> tiens ! on reparle du covid et d'une 9ème vague...
Les chiffres et cartes du Covid-19 en France au 26 novembre 2022
Pendant que l’Assemblée nationale débat bruyamment de la réintégration des soignants non-vaccinés, une neuvième vague de coronavirus pointe son nez.
L’accalmie aura été de courte durée et elle ne va pas arranger la situation déjà tendue dans les hôpitaux à cause de l’épidémie de bronchiolite et de l’arrivée de celle de la grippe. Mais Santé Publique France l’a bien confirmé ce vendredi 25 novembre. Une neuvième vague de Covid-19 est en train d’arriver dans le pays faisant planer ainsi le spectre d’une « triplédémie ».
Le bilan hebdomadaire de SPF note ainsi une « reprise de la circulation » du coronavirus ainsi qu’une hausse des hospitalisations (et même des admissions en soins critiques) au moment même où la classe politique débat bruyamment de la réintégration des soignants non-vaccinés.
Avoir une indication précise du nombre de cas est chose compliquée depuis que mi-novembre, un mouvement social des laboratoires de biologie empêche la remontée des informations. Il reste cependant les données transmises par les pharmaciens qui pratiquent notamment les tests antigéniques ; ceux-ci témoignent largement de cette reprise qui a pris corps il y a une dizaine de jours.
C’est donc très logiquement qu’après un décalage toujours observé depuis le début de l’épidémie, la situation s’est aussi inversée dans les hôpitaux. Cela incite donc les autorités sanitaires à redoubler les appels à la vaccination des publics les plus fragiles, même si on a vu lors de la huitième vague à la rentrée que les conséquences sanitaires avaient été limitées.
Vendredi 25 novembre, la Direction générale de la Santé recensait 48 629 nouveaux cas. Certes, c’est moins que la veille mais environ 10 000 de plus que le vendredi précédent, ce qui se vérifie que la carte bleue qui donne une moyenne des cas sur une semaine. On la voit très nettement augmenter depuis une grosse dizaine de jours. (...) - source -
A une certaine époque, un tel taux était, soi-disant, une catastrophe. Aujourd'hui, "ils" s'en fichent car "ils" ont décidé de ne rien faire pour que la population s'auto-immunise en l'attrapant, peu importe le nombre de morts et autres effets collatéraux... sans oublier que c'est très bon pour le business de l'industrie pharmaceutique et associés,...