l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


Nous avons le meilleur gouvernement que l'argent puisse acheter - Mark Twain

> moustiques...

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Moustiques : ce qui ne marche pas

          De nombreuses fausses solutions, officiellement déconseillées par les pouvoirs publics, sont présentes sur le marché. C’est le cas des bracelets anti-insectes (dont nos tests ont aussi démontré l’inutilité), des huiles essentielles (comme les bougies à la citronnelle ou des flacons d’huile essentielle), des raquettes électriques, des appareils sonores à ultrasons (appareils à brancher sur une prise électrique, boîtiers, applis pour smartphone, porte-clés...), des lampes à ultraviolets, des plantes vendues comme répulsives (telles que le géranium ou la citronnelle), des rubans, autocollants et papiers gluants sans insecticide.

          Vous n’arrêterez pas non plus le moustique tigre avec des remèdes « naturels » tels que des pièges à levure dont la recette circule sur Internet.

Que-Choisir santé est de bon conseil. L'article concerné entier indique aussi que " ... l'imprégnation des vêtements par insecticides n'est plus recommandée. Elle n'a pas montré d'efficacité et expose à un risque de toxicité pour l'usager..."

 

> eaux en bouteille : la fraude de Nestlé s'élève à plus de 3 milliards en 15 ans

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          Ce jeudi 18 juillet 2024, Médiapart a pu se procurer le nouveau rapport d'enquête concernant le traitement frauduleux des eaux minérales par Nestlé. Et cela fait froid dans le dos.

          Médiapart a pu consulter le nouveau rapport d'enquête concernant le traitement frauduleux des eaux minérales par Nestlé. Depuis 2005, la multinationale a vendu plus de 18 milliards de bouteilles d'eau sous les marques Contrex, Hépar ou Vittel, dont la qualité équivalait à celle de l'eau du robinet. Mais à un prix près de cent fois supérieur. Au total, la fraude s'élève à plus de 3 milliards en l'espace de 15 ans.

          Tout a commencé en novembre 2020, lorsqu'un salarié du groupe Alma (qui commercialise les eaux de la marque Cristaline), signale auprès de la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes des traitements non conformes des eaux commercialisées comme " eaux minérales naturelles ". Cette alerte déclenche un premier rapport du Service national d'enquête (SNE) de la DGCCRF, et un deuxième de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas), indique Médiapart.

          Ces enquêtes concluent que près de 30 % des marques françaises, dont celles du groupe Nestlé, ont recours à des techniques de purification des eaux classées comme " minérales naturelles " interdites, traitements utilisés notamment contre des contaminations bactériennes ou chimiques.

► pour lire la suite...

> dépistage gratuit des moins de 26 ans pour quatre infections sexuellement transmissibles (IST)

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          Gonorrhée, syphilis… : les jeunes vont pouvoir se faire dépister gratuitement sans ordonnance pour quatre IST. A partir du 1er septembre, les moins de 26 ans pourront se faire tester en laboratoire pour l’hépatite B, la syphilis, l’infection à chlamydia et la gonorrhée. Gratuitement et sans ordonnance.

          Une étape supplémentaire dans la santé sexuelle des jeunes. En plus des capotes gratuites, les moins de 26 ans n’auront plus besoin d’une ordonnance pour se faire dépister gratuitement en laboratoire contre quatre infections sexuellement transmissibles (IST) à partir du 1er septembre. Il s’agit de l’hépatite B, la syphilis, l’infection à chlamydia et la gonorrhée : elles font partie des IST les plus fréquentes et sont des maladies bactériennes qui peuvent être guéries lorsqu’elles sont diagnostiquées.

          La mesure avait été annoncée en septembre 2022 et inscrite dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2023. Un arrêté devait ensuite préciser la liste des IST concernées ; le texte vient d’être publié, le 8 juillet. Jusqu’à présent, seul le dépistage du VIH était pris en charge pour tous, sans ordonnance ni avance de frais, depuis 2022.

          A partir de septembre, toute personne de moins de 26 ans pourra venir en laboratoire pour se faire dépister, sans passer par la case médecin, gynécologue ou sage-femme. A son arrivée, il devra d’abord remplir un questionnaire – principalement sur ses symptômes, ses pratiques sexuelles et ses vaccins. Les résultats permettront « au biologiste médical d’orienter le patient vers les dépistages les plus pertinents et les modalités d’auto-prélèvement les plus adaptées, au regard de ses pratiques sexuelles et conformément aux recommandations scientifiques ». Si le test s’avère positif, le biologiste médical recevra ou appellera le ou la patiente pour l’orienter vers la structure de soins adaptée. Concernant les mineurs qui n’auraient pas le consentement d’un titulaire de l’autorité parentale, ils seront redirigés dans un centre gratuit d’information, de dépistage et de diagnostic.

          Une telle mesure vise à faciliter et augmenter le nombre de dépistages, primordiaux dans la prévention de la transmission de ces maladies. D’autant qu’on « peut être porteur d’une IST sans se sentir malade, sans présenter de symptômes et donc la transmettre sans s’en rendre compte », souligne l’Assurance Maladie sur son site. En 2022, selon les dernières données de Santé publique France, 2,6 millions de personnes ont bénéficié au moins une fois d’un dépistage remboursé d’une infection à chlamydia trachomatis, 3 millions d’un dépistage d’une infection à gonocoque et 3,1 millions d’un dépistage de la syphilis.

          Depuis le début des années 2000, les IST d’origine bactérienne recommencent à augmenter dans les pays occidentaux, après un recul pendant vingt ans dans le sillage de l’épidémie de sida. En mars, le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies a alerté sur l’augmentation «inquiétante» des IST en Europe. En 2022, les cas de gonorrhée ont bondi de 48 %, avec 70 881 cas dans l’Union européenne, ceux de syphilis accusent une hausse de 34 % (35 391 cas) et ceux de chlamydia de 16 % (216 508 cas). - source -

Excellent, mais cela devrait être étendu aux mineurs sans contrainte,...

 

> une nouvelle loi allemande sur la recherche médicale garantit aux entreprises pharmaceutiques la confidentialité des prix

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           L’Allemagne a adopté jeudi (4 juillet) sa loi sur la recherche médicale qui permettra aux entreprises pharmaceutiques de négocier en privé le prix des médicaments protégés par un brevet.

          La commission de la santé du Bundestag a modifié et approuvé la loi le mercredi 3 juillet. Celle-ci contient de nombreux éléments importants, notamment la rationalisation de la coopération entre les différentes autorités réglementaires, des clauses contractuelles types pour les essais cliniques et un comité d’éthique indépendant pour les procédures spéciales.

          Jusqu’à présent, les négociations de prix avec les caisses d’assurance maladie légale étaient publiques. La nouvelle loi permettra aux entreprises pharmaceutiques de négocier à huis clos les montants de remboursement pour les nouveaux médicaments protégés par un brevet.

          Il y aura une première négociation sur le prix, puis les entreprises pharmaceutiques disposeront d’une période de cinq jours pour choisir de garder leur prix confidentiel ou de le rendre public. Si les entreprises pharmaceutiques choisissent l’option confidentielle, les assureurs recevront une remise de 9 % sur le montant négocié.

          Le système ouvert de l’Allemagne en a fait une source de référence pour d’autres systèmes de santé. Si les prix sont confidentiels, cela permettra certainement d’obtenir des remises plus importantes lors du processus de négociation.

          Cette option pourrait être considérée comme une situation gagnante pour toutes les parties, puisque les acheteurs pourraient bénéficier d’une remise sur le prix. Et les entreprises pharmaceutiques disposeraient d’une plus grande marge de manœuvre dans le cadre de tractations avec d’autres acheteurs potentiels.

          Les législateurs ont insisté pour que le nouveau mécanisme soit évalué d’ici à la fin de 2026, mais il existe une clause d’extinction à la fin du mois de juin 2028, si l’évaluation s’avérait négative.

          Paula Piechotta, rapporteur pour les médicaments et les dispositifs médicaux au sein du groupe parlementaire des Verts au Bundestag, souhaitait annuler les dispositions relatives au remboursement confidentiel. Elle estime toutefois qu’avec les amendements, la loi est plus équilibrée : « En tant que députés, nous devions protéger les intérêts des assurés dans le pays et nous l’avons fait. »

          Seules les entreprises pharmaceutiques disposant d’un département de recherche et de projets appropriés en Allemagne sont autorisées à garantir la confidentialité des prix. Cette loi est un élément majeur d’une stratégie plus large proposée en 2023, visant à améliorer l’investissement et la production de produits pharmaceutiques et d’appareils médicaux. Cette stratégie semble déjà porter ses fruits, l’Allemagne devenant un site de plus en plus attractif pour l’industrie pharmaceutique, comme en témoigne l’investissement d’un milliard d’euros du géant pharmaceutique français Sanofi. L’Américain Eli Lilly et le Japonais Daiichi-Sankyo ont également annoncé des projets similaires. - source -

 

Von der Layen et le président de Pfizer...

Bé bien sûr, le sacro-saint secret des affaires !!! Et, ce que fait l'Allemagne - qui en a strictement rien à foutre des autres pays de l'union européenne de merde - cette union européenne de merde et von der Layen l'imposent peu de temps après. Après le gros cadeau, il y a quelques années, à l'industrie pharmaceutique, et au détriment des patients/consommateurs, par la suppression d’étiquetage/vignette des prix sur les médicaments en France, cette industrie va pouvoir maintenant s'arranger avec les "autorités" d'un pays ou d'une région, beaux bénéfices en perspectives... Qui, d'après vous, va encore payer la facture ?

 

> vous avez demandé un dentiste ? ne quittez pas...

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          La cata ! Une dent qui se casse, évidemment un samedi, veille de 14 juillet, et une recherche d'un dentiste, là aussi évidemment infructueuse,

" ce praticien réserve la prise de rendez-vous aux patients déjà suivis "
ou un seul rdv possible dans 4 mois, voire 8 mois à l'hôpital public !!!
 
car on ne trouve ( ville de plus de 80.000 habitants et 100 kms à la ronde ) que cela sur doctolib pour les jours à venir, exemple :
 
 
          Il y a 1 an en vacances, j'ai du faire plus de 100 kms pour obtenir un rdv chez un dentiste pour le même problème pour la même dent - toujours en cours de soins chez mon dentiste, malheureusement nul, mais il n'y en a pas d'autres -. Pauvre France ! notre système de santé est devenu celui d'un pays du tiers-monde ! et tout cela grâce aux députés LR, PS et macronistes ( tous leurs associés ) qui n'ont eu cesse de voter les lois pour le détruire !!! Enfoirés !
 
Le pire, c'est que l'on est d'une part complètement impuissant, et, de l'autre côté complètement exaspéré. Je vais voir lundi pour essayer de trouver un dentiste non conventionné, puisque, de nos jours, il semblerait que les possibilités d'accès aux professions médicales soient en corrélation avec les tarifs de leurs consultations...
 
 

> les habitants des Hauts-de-France testeront le retour de la consigne du verre en 2025

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          Les Hauts-de-France font partie des quatre régions françaises qui testeront le retour de la consigne du verre en 2025, notamment dans les grandes surfaces, avant une possible généralisation en France.

          Le retour de la consigne du verre va être expérimenté dans quatre grandes régions du nord-ouest de la France à compter de mai 2025, ont annoncé mercredi le gouvernement sortant et l’éco-organisme Citeo, qui espèrent à terme une « généralisation » à l’échelle nationale. « Dès mai 2025, 16 millions de Français pourront acheter des produits de grande consommation dans des emballages réemployables, dans les grandes surfaces alimentaires de quatre grandes régions de l’ouest et du nord de la France (Pays de la Loire, Bretagne, Normandie, Hauts-de-France) », a indiqué Citeo dans un communiqué.

« Réduire l’impact environnemental» des emballages

          Citeo est financé par les producteurs d’emballages pour soutenir financièrement les collectivités territoriales, et organiser la collecte dans le bac jaune sur l’ensemble du territoire national. À compter de mai 2025, « les premiers emballages standardisés réemployables », créés par Citeo, « seront disponibles dans les grandes surfaces », a déclaré Jean Hornain, directeur général de Citeo, cité dans le communiqué. Il espère ainsi « réduire l’impact environnemental des emballages ».

          La mise en production de ces emballages est prévue à partir d’octobre 2024, selon Citeo, qui table sur une installation des dispositifs de collecte en magasin à compter de mars 2025. Principaux produits concernés, selon le gouvernement : la bouteille de bière, mais également de jus de fruits, ainsi que les bocaux de conserves alimentaires. Cette initiative, développée avec l’appui du syndicat Brasseurs de France, qui rassemble les plus grands acteurs de la filière, « part d’un constat, la hausse des prix du verre l’année dernière lors de la crise énergétique », a indiqué le gouvernement lors d’un point presse mercredi soir.

Des emballages nettoyés

          Outre l’intérêt environnemental de la démarche, beaucoup moins énergivore que la production de nouvelles bouteilles, les acteurs de l’agroalimentaire espèrent donc également reconstituer en partie leurs marges. Les 30 millions d’emballages visés seront nettoyés dans la laverie Bout’ à Bout’, à Carquefou, près de Nantes, soutenue par l’État dans le cadre du plan France Relance.

          Le montant de la consigne qui sera reversé pour inciter les consommateurs à rapporter leurs contenants doit encore être fixé par un arrêté de la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes), selon le gouvernement. L’enveloppe financière disponible au sein de l’éco-organisme pour développer le réemploi avoisine 450 millions d’euros sur six ans, selon la même source. - source -

Belles excuses habituelles pour encore créer une grosse affaire de très gros sous ( grosses subventions, gros avantages fiscaux et gros profits ) qui va profiter encore aux mêmes...

wikipedia : (...) " Le Conseil d’administration de Citeo est présidé par Antoine Fiévet (Bel) depuis 2021, en remplacement de Philippe-Loïc Jacob (Danone) qui exerçait depuis 2009. Il compte 18 administrateurs, représentants des différents collèges de l'actionnariat de Citeo ( 8 pour l'industrie : Coca-Cola, Nestlé, Danone, Heineken, Henkel, L'Oréal, Eureden, 6 pour le Commerce Distribution et Vente à distance : La Redoute, Fédération du commerce et de la distribution, Carrefour, Les Mousquetaires, Groupe 3SI, Système U, 1 pour Papetiers / éditeurs, 1 pour Services : Société Générale, et 1 pour Filières d’emballages : ArcelorMittal), et un censeur d’État. " (...)

          MAIS c'est tout de même une bonne chose en espérant que l'eau sera aussi mise aussi en bouteille de verre car tout le monde sait que le plastique des bouteilles se délite dans son contenu avalé par le consommateur ; sans oublier la kyrielle de produits toxiques que l'on trouve aussi dans les boites de conserves,...