électrique, c'est l'arnaque n° 1 du 21e siècle... ET, avec la bénédiction de l'union européenne de merde, les industriels ne s'en privent surtout pas...
(...) Le rôle des syndicats est constamment méprisé par ce gouvernement qui vise à déconstruire tous nos acquis sociaux et à affaiblir la défense collective des travailleuses et travailleurs de ce pays. Le passage en force antidémocratique de la réforme des retraites en a été un énième exemple paroxystique. La répression policière sur les cortèges de manifestant·es à Sainte-Soline ou dans les quartiers populaires est aujourd’hui l’unique réponse de ce gouvernement à la crise sociale et écologique actuelle.
Une dérive autoritaire
Quand la contestation se fait entendre avec force et détermination, elle est réprimée par la voie policière et juridique au nom de «l’ordre républicain». Quand les réponses à l’expression populaire se résument à interdire par arrêtés préfectoraux les manifestations, les «casserolades», gouverner par 49.3, faire enlever des banderoles revendicatives des balcons de particuliers ou des vitrines de librairies, dissoudre administrativement le mouvement écologiste «les Soulèvements de la Terre»… il faudrait donc se taire sagement alors que tous les moyens d’expression pacifique et espaces de dialogue démocratique sont, un à un, bafoués.
Le gouvernement est sourd et aveugle à des revendications légitimes et populaires. Il préfère criminaliser ses opposants et les diaboliser en les traitant d’«écoterroristes». Les déclarations de la Ligue des droits de l’homme, d’Amnesty international ou des experts de l’ONU convergent vers ce constat plus qu’alarmant : la dérive autoritaire du gouvernement piétine nos libertés fondamentales.
Nos syndicats sont en première ligne de la répression car leur parole légitime fait peur aux décideurs politiques qui manquent cruellement de courage face à l’urgence sociale et climatique.
En cela, le procès des défenseurs de l’eau du 8 septembre à Niort est emblématique et historique. Ce qui s’y joue, c’est la gestion démocratique et transparente d’un commun, l’eau, face à l’accaparement de quelques-uns. C’est un appel à une société qui met au cœur de son fonctionnement le partage équitable des richesses. Dans le contexte du dérèglement climatique, au lieu de les réprimer, le gouvernement doit écouter les syndicalistes et lanceurs d’alerte, lucides face à la nécessité d’agir, qui appellent à un changement de modèle social, économique et agricole. - source -

Ces dérives autoritaires, voulues par tous les partis de droite, et surtout, voulues par la finance et les industriels, sans oublier cette union européenne de merde, entrainent beaucoup de violences étatiques injustifiées. Mais pas d'inquiétude pour les riches, une dictature amie s'installe de plus en plus pour museler les gueux,...
Grâce à l'application France Identité, vous pouvez désormais dématérialiser votre carte d'identité pour la stocker dans votre smartphone et vous authentifier facilement sur les services en ligne via FranceConnect. Une petite révolution !
Cette fois, ça y est : France Identité est maintenant accessible à tout le monde ou presque, toujours en version bêta, dans les boutiques d'applications sur iPhone et Android pour tout le monde ! Développée par le Gouvernement dans le cadre du plan d'action pour la transformation numérique de l'État et associée au SGIN, le Service de garantie de l'identité numérique, cette application évidemment gratuite a vocation, à terme, à remplacer la carte d'identité physique par un équivalent numérique, stocké sur smartphone – elle devrait également prendre en charge en 2024 un permis de conduire numérique européen (voir notre article). Dès aujourd'hui, vous pouvez donc numériser votre carte d'identité en quelques étapes. Notons toutefois que, l'application étant encore dans sa version bêta, il se peut que vous rencontriez quelques bugs.
France Identité a rejoint, en novembre dernier, FranceConnect, la plateforme qui permet à tout citoyen de s'identifier facilement à plus d'un millier de services en ligne, publics ou privés (Ameli, Impôts, La Poste, MaPrimeRénov', CAF, Pôle emploi, Yris, MSA…), afin de renforcer la sécurité de la connexion en prouvant votre identité en ligne, sans avoir à créer plusieurs identifiants et mots de passe (voir notre article). Elle permet également de créer des justificatifs d'identité à usage unique, ce qui permet notamment de justifier d'un attribut particulier – comme votre majorité – sans révéler toutes les autres informations personnelles que contienne votre carte d'identité.
France Identité : à quoi sert l'application ?
Capable de stocker plusieurs informations, comme les noms et prénoms, mais aussi la date de naissance, les photos et les adresses mail et postale, l'application France Identité permet de prendre connaissance des données contenues dans sa CNIe (la nouvelle version, d'éviter de porter sa carte d'identité sur soi et de confirmer son identité sur les plateformes publiques comme FranceConnect. Et autant dire qu'avec la menace d'un blocage des sites pornographiques aux mineurs, l'application pourrait s'avérer particulièrement utile. C'est un moyen plus sécurisé de se connecter car elle ne possède pas d'identifiant, ce qui limite les risques de piratage et d'attaque par phishing – qui consiste à dérober les identifiants par la ruse, le plus souvent via un mail, un SMS ou une fausse page de connexion. Après trois tentatives de connexion infructueuses, la carte numérique est bloquée et il faut de nouveau procéder à une vérification d'identité pour la débloquer. Enfin, pour ceux qui le souhaitent, il est possible d'activer un double facteur d'authentification via la carte d'identité et un code de sécurité à double facteur.
En plus de prévenir le vol d'identité, France Identité permet d'éviter de transmettre des copies de votre carte d'identité à des tiers, qui pourraient les utiliser à des fins frauduleuses. Sans compter que vos données sont chiffrées et stockées dans la puce NFC – cette technologie est la même que celle utilisée pour le paiement mobile ou pour utiliser certains transports en commun – de votre carte et dans la mémoire sécurisée de votre smartphone, ce qui rend leur piratage très difficile.
France Identité : comment activer la carte d'identité numérique ?
Pour profiter de France Identité, il faut être majeur et disposer d'un smartphone compatible NFC et d'une nouvelle carte d'identité – distribuée depuis août 2021, elle intègre une puce et un QR code.
► Téléchargez l'application France Identité sur le Play Store ou l'App Store ;
► Ouvrez l'application et suivez les instructions à l'écran ;
► Appuyez sur le bouton Continuer, puis sur Valider et Continuer de nouveau ;
► Munissez de votre carte d'identité puis entrez les 6 chiffres se trouvant en bas à droite :
► Scannez ensuite la puce NFC de votre carte d'identité en plaçant votre smartphone par-dessus ;
► Sélectionnez ensuite la vérification de votre identité par FranceConnect ;
► Créez ou connectez-vous à un compte certifié en vous identifiant avec FranceConnect ;
► Un e-mail de confirmation vous est envoyé. Cliquez sur le lien qui se trouve à l'intérieur.
► Il peut vous être demandé de retaper le numéro à six chiffres qui se trouve en bas à droite de votre carte d'identité.
► Définissez votre code personnel à six chiffres, qui vous servira à sécuriser l'accès à vos données. Vous pouvez également activer la biométrie de votre téléphone (empreinte digitale ou reconnaissance faciale) pour verrouiller l'application.
Et voilà, votre carte d'identité a été numérisée et placée dans votre application France Identité ! Après cette phase de bêta ouverte, l'application sera disponible en version définitive et stable dans quelque temps. Notons que les fonctions de communication en champ proche (NFC) ont donné du fil à retordre aux développeurs de France Identité, notamment sur iPhone, où un comportement erratique a été observé en début d'année, notamment sur les modèles les plus récents. Cela a provoqué un retard de plusieurs mois de la sortie de l'application. Elle reconnait d'ailleurs sur Twitter X (rebaptisé Twitter) que le problème n'est pas tout à fait résolu. "Sur certains iPhone récents, la lecture sans fil de la carte d'identité (NFC) peut nécessiter plusieurs essais", note l'application. - source -

Et la surveillance généralisée des populations, auquel sera associé à moyen terme un crédit social à la chinoise, continuent de se mettre en place par nos fausses démocraties de cette union européenne de merde !!! Bonjour les dégâts lors du piratage prévisible de cette France Identité européenne... Quant à sa mise en route, c'est d'une simplicité extrême : bon courage aux 95% d'utilisateur de téléphone portable !

Quand le cidre est tiré, il faut le boire. La Commission européenne s'est mis en tête de réglementer une bonne fois pour toutes ce qu'on a le droit de vendre dans I UE sous l'estampille « cidre ».
Actuellement, on trouve un peu de tout dans la barrique. En France, première puissance cidricole au monde, le cahier des charges impose depuis soixante-dix ans du 100 % pomme. Mais d'autres États membres se contentent de 30 %, voire de moins de 20 %, comme la Suède ou le Danemark, le reste de la mixture étant composé, selon l'inspiration, de céréales, de miel, de sirop de glucose, de poires ou de carottes, un vrai pot-pourri !
Ce n'est donc pas une mauvaise idée de mettre de l'ordre dans le tonneau. Sauf que l'une des trois recommandations bruxelloises servies aux eurodéputés pour leur rentrée parlementaire a fait sauter le bouchon des producteurs de cidre français. La Commission européenne ne verrait pas de problème à étiqueter « cidre », y compris dans l'Hexagone, un breuvage contenant seulement « 50 % de jus de fruits (frais et/ou reconstitué) ». Une aubaine pour les géants de la bière, comme le néerlandais Heineken ou le danois Carlsberg, qui développent des pseudo-cidres afin de capter la clientèle féminine.
Et tant pis pour tous nos petits cidriculteurs. Sur les 80 millions de litres de cidre vendus chaque année en France, près de 80 % sortent des usines de deux industriels, le groupe Eclor et Les Celliers associés. Le reste est élaboré par des producteurs fermiers, qui aimeraient bien que la qualité de leur breuvage saute aux yeux du consommateur.
Depuis juillet 1987, une réglementation concoctée sur mesure pour les géants du secteur permet de faire du cidre avec 50 % de moût concentré. Le « MC », de son petit nom, est une pâte visqueuse ultra-sucrée, obtenue après chauffage du jus de pomme, que le fabricant rallonge généreusement avec 50 % d'eau. De quoi faire pétiller les rendements. S'il faut 1,4 kilo de pommes pour obtenir un litre de cidre élaboré à l'ancienne, 800 grammes suffisent pour sa version industrielle. Et la manip est même autorisée en bio ! Le hic, c'est que rien ne distingue, sur l'étiquette, le cidre contenant du MC du cidre tradi. D'où l'estampille « traditionnel » qui fleurit sur toutes les bouteilles de cidre industriel.
Les cidriers indépendants tricolores espéraient que Bruxelles clarifierait enfin l'étiquette. Ils en ont marc qu'on les prenne pour des pommes ?

Entre les industriels français et les autres requins des pays du Nord ( en particulier la Suède ), le consommateur français avale ou mange de plus en plus de merde, et..., "on" s'étonne encore que les cancers explosent !!!