l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées... « Les opportunités qui se présentent à nous n’ont jamais été aussi grandes » Larry Fink
( octobre 2024 ) patron de BlackRock, gestionnaire américain d'actifs aux 11 500 milliards de dollars…
Les gens les plus incompétents sont systématiquement affectés aux postes où ils risquent de causer le moins de dégâts : ceux de managers. - principe de Dilbert
Dans le sillage de Montesquieu, John Locke ou Adam Smith, on a longtemps pensé que capitalisme et démocratie marchaient d’un même pas, celui de la liberté. Promue, entre autres, par la Révolution française et la loi Le Chapelier de juin 1791, la liberté du marché appelait la démocratie comme son écrin dans un esprit d’égalité devant la loi. L’État devait veiller à sa garantie mais sans immixtion dans les affaires.
Symétriquement, la liberté politique trouvait dans le capitalisme émergent le ferment d’un pluralisme entretenu par la concurrence. Entre les deux ordres, la synergie semblait naturelle. Libéralisme politique et libéralisme économique se soutenaient mutuellement, non sans fortes tensions, sous l’horizon d’un progrès à la fois économique et social. On parlera d'ailleurs de « capitalisme social » ou de « capitalisme démocratique ».
Si l’on excepte l’Europe, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande, répondant encore à ce modèle, pour l'essentiel, tout démontre qu’aujourd’hui, les rapports se brouillent entre capitalisme et démocratie. En Chine, un capitalisme de pure souche fait lit commun avec une « démocratie populaire » totalitaire ; en Inde prévaut une forme de national-capitalisme hermétique aux libertés fondamentales ; en Argentine, le tronçonneur libertarien Javier Milei taille dans le vif de la démocratie sociale et politique ; tandis qu’aux États-Unis, le bulldozer musko-trumpien s’en prend aux assises de la vénérable démocratie américaine.
Les peuples seront balayés comme fétus de paille par les simples caprices de fous furieux qui se sont mis en tête de diriger le monde à la manière d'un jeu vidéo. La déraison mène la danse au nom d'une vision de la société qui se passe outrageusement des réalités pour continuer comme si de rien n'était vers le grand cataclysme planétaire.
La population devient la première cible de ces va-t'en guerre qui font fi des lois qui régissent les conflits armés. Nous avons assisté, impuissants, à des crimes contre l'humanité qui ne peuvent se dire sous l'odieux prétexte que les assassins sont les maîtres du jeu politique. Tout est bon d'ailleurs pour mener à bien ce qui relèverait du génocide s'il était permis de qualifier ainsi ce qui se passe devant nos yeux fermés.
Mais au-delà de trucider à tour de bras, nos monstrueux dictateurs masqués sont capables de s'en prendre à des hôpitaux, des écoles, des centrales nucléaires, des barrages sans que ce qu'on nomme la communauté internationale s'en émeuve outre-mesure. Tout est en place pour accorder un blanc-seing à ceux qui tirent les ficelles devant un parterre de marionnettes silencieuses qui se prétendent encore dirigeants politiques.
Avant le passage à l’an 2000, les véhicules automobiles étaient conçus pour durer et permettre à leurs propriétaires de rouler longtemps. Depuis, les constructeurs ont décidé de s’inscrire, eux aussi, dans la société de consommation. Sous la pression de leurs actionnaires, toujours avides de toujours plus, le principe a été de regrouper les marques sous le nom d’un seul et même groupe, à l’instar de Stellantis. Et on a désigné un « grand » PDG qui, dans ses compétences, aurait pu gérer tout autant la fabrication d’aspirateurs ou de machines à laver.
Le principe est désormais de profiter du renom des marques et de leurs qualités, en baissant au maximum la qualité des éléments constitutifs des véhicules ; et ce, afin d’augmenter les marges. Tout a été mis en place : des nouveaux moteurs, des protocoles d’entretien permettant aux concessions de se déresponsabiliser tout en facturant à prix d'or. Surtout, pour compenser l'arrivée moins rémunératrice de l’électrique. Les mécaniciens hors pair cèdent leur place à des changeurs de pièces, assujettis à des logiciels d’ateliers et des ordinateurs de bord, qui les laissent en marge des problèmes mécaniques, et avec de bonnes excuses d'inefficacité.
Dans le même temps, des milliers de propriétaires de véhicules sont devenus des vaches à lait du système, démunis devant des concessionnaires armés de protocoles de défense basés sur la politique de l’autruche.
Le PDG de Stellantis a finalement démissionné pour ce qui s'apparente à une retraite de milliardaire, laissant son successeur se débrouiller avec la révolte de la clientèle. Ce suicide commercial des marques au profit d’un actionnariat implacable et volatil, reste quand même profitable, par rapport au trésor de guerre acquis. Reste la clientèle au bord de la route, avec des véhicules en panne… - Yves Cunin (Ille-et-Vilaine) -
Stellantis pue sérieux depuis plusieurs années, malheureusement beaucoup de clients ne l'ont pas compris et continuent, les pauvres, a acheter une des " quinze marques automobiles : cinq issues du groupe français Groupe PSA ( Citroën, DS Automobiles, Opel, Peugeot et Vauxhall ) et dix issues du groupe italo-américain Fiat Chrysler Automobiles (FCA) (Abarth, Alfa Romeo, Chrysler, Dodge, Fiat Automobiles, Fiat Professional, Jeep, Lancia, Maserati et Ram). " (wikipedia)
Par contre, beaucoup d'autres automobilistes ont compris que la solution, aux merdes proposées par les tous les constructeurs automobiles et aux véhicules électriques imposés par cette union européenne de merde, était l'acquisition d'un excellent véhicule ancien. Mais "ils" ont pensé à tout, sous prétexte d'écologie, déjà une grande partie de ces vieux véhicules sont interdits de circulation, Autre avantage non négligeable, les stocks de voiture d'occasion de plus de 8 ans s'amenuisent et celles qui restent, s'il en reste, deviennent plus chères. Enfoirés !!!
Si les inégalités se creusent, ce n’est pas la conséquence mécanique et irrépressible d’un système économique qui récompense les plus méritants et sanctionne les moins utiles. Non, c’est parce qu’il y a une volonté politique que ça se passe comme ça. On a voulu concentrer l’argent d’un seul côté, celui des puissants. Dans cette chronique, on vous montre des données qui ne sont absolument jamais présentées au grand public, des données que l’INSEE et les politiques ne communiquent jamais. Vous allez découvrir le monde opaque de la fortune des 1% et des 0.1% ... - source -
Les chiffres qu'on ne vous montre jamais : le scandale des inégalités
Perso je n'aime pas le titre accrocheur, mais quelques vérités apparaissent clairement dans ce documentaire. Toutefois, il ne faut pas oublier que l'on peut faire dire ce que l'on veut aux chiffres...
C'est une petite débandade. En trois ans, près de 10 % des sociétés cotées à la Bourse de Paris ont pris la poudre d’escampette, et le mouvement s’accélère. Selon le cabinet de conseil financier EY (ex-Ernest & Young), 36 entreprises ont quitté la Bourse de Paris en 2024, soit 50 % de plus qu’en 2023. En contrepartie, seulement quatre nouvelles sont arrivées, un chiffre « historiquement bas », commente EY. Une tendance de long terme : depuis dix ans, le nombre de sociétés cotées à Paris a diminué d’une bonne centaine, soit 12,5 % du total. Pourquoi cette fuite ? Pour échapper aux procédures de transparence et de sécurité imposées par les autorités boursières françaises... et pour gagner plus de sous.
En témoigne le développement spectaculaire, ces dix dernières années, du private equity - le « capital-investissement », en bon français —, soit des sociétés qui apportent des fonds à des entreprises (souvent des PME) et achètent leurs actions sans passer par la Bourse. « Avec le private equity, explique un expert boursier, tout est plus souple, plus simple, il y a moins de contrôle et de contraintes. » Plus de profits aussi : entre 2014 et 2023, le rendement de ces francs-tireurs est monté, selon la Banque populaire, à 13 % par an ! Le résultat ne s’est pas fait attendre : en 2024, selon les estimations, le capital-investissement a drainé 20 milliards d’euros, presque trente fois plus que la valeur des actions des nouveaux entrants à la Bourse de Paris (700 millions).