Toute notre culture (musique, films, livres, jeux...) est désormais numérique. Et bardée de DRM. La seule solution pour la préserver, c'est de se mettre hors-la-loi.
Il ya quelque chose que vous aimez beaucoup sur internet ? FAITES-EN UNE COPIE SUR VOTRE ORDINATEUR. La version sur internet peut disparaître à tout moment.
extrait d'un article de sebsauvage se basant sur un riche et imposant article américain (Reason) dont la traduction, faite à l'aide d'un traducteur automatique, se trouve à la page suivante. N'oubliez pas que ce qui se passait/passait aux USA, passe ou va passer en France...
Il me semble effectivement important de conserver à titre personnel une copie de ce qui est numérisé et nous intéresse car elle risque de disparaitre dès le lendemain, d'où aussi l'objet de ce site sur certains articles éphémères.
L’affaire du « baiser forcé » de Luis Rubiales, président de la Fédération Royale Espagnole de Football (RFEF), à la joueuse Jennifer Hermoso lors de la remise de la coupe du monde féminine après la récente victoire de l’équipe espagnole, n’en finit pas de faire des vagues. Aussi, face à la polémique grandissante – un scandale qui fait unanimement aujourd’hui la une de la plupart des journaux internationaux – la FIFA a-t-elle décidé, ce samedi 26 août, de suspendre, pendant une période initiale de 90 jours en attendant l’enquête disciplinaire, ledit président de ses fonctions.
L’UNANIME ET JUSTE CONDAMNATION D’UN GESTE INAPPROPRIÉ
A ce propos, la prestigieuse Ligue du Droit International des Femmes (LDIF), association jadis créée par Simone de Beauvoir et présidée aujourd’hui par Annie Sugier, a publié, le jour même, un communiqué où, y est-il spécifié d’emblée, elle « salue la double victoire de l’équipe nationale féminine de football d’Espagne ». Et, dans la foulée, de préciser : « Championne du Monde, l’équipe nationale espagnole féminine est devenue championne d’un MeToo du football et sans doute du sport en général. »
Certes, ces mots sont-ils aussi bienvenus que sensés, en tous points légitimes. Comment, en outre, ne pas dénoncer, très clairement, ce geste aussi inapproprié qu’inélégant, voire violent (puisque non consenti par la même Jennifer Hermoso) dans son affreuse symbolique machiste, de Luis Rubiales ? Dont acte : c’est sans la moindre ambigüité que nous condamnons donc ce geste, éminemment répréhensible par-delà l’hypothétique spontanéité de l’euphorie ambiante, de ce « baiser forcé » !
LA NÉCESSAIRE ÉCHELLE DE VALEURS DANS LA NOTION D’ « AGRESSION SEXUELLE »
Mais, à y regarder de plus près, et sans certes rien minimiser de la gravité de pareille attitude, une analyse à la fois plus rigoureuse et nuancée s’avère toutefois nécessaire à ce très problématique sujet.
La première remarque, en l’occurrence, consiste à critiquer, tant sur le plan juridique que moral, la notion d’ « agression sexuelle ». En termes nets et précis : peut-on véritablement mettre sur un même niveau d’échelle de valeurs, dans la hiérarchie des délits, et a fortiori des crimes commis, un baiser forcé, pour condamnable qu’il soit effectivement, et l’extrême violence, tant psychique que physique, d’un viol ? En d’autres termes encore : n’y a-t-il pas là, dans cette sorte d’équivalence ainsi établie, sans gradation dans le traumatisme engendré chez la victime, entre un baiser forcé et un viol, le risque, paradoxalement, de réduire par là, sinon de banaliser même, l’extrême gravité en effet, et plus fondamentalement encore, du viol ?
UN ENJEU DE SOCIÉTÉ : LE COMBAT FÉMINISTE CONTRE LA CULTURE MACHISTE
Autant dire que cette affaire, si on ne veut pas tout y mélanger de manière irrationnelle ou partisane, se situe également là, en ce qui se révèle donc ici aussi, à tous niveaux (juridique, sociologique, anthropologique, éthique, philosophique), un réel enjeu de société, aux subtils confins d’un cas limite, comme sur une ténue et pourtant importante ligne de crête : le conflit entre une culture séculairement machiste, phallocrate et patriarcale, autorisant indument l’affirmation du pouvoir masculin sur le corps des femmes, et un néo-féminisme mal compris, agressif, militant jusqu’au fanatisme et, comme tel, susceptible de déboucher malencontreusement ainsi, non moins illégitimement, sur un puritanisme rétrograde, moralisateur et culpabilisateur à la fois. Avec à la clé, pour corser l’affaire, la destruction complète, à tort ou à raison, de la réputation, l’image publique ou l’honneur personnel, de l’incriminé, supposé ou avéré qu’il soit !
UN WOKISME AUX ALLURES D’INQUISITION
Morale de l’histoire ? Attention, donc, aux dangereuses dérives, pour le fragile équilibre de nos démocraties mêmes, de semblable processus de culpabilisation, où la permanence du jugement moral fait de plus en plus office de prétendue loi universelle et qui, sous couvert de libération des consciences ne fait, au contraire, que les aliéner !
Qu’on se le dise : ce constant lynchage médiatique, pitoyable mais efficace métonymie des moyenâgeuses chasses aux sorcières, ressemble de plus en plus, comme aux heures les plus sombres de certains régimes dictatoriaux d’autrefois, aux lâches et hypocrites tribunaux populaires, où l’acharnement de l’accusation se mêlait à la complaisance de la délation.
Aujourd’hui, pour blanchir sa conscience et se dédouaner de toute faute, il suffit de trouver une personnalité publique qui, par sa visibilité médiatique, son statut social ou son rôle professionnel, serve d’idéal bouc émissaire ou corps expiatoire ! C’est à cela que servait précisément naguère – et l’Espagne est bien placée, justement, pour le savoir, hélas, de sinistre mémoire – la « Sainte Inquisition » ! Sauf que cette « inquisition » se pare aujourd’hui, pseudo modernité oblige, des fallacieux attributs du wokisme à l’Américaine.Ce n’est d’ailleurs pas un hasard, loin de là, si cette obscure affaire du baiser forcé, pour revenir à notre sujet initial, a été mise en exergue, en premier lieu, par un journal américain : le célébrissime et très influent « New York Times » !
L’INNOMMABLE BRUTALITÉ DU VIOL : UN CRIME PARTICULIÈREMENT BARBARE
Conclusion ? S’il est en effet impératif de condamner sans ambages ce geste en tout point déplacé, inacceptable à plus d’un titre, qu’est ce baiser forcé de Luis Rubiales à l’encontre de Jennifer Hermoso (laquelle n’a d’ailleurs pas encore porté plainte en ce dossier), il n’en demeure pas moins vrai, nuance oblige là aussi, qu’il faut également raison garder, sans pour autant le minorer ni même le relativiser, dans l’établissement de la gravité des faits poursuivis ou incriminés.
Il en va ici aussi, et avant tout, du respect nécessairement dû, sans les blesser davantage encore par quelque indigne amalgame, à toutes ces femmes ayant tragiquement et véritablement subi, quant à elles, l’innommable brutalité de ce crime particulièrement odieux, barbare en ce qui concerne son auteur et douloureux pour sa victime, qu’est celui du viol ! ( Daniel Salvatore Schiffer - jeudi 31 août 2023 ) - source -
Quelle "affaire" montée en épingle pour la plus grande gloire des associations féministes évangéliques farouchement anti-masculines... A regarder cette vidéo, on peut constater que la "victime" n'a pas giflée le "monstre", n'a pas donné un grand coup de pied de footballeuse dans ses parties, puis c'est toute souriante qu'elle va ensuite embrasser la coupe du vainqueur... C'est un geste inapproprié en public car qui connait les relations amoureuses antérieures ou non entre la victime et le "monstre" à tête d'homme ? La société américaine, pour empêcher les populations de s'organiser, a réussi, aux USA, à détruire la cohésion des familles puis celle des couples ; diviser un maximum pour régner un maximum : c'est, entre autres, en Europe et en France, que ce système puritain d'essence capitalo-évangélique de la société américaine se met en place depuis pas mal d'années...
Pour les défenseurs du capitalisme, ce système incarnerait la seule voie possible et les preuves de ses bénéfices seraient multiples. On lui devrait par exemple une baisse drastique de la pauvreté à l’échelle mondiale. Pourtant, à y regarder de plus près, il s’agit plutôt du principal moteur de création des inégalités. Décryptage d’une illusion collective.
Le capitalisme ferait baisser la pauvreté dans le monde ? Les chiffres choisis pour se féliciter d’une réduction de la misère mondiale sont très discutables. En outre, ce raisonnement passe sous silence deux rouages essentiels au recul de l’indigence : l’impact des progrès technique et social.
Mais avant toute chose, il est essentiel de définir ce qu’est le capitalisme : Un système économique où les moyens de production et de distribution des biens et des services sont détenus et contrôlés principalement par des acteurs privés, tels que les entreprises et les individus, plutôt que par l’État. Dans un système capitaliste, la production de biens et de services est principalement motivée par le profit, qui est généré par la vente des biens et des services sur un marché concurrentiel. Les prix des biens et des services sont déterminés par l’offre et la demande, et les investissements sont réalisés dans le but de maximiser le rendement financier.
Un syllogisme un peu rapide
L’humanité produit actuellement beaucoup plus de richesses qu’à l’avènement du capitalisme, c’est indéniable. En dollar constant, le PIB mondial était ainsi de 96 100 milliards de nos jours contre seulement 175 milliards en 1800. En exploitant autant de ressources, et même en tenant compte du fait que nous sommes huit fois plus nombreux qu’à l’époque, il est tout à fait logique que la pauvreté ait diminué à l’échelle mondiale. Mais la vraie question consiste plutôt à se demander si l’on doit cette production à l’idéologie économique dominante : le capitalisme.
Pour les défenseurs de cette doctrine, le raisonnement est simple : Si les richesses ont été multipliées par plus de 500 et que cet évènement a eu lieu sous un système capitaliste, il y aurait donc une corrélation entre les deux. Pour autant, la donne paraît bien plus complexe, et ce raisonnement ressemble fort à un syllogisme. Ce qui bouleverse en réalité le monde aux prémices du capitalisme, c’est le progrès technique. L’invention de la machine à vapeur fournit une quantité d’énergie phénoménale et l’avènement de la médecine moderne favorise la chute de la mortalité infantile. Dans le même temps, l’éducation va se déployer considérablement dans les pays les plus riches.
Ces trois facteurs seront parmi les principaux moteurs du développement humain au cours du XIXe siècle, puis surtout après 1900 où la démographie explose. Si le capitalisme a sans doute pu motiver certains industriels à se restructurer pour engranger toujours plus, il a surtout exploité les fruits de ce progrès en permettant aux plus aisés de capter la plus grande partie du gâteau.
D’ailleurs, la pauvreté dans le monde a significativement commencé à reculer très progressivement à partir de l’après-guerre. Certes, la reconstruction après le conflit va permettre de moderniser beaucoup d’infrastructures, mais c’est aussi précisément à cette période qu’apparaissent bon nombre de mesures sociales. Mesures que le peuple a souvent dû arracher par la lutte face aux grands défenseurs du capitalisme qui y étaient hostiles.
En France, on peut particulièrement penser à la création de la sécurité sociale. Il est certain que la mise en œuvre d’une assurance maladie, d’un système de retraite par répartition et de diverses protections sociales a été une avancée majeure pour faire reculer la pauvreté.
"C'est l'équivalent d'un salaire" : des clients de fournisseurs alternatifs d'électricité abasourdis par le coût vertigineux de la facture de régularisation
Des milliers de clients reçoivent depuis quelques semaines leur régularisation de factures d'électricité et la note est parfois très salée. Certaines vont jusqu'à 10 000 euros dans les cas les plus extrêmes.
Sur les réseaux sociaux, des centaines d'internautes partagent en ce début août des photos de leur facture : 2 672 euros de régularisation pour l'un, 5 185 euros pour l'autre et dans des cas exceptionnels, jusqu'à près de 10 000 euros. C'est la mauvaise surprise qui tombe en plein cœur de l'été, qui n'a rien à voir avec une surconsommation mais avec la hausse des prix de l'énergie répercutée par les fournisseurs alternatifs.
Anthony et Elise, qui habitent au Havre avec leurs quatre enfants, sont concernés. Le 5 juillet, ils découvrent que leur régularisation s'élève à 1 600 euros. "C'est une très grosse somme. C'est l'équivalent d'un salaire", déplore Anthony. Clients chez Eni, ils ressentent une grosse injustice puisque la hausse n'est pas liée à une surconsommation. "Nous avons consommé uniquement 7000 kWh sur les 10 200 estimés à la base. Depuis trois ans, on fait de gros efforts électriques, on a installé un poêle à bois. On est passé au LED partout, on a même installé un ballon d'eau chaude solaire".
Un manque de transparence
Le couple se sent complètement floué. Eni explique que le coût d'approvisionnement en électricité a augmenté. L'entreprise a répercuté ces prix sur les contrats reconduits après leur échéance mais l'explication ne calme pas les esprits. En Seine-et-Marne, Vincent Audigier, en a fait son combat. Il vient de créer un collectif avec plus de 70 clients. Il a recensé de nombreux cas comme le sien : "J'étais dans une situation un peu extrême, avec 9 500 euros mais il y a des situations de personnes qui sont à 4 000, d'autres à 1 640. J'en ai encore un 7 194 euros".
Estelle fait partie des personnes qui se sont rapprochées de Vincent Audigier. Lundi, celle qui habite dans la région de Nancy, a reçu sa facture de régularisation : 3.200 euros à payer. "Les bras vous en tombent, j'en ai eu les larmes aux yeux", témoigne la pharmacienne. La nouvelle est d’autant plus brutale que ses mensualités, 90 euros par mois, n’ont pas évolué après le renouvellement de son contrat en octobre. "Je me sens un peu piégée, commente-t-elle. On sent que ça a été un peu fait exprès pour qu’on ne s’en rende pas compte tout de suite parce que bien évidemment, si je m’en étais rendue compte dès le mois d’octobre, je serais partie de chez Eni".
Le fournisseur Eni assure répercuter la nouvelle grille tarifaire sur les mensualités et traiter au cas par cas si les modifications n’ont pas été faites. Vincent Audigier dont l’échéancier a été augmenté de dix euros par mois, pour une régularisation finale à 9.200 euros malgré une consommation en dessous de l’estimation initiale, dénonce un manque de transparence et pour le justifier, il montre un courrier envoyé par Eni. "C'est un courrier du 7 août 2022, il est écrit qu'on leur a fait confiance en souscrivant chez eux et qu'ils nous en remercient. Mais qu'à compter du 7 septembre, Eni fait évoluer les conditions de l'offre indexée sur les tarifs réglementés de vente. Et là, effectivement, on a une grille qui présente tout plein de centimes. Quand bien même on a pris connaissance de ce courrier-là en temps et en heure, on ne comprend rien." Vincent Audigier et le collectif ont engagé des négociations avec Eni parce qu'ils considèrent que le fournisseur italien ne respecte pas la loi.
Que dit la loi ?
En cas de changement de prix, les fournisseurs doivent prévenir leurs clients un mois avant et de manière claire. "S'ils envoient juste un mail sans dire que les prix augmentent de 20%, on considère que l'information n'est pas correcte", assure Caroline Keller, responsable du service information et communication au médiateur de l'énergie.
Malgré les saisines, Enifait partie des fournisseurs qui ont fait des efforts, selon le médiateur de l'énergie. En 2022, il a pointé du doigt trois autres fournisseurs, MintEnergie, Méga Energie et Wekiwi, pour un manque de transparence. Les litiges sont également en hausse chez Engie. La tendance est globale, d'après Caroline Keller : "En 2022, on a reçu à peu près 5 000 litiges qui sont liés aux prix appliqués. C'est deux fois plus qu'en 2021. Et sur 2023, on est sur la même tendance".
Avec la fin progressive du bouclier tarifaire, la hausse encore de 10% en août du tarif régulé de l'électricité. La tendance devrait se poursuivre dans les prochains mois et les prochaines années, selon le médiateur de l'énergie. - source -
Faut être bien bête pour croire aux "promesses" des publicités !!! Ne jamais oublier que la publicité oublie toujours les inconvénients des produits proposés à la vente...
Vous commencez aussi à comprendre pourquoi l'union européenne de merde va imposer l'énergie électrique partout,...
Axel Dumas, grand patron d’Hermès, vous connaissez ? L’héritier de la famille du même nom est la deuxième fortune de France en cette année 2023. Montant du butin partagé avec la famille Hermès : 137,8 milliards d’euros (Challenges), soit 59 milliards de plus entre 2022 et 2023. Voilà un exemple de super-super-profit. Qui est donc ce discret assisté d’en haut national ? Encore un milliardaire fils à papa. Chaque année, le classement des 500 fortunes françaises nous rappelle la réalité des gigantesques écarts de richesses dans notre pays. 5 milliardaires français possèdent autant que 27 millions de personnes, et « en même temps », 1 Français sur 6 ne mange pas à sa faim. Qu’est-ce qu’on attend pour taxer les ultra-riches ? Notre brève.
Titulaire d’une licence de philosophie, Axel Dumas est diplômé de Sciences Po et de l’université américaine d’Harvard. Le gérant d’Hermès International depuis bientôt 10 ans entre dans le groupe familial en 2003, « à la demande de son oncle » (La Croix). Faire partie de cette famille a du bon. Son ascension au sein de la multinationale est très rapide. Elle passe notamment par un poste créé en mai 2011… rien que pour lui : directeur général des opérations d’Hermès International. Avec sa famille, Axel Dumas est aujourd’hui la 2ème fortune de France.
Est-ce par la sueur de son front et par un travail harassant qu’Axel Dumas a accumulé une telle somme ? Non. Il est, comme 80% des milliardaires français, un héritier (Financial Times). Méritocratie ? Self made man ? Prise de risques en lançant sa petite entreprise dans son garage ? Balivernes. L’héritier d’Hermès partage avec cette famille un butin de 137 milliards d’euros, soit 59 milliards de plus en un an. Bruno Le Maire ne sait toujours pas ce qu’est un super-profit ? En voilà un : 137 milliards. Cent. Trente. Sept. Milliards.
Sous le mandat d’Emmanuel Macron, la richesse des 500 plus grandes fortunes de France a doublé. 500 milliards d’euros en 2017, 1 170 milliards d’euros en 2023 : du « jamais vu », abonde l’hebdomadaire Challenges. Cette somme correspond presque à la moitié du PIB du pays : 45%. Et « en même temps », le pays compte 4 millions de mal-logés, 8 millions de personnes à l’aide alimentaire et 11 millions de pauvres (1 million de plus depuis qu’Emmanuel Macron est au pouvoir). Cherchez l’erreur.
Il est plus que tant de taxer les riches et de partager les richesses. « C’est de l’enfer des pauvres qu’est fait le paradis des riches », disait Victor Hugo. À cette phrase bien connue, Jean-Luc Mélenchon en a ajouté une autre, à l’intention d’Emmanuel Macron : « Vous avez fait le paradis des riches, avec l’enfer que vous avez infligé aux pauvres. ».
137 milliards pour Axel Dumas, partagés avec la famille Hermès. De son côté, le fameux Bernard Arnault, 1er assisté de la République, accumule… 203 milliards d’euros. Cocorico ! La première fortune mondiale est française. Les sommes accumulées par ces parasites sont gargantuesques. L’insoumission va continuer à les démasquer dans l’une de ses séries phares : les assistés d’en haut. Plus d’une quinzaine de portraits en un an. Ces assistés d’en haut, ils ont des noms, ils ont des adresses, ils ont des visages. De prochains portraits arrivent. - source -
Et c'est loin de s'arranger, au contraire ! Les gouvernements en place fourbissent leurs forces de sécurité et l'électronique pour museler dans la violence et la répression les contestataires...