l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


Seuls vos vrais amis savent où vous frapper pour que ça fasse mal. - Bernard Werber

> deux journalistes du « Monde » et de « Libération » étrillent le fonctionnement de La France insoumise

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          LIVRE - De Jean-Luc Mélenchon, on pense tout connaître. Côté pile : d’indéniables talents oratoires, une réelle culture historique et politique, un attachement viscéral à la gauche. Côté face : une capacité à couper les ponts avec d’anciens membres de son cercle proche, une tentation à l’autoritarisme et un goût pour l’esprit de cour.

           Ce fonctionnement dual, qui illustre toutes les forces et les faiblesses du fondateur de La France insoumise, est parfaitement décrit dans le livre La Meute (Flammarion), sous la plume des journalistes Charlotte Belaïch et Olivier Pérou. Pendant deux ans, elle travaillant à Libération et lui au Monde, ils ont interrogé ceux qui gravitent autour de l’ancien sénateur socialiste, de ses plus proches amis et conseillers à ceux qui s’en sont peu à peu éloignés.

               En ressort le portrait sans concession d’un homme politique, tant adulé que critiqué. Lors de ses déplacements, certains militants LFI l’attendent « comme le messie ». « C’est le soleil, et les gens autour se mettent en orbite. Il n’a pas de rapports humains normaux, il ne discute pas réellement avec les militants, il joue son rôle de symbole », raconte une militante dans le livre, dont les bonnes feuilles ont été publiées dans le Monde avant sa sortie le mercredi 7 mai.

               L’ancienne suppléante de Jean-Luc Mélenchon à Marseille, Sophie Camard, reconnaît un aspect « galvanisant » à cet effet de cour. « Il embarque les gens. Ce n’est pas pour rien qu’il est à ce niveau. Ce qui est intéressant dans LFI, ce n’est pas Mélenchon, c’est l’emprise de Mélenchon : il est capable de faire gober aux gens tout et n’importe quoi. Pour certains, c’est côtoyer Dieu le père. Il y a de véritables jeux d’influence pour en être le plus proche ».

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> l'Ukraine vend ses terres rares à la Chine : une décision stratégique

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EXCLUSIF !

          Kyiv, 1er mars 2025 - Dans une décision qui pourrait redéfinir les relations géopolitiques et économiques mondiales, l'Ukraine a annoncé la vente de ses terres rares à la Chine. Cette décision intervient après des mois de négociations intenses et de spéculations sur l'avenir des ressources minières ukrainiennes et le récent guet-apens de Trump dans lequel est tombé le Président Volodymyr Zelensky aux États-Unis.

           Les terres rares, un groupe de 17 éléments chimiques essentiels à la fabrication de produits technologiques avancés, sont devenues un enjeu stratégique majeur. L'Ukraine, riche en ces ressources, a longtemps été convoitée par plusieurs puissances mondiales, notamment les États-Unis et la Chine.

          Selon des sources proches du gouvernement ukrainien, l'accord avec la Chine prévoit la vente de 50 % des réserves de terres rares du pays. En échange, la Chine s'engage à investir massivement dans l'infrastructure minière ukrainienne et à fournir une aide économique substantielle pour la reconstruction post-conflit.

          Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a déclaré : "Cet accord marque un tournant pour notre pays. Il nous permettra de renforcer notre économie tout en assurant une exploitation responsable de nos ressources naturelles." De son côté, le président chinois, Xi Jinping, a salué cette décision comme "un pas important vers une coopération mutuellement bénéfique entre nos deux nations".

           Cependant, cette annonce n'a pas manqué de susciter des réactions mitigées. Les États-Unis, qui avaient également manifesté un vif intérêt pour les terres rares ukrainiennes, ont exprimé leur déception. "Nous espérions un partenariat plus étroit avec l'Ukraine dans ce domaine stratégique", a déclaré un porte-parole de l'administration américaine.

            Les analystes estiment que cet accord pourrait avoir des répercussions significatives sur le marché mondial des terres rares, en renforçant la position de la Chine comme principal fournisseur de ces éléments cruciaux. De plus, il pourrait influencer les dynamiques géopolitiques en Europe de l'Est et au-delà.

          En conclusion, la vente des terres rares ukrainiennes à la Chine représente une décision stratégique majeure, avec des implications économiques et politiques profondes. Seul l'avenir dira si cette décision portera ses fruits pour l'Ukraine et ses partenaires internationaux. - source -

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> les Prix du Trombinoscope, ou la consécration de l’entre-soi

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          Quand les « vedettes de la presse politique française » récompensent les politiques… et consacrent l’extrême droite.

           Dans le petit monde politico-journalistique, il est des rendez-vous qui se font à découvert. Il en est un qui se fait même en grande pompe : chaque année, l’Assemblée nationale accueille la remise des Prix du Trombinoscope, au cours de laquelle un jury, composé de journalistes, récompense des politiques (« ministre de l’année », « député de l’année », etc.).

          Ce 12 février, c’est donc la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, qui ouvre la soirée… et dresse les louanges des journalistes politiques : « Nous avons besoin de votre expertise pour décortiquer, décrypter, mettre en perspective. Besoin de votre plume pour déjouer les infox qui pullulent sur les réseaux sociaux. Besoin de vos analyses pour voir plus haut et plus loin. » Puis de passer le relais aux « vedettes de la presse politique française » – ce sont ses mots. Les « vedettes » en question, outre le président du jury Christophe Barbier, sont Albert Ripamonti (Public Sénat), Emmanuel Kessler (LCP), Sonia Mabrouk (Europe 1), Nathalie Mauret (Groupe Ebra), Yves Thréard (Le Figaro) et Ludovic Vigogne (La Tribune). Un casting qui permet de voir « plus haut et plus loin », assurément.

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