l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> mon assureur (Allianz) a augmenté le prix de mon contrat de presque 70% à cause achat véhicule électrique

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          " J'ai acheté mon véhicule électrique neuf en mai 2023 et il s'avère que depuis janvier, je viens de constater que ma cotisation mensuelle a augmenté de presque 70% en tous risques alors que je n'ai eu aucun sinistre ni même jamais eu affaire à eux.

          Je n'ai reçu aucune explication et je viens seulement de m'en rendre compte maintenant. De même, je ne vois aucun avenant ou autre dans mon compte client (allianz) L'assureur a t-il le droit d'augmenter autant le prix avant une année d'ancienneté chez eux sachant que je n'ai pas le droit de résilier avant un an chez eux (Loi Hammon) ?

          Je comprends que l’exonération sur les contrats des véhicules électrique a diminué le bénéfice des assurances, mais selon les divers articles que j'ai vu, cela devait uniquement faire augmenter les contrats de 10 à 15% en tous risques, moi, on m'a augmenté de 68% exactement ma mensualité sans rien me dire ??? " - source -

Le coût du tout électrique et surtout celui la vache à lait traditionnelle, la voiture, va augmenter sans aucune limite puisque c'est le but : ne plus dépendre des fluctuations du pétrole mais de ses propres décisions commerciales où l'objectif, on le voit tous les jours, est de faire le maximum de fric pour goinfrer les actionnaires. Il y aura donc de plus en plus de surprises identiques pour les consommateurs qui s'en mordront les doigts,...

 

> l’Europe au pas cadencé

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          A cinq mois des élections européennes, un événement éclaire le paysage radieux de la démocratie au sein de l’Union : pour châtier la Hongrie, dont le premier ministre refusait en janvier dernier d’entériner un plan d’aide de 50 milliards d’euros à l’Ukraine, Bruxelles a tout simplement menacé de détruire son économie. Les détails ont été révélés par le Financial Times (29 janvier 2024). « Bruxelles a mis au point une stratégie visant à cibler explicitement les faiblesses économiques de la Hongrie, à mettre en péril sa monnaie et à provoquer un effondrement de la confiance des investisseurs afin de nuire à “ l’emploi et à la croissance ” si Budapest refuse de lever son veto contre l’aide accordée à Kiev », explique le quotidien d’affaires britannique, qui a eu accès aux documents. Concrètement, si M. Viktor Orbân n’alignait pas sa politique étrangère sur celle de ses homologues, « ces derniers s'engageraient publiquement à couper tout financement européen à Budapest dans l'intention d’effrayer les marchés, de déclencher une crise monétaire sur le forint, et de faire exploser le coût des emprunts du pays ». Trois jours plus tard, le 1er février, M. Orbân capitulait.

          Certes, la fuite opportune de ce plan de sabotage a suffi à produire son effet. Et l’idéologie du premier ministre hongrois n’appelle pas une compassion excessive : autoritaire et réactionnaire, cet anticommuniste forcené proche de l’extrême droite piétine l’indépendance du pouvoir judiciaire et le droit des minorités. Mais ce chantage à la ruine crée un précédent : déployé contre la Hongrie de M. Orbân, il pourra l’être demain contre un gouvernement de gauche qui serait élu, par exemple, sur un programme de rupture avec le libre-échange ou l’atlantisme. Car l’action coercitive de Bruxelles contre les États membres déviants franchit ici un nouveau palier : en 2015, l’Europe avait menacé de ne pas secourir la Grèce pour la contraindre à accepter un plan d’austérité draconien ; désormais, elle se dit prête â ravager l’économie du récalcitrant.

          Cet acte de répression politique parait d’autant plus disproportionné que la Hongrie n’a cette fois enfreint aucun traité (plusieurs entorses au droit européen avaient par le passé motivé l’ouverture de procédures d’infractions contre Budapest ou Varsovie). En posant son veto à une aide militaro-financière à l’Ukraine, la Hongrie exprime un choix de politique étrangère. Or, contrairement à ce que suggère l’agitation frénétique de Mme Ursula von der Leyen, la Commission qu’elle préside ne dispose d’aucun pouvoir de décision dans ce domaine, lequel relève du Conseil européen, c’est-à-dire les chefs d’État et de gouvernement, qui doivent se prononcer à l’unanimité. En 2003, la possibilité de décider souverainement de la guerre et de la paix avait permis à la France, à l’Allemagne et à la Belgique de s’opposer à l’invasion de l’Irak contre une majorité d’États européens ralliés aux États-Unis. Le pourraient-ils - le voudraient-ils - encore ?

          Désormais aux avant-postes du bellicisme, Paris et Berlin comptent sur une forme de keynésianisme militaire combinée à l’austérité sociale pour relancer leurs économies cabossées par les sanctions imposées à Moscou. « Nous devons nous préparer à la guerre en Europe », a proclamé en octobre 2023 le ministre (social-démocrate) de la défense allemand en visant implicitement la Russie, un pays où la Wehrmacht a laissé vingt-six millions de cadavres. Des écologistes aux socialistes en passant par les conservateurs, la furia militariste se propage, alimentée par la perspective d’un retour à la Maison Blanche d’un Donald Trump plus isolationniste que jamais. Le coup de force de Bruxelles contre Budapest sonne comme l’appel au clairon : garde-à-vous ! - Pierre Rimbert - ( source : le Monde diplomatique n° 840 mars 2024 )

Quid du Parlement européen devenu une sorte de Société des Nations ? Comme on pouvait s'y attendre, la finance assistée de sa Commission européenne prend lentement mais sûrement une direction de plus en plus autoritaire de cette union européenne de merde... Une bonne guerre serait utile pour nous faire passer dans sa dictature pure et dure.

 

> pays d'origine des produits importés en UE présentant la plus forte contamination par PFAS en 2021

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( traduit à l'aide de DeepL )

          En 2021, les échantillons de fruits et légumes importés de l'UE présentant le taux de contamination par PFAS le plus élevé provenaient du Costa Rica (41 %), d'Inde (38 %) et d'Afrique du Sud (28 %). Dans l’ensemble, 16 % de tous les échantillons de produits importés de l’UE contenaient des résidus d’au moins un pesticide PFAS.

          La Turquie est le pays d'origine avec le nombre maximum de pesticides PFAS détectés dans un seul échantillon, avec certains individus échantillons turcs contenant des résidus de cinq pesticides PFAS différents. De plus, les échantillons provenant de Turquie contenaient la plus grande diversité en termes de différents pesticides PFAS détectés dans tous les échantillons.

source - pour les FPAS

Conforme à ce que l'on peut en connaitre, le Maroc est dans le club de tête...

 

> quand l’UE occulte l’origine des produits agricoles

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          Aujourd’hui, s’est ouvert le Salon de l’Agriculture. La colère légitime des agriculteurs grandit et a eu raison du débat dérisoire proposé par Macron, également refusé par Michel-Edouard Leclerc. Outre la mise en place d’un vrai protectionnisme, comme en Asie, la claire communication de l’origine des produits est une autre revendication légitime. Dans les deux cas, l’UE est l’obstacle à franchir.

L’UE, c’est l’opacité pour les consommateurs

          Dans l’histoire que cherche à nous vendre les communicants de l’Union Européenne, il y aurait le fait que l’UE défendrait les consommateurs. Certains s’accrochent à quelques mesures dérisoires, sur les chargeurs de téléphone ou le prix des communications entre pays membres. Mais pour qui prend un peu de recul sur le sens profond des mesures dessinées à Bruxelles, l’intérêt des consommateurs semble bien moins importer que celui des multinationales et des puissants. Outre ce laisser-faire et ce laisser-passer qui profitent essentiellement aux plus forts, il y a, comme aux États-Unis, la volonté de dissimuler l’information quand cela arrange les intérêts du monde des affaires. Et en matière agricole, l’intérêt du monde des affaires, c’est de pouvoir s’approvisionner à sa guise dans le pays que l’on veut (c’est-à-dire le moins cher), sans forcément l’indiquer clairement aux consommateurs si cela est moins vendeur.

► pour lire la suite...

> états membres de l'UE dont les fruits et légumes étaient les plus contaminés par les PFAS en 2021

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( traduit à l'aide de DeepL )

Résultats à l'échelle de l'UE : résidus de PFAS dans les fruits et légumes ; pays d'origine des fruits et légumes contaminés : produits cultivés dans l'UE.

          En 2021, les échantillons de fruits et légumes cultivés dans l'UE présentant le taux le plus élevé de contamination par les PFAS provenaient de Belgique (27 %), des Pays-Bas (27 %) et d'Autriche (25 %). Dans l'ensemble, 15 % de de tous les échantillons de produits cultivés dans l'UE contenaient des résidus d'au moins un pesticide PFAS. Le nombre maximal de quatre pesticides PFAS différents détectés dans un seul échantillon a été observé dans des fruits et légumes cultivés en Autriche, en Grèce, en Hongrie et en Pologne.

          Avec un total de 18 pesticides différents détectés sur l'ensemble échantillons nationaux, l'Italie et l'Espagne sont les pays d'origine qui présentent la gamme la plus diversifiée de pesticides pesticides PFAS.

source ( page 20 ) - pour les FPAS

Très étonné de trouver les fruits et légumes de Belgique, Hollande et Autriche comme étant les plus contaminés en PFAS de l'UE de merde. Bon, l'Espagne et le Portugal ne sont pas loin...

 

> fruits cultivés dans l'UE les plus contaminés avec des PFAS en 2021

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( traduit à l'aide de DeepL )

          En 2021, des résidus de pesticides PFAS étaient présents dans 20 % de tous les échantillons de fruits.

          Les fraises, les pêches et les abricots étaient les fruits cultivés dans l'UE les plus fréquemment contaminés :
- 37 % des échantillons de fraises contenaient des résidus d'au moins un pesticide PFAS. Au total, 10 pesticides PFAS différents ont été détectés dans tous les échantillons, certains échantillons individuels contenant des résidus jusqu'à quatre pesticides PFAS différents.
- 35 % des échantillons de pêches contenaient des résidus d'au moins un pesticide PFAS. Au total, neuf pesticides PFAS différents ont été détectés dans les échantillons, certains échantillons individuels contenant des résidus d'au moins trois pesticides PFAS différents.
jusqu'à trois pesticides PFAS différents.
- 31 % des échantillons d'abricots contenaient des résidus d'au moins un pesticide PFAS. Au total, huit pesticides PFAS différents ont été détectés dans tous les échantillons, certains échantillons individuels contenant des résidus jusqu'à quatre pesticides PFAS différents.
          Dans l'ensemble, le nombre maximal de quatre pesticides PFAS différents détectés dans un seul échantillon a été observé dans les échantillons de fraises. Avec un total de 12 pesticides différents détectés dans tous les échantillons, les échantillons de raisin de table contenaient des résidus de la gamme la plus diversifiée de pesticides PFAS.

- source (page 14 & 15) - pour les FPAS

Et vu les dérégularisations de l'usage des pesticides et plus particulièrement des PFAS, qui s'annoncent, les européens vont crever de plus en plus jeunes et de plus en plus malades ; évidemment, avec des services de santé publique devenus quasi-inexistants, sauf pour l'"élite" qui aura "lit ouvert" dans les cliniques privées de luxe !

 

> permis de conduire : faut-il instaurer des visites médicales obligatoires ?

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          Sans quelques jours, le Parlement européen pourrait voter un texte réformant les modalités d’obtention puis de renouvellement du permis de conduire...

          Au mois de décembre 2023, la Commission Transports et Tourisme du Parlement européen, présidée par l’eurodéputée Les Verts Karima Delli, a adopté – par 22 voix contre 21 et 2 abstentions – une proposition de loi visant à rendre obligatoire le passage d’une visite médicale de contrôle des capacités, notamment visuelles, pour l’obtention du Permis de conduire, puis le passage d’une visite périodique tous les 15 ans en vue du renouvellement de ce document.

          Objectif affiché par les eurodéputés : diminuer de manière significative le nombre des victimes de la route, et notamment celui des personnes décédées dont le total s’est élevé à 20 640 dans l’Union européenne en 2022 (dernière année de références consolidées), parmi lesquelles 3 267 sur les routes françaises.

          D’ores et déjà, plusieurs pays membres de l’Union européenne ont mis en place une législation de cette nature, souvent plus contraignante. En l’occurrence, c’est le Portugal qui se montre le plus rigoureux avec des visites à partir de 40 ans qui deviennent bisannuelles dès 75 ans. En Italie, les visites de contrôle sont obligatoires dès 50 ans. En Espagne, en Grèce et en République Tchèque, ces visites – tous les 5 ans – ne sont imposées qu’à partir de 65 ans tandis qu’au Danemark et en Finlande, l’obligation ne survient qu’à compter des 70 ans, les Pays-Bas ayant, quant à eux, fixé l’âge minimal à 75 ans.

          Conscients de la nécessité de légiférer sur un tel sujet, d’autres pays ont également pris des dispositions, mais en faisant un choix quelque peu différent : la Belgique, la Hongrie, la Lettonie, la Lituanie et la Roumanie renouvellent le Permis de conduire tous les 10 ans sur présentation d’un certificat du médecin traitant.

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> tentative de passage en force des nouveaux OGM

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          Tout transformer génétiquement, les fruits, les légumes, les céréales, les arbres, mais sans en avertir le consommateur et sans étiquetage comme c’est le cas pour les OGM : voilà la mesure que la Commission européenne voulait faire adopter par le Parlement de Strasbourg. Lequel a voté mercredi 7 février.

          Peu auparavant, une partie des chercheurs du CNRS lui avait apporté son tonitruant soutien. A l’initiative de WePlanet, une organisation basée à Bruxelles, dont la représentante en France est une ex-cadre d’Areva, notre champion national du nucléaire, ils ont signé une lettre ouverte qui réclame haut et fort cet « assouplissement de la réglementation des OGM sur les NGT ». Les « nouvelles techniques génomiques » ont pour seule différence avec les OGM qu’il ne s’agit plus d’aller chercher un bout d’ADN d’une espèce pour le transvaser dans une autre mais de bidouiller à l’intérieur de l’équipement génétique d’une espèce.

          Imaginez une tomate lambda. On farfouille dans ses gènes, on coupe ici, on ajoute un bout là, on déplace un autre morceau, on remplace un nucléotide par un autre, on « renverse » une partie du chromosome, et hop ! on brevète le résultat obtenu. Le Parlement européen propose qu’au-dessous de 20 modifications génétiques aucun étiquetage ne soit exigé. Ni vu ni connu je t’« améliore » ! Et qu’importent les réserves de l’Anses, l’Agence nationale de sécurité sanitaire française, pour laquelle cette proposition est « insuffisamment fondée scientifiquement » et qui a pondu un rapport sur le sujet, rapport qui depuis la mi-janvier « est bloqué sur pression politique » (« Le Monde », 18/2). Chuuut ! Il ne faut surtout pas alarmer la population, qui risquerait de se mobiliser comme elle l’a fait voilà vingt ans contre les OGM.

          Heureusement, les eurodéputés ne se sont pas laissé faire. Ils ont mis un bémol au texte de la Commission, votant l’étiquetage des NGT, leur interdiction dans l’agriculture bio et le non-brevetage. La balle est maintenant entre les mains du Conseil. Tranchera-t-il avant les prochaines européennes ? Les «écolo-modernistes» de WePlanet mitonneront-ils de nouvelles campagnes de lobbying main dans la main avec le CNRS ? Le gouvernement macroniste rendra-t-il enfin public le rapport de l’Anses ? (Professeur Canardeau)

Tiens ? Le parlement de l'union européenne - considérée comme une institution d'entérinement des décisions de la Commission - aurait quelques pouvoirs ? De toute façon ce que veut la Commission européenne de merde passera d'un côté ou d'un autre pour les plus grands profits des multinationales ( surtout allemandes ) au détriment évident de la santé de leurs populations...