L'irradiation des aliments, officiellement appelée "ionisation" consiste à soumettre un aliment à un rayonnement ionisant : rayons gamma (issus de substances radioactives, le Cobalt 60 ou le Césium 137), rayons x ou faisceaux d'électrons à très haute énergie.
Ce procédé, inventé au milieu des années 1940 par des scientifiques français, pour les besoins des échanges internationaux, permet de décontaminer les denrées, supprimer certains micro-organismes et insectes, ralentir le mûrissement, inhiber la germination et mieux conserver les aliments. Elle permet ainsi le transport sur de longues distances et le stockage de longue durée.
Avantages de l'irradiation des aliments
L'irradiation des aliments ne rend pas l'aliment radioactif . Elle ne doit pas être confondue avec la contamination radioactive (incorporation par la plante ou l'animal d'éléments ou composés radioactifs polluants qui se retrouvent dans les aliments).
Souvent présentée comme moins nocive que d'autres modes de conservation industriels, cette technologie permet surtout de contourner - au moins en partie - l'usage de produits chimiques (pesticides, conservateurs) ; elle est plus souple d'utilisation que la surgélation (contraignante par le maintien de la chaîne du froid) et peut être appliquée à quasiment tous types de produits, y compris les produits frais, à l'inverse des traitements par la chaleur.
Les partisans de l'irradiation des aliments la présente comme une solution miracle contre les maladies d'origine alimentaire (salmonellose, infections à E. coli 0157 :H7). Malheureusement, de nombreuses études scientifiques montrent également les limites et les risques de l'irradiation sur la santé.
Le saumon d’élevage est le passe-partout du traiteur. La France en importe de Norvège, d’Écosse, d’Irlande et du Chili plus de 200000 tonnes par an. Sous le couvert de la souveraineté alimentaire, l’élevage du saumon atlantique tente un nouvel atterrissage en France.
L’agroalimentaire veut faire du saumon hors-mer. La mer serait trop polluée pour y cultiver un produit aussi noble. Malgré un discours nickel - « Nous ne laisserons sortir aucune eau polluée, les boues seront recyclées en biogaz et nous installerons un potager sur les toits » -, le collectif Dourioù Gouez («eaux propres ». en breton) ne s’est pas laissé endormir à Plouisy en Bretagne. Pas question d’enrichir la baie de Paimpol par les rejets quotidiens de 600 000 litres de lisiers piscicoles pollués par les résidus de médicaments. Smart Salmon a tenté le coup, mais les élus de Guingamp-Paimpol Agglomération ont finalement retourné leur veste de chasse et renoncé à vendre au groupe norvégien les 10 ha de terres agricoles où devait s’implanter la porcherie d’un nouveau genre.
Un autre projet, porté par un fonds d’investissement singapourien basé aux Émirats arabes unis, s’enlise au Verdon-sur-Mer, dans l’estuaire de la Gironde, sur 14 ha concédés par le port de Bordeaux. Selon le directeur français de Pure Salmon, Xavier Govare, ex-P-DG de Labeyrie, roi du foie gras très gras, les saumons seront préservés des pollutions et des contaminants transportés par les oiseaux migrateurs. L’élevage du Verdon bénéficierait d’une «biosécurité parfaite ». La ferme aux saumons du Verdon devient la «ferme ta gueule», car Pure Salmon vient d'attaquer en diffamation le collectif Eaux Secours Agissons ! qui s'oppose à l’entreprise.
Par contre, à Boulogne-sur-Mer, là où le port de pèche crève, ça baigne pour la salmoniculture. Des conventions financières ont déjà été signées entre la Région Hauts-de-France, l'agglo du Boulonnais et le promoteur. Local Océan France. Les œufs viendront d’Islande par avion. À l’arrivée, ils seront inspectés, les viables seront désinfectés, acclimatés et transférés dans les racks de l’écloserie. Après quinze semaines d'incubation, ils devraient éclore. Les alevins de moins de 1 g seront ensuite aspirés dans des bassins dont la température s’élèvera progressivement. Dix semaines après, ils devront peser peser 5 g et. via une série de canalisations et de pompes, les vainqueurs seront transférés dans les bassins de prégrossissement. Dix semaines encore pour atteindre le cap des 30 g. L’étape est décisive. Les alevins sont exposés vingt-quatre heures sur vingt-quatre à un éclairage LED reproduisant « l'ambiance des longues journées d ’été de l’Arctique ». Durant les soixante-douze semaines suivantes, ils devront passer de 120 g à 5 kg.
À 200 g, les juvéniles seront soumis aux vaccinations, aux antiparasitaires et, si nécessaire, aux antibiotiques ; c’est à ce stade que la mortalité quotidienne (430 kg. selon l'évaluation des promoteurs) est la plus forte. Ils tournicoteront dans des bacs de 19 m de diamètre, eux dont les pairs sauvages parcourent des milliers de kilomètres dans les rivières et l’océan Atlantique. Ils seront nourris avec des granulés de farines, de plumes et d'huile de volailles, de farines d’insectes, de protéines et de tourteaux de soja. Des liants brevetés seront incorporés aux granulés pour éviter que les excréments ne flottent et ne se fragmentent en particules qui compliqueraient le recyclage et la réutilisation de l’eau. Et enfin, le temps de transition. C’est une sorte de jeune de purification avant l'étourdissement par électrocution, la vérification de l’insensibilité en pinçant la queue, le tranchage des branchies, la saignée immédiate pendant que le système cardio-vasculaire fonctionne encore, garantissant « à la fois une chair goûteuse pour le consommateur et une absence de stress ou de lutte de l'animal », et le plongeon dans un caisson de refroidissement pour réduire la température à cœur et améliorer la durée de conservation de celui qui, après un peu plus de deux ans de bagne, sera devenu un consommable. Le 8 août, le commissaire enquêteur a remis un avis favorable...
Et bien sûr on va croire tout ce que nous racontent les industriels sur l'usage de l'eau de mer pompée qui sera plus pure que pure ! Si on croit encore celle-là ! Si vous allez vous baignerez près de ces usines comme à Royan (17), vous économiserez sur vos antibiotiques ou antiparasitaires...
Des chercheurs néerlandais affirment que le chatbot était capable d’émettre des diagnostics médicaux corrects dans la grande majorité des cas.
Il pourrait vite devenir essentiel dans les hôpitaux. Aux urgences, le chatbot d’intelligence artificielle ChatGPT a réalisé des diagnostics au moins aussi bien que des médecins et les a dans certains cas surpassés, ont découvert des chercheurs néerlandais, selon lesquels l’IA pourrait « révolutionner le domaine médical ».
Les auteurs de l’étude parue mercredi ont toutefois souligné que les jours des médecins urgentistes n’étaient pas encore comptés, le chatbot étant potentiellement capable d’accélérer le diagnostic mais pas de remplacer le jugement et l’expérience d’un humain.
Trente cas traités dans un service d’urgence aux Pays-Bas en 2022 ont été examinés en alimentant ChatGPT en fonction des antécédents des patients, des tests en laboratoire et des observations des médecins, demandant au chatbot de proposer cinq diagnostics possibles. Dans 87 % des cas, le bon diagnostic se trouvait dans la liste des praticiens, contre 97 % pour la version 3.5 de ChatGPT. Le chatbot « était capable de réaliser des diagnostics médicaux un peu comme l’aurait fait un médecin humain », a résumé Hidde ten Berg, du service d’urgence de l’hôpital Jeroen Bosch, dans le sud des Pays-Bas.
Le coauteur de l’étude Steef Kurstjens a souligné que celle-ci ne concluait pas que des ordinateurs pourraient un jour diriger les urgences mais que l’IA pouvait jouer un rôle vital en aidant les médecins sous pression. Le chatbot « peut aider à réaliser un diagnostic et peut peut-être proposer des idées auxquelles le médecin n’avait pas pensé », a-t-il déclaré. De tels outils ne sont pas conçus comme des dispositifs médicaux, a-t-il toutefois relevé, partageant également des inquiétudes quant à la confidentialité des données médicales sensibles dans un chatbot.
Et, comme dans d’autres domaines, ChatGPT a rencontré certaines limites. Son raisonnement était « parfois médicalement invraisemblable ou incohérent, ce qui peut conduire à des informations erronées ou à un diagnostic incorrect, avec des implications importantes », note l’étude.
Les scientifiques admettent également certaines lacunes dans leurs recherches, comme la petite taille de l’échantillon. De plus, seuls des cas relativement simples ont été examinés, avec des patients présentant une seule plainte principale. L’efficacité du chatbot dans des cas complexes n’est pas claire.
Parfois, ChatGPT ne fournissait pas le bon diagnostic dans les cinq possibilités, explique Steef Kurstjens, notamment dans le cas d’un anévrisme aortique abdominal, une complication potentiellement mortelle, avec l’aorte qui enfle. Mais, consolation pour ChatGPT, dans ce cas, le médecin s’est également trompé.
Le rapport signale en outre des « gaffes » médicales commises par le chatbot, par exemple en diagnostiquant une anémie (faible taux d’hémoglobine dans le sang) chez un patient présentant un taux d’hémoglobine normal. Les résultats de l’étude, parus dans la revue spécialisée Annals of Emergency Medicine, seront présentés au Congrès européen de médecine d’urgence (EUSEM) de 2023 à Barcelone. - source -
Mouais,... De toute façon, l'objectif essentiel restera toujours se faire un max de fric en en faisant le moins possible > je crois plus à une pré-consultation médicale avec une I.A. ( Intelligence Artificielle ) comme sas obligatoire avant d'obtenir un éventuel RdV avec un médecin. En matière d'I.A., les gouvernements recherchent surtout et en priorité des I.A. capables de s'infiltrer partout et tout surveiller, la santé publique ? Ils s'en fichent éperdument !...
Un rapport d’un régulateur estime que le niveau de risque ne justifie pas d’interdire le glyphosate.
Pour les écologistes, ce n’est ni plus ni moins un « scandale ». La Commission européenne a proposé ce mercredi aux États membres de renouveler pour dix ans l’autorisation du glyphosate dans l’UE, jusqu’au 15 décembre 2023. Elle se fonde sur le rapport d’un régulateur, qui estime que le niveau de risque ne justifie pas d’interdire cet herbicide controversé, selon un texte mis en ligne.
La proposition de l’exécutif européen sera examinée vendredi par les Vingt-Sept qui devront ensuite la valider le 13 octobre. Cette proposition précise que l’usage de glyphosate doit s’accompagner de « mesures d’atténuation des risques » aux alentours des zones pulvérisées, en « apportant une attention particulière » aux effets indirects sur l’environnement.
L’autorisation actuelle du glyphosate dans l’UE, renouvelée en 2017 pour cinq ans, expirait le 15 décembre 2022, mais a été prolongée d’un an dans l’attente d’une évaluation scientifique sur l’herbicide.
Début juillet, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) avait finalement publié son rapport. Verdict : elle n’a pas identifié de « domaine de préoccupation critique » chez les humains, les animaux et l’environnement susceptible d’empêcher son autorisation. Mais elle avait aussi relevé « un risque élevé à long terme chez les mammifères » et reconnu que le manque de données empêchait toute analyse définitive.
Pour en tenir compte, la Commission enjoint les États, chargées de délivrer les autorisations au niveau national et de fixer les conditions d’utilisation selon les spécificités locales, à « apporter une attention particulière » aux effets sur l’environnement et les petits mammifères. En envisageant, « si nécessaire », des mesures d’atténuation ou des restrictions.
« Quel scandale ! Les études scientifiques, y compris celles très partielles de l’EFSA pointent la toxicité à long terme de cette substance, souligne l’agronome Benoît Biteau, également député écologiste européen. Et même avec ça, la Commission européenne persiste et signe. Kafkaïen ! »
La députée écologiste européenne Marie Toussaint parle également « d’aberration totale » : « Sa ré-approbation et pour une telle durée constituerait une violation des droits humains à la vie et la santé, et des droits du vivant. »
Le glyphosate, la substance active de plusieurs herbicides - dont le célèbre Roundup de Monsanto, très largement utilisé dans le monde - avait été classé en 2015 comme un « cancérogène probable » pour les humains par le Centre international de recherche sur le cancer de l’Organisation mondiale de la santé.
À l’inverse, l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) a jugé l’an dernier que les preuves scientifiques disponibles ne permettaient pas de classer le glyphosate comme cancérogène. - source -
Annonce faite mercredi 20 septembre, la veille de la journée mondiale de la maladie d'Alzheimer dont l'origine de dégâts neurologiques, comme pour celle des maladies de Parkinson ou la sclérose en plaques est dûe en grande partie par ce glyphosate ! La maladie d'Alzheimer touche de plus en plus de personnes en France et malheureusement des personnes de plus en plus jeunes, ça craint ! Mais l'union européenne de merde va autoriser pour 10 ans ce poison, voilà, c'est ça l'union européenne de merde dont les français n'ont surtout pas voulu par référendum du 29 mai 2005 !!!
Six organisations d’infirmières et d'étudiantes infirmières ont déposé un recours devant la justice, ce lundi 18 septembre. Elles s’opposent à un arrêté, paru au Journal officiel le 3 juillet dernier, permettant aux aides-soignantes, sous certaines conditions, d’intégrer une école d’infirmière dès la deuxième année.
Ce texte est "inadapté aux exigences du métier", et "met en danger les patients" ainsi que "la reconnaissance du diplôme au sein de l'Union européenne". C’est ce que dénoncent six organisations notamment d’infirmières et d'étudiantes infirmières. Parmi elles, Convergence infirmière, le Syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI) et la Fédération nationale des étudiantes en sciences infirmières (FNESI). Ce lundi, elles ont déposé un recours devant le Conseil d’Etat au sujet de l’arrêté du 3 juillet, paru au Journal officiel. Le texte permet aux "aides-soignants disposant d'une expérience professionnelle d'au moins trois ans à temps plein sur la période des cinq dernières années" d'"intégrer directement la deuxième année de formation d'infirmier", après avoir validé "un parcours spécifique de formation de trois mois", stipule l'arrêté.
Pour les six organisations, cela est "insuffisant", puisque ces "trois mois" de formation représentent "seulement 420 heures" au lieu des 1 533 heures prévues dans la première année d’étude de soins infirmiers, selon l’AFP. Cette formation accélérée ne permet pas non plus d’obtenir les crédits européens (ECTS), prévus dans la législation européenne.
Cette formation, qui doit débuter en février 2024, va "à l’encontre" de la logique de "montée en compétences" et "d’universitarisation" du métier d’infirmière, pour les six organisations. "On ne peut pas tolérer un nivellement par le bas" des compétences, ajoute Ghislaine Sicre, présidente de Convergence infirmière.
"Les infirmières ont le droit de faire de plus en plus d’actes, indique Jean-Christophe Boyer, l’un des avocats des organisations, alors comment peut-on de l’autre côté de la chaîne fragiliser leur socle ?" Thierry Amouroux, porte-parole du SNPI, pense, lui, déjà aux conséquences sur les patients : "Derrière cette décision irresponsable de réduire d’un tiers la durée de formation, il y aura des morts." - source -
objectif de la macronie : les techniciennes de surface pourront faire aide soignantes qui pourront faire infirmière qui pourront faire médecin. Bref tout le monde pourra tout faire... à prix cassé. Des infirmièr(e)s peuvent maintenant insérer des pacemakers à la place des cardiologues et des IPA ( infirmièr(e)s en pratique avancée ) remplacent les médecins pour le renouvellement d'ordonnances et autres,... Bref, de pire en pire, la macronie organise depuis des années un déclassement professionnel dans tous les domaines pour justifier les salaires de misère ! Seul le privé gardera peut-être des compétences...
La solution trouvée par le Gouvernement pour faire face à la pénurie de médicaments
Antidouleurs, antidiabétiques, antibiotiques… depuis quelque temps, la France doit faire face à une pénurie de médicaments. Pour éviter une situation délicate cet hiver, la vente à l'unité va être généralisée, a appris franceinfo.
Dans les pharmacies, le constat est net : des médicaments manquent à l'appel. "Aujourd’hui, une ordonnance sur deux, je ne peux pas la délivrer en intégralité. Entre moi, mes adjoints, mes préparateurs, nous passons entre deux et quatre heures par jour entre les appels aux médecins, les appels aux fournisseurs, pour avoir des produits", expliquait un pharmacien à franceinfo il y a une semaine. Depuis la pandémie de Covid-19, les pénuries de médicaments sont nombreuses et l'hiver qui se profile inquiète au plus haut point le ministère de la Santé.
Alors, pour faire face à de potentielles ruptures, et surtout limiter la casse, le Gouvernement va rendre obligatoire la distribution de médicaments à l'unité, a appris franceinfo. Cela veut dire tout simplement que lorsqu'un patient présentera une ordonnance, le pharmacien devra lui délivrer les antibiotiques cachet par cachet, et non la boîte entière comme auparavant. Le Gouvernement veut éviter un gâchis et une perte inutile de médicaments qui restent dans la boîte lorsqu'elle n'est pas utilisée entièrement.
Dans un entretien accordé aux Échos ce mercredi, le ministre de l'Industrie a confié qu'en cas de pénurie, les hôpitaux et les industriels pourront fabriquer des préparations, et ce peu importe les médicaments. Une manière, aussi, de dépanner. Selon franceinfo, le ministère de la Santé planche également sur les problèmes de livraison de matières premières et la mauvaise gestion des stocks. Aujourd'hui, 70% des médicaments qui manquent sont des médicaments anciens. Or, leur rentabilité n'est plus la même depuis quelques années et les laboratoires préfèrent les médicaments plus innovants et donc plus rentables.
Et pour éviter que des médicaments soient en pénurie permanente, le Gouvernement voudrait s'inspirer de la loi Florange. Le but ? Rendre obligatoire la reprise d'un site industriel qui produit des médicaments jugés d'intérêt thérapeutique. S'ils ne le font pas, l'État pourra reprendre la main gratuitement dessus pendant deux ans. De même, certains prix vont être relevés, comme celui de l'amoxicilline, afin d'inciter à produire ou relocaliser en France. Mais cette hausse de tarif implique une obligation d'assurer des stocks dans le pays. Enfin, le ministre de la Santé a déjà annoncé que les pharmaciens pourront délivrer des antibiotiques sans ordonnance. En revanche, un patient devra faire un test au préalable, selon sa pathologie. - source -
Alors voilà quel était le but de l'organisation de la pénurie de médicaments en France par la macronie : distribuer les médicaments à l'unité pour réduire encore le budget de la sécu, qui reversé au budget de l'état, va permettre d'engraisser encore les entreprises ! Quand aux antibiotiques, il suffit de les interdire pour les animaux d'élevage qui en sont goinfrés journellement, à commencer par les lapins !!!