l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


Un crédit à long terme, ça veut dire que moins tu peux payer, plus tu payes - Coluche

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          Classement des 500 plus grandes fortunes françaises : le nombre de milliardaires progresse et atteint un plafond inédit. Selon le magazine «Challenges», qui publie ce jeudi 18 juillet son classement annuel, la fortune cumulée des 500 plus riches Français dépasse pour la première fois en 2024 les 1 200 milliards d’euros.

         Les ultra-riches deviennent extra-riches. En 2024, la fortune cumulée des 500 plus grandes fortunes professionnelles de France dépasse pour la première fois les 1 200 milliards d’euros, dévoile ce jeudi 18 juillet le classement du magazine Challenges, publié chaque année depuis 1996. Au total, les 500 plus grandes fortunes totalisent ainsi 1 228 milliards d’euros, soit 5 % de plus qu’en 2023. A noter : les dix premiers noms de ce classement accaparent plus de la moitié de ce montant, c’est-à-dire près de 693 milliards d’euros.

          Dans le détail, Bernard Arnault trône en haut du podium avec 190 milliards d’euros, malgré le recul du cours de Bourse du géant du luxe LVMH en un an. La famille Hermès arrive quant à elle deuxième, avec 155 milliards, soit une hausse de 17 milliards d’euros, devant Alain et Gérard Wertheimer, héritiers de Chanel, avec 115 milliards. Les patrimoines de Bernard Arnault et François Pinault de Kering, 8e au classement avec près de 24 milliards d’euros, «ont reculé de plusieurs milliards d’euros, notamment en raison des difficultés du marché chinois», qui ont pesé sur les cours de Bourse, commente Challenges. Françoise Bettencourt Meyers, à 84 milliards d’euros avec sa famille, arrive 4e et reste la Française la plus fortunée dans un classement largement dominé par les hommes.

Un nombre de milliardaires français en hausse

         En parallèle, le nombre de milliardaires français progresse à 147, contre 141 en 2023 et 67 il y a dix ans. Une nette montée en puissance des ultra-riches alors que la fortune minimale pour figurer parmi ce classement est désormais de 245 millions d’euros, contre 235 millions l’année dernière et 80 millions en 2014. L’estimation se base sur l’ensemble des actifs professionnels, cotés ou non cotés, et ne «prend pas en compte les biens personnels (biens immobiliers privés, voitures, œuvres d’art…)», précise également le magazine spécialisé.

         Parmi les entrées au palmarès, le fondateur de la messagerie cryptée Telegram, Pavel Dourov, arrive 12e, «puisqu’il s’est vu attribuer la nationalité française», note Challenges. Les cofondateurs du champion français de l’IA, Mistral AI, Guillaume Lample, Arthur Mensch et Timothée Lacroix, se placent en 45e position. Charles Kantor, Julien Perolat et Laurent Sifre, les cofondateurs de H, autre start-up de l’IA, figurent de justesse au classement, en 490e position. - source -

Grâce aux cadeaux de leur très cher ami le président, les riches se font fait et se font toujours les couilles en or ; on ne s'étonne même plus de savoir où est partie une bonne partie de l'imposante dette française...

 

> s’il n’y avait pas de logiciel libre, Microsoft ferait du racket standardisé

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            Le président de VideoLan, l’éditeur du lecteur multimédia VLC, était l’un des speakers de l’USI 2024. Pour 01net.com, le quadragénaire est revenu sur l’open source et le logiciel libre, des moyens de rendre l’Europe plus souveraine numériquement.

           Investir massivement dans le logiciel libre, un moyen pour l’Europe de rattraper son retard en matière numérique ? Lundi 24 juin avait lieu au musée du Quai Branly à Paris la conférence USI 2024. L’un des speakers était Jean-Baptiste Kempf. Le président de VideoLAN (éditeur de VLC) est une figure du monde du « libre » et de « l’open source ». Si ces deux concepts sont souvent mal compris par le grand public, ils permettraient pourtant à l’Europe d’être davantage souveraine, a soutenu le quadragénaire, que 01net.com a pu interroger après son intervention.

Le logiciel libre est dans quasiment toutes les solutions qu’on utilise aujourd’hui, et pourtant, il reste l’enfant caché et méconnu du numérique. Pourquoi cette contradiction ?

          Je pense que les gens ne se rendent pas compte du travail qui a déjà été fait par le monde du libre et de l’open source. S’il n’y avait pas eu Mozilla, il n’y aurait pas le navigateur Chrome en open source. S’il n’y avait pas des gens qui ont fait VLC, le lecteur multimédia aux 500 millions d’utilisateurs, lire des vidéos coûterait beaucoup, beaucoup plus cher. S’il n’y avait pas Linux, Microsoft ferait du racket standardisé à l’ensemble de la planète. Le logiciel libre a déjà un rôle de contre-pouvoir, même s’il n’est peut-être pas visible. Et s‘il n’y avait pas de logiciel libre, on serait encore plus dépendant (des logiciels et des systèmes des géants américains, NDLR).

          Mais c’est aussi vrai que le logiciel libre reste très méconnu. En 2016, on avait lancé un petit sondage pour tous ceux qui téléchargeaient VLC media player. On leur demandait s’ils savaient que c’était l’open source et le libre. Les réponses positives arrivaient dans 0,01 % des cas. Pour le reste, c’était : “je ne sais pas ce que ça veut dire”. Les gens ne se posent de toute façon pas assez de questions sur le numérique. Le grand public a tendance à avoir une consommation vraiment très passive (du digital, NDLR), en particulier les générations de moins de 30 ans.

Alors justement, expliquez-nous, qu’est-ce que l’open source et le logiciel libre ?

          Imaginez, vous entrez dans une boulangerie et vous achetez un gâteau au chocolat : ça, c’est vraiment le logiciel classique, propriétaire, à l’image de Word. S’il s’agit d’un logiciel libre, open source, non seulement vous avez le gâteau, mais vous avez la recette pour le refaire. On vous donne aussi les spécifications techniques du four, ainsi que le droit de faire le gâteau, de le modifier, et de le revendre. C’est exactement ça. Un programme informatique, c’est une sorte de longue recette de cuisine.

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> une nouvelle loi allemande sur la recherche médicale garantit aux entreprises pharmaceutiques la confidentialité des prix

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           L’Allemagne a adopté jeudi (4 juillet) sa loi sur la recherche médicale qui permettra aux entreprises pharmaceutiques de négocier en privé le prix des médicaments protégés par un brevet.

          La commission de la santé du Bundestag a modifié et approuvé la loi le mercredi 3 juillet. Celle-ci contient de nombreux éléments importants, notamment la rationalisation de la coopération entre les différentes autorités réglementaires, des clauses contractuelles types pour les essais cliniques et un comité d’éthique indépendant pour les procédures spéciales.

          Jusqu’à présent, les négociations de prix avec les caisses d’assurance maladie légale étaient publiques. La nouvelle loi permettra aux entreprises pharmaceutiques de négocier à huis clos les montants de remboursement pour les nouveaux médicaments protégés par un brevet.

          Il y aura une première négociation sur le prix, puis les entreprises pharmaceutiques disposeront d’une période de cinq jours pour choisir de garder leur prix confidentiel ou de le rendre public. Si les entreprises pharmaceutiques choisissent l’option confidentielle, les assureurs recevront une remise de 9 % sur le montant négocié.

          Le système ouvert de l’Allemagne en a fait une source de référence pour d’autres systèmes de santé. Si les prix sont confidentiels, cela permettra certainement d’obtenir des remises plus importantes lors du processus de négociation.

          Cette option pourrait être considérée comme une situation gagnante pour toutes les parties, puisque les acheteurs pourraient bénéficier d’une remise sur le prix. Et les entreprises pharmaceutiques disposeraient d’une plus grande marge de manœuvre dans le cadre de tractations avec d’autres acheteurs potentiels.

          Les législateurs ont insisté pour que le nouveau mécanisme soit évalué d’ici à la fin de 2026, mais il existe une clause d’extinction à la fin du mois de juin 2028, si l’évaluation s’avérait négative.

          Paula Piechotta, rapporteur pour les médicaments et les dispositifs médicaux au sein du groupe parlementaire des Verts au Bundestag, souhaitait annuler les dispositions relatives au remboursement confidentiel. Elle estime toutefois qu’avec les amendements, la loi est plus équilibrée : « En tant que députés, nous devions protéger les intérêts des assurés dans le pays et nous l’avons fait. »

          Seules les entreprises pharmaceutiques disposant d’un département de recherche et de projets appropriés en Allemagne sont autorisées à garantir la confidentialité des prix. Cette loi est un élément majeur d’une stratégie plus large proposée en 2023, visant à améliorer l’investissement et la production de produits pharmaceutiques et d’appareils médicaux. Cette stratégie semble déjà porter ses fruits, l’Allemagne devenant un site de plus en plus attractif pour l’industrie pharmaceutique, comme en témoigne l’investissement d’un milliard d’euros du géant pharmaceutique français Sanofi. L’Américain Eli Lilly et le Japonais Daiichi-Sankyo ont également annoncé des projets similaires. - source -

 

Von der Layen et le président de Pfizer...

Bé bien sûr, le sacro-saint secret des affaires !!! Et, ce que fait l'Allemagne - qui en a strictement rien à foutre des autres pays de l'union européenne de merde - cette union européenne de merde et von der Layen l'imposent peu de temps après. Après le gros cadeau, il y a quelques années, à l'industrie pharmaceutique, et au détriment des patients/consommateurs, par la suppression d’étiquetage/vignette des prix sur les médicaments en France, cette industrie va pouvoir maintenant s'arranger avec les "autorités" d'un pays ou d'une région, beaux bénéfices en perspectives... Qui, d'après vous, va encore payer la facture ?

 

> les marchés de l’électricité sont-ils devenus fous ?

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Par Dominique Finon, Directeur de Recherche émérite au CNRS, Chercheur associé à la Chaire European Electricity Markets (Université Paris-Dauphine) et au CIRED (Pont ParisTech & CNRS), Ancien président de l’Association des économistes de l’énergie (FAEE).

          Après en avoir terminé avec la période de leur envolée, les marchés de l’électricité en Europe et en France se sont effondrés en moins de six mois et depuis ils connaissent des mouvements très erratiques liés à la variabilité des productions de renouvelables. De plus, du fait de l’importance des productions des parcs solaires ou éoliens à certaines heures (ou à certaines périodes) et dans certaines zones, on voit se développer les actions de restriction à distance des productions de certains d’entre eux par les gestionnaires de réseau (GRT) pour maintenir l’équilibre du système électrique. C’est ce qu’on appelle l’écrêtement de productions, qui peut être vu comme un gaspillage par les non-spécialistes, mais qui répond à cette exigence dans des réseaux inadaptés.

Une volatilité extrême des prix à l’échelle de la journée

          La volatilité des prix augmente, tant en niveau qu’en fréquence. Au cours de ces trois derniers mois, de nombreux jours ont vu alterner des prix profondément négatifs et des prix dépassant les 100 €/MWh. En Allemagne par exemple, le 14 avril 2024, les prix sont passés de –150€ le MWh à 15h à 130€ à 19 h (voir figure 1). Tandis que les nombres d’heures où les prix nuls ou faibles sont de plus en plus importants, les épisodes de prix négatifs se multiplient dans tous les pays européens. Ce sont les surproductions des EnR intermittentes (EnRi) — éoliennes terrestres et marines, et solaire photovoltaïque — par rapport aux demande horaires qui expliquent les nombreux épisodes de prix nuls ou négatifs.

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🧻 les CSL ou Commerçants Sans Limite...

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Des voitures bien moins sobres qu'annoncé

          Une étude de la Commission européenne montre que la consommation réelle des voitures dépasse de beaucoup les chiffres annoncés par les constructeurs.

          Pour calculer la consommation des véhicules, les constructeurs réalisent une série de tests normalisés (la procédure WLTP). Mais, grâce à une vaste étude menée par la Commission européenne, nous connaissons maintenant l'écart qui sépare ces consommations théoriques de la réalité. La Commission a analysé les données d'utilisation réelles de 617.194 véhicules mis en circulation en 2021. Les résultats montrent qu'en moyenne, les véhicules à essence consomment 23,7% de carburant de plus que ce qui est mesuré par la procédure WLTP ! Cela correspond à un écart moyen de 1,5 litre aux 100 km. La différence est moindre pour les véhicules diesel, mais elle atteint quand même 18,1 %, soit 1,05 litre aux 100 km.

D'importantes différences selon les marques

          L'étude pointe aussi d'importantes disparités entre les marques. Ainsi, les voitures à essence BMW, Dacia, Ford et Renault affichent une consommation en conditions réelles dépassant les données WLTP de 25 % à plus de 30 %. À l'opposé, Hyundai, Suzuki et Toyota ont les consommations les plus proches des mesures théoriques. Les écarts sont moins importants pour les véhicules diesel, à l'exception d'Alfa Romeo, de BMW et de Seat, dont les consommations moyennes dépassent de plus de 25 % les résultats WLTP.

Jusqu'à 345% d'écart pour les véhicules hybrides rechargeables

          Mais le plus surprenant est à venir. L'analyse des conditions d'utilisation réelle des véhicules hybrides rechargeables, comparée aux données WLTP, montre un écart par constructeur allant de 170 % à 345 %, avec une moyenne de 238 % ! Soit un écart de 4,21 litres aux 100 km. Une différence due au fait que ces véhicules ne sont pas utilisés de manière optimale ; leurs propriétaires ne les rechargent pas assez fréquemment, ce qui les empêche de rouler uniquement en mode électrique. Une mise à jour du protocole WLTP sera mise en place en 2025, afin de mieux refléter l'usage réel de ces véhicules.» P.F.

Tiens l'union européenne de merde s'est réveillée ! Cela fait plus d'1/4 de siècle que l'on sait que la consommation réelle des voitures dépasse de beaucoup les chiffres annoncés par les constructeurs, et, évidemment, pas de sanctions ni de contraintes obligatoirement anti-commerciales pour l'industrie automobile, alors pourquoi se gêneraient-ils. Par contre, l'augmentation continuelle de la répression forcenée des automobilistes est obligatoire pour les plus grands profits des assureurs...

 

> les dirigeants européens approuvent von der Leyen, Costa et Kallas aux postes clés de l’UE

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          Les dirigeants européens ont donné jeudi (27 juin) tard dans la soirée leur accord pour nommer Ursula von der Leyen, António Costa et Kaja Kallas aux trois postes clés de l’UE pour les cinq prochaines années. Les deux femmes doivent encore être validées par le Parlement européen mi-juillet.

          Il aura fallu environ une heure, selon plusieurs diplomates européens, pour que les chefs d’États et de gouvernement valident un second mandat à la tête de la Commission européenne pour la conservatrice Ursula von der Leyen (Parti populaire européen, PPE). En lieu et place du libéral belge Charles Michel (Renew) à la tête du Conseil européen, ils ont accordé leur confiance à l’ancien Premier ministre socialiste portugais António Costa (Socialiste et démocrates, S&D). Pour remplacer le socialiste Josep Borrell (S&D) au poste de chef de la diplomatie de l’UE, ils sont tombés d’accord sur la Première ministre libérale estonienne Kaja Kallas (Renew).

          La présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, s’est abstenue de voter pour Ursula von der Leyen et a voté contre António Costa et Kaja Kallas. Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, a voté contre l’Allemande, en faveur du Portugais et s’est abstenu pour l’Estonienne, rapporte une source diplomatique. Kaja Kallas, encore Première ministre, a transféré son vote à son homologue finlandais Petteri Orpo, ont indiqué des sources au fait des discussions.

          En réponse à sa nomination, Ursula von der Leyen s’est dite « reconnaissante » auprès des dirigeants européens. António Costa a fait part de son « impatience de travailler […] dans un esprit de coopération loyale entre les institutions européennes », « pour que l’Europe soit un partenaire mondial efficace afin que nos citoyens restent libres, en sécurité et prospère », a ajouté Kaja Kallas.

          La décision des dirigeants intervient trois semaines après les élections européennes où les partis centristes — socialistes, centre-droit et libéraux — ont remporté la majorité des sièges, malgré la montée dans certains pays des droites dures, comme en Italie, en Autriche ou en France.

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> réparer son vélo électrique, une mission bientôt impossible

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          En étant de plus en plus technologiques, les vélos électriques sont plus difficiles à réparer. Le secteur pourrait ainsi prendre le chemin de celui de l’auto, avec le passage indispensable chez le garagiste.

          Réparer une chambre à air, changer ses freins, régler un dérailleur… Avec quelques tutos et un peu d’entraînement, tout cycliste est en mesure de réparer son vélo soi-même. Mais ces savoir-faire ne suffisent pas toujours quand on possède un vélo électrique. Les pannes sur ces engins, de plus en plus technologiques et complexes, nécessitent souvent de recourir à un professionnel.

          Les réparateurs, eux-mêmes, sont confrontés à des obstacles. C’est ce que déplore Frédéric Hafner, réparateur de vélos indépendant à Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence). Jusque-là, il avait toujours été, en tant qu’électromécanicien, capable de réparer le moteur des vélos électriques, mais il explique être « de plus en plus bloqué par le tout électronique ».

          Applications obligatoires, géolocalisation et antivol intégrés, « boîte automatique » comme pour les voitures… « Pour certains modèles, le dérailleur n’existe plus, et le passage de vitesses est intégré dans le moteur lui-même et se fait par Bluetooth, explique en effet l’artisan. Or, ce n’est pas le petit réparateur du coin qui va pouvoir dépanner ce type de vélo. L’utilisateur doit alors se tourner vers un “concessionnaire” de la marque. »

Devenir « partenaire » de la marque

          Les réparateurs sont également dans l’impossibilité de repérer d’où vient exactement la panne sans un outil de diagnostic. « Ça fait moins de cinq ans, je dirais, qu’on est entré dans l’ère du tout connecté sur les vélos électriques, constate Frédéric Hafner. Pour diagnostiquer la panne, il faut désormais utiliser un logiciel afin de connecter le vélo à un ordinateur. C’est le même principe que la “valise” [de diagnostic] pour les voitures [un outil permettant de localiser l’origine d’un problème]. Je perçois la volonté d’amener les cyclistes dans le même système que les automobilistes. » Chaque constructeur a en effet développé son propre outil de diagnostic, spécifique à ses équipements et indispensable au mécano.

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> fruits et légumes : toujours trop de polluants

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          Les PFAS ou « polluants éternels », des composés chimiques qui se dégradent difficilement, se retrouvent dans l'eau et dans l'alimentation, partout. La proportion des fruits et légumes contaminés a presque triplé en dix ans. Pourtant, les PFAS sont nocifs pour la santé.

          On en trouve dans des couettes, des poêles anti-adhésives, l'alimentation... Les PFAS sont une famille de composés perfluorés plus communément appelés « polluants éternels ». Entre 2011 et 2021, plusieurs ONG dont Générations futures et Pesticide Action Network (PAN Europe) ont retrouvé 31 de ces substances dans les fruits et légumes issus de l'agriculture conventionnelle consommés au sein de l'Union européenne (UE). En dix ans, la proportion de fruits et de légumes contenant au moins un résidu de PFAS à usage agricole a presque triplé (+ 220 % pour les fruits et + 274 % pour les légumes). Sur le haut du podium des pays européens qui produisent le plus d'aliments contaminés par ces polluants éternels en 2021, figurent les Pays-Bas (27 %), la Belgique (27 %), l'Autriche (25 %). Et pour les produits importés, le Costa Rica (41 %), l'Inde (38 %) et l'Afrique du Sud (28 %).

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