Le Manuel de sabotage simple sur le terrain (anglais : Simple Sabotage Field Manual ) est un manuel de sabotage créé par le bureau des services stratégiques (anglais : Office of Strategic Services, ou OSS), publié en 1944, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, et déclassifié depuis, compilant des techniques pour entraver l'ennemi depuis l'intérieur. Il est également utilisé par l'agence du renseignement central (en anglais : Central Intelligence Agency, CIA - organisme ayant pris la suite de l'OSS), le service de renseignement des États-Unis1. Il s'agit d'un guide simple pour pratiquer la subversion dans n'importe quelle organisation.
Sabotage des équipes
Parmi les techniques enseignées par le manuel, on peut citer dans les techniques de sabotage des équipes, proche de ce que dit Charlie Munger, « Il est souvent plus facile de résoudre un problème après coup qu'avant » :
. Miner le moral en offrant des promotions au personnel incompétent ;
. Inciter à toujours suivre les canaux décisionnels, ne jamais les éviter pour accélérer les décisions ;
. Parler fréquemment et longtemps en illustrant les différents points par des anecdotes ou des expériences personnelles, et mettre en avant, aussi souvent que possible des problèmes sans conséquences ;
. Chipoter sur les mots précis de toutes les communications, comptes-rendus et résolutions ;
. Tout renvoyer à des comités pour une étude approfondie avec des comités les plus larges possible, et tenter à chaque fois de réexaminer les décisions prises dans les réunions précédentes ;
. Interroger constamment la légitimité du groupe à réaliser des actions, en demandant si elles n'entrent pas en conflit avec les directives d'un échelon supérieur.
. Prôner la prudence, agir en personne "raisonnable" et encourager chacun à faire de même, afin d'éviter toute décision hâtive qui pourrait s'avérer source de problèmes par la suite.
. Encourager la « terreur de l'erreur », en minant l'autorité, la bravoure ou les personnes dirigeantes, en remettant en question la véracité de ce qu'elles font, même si c'est très clair.
Sabotage des actions
Parmi les techniques de sabotage des actions :
. Ne pas réparer les moteurs à temps ;
. Placer des outils à un mauvais endroit, les rendant durs à trouver, les oublier ou les faire se casser plus fréquemment ;
. Pour les chauffeurs de bus, rater un arrêt par inadvertance, où un officier pourrait se trouver, ou devrait descendre ;
. Les opérateurs de train peuvent donner des mauvais tickets au voyageurs, afin de les faire arriver à la mauvaise destination, ou bien donner deux tickets pour le même siège, afin de provoquer des retards.
. Les concierges peuvent s'assurer que l'environnement du lieu de travail soit désordonné, en laissant les éléments sales ou en plaçant du riz dans le système de refroidissement de l'eau.
. Ceux n'ayant pas d'emploi peuvent également être impliqués, en donnant des mauvaises directions lorsqu'on leur demande, en changeant les panneaux de direction pour orienter dans la mauvaise direction, ou bien prétendre ne pas parler la langue qu'utilise la personne. - source -
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Alternatives Européennes ( entreprise privée ) aux principaux logiciels et services en ligne ( seulement en anglais ou allemand ! )... Ça vaut pas grand chose mais cela peut parfois être utile...

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C’est un wiki tellement simple à installer qu’il ne nécessite même pas de base de données. Un système où vos pages sont stockées dans de simples fichiers texte, avec la puissance du Markdown pour les mettre en forme. Et cerise sur la partition, un éditeur WYSIWYG (What You See Is What You Get) qui vous évite de devoir apprendre par cœur la syntaxe Markdown si ce n’est pas votre tasse de thé.
L’installation est d’une simplicité déconcertante. Pas besoin de configurer MySQL, PostgreSQL ou je ne sais quel système de base de données. Tout est stocké dans des fichiers texte, ce qui signifie que vous pouvez sauvegarder votre wiki aussi facilement que vous copieriez des photos de vacances. Et pour les adeptes de Docker, c’est encore plus simple avec une image prête à l’emploi : docker run -d -p 80:80 zavy86/wikidocs
Une fois installé, vous découvrez un système étonnamment complet. L’éditeur WYSIWYG est une vraie perle qui vous permet de formater vos textes sans vous soucier de la syntaxe. Vous voulez quand même utiliser du Markdown pur ? Aucun problème, c’est possible aussi ! Le système gère même les formules mathématiques avec KaTeX pour les scientifiques qui sommeillent en vous.
L’organisation du contenu est particulièrement bien pensée. Le système de namespaces vous permet de structurer votre contenu comme bon vous semble. Vous pouvez créer des catégories, des sous-catégories, tout ça de manière intuitive. Le menu de navigation se génère automatiquement en fonction de votre structure de fichiers, plus besoin de maintenir manuellement une table des matières !
La gestion des versions est également sympa puisque chaque modification est conservée dans un historique, permettant de revenir en arrière si nécessaire. C’est comme un petit Git intégré à votre wiki, sans la complexité habituelle des systèmes de contrôle de version.
Pour les développeurs qui aiment personnaliser leurs outils, WikiDocs vous permet de créer votre propre fichier CSS pour adapter l’apparence à votre charte graphique. Le système inclut même un mode sombre natif, parce qu’en 2024, c’est devenu indispensable !
Question sécurité, WikiDocs fait les choses bien. Vous pouvez définir des pages publiques et privées, gérer les droits d’accès, et tout est compatible avec les standards modernes de sécurité web. Le système de configuration par fichier .htaccess (ou équivalent pour Nginx) vous permet de verrouiller l’accès aux fichiers sensibles.
Voici quelques fonctionnalités qui méritent d’être mentionnées :
Support complet de la syntaxe Markdown avec extensions
Coloration syntaxique pour le code
Upload d’images avec support du copier-coller depuis le presse-papier
Gestion des pièces jointes
Génération automatique d’index et de sitemap
Support multilingue intégré
API REST pour l’intégration avec d’autres outils
Le projet connaît un succès croissant : plus de 250 étoiles sur GitHub, près de 30 000 téléchargements sur Docker Hub, et une communauté active qui contribue régulièrement avec des traductions et des améliorations. Bref, c’est encore un bel exemple de projet open source qui grandit grâce à sa communauté.
Voilà, j’ai fait le tour ! Alors si vous cherchez un système de wiki qui allie simplicité d’utilisation et richesse fonctionnelle, WikiDocs mérite vraiment votre attention. C’est idéal pour les équipes qui veulent se concentrer sur la documentation plutôt que sur la maintenance d’un système complexe en plus d’être totalement gratuit et open source !
Pour aller plus loin et tester par vous-même : WikiDocs et un grand merci à Lorenper pour le partage ! - source 1 - source 2 -
Votre ordinateur a des ratés, avec des dysfonctionnements ou des plantages étranges ? Avant de lancer une réinstallation de Windows, essayez cette méthode simple qui peut résoudre vos problèmes en un clin d'œil.
Depuis quelques temps, vous rencontrez des bugs et des dysfonctionnements pénibles avec votre PC sous Windows. Le système se bloque parfois sans raison, certaines applications plantent et se ferment brutalement, ou certains éléments de base comme la barre des tâches ne répondent pas correctement. Vous avez fouillé dans les paramètres de Windows, mis à jour vos pilotes et désinstallé les logiciels superflus, mais rien n'y fait, les problèmes persistent.
En désespoir de cause, vous envisagez peut-être de réinitialiser complètement votre ordinateur pour repartir sur une base saine, quitte à perdre votre configuration et à devoir réinstaller toutes vos applications. Avant d'en arriver à cette solution extrême et radicale, vous devriez cependant essayer une méthode de réparation toute simple, intégrée directement dans Windows mais peu connue de la plupart des utilisateurs, car elle implique d'utiliser un outil qui fait souvent peur : la ligne de commande.
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Besoin de passer un appel anonyme, sans révéler votre numéro ? Il suffit de taper un code spécial sur votre téléphone, mobile ou fixe : c'est simple et gratuit, quel que soit l'opérateur !
Il existe plusieurs bonnes raisons de téléphoner de temps à autre en anonyme, avec un numéro masqué. C'est le cas notamment quand on veut appeler un service commercial ou administratif en restant inconnu, pour prendre des renseignements sans révéler son numéro pour ne pas être importuné ou enregistré dans une base de données. Mais aussi quand on veut faire une surprise ou une blague à un proche. tant qu'elle n'est pas détournées à des fins malveillantes, cette pratique est tout à fait légale. Surtout, elle est très simple et entièrement gratuite, que ce soit avec un smartphone ou un téléphone fixe.
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