l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


Quand l'ordre est injustice, le désordre est déjà un commencement de justice. - Romain Rolland

🎨 Franck Hebert, vous connaissez ?

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          Franck Hébert est un peintre français né en 196, dt Donnay (France). Depuis le début des années 1990, il utilise la peinture comme sa principale forme d'expression, et au début des années 2000, il commence à participer à des expositions et des foires d'art. Hébert aime voyager et dessine dans l'instant, ce qui lui permet de créer des souvenirs de Paris, de Venise ou du Maroc.

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🎨 Artush Voskanyan, vous connaissez ?

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          Artush Voskanyan est un artiste expérimenté basé en Arménie dont les peintures ont été exposées en Argentine, aux États-Unis et en Russie. Dans ses œuvres, le spectateur voit d'abord un portrait. Cependant, à une distance plus rapprochée et à un examen encore plus approfondi, des détails plus petits sont révélés, qui se rapportent au sujet du portrait et le mettent en valeur.

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> le Street Art entre au musée : bonne ou mauvaise nouvelle ?

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           Même les anciens punks finissent par s'embourgeoiser. À la fin du siècle dernier. le Street art en fut un de la plus joyeuse espèce : profane et tête brûlée, il vivait la nuit, grimpait sur les toits, se moquait de la police, et laissait partout des traces bravaches de son insolente jeunesse. Puis le marchand d’art s’est approché du punk et lui a fait les yeux doux. Le punk, par réflexe, a d’abord montré les dents. Mais quand le marchand d’art a sorti le carnet de chèques, le punk s’est soudain souvenu qu’il avait six mois de retard dans le paiement de son loyer...

          Devenu fait de société majeur en même temps que discipline hybride au corpus artistique ultrapopulaire, l’art de la rue a largement gagné sa légitimité au cours des vingt dernières années. Signe des temps : cette grande fabrique mondiale à images est aujourd'hui fêtée dans l'enceinte prestigieuse du Petit Palais, à Paris. Or l’exercice d’accrochage d’œuvres urbaines au milieu de statues deux ou trois fois centenaires, de même que la tentative de création d’un « dialogue » entre ces icônes d’hier et d’aujourd’hui, fonctionne formidablement bien. Notamment parce que les deux commissaires de l’expo sont des cadors dans leur domaine : Annick l.emoine, la directrice du Petit Palais, est une érudite à la passion contagieuse, et Mehdi Ben Cheikh, son al ter ego, un galeriste et un organisateur de festivals d'art urbain dont le militantisme est loué dans tout le milieu. Ensemble, ils signent une partition variée et raffinée.

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