parole de salarié : "Avec les prix qui explosent, on serre la ceinture jusqu'à ce qu'elle nous étrangle"...

L'union européenne est l'ennemi cupide, perfide et impitoyable de ses populations


> démarchage en cabinet : influence des labos sur les médecins

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Une influence sur les médecins !

Un démarchage à domicile a-t-il déjà influé sur vos achats ? Les médecins sont aussi concernés ! La Haute Autorité de santé (HAS) a passé en revue 214 études sur l'effet des rencontres entre professionnels de santé et représentants des labos pharmaceutiques venus présenter leurs nouveaux produits. Il ressort que ces derniers mettent surtout en avant l'efficacité des nouveaux médicaments mais peu leurs effets indésirables. Et que leur passage entraîne plus de prescriptions de ces molécules. La HAS propose plusieurs pistes pour limiter cet impact, parmi lesquelles une formation des futurs professionnels de santé à l'analyse des publicités et des outils marketing.

Les médecins ne sont pas des gens à part. Il apparaitrait qu'environ 30% des gens sont sensibles à la pub, les médecins aussi... Comme toutes publicités, elles sont mensongères par omission des "choses qui fâchent", après il n'est pas étonnant que beaucoup trop de médicaments sous-tendent des effets secondaires très désagréables voire dangereux ! Quant à ce que propose la HAS, cela parait bidon.

 

> 15 minutes par consultation

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          Un médecin est-il dans son droit lorsqu’il impose au patient une consultation limitée à 15 minutes et l’examen d’une seule pathologie par consultation ? Existe-t-il une réglementation que les professionnels doivent respecter dans l’intérêt des patients ? Christian G., Millau (12)

          Aucun texte ne régit spécifiquement la durée et le contenu d’une consultation médicale. On peut toutefois estimer que le bon sens s’applique dans ce type de situation. Quelques travaux de thèse réalisés sur le sujet ont montré que, pour les patients, le fait d’aborder plusieurs motifs en consultation représente un gain de temps et d’argent. Les médecins, eux, ne sont pas très favorables à ce type de rendez-vous, ce qui ne les empêche pas de s’adapter s’il le faut.
          Cependant, nous, patients, avons aussi intérêt à faire preuve d’égards vis-à-vis de nos soignants. Évoquer plusieurs sujets différents lors d’une même consultation n’est pas forcément la meilleure option pour être bien soigné. Cela n’empêche en rien de parler de ses antécédents et de tout élément qui pourrait apporter du contexte. De même, une consultation peut être à la fois rapide et bien menée. Sa durée moyenne en France est de 17 minutes et nous sommes plutôt bien lotis. D’après une étude menée en 2017, la durée moyenne en Allemagne est de 7 à 8 minutes et s’approche des 22 minutes en Suède.

A l'usage, on peut considérer que les médecins d'une seule pathologie sont des médecins de droite pour lesquels vous êtes des clients et non des patients. Ils sont vraisemblablement de la droite catho-fillonnesque et du syndicat correspondant. " Évoquer plusieurs sujets différents lors d’une même consultation n’est pas forcément la meilleure option pour être bien soigné. " me paraît un peu exagéré, car, bien au contraire :

  • une fois que le médecin a pris connaissance de votre dossier, il est à même de mieux comprendre et prescrire pour plusieurs pathologies, non ?
  • si vous êtes diabétique, par exemple, il est évident que cela entraine plusieurs pathologies nécessitant des plusieurs types de soins,
  • je me demande ce que dirai la sécu si je prenais trois rdv à la suite ( donc 3/4 d'heure avec le médecin, quelque fois nécessaire ) pour pathologies "complémentaires",
  • ...

Par contre, il est absolument nécessaire de prendre son temps pour bien détailler ou parler de ses antécédents, ce qui évitera à votre médecin de faire des erreurs car il ne se souvient absolument plus de vous. De même, bien lire l'ordonnance fournie car il y a souvent des erreurs + ou -  graves : mes 3 dernières ordonnances ( dont une faite par une infirmière IPA ) comportaient des erreurs...

 

> ces médecins qui veulent doubler leurs revenus sans rien faire...

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Prix de la consultation : les médecins menacent de se déconventionner, quelles conséquences pour les patients ?

          En réaction à l'échec de la négociation avec l'Assurance maladie, des généralistes lancent un mouvement pour fixer librement le tarif de leur consultation. Ce week-end, des centaines d'entre eux ont sauté le pas, ils veulent atteindre le nombre de 20 000.

          Les médecins généralistes sont sortis furieux des négociations avec l'Assurance maladie, qui a rejeté leur demande d'une augmentation significative du prix de la consultation. Certains d'entre eux brandissent depuis la fin de semaine dernière la menace d'un déconventionnement. Mais qu'est-ce que cela signifierait pour les patients ?

En secteur 3, des honoraires libres

          À l'initiative de l'Union française pour une médecine libre (UFML), en pointe dans le combat mené ces dernières semaines pour une revendication à hauteur de 50€ du montant de la consultation, se sont tenues vendredi et samedi à Paris des Assises du déconventionnement. Elles ont réuni 1 800 praticiens, en présentiel ou à distance. "Un acte fondateur", ont-ils clamé, par lequel "des centaines d’entre eux ont concrétisé le lancement du déconventionnement collectif par le dépôt de leurs lettres d’intentions", indique l'UFML.

          Concrètement, ces praticiens ont décidé de sortir de la convention qui les lie à l'Assurance maladie et limite le montant de la consultation. 25€ pour un généraliste en secteur 1. S'ils vont jusqu'au bout de la démarche, ils seront libres de fixer leur tarif, en relevant alors du secteur 3.

Le patient remboursé de 0,61€

          Dans un tel cas, "l'Assurance maladie rembourse les consultations et les actes sur la base d'un tarif dit d'autorité [...] Quel que soit le montant de la consultation chez un médecin généraliste, vous serez remboursé de 0,61 € (1,22 € chez un spécialiste)", est-il expliqué par Service public.fr, qui détaille le principe du conventionnement. En clair, vous n'êtes pas remboursé, il faut vous en remettre à votre mutuelle et aux prestations de celles-ci.

          La solution pourrait être de changer de médecin... si plusieurs millions de Français n'avaient pas de médecin traitant attitré, déjà, aujourd'hui, s'il n'existait pas tant de déserts médicaux, s'il ne fallait pas plusieurs jours d'attente, souvent, lorsque l'on a la chance d'avoir accès à un généraliste. En clair, cette solution serait un non-choix, ce que le ministre François Braun a traduit par des Français "pris en otage"... si on en arrive là.

Changer le rapport de force

          Pour l'instant, l'UFML entend recueillir les lettres d'intentions de praticiens "sur plusieurs mois jusqu’à un seuil de 15 000 à 20 000 médecins", en ciblant "un seuil critique de médecins déconventionnés par territoires ou professions". Ces fameuses lettres resteront durant cette période chez un huissier de justice, avant d'être adressées au gouvernement pour peser sur celui-ci et l'inciter à remettre sur le métier la convention Assurance maladie qui a échoué à trouver un accord.

          À ce jour, moins de 1% des généralistes français ne sont pas conventionnés. Le principal syndicat, MG France, ne suit pas la stratégie de l'UFML. Mais si elle venait à marcher (20 000 médecins, c'est plus d’un sur six), elle pourrait effectivement changer le rapport de force entre les parties à la négociation. Ou en cas de franchissement du Rubicon par les médecins concernés, mener, dénonce le ministre de la Santé, à "une médecine à deux vitesses". D'un côté les patients pouvant se permettre de payer une consultation plus onéreuse et ceux qui ne le pourraient pas. - source -

Bé bien sûr ! Il semblerait que le principal syndicat revendicateur soit de la droite catho-fillonniste. Rappelons que le candidat Fillon voulait réduire la sécurité sociale aux seuls patients en ALD à 100%, les autres se débrouillant - comme aux USA - avec leur mutuelle...

          Quant aux 50€ demandés pour 5 minutes de consultation..., ils se fichent de notre tête, la consultation dure en réalité 5 minutes + quelques minutes pour consulter le dossier du client + quelques minutes pour faire une ordonnance.

 

> une contamination généralisée des eaux bretonnes par les pesticides

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          Si la surveillance de la contamination de l’air et du sol par les pesticides est aujourd’hui encore peu développée, la surveillance de l'eau s'appuie en revanche sur un maillage régional serré, recherchant de très nombreuses substances et bénéficiant de chroniques de mesures sur plusieurs années. Dans les cours d'eau en surface comme dans les eaux souterraines, la contamination par les pesticides est généralisée sur l'ensemble du territoire breton.

          L’eau est le compartiment de l’environnement le mieux contrôlé et le plus règlementé vis-à-vis de la contamination par les pesticides. Chaque année en Bretagne, ce sont près de 700 substances actives qui sont recherchées parmi les 234 stations de surveillance des cours d’eau concernées par ces programmes. Dans les eaux souterraines, ce sont 40 substances actives qui sont recherchées sur 55 points de surveillance. Les installations d’eau potable fournissent un suivi complémentaire de cette contamination. Pour déterminer une pollution, on s’appuie sur des valeurs seuils de concentration de substances, définies par la directive cadre sur l’Eau, ou par le Code de la santé publique.

Une contamination des eaux de surface qui évolue

          Ces dernières années, on constate des pics de concentrations moins fréquents dans les eaux de surface (seules 9 % des substances quantifiées dépassent le seuil de qualité de 2 μg/l), mais une plus grande diversité de substances quantifiées simultanément (79 % des prélèvements présentent une concentration de substances cumulées supérieure au seuil de qualité de 0,5 μg/l). Cela peut s'expliquer à la fois par une augmentation du nombre de substances recherchées en laboratoire, mais également par une nouvelle caractérisation de la contamination par les pesticides en lien avec l'évolution des usages agricoles (davantage de substances spécialisées pour des usages précis par exemple). En 2019, la contamination est quasi généralisée sur le territoire breton et reflète la vulnérabilité du territoire.

          Les herbicides ainsi que leurs métabolites sont majoritaires. À noter : l’omniprésence, à des fréquences de quantification très élevées (> 80 %), des deux métabolites ESA et OXA du S-métolachore et du métazachlore-ESA, trois métabolites que les laboratoires sont en capacité d'analyser depuis 2017. Malgré son interdiction en 2003, l'atrazine et ses métabolites (atrazine-déséthyl et 2-hydroxy atrazine) présentent des concentrations qui, bien que relativement faibles (respectivement 42 % et 54 %), illustrent leur caractère persistant. Le glyphosate, première substance active vendue en Bretagne (en usage agricole ou nonagricole avant la loi Labbé), ainsi que son métabolite l’AMPA, sont quantifiés dans respectivement 35 % et 64 % des stations dans lesquelles ils sont recherchés. Enfin, le prosulfocarbe, deuxième substance vendue en Bretagne et qui remplace l'isoproturon (principal désherbant sur céréales retiré du marché en 2017), est quantifié dans 60 % des stations.

Une contamination durable des eaux souterraines

          La contamination des eaux souterraines par les pesticides touche également la quasi-totalité des points de suivi du territoire. Parmi les 544 substances recherchées en 2021, 24 (soit 4.4 %) sont quantifiées au moins une fois et 42 % dépassent au moins une fois les seuils réglementaires fixés par la DCE. Là encore, les substances concernées sont majoritairement des herbicides et leurs métabolites, notamment le métolachlore-ESA et le métazachlore-ESA, quantifiés à des teneurs supérieures au seuil de qualité de 0,1 μg/l sur respectivement 57 % et 6 % des points de suivi. L’atrazine (interdite depuis 2003) et deux de ses métabolites sont régulièrement quantifiés dans les eaux souterraines.

          Le fait que ces substances soient toujours retrouvées dans les eaux souterraines malgré l'arrêt de leur vente, parfois des années auparavant, témoigne de leur persistance ainsi que de la forte inertie de ces masses d'eau. Toutefois s’agissant de ces métabolites, la qualité de l’eau s’améliore au fil du temps. Les principales substances actives retrouvées sont généralement celles qui présentent un risque élevé de transfert dans les eaux souterraines en raison de leurs caractéristiques.

          Cependant, pour le glyphosate (18e substance la plus quantifiée), ce n’est pas tant ses propriétés physico-chimiques mais bien son utilisation en quantités importantes qui pourrait expliquer sa présence dans les eaux souterraines. - source -

Rien de nouveau, la Bretagne est une région ultra-pourrie par l'agro-alimentaire. Et, seules 40 substances sont analysées ! D'autre part, quasiment pas d'info sur l'air respiré. Et, curieusement, il y a toujours des touristes !!!

 

> pesticides : des ONG et des élus attaquent

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Pesticides : des ONG et des élus attaquent

          Mise en danger de la vie d'autrui, atteinte à l'environnement, fraudes à la déclaration et à l’étiquetage. » Ce sont les motifs du recours déposé devant le Conseil d'État par 29 associations environnementales et 28 députés, le 2 février dernier. Ce collectif agit dans le cadre de la campagne « Secrets toxiques », lancée en 2020 par Générations futures, Nature & Progrès et une soixantaine d’associations.

          À l'origine de cette opération, le constat de « l’absence de procédures scientifiques permettant de s’assurer de l’innocuité des pesticides commercialisés» et du «laxisme»
des agences sanitaires française et européenne. ONG et élus avaient interpellé la Première ministre le 5 octobre 2022. Les services d’Élisabeth Borne n’ayant pas répondu, ils ont saisi la plus haute juridiction administrative française. Leur argument : ni l’État ni l’Union ne respectent la réglementation, qui dit qu’un pesticide peut être autorisé uniquement s’il est prouvé qu’il n’a pas d’effet néfaste à court et long terme. D’où leur attaque aux motifs de «mise en danger de la vie
d’autrui» et l'«atteinte à l’environnement».

          Par ailleurs, en analysant des pesticides, le collectif y a trouvé plusieurs substances toxiques telles que l’arsenic, le plomb et des hydrocarbures, toutes non déclarées sur les emballages. Cela a donné lieu à la plainte pour «fraudes à la déclaration et à l’étiquetage ». Face à l’inertie des pouvoirs publics, l'action en justice semble l’une des seules voies pour obtenir gain de cause.

Technique de banquier : on fait ce que l'on veut et on attend... et, pendant ce temps-là, on goinfre nos actionnaires. J’oubliais, merci à l'union européenne de merde qui nous permet de le faire.

 

> médicaments : le casse-tête de l’accès des patients à de nouveaux traitements

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          Des traitements potentiellement efficaces, mais qui mettent du temps à arriver jusqu’aux patients gravement malades, ou n’arrivent pas : de nombreux soignants réclament un accès simplifié aux nouvelles molécules, pointant du doigt une perte de chance pour les malades français.

          Les médecins de la société française de médecine prédictive et personnalisée (SFMPP) ont récemment lancé un appel afin de dénoncer le retard d’accès pour leurs patients et « un décalage grandissant » entre les décisions prises par les agences respectivement française et européenne du médicament.

          En cause, la décision de la Haute autorité de santé (HAS), l’instance chargée d’évaluer les médicaments en France, de ne pas rembourser plusieurs anticancéreux. Et ce, alors que l’Agence européenne du médicament (EMA) avait, elle, donné son feu vert, s’agace auprès de l’AFP le professeur Pascal Pujol, président de la SFMPP.

          Pour l’oncologue, c’est le symptôme « d’une méthodologie qui n’est plus adaptée aux nouvelles thérapies », dans les cas où toutes les autres options thérapeutiques sont épuisées.

          En France, la HAS base son évaluation des nouvelles molécules sur plusieurs critères, dont l’un concerne le service médical rendu. Pour cela, elle prend notamment en compte les données fournies par les essais cliniques de phase 3 – dernière étape avant la commercialisation – menés sur un grand nombre de patients.

          Or l’émergence d’une connaissance plus fine des maladies ces dernières années signifie que les molécules ciblant spécifiquement certaines mutations, comme dans le cancer, vont concerner une infime partie des malades. Dans ces conditions, les essais cliniques sur des milliers de cas ne sont plus réalisables, alertent des médecins.

          « Il y a, par exemple, des cancers du poumon très rares qui ne touchent que 200 patients en France. Il n’est pas possible de faire le même type d’études cliniques dans ce cas que sur des maladies qui touchent 60 000 patients », explique le professeur Jean-Yves Blay, oncologue et président d’Unicancer, qui réclame depuis plusieurs années un changement de la méthodologie.

Dispositif d' »accès précoce »

          « Il y a un décalage entre ce qu’on peut lire d’un point de vue scientifique et ce qu’on peut appliquer chez nos malades », abonde le professeur Steven Le Gouill, hématologue à la tête de l’ensemble hospitalier de l’Institut Curie à Paris. « On se retrouve avec des règles d’évaluation des médicaments pas toujours adaptées aux maladies que l’on peut rencontrer ».

          La fédération des associations de patients, France Assos Santé, nuance toutefois cet état des lieux. « Nous ne pouvons pas dire qu’en France nous n’avons pas accès à l’innovation », déclare Catherine Simonin, de la fédération.

          Elle souligne le rôle bénéfique joué par le dispositif d’autorisation dit « d’accès précoce » : un mécanisme mis en place depuis 2021, accordé aux nouvelles molécules dans un cadre très strict, pour les cas les plus graves, avant que le médicament n’ait fini toutes les étapes des essais cliniques.

          De son côté, la HAS indique que les demandes d’accès précoces pour les nouveaux médicaments sont accordées dans la majorité des cas.

          « Cela permet habituellement d’avoir accès à des médicaments en phase 2, voire en phase 1-2 d’essais cliniques », soit les phases intermédiaires, précise à l’AFP le professeur Pierre Cochat, président de la commission de la transparence de la HAS.

          « On cherche sans cesse à trouver un équilibre entre le développement clinique accéléré et la maîtrise du risque au bénéfice du patient », dit-il. Un casse-tête pour les médecins comme pour les autorités de santé, car une molécule sur deux qui présente une efficacité en phase 2 échoue par la suite à démontrer son efficacité en phase 3, sur un nombre plus important de patients, précise la HAS. L’autorité de santé vient de modifier sa méthodologie pour élargir certaines règles d’évaluation.

          Les spécialistes, médecins comme associations, plaident enfin pour une meilleure prise en compte des données de vie réelle – qui correspondent au suivi des patients sous traitement – pour juger des nouvelles molécules. Des données essentielles à leurs yeux pour avoir une évaluation la plus juste possible. - source -

 

Cela me fait penser à l'industrie pharmaceutique qui a fait voter aux USA des lois selon lesquelles ils n'étaient pas responsables des effets secondaires de leurs médicaments en phase 1 sur la covid. La phase 3 des médicaments est très onéreuse, alors, autant s'en passer ?