De nouveaux épisodes de contamination, notamment par des bactéries pathogènes, ont eu lieu au sein de l’usine Perrier du Gard. Selon la cellule investigation de Radio France, l’Agence régionale de santé d’Occitanie demande au préfet de retirer à Perrier son label "eau minérale naturelle". La répression des fraudes a saisi la justice.
D'après un document de l'Agence régionale de santé (ARS) d'Occitanie que la cellule investigation de Radio France s'est procuré, des bactéries pathogènes de l'intestin (entérobactéries) ont été retrouvées dans l'eau des bouteilles de Perrier (75 centilitres), au sein de l'usine du Gard, située à Vergèze où est produite la célèbre marque.
Ce nouvel épisode de contamination a entraîné l'arrêt d'une ligne de production, et le blocage de 369 palettes, c'est-à-dire environ 300 000 bouteilles. Par ailleurs, des centaines de milliers d'autres bouteilles de 50 centilitres sont également bloquées en raison de la présence d'un excès de germes revivifiables, possibles indicateurs de contamination bactériologique.
"Une destruction complète pourrait être envisagée"
Selon le groupe Nestlé, qui avait déjà dû détruire 3 millions de bouteilles en avril 2024 en raison d'un épisode de contamination par des bactéries issues de germes fécaux, il s'agit de " simples mesures internes de gestion de la qualité […] indépendantes de la qualité de l'eau au forage ". " Tous les produits mis sur le marché sont sûrs ", indique encore le groupe. D'après l'Agence régionale de santé d'Occitanie, " des discussions sont prévues avec Nestlé Waters ", mais " une destruction complète pourrait être envisagée ".
Longtemps, la baisse continue de la mortalité infantile a été l’un des signes les plus flagrants des progrès de la science et de la société française. Alors qu’en 1945, pour 1 000 naissances vivantes, plus de 50 enfants mouraient avant leur premier anniversaire, ils n’étaient plus que 22 en 1965, 10 en 1980 et 3,6 en 2005, l’étiage dans ce domaine. Mais après une période de stagnation, la mortalité infantile en France a recommencé à augmenter depuis 2021 pour atteindre 4,1 en 2024 contre 3,3 en moyenne européenne et 2,5 en Suède (pour 1 000 naissances). Alors que la France était en tête pour la survie des enfants en 1990 en Europe, la voilà parmi les lanternes rouges. Son taux de mortalité infantile se situe à la 23e place parmi les 27 Etats de l’Union, entre la Pologne et la Bulgarie.
La sécheresse des statistiques masque la détresse des parents des 2 700 enfants (1 sur 250) qui, en 2024, sont morts avant 1 an, et même au cours de leur premier mois pour près de trois sur quatre. Ce ne sont certainement pas ces familles en deuil qui vont sonner l’alarme auprès des autorités sur le scandale de cette dégringolade française et le silence assourdissant qui l’entoure. Comme s’il s’agissait d’une énième ombre au tableau des malheurs du temps, la recrudescence de la mortalité infantile n’alimente aucun débat, alors que c’est une honte nationale.
La promesse faite en 2022 par Elisabeth Borne, alors première ministre, d’ériger l’enfance en « priorité du quinquennat » s’est perdue dans les sables des remaniements et de la dissolution de l’Assemblée nationale, en juin 2024. Et la stratégie gouvernementale des « 1 000 premiers jours de l’enfant » ne s’attaque pas directement au fléau.
Quel rapport entre un baril de pétrole brut, une barquette de margarine et une tablette de chocolat ? Lors du raffinage du premier, l'industrie pétrolière récupère de l’hexane, ou C6H14, un sous-produit qu'elle revend en vrac aux gros fabricants d'huiles et aux chocolatiers industriels. Grâce à ce solvant, l'industrie des corps gras peut extraire jusqu'à la dernière goutte les lipides contenus dans les oléagineux ou les fèves de cacao. Avec un simple pressage mécanique, vous récoltez au maximum 80 % de l'huile, quand l'ajout de solvant vous permet d'en récupérer 99 %. Comptez un litre d'hexane par tonne de graines triturées.
Tout baignerait dans l'huile pour l'agroalimentaire si le C6H14 n'était pas neurotoxique, cancérogène, nocif pour la reproduction, génotoxique, immunotoxique et perturbateur du système endocrinien. N'en jetez plus ! Pour toutes ces raisons, en septembre dernier, l'Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) demandait de réévaluer dare-dare la dangerosité de cet hydrocarbure massivement utilisé comme solvant dans la production de matières grasses végétales. Bruxelles a bien limité le seuil de résidus d'hexane à ne pas dépasser à 1 mg par kilo, mais il n'a pas été retouché depuis... seize ans. Pire, cette limite réglementaire ne vaut que pour les huiles végétales ! Il n'existe aucun seuil pour les autres produits, margarine, chocolat, plats cuisinés... ni même pour les laits infantiles ou les petits pots pour bébés, au grand dam de l'Efsa, qui s'inquiète du « niveau d'exposition plus élevé que prévu chez les nourrissons ». Une cochonnerie qui n'apparaît sur aucune étiquette, puisque le C6H14, considéré comme un « auxiliaire technologique », ne figure pas dans la liste des ingrédients.
Aujourd'hui, seuls les huiles végétales « vierges » et les produits bio sont garantis sans hexane. Le député MoDem du Loiret Richard Ramos vient de mettre les pieds dans le plat avec une proposition de loi pour obliger les industriels à informer les consommateurs de la présence de C6H14, l'interdire dans les aliments pour bébés et, à terme, le faire entièrement disparaître de nos assiettes. Vu que les solvants qui pourraient remplacer l'hexane sont moins efficaces et coûtent bonbon, ça va pressurer les marges des industriels des corps gras, comme l'américain Cargill ou le français Avril. De là à dire qu'ils font de l'huile...
Vous vous étonnez que vos nouveaux-nés, bébés, jeunes enfants, enfants et le reste de votre famille sont malades ou crèvent on ne sait pourquoi dans un recoin des urgences médicales ? Voilà encore une couche supplémentaire de la merde que nous refile l'agro-alimentaire en loucédé avec la bénédiction de cette union européenne de merde !
Dans les années 1960, 3% des Français étaient allergiques au pollen contre 30% aujourd'hui. Comment l'expliquer ? Les émissions de CO2 augmentent la production de pollen et les particules fines le rendent plus nocif. Avec le réchauffement climatique, les plantes fleurissent plus tôt et plus tard dans l'année. La saison pollinique est ainsi plus longue. Enfin, l'ambroisie, une plante exotique au pollen extrêmement allergisant, envahit la France. Heureusement, un peu partout sur le territoire, des personnes luttent contre les plantes allergisantes : des scientifiques leur cherchent des prédateurs naturels, des associations les arrachent et des mairies cherchent à planter de nouvelles espèces moins dérangeantes. ( Diffusé le 17/03/2025 à 21h07 - Disponible jusqu'au 21/08/2025 )source
Le médecin généraliste est une professionnel qui prend en charge la santé au quotidien, sans se limiter à un type de maladie, une zone du corps ou une partie de la population. Il peut être choisi comme médecin traitant.
Son rôle est crucial et sa tâche délicate : recueillir et analyser un maximum d’informations, avancer un diagnostic et prendre des décisions.
Les étapes de la consultation médicale chez un médecin généraliste
Etape 1 : le diagnostic
Le médecin généraliste qui vous reçoit en consultation commence par une démarche diagnostique. Il :
- Recueille des informations sur le patient : cause de sa venue, symptômes, antécédents, traitements, attentes, etc. Cette étape est appelée « anamnèse ». - Procède à un examen physique : . Inspection : prise de la température, de la pression artérielle, observation de la gorge, des tympans ; . Palpation : des ganglions, du ventre, etc. . Auscultation : écoute du cœur et des poumons avec un stéthoscope ; . Percussion : tests neurologiques.
Il rassemble ainsi toutes les données sur le patient et son problème, afin d’émettre ou de confirmer un diagnostic. Par ailleurs, d’autres examens complémentaires peuvent être effectués au cabinet si le médecin les juge nécessaires.
Etape 2 : la phase décisionnelle
La démarche décisionnelle est le cheminement logique qu’effectue le médecin tout au long de la situation, afin de prendre les mesures nécessaires.
Cette démarche aboutit à un certain nombre de décisions : - Prescription d’un traitement ; - Prescription d’analyses complémentaires à réaliser en laboratoire ou à l’hôpital ; - Délivrance d’un arrêt de travail ; - Orientation vers un confrère d’une autre spécialité ou vers un autre professionnel de la santé (kiné, infirmier…) ; - Hospitalisation.
Par ailleurs, le médecin généraliste est également habilité à délivrer des certificats d’aptitude à réaliser des activités sportives, des constatations de préjudice physique (en cas d’agression par exemple), mais aussi des certificats de décès. - source -
Je n'ai pas trouvé sur amelie un document officiel précisant le processus normal d'une consultation... Ce sujet pour relater mes 4 dernières consultations avec 3 médecins différents :
aucun de ces 4 médecins a pris ma tension,
deux médecins sont restés le cul sur leur chaise sans bouger et m'ont délivré, l'un, une ordonnance mini (inutile), l'autre, un renvoi chez un spécialiste (vu mais prévisiblement inutile), le tout en moins de 5 minutes,
le troisième médecin, en seconde consultation, après avoir sollicité son ordinateur, a dit qu'il ne savait pas quoi faire et pouvait donc plus rien faire pour moi...
On fait quoi ? ils s'en foutent exerçant en quasi-impunité ? Aller chez des médecins non conventionnés et donc non liés par des objectifs de santé d'une sécu dictatoriale plus sensible au fric qu'aux patients ? Faut-il aller voir les vétérinaires qui ont l'air de beaucoup mieux s'occuper de leurs patients à quatre pattes ?...
Le service public « Mon espace santé » s'apprête à enrichir ses fonctionnalités pour vies professionnels de santé. Le but est de faciliter l’accès des médecins généralistes et des radiologues (à l’horizon 2027 pour ceux-ci) à l’historique médical de leurs patients et de renforcer ainsi la coordination des soins. L’objectif est de centraliser les informations médicales, permettant une prise en charge plus efficace et personnalisée. Ces outils numériques offriront aux praticiens une vue d’ensemble des antécédents médicaux, des traitements en cours et des examens réalisés. L'initiative s'inscrit ; dans la stratégie nationale de transformation du système de santé.
La belle excuse ! Stratégie nationale de contrôle renforcé des malades par les médecins, oui ! Fin de la liberté de choix d'un médecin et de ses propres données personnelles de santé, réservées aux professionnels et dont on aura ni l'accès ni la connaissance. Il est prévisible, lorsqu'un médecin aura diagnostiqué et prescrit quelque chose, aucun autre médecin ira à l'encontre de ce qu'il aura fait. Sans oublier que le médecin verra vos "infidélités" si malheureusement vous avez aucune confiance en lui ou s'il est nul... ET, ce sera aussi un excellent outil de contrôle dans l'avenir où le nombre de consultations, analysées, radio,... sera très certainement cadré et déterminé par un contrat social à la chinoise.