Ce livre raconte comment, après la seconde guerre mondiale, la CIA et le MI6 britannique mirent en place des armées secrètes anti-communistes dans tous les pays d'Europe de l'Ouest, et par quels processus ces réseaux Stay-Behind de l'OTAN s'allièrent dans certains pays à des groupes terroristes d'extrême droite, avec des conséquences particulièrement tragiques. L'existence de "Gladio", l'armée secrète italienne, fut révélée par le Premier ministre Giulio Andreotti en 1990 ; à la suite de quoi la presse parla du " secret politico-militaire le mieux gardé,… depuis la fin de la deuxième guerre mondiale " et nota que : " L'histoire semble tout droit sortie des pages d'un thriller politique ".
Depuis, ces armées secrètes de l'OTAN, ont également été découvertes en France, en Belgique, au Luxembourg, en Suisse, en Espagne, au Portugal, en Allemagne, aux Pays-Bas, au Danemark, en Norvège, en Suède, en Finlande, en Autriche, en Grèce et en Turquie. Au niveau international, leurs actions étaient coordonnées par le Pentagone et l'OTAN, et leur dernière réunion connue se déroula à Bruxelles en octobre 1990. A l'heure de la menace de "l'hyperterrorisme", ce livre de référence revient sur les attentats de la gare de Bologne, de la Piazza Fontana, les attaques des tueurs fous du Brabant, l'enlèvement et l'assassinat d'Aldo Moro et demande, s'il s'agit d'actes de terrorisme sous fausse bannière, fabriqués pour accroître la stratégie de la tension…
La guerre en Ukraine et Europe ne tombe pas du ciel...
Au sein de l’UE, le droit à l’oubli après une longue maladie est plutôt…oublié. Seuls cinq pays sur 27 ont instauré ce droit dans la loi : la France, la Belgique, le Luxembourg, les Pays-Bas et le Portugal.
Le droit à l’oubli permet aux anciens malades de ne pas avoir à mentionner leurs antécédents médicaux, comme les cancers par exemple, afin notamment de souscrire plus facilement un prêt à la banque. « Le droit à l’oubli concerne les assurances et les emprunts (crédits immobiliers, professionnels…). Le but ? Éviter la double peine et le casier judiciaire cancer », explique Véronique Trillet-Lenoir, eurodéputé (Renew) et cancérologue lors d’un entretien avec EURACTIV.
Alors qu’en Europe un cancer est diagnostiqué chez 2,6 millions de personnes chaque année, le droit à l’oubli est étape essentielle pour les anciens malades, souvent victimes de discrimination.
« Les survivants ont besoin de retrouver une vie sociale, affective, professionnelle, normale. Ils ont besoin de ne pas se sentir exclus », ajoute Mme Trillet-Lenoir.
Seul signe d’espoir pour les personnes guéries : le Plan européen pour vaincre le cancer présenté le 3 février 2021 par la Commission européenne. Le plan définit quatre grands axes de travail : la prévention, la détection précoce, le traitement et l’amélioration de la qualité de vie.
« Le plan concerne la santé, mais il va au-delà de la politique de santé. Il s’agit d’un effort de l’ensemble de la société », avait déclaré le vice-président de la Commission Margaritis Schinas. Des textes seront bientôt présentés par la Commission et traiteront de la lutte contre le cancer comme la directive sur les produits du tabac, la taxation des boissons alcoolisées, la législation pharmaceutique, la directive amiante, l’étiquetage nutritionnel ou encore le plan zéro pollution. (...) - source -
Pas de droit à l'oubli pour les cancéreux allemands, cela me m'étonne pas du tout, d'où le fait qu'il y a seulement 5 pays sur les 27 à le pratiquer... Europe de merde !
Armando Canovas Esperde est né à Artemisa, à Cuba. En 1968, il a fréquenté une école des beaux-arts appelée San Alejandro à La Havane. La même année, il change d'école pour fréquenter le Taller Escuela de las FAR (école-atelier des FAR). Au cours de ses premières années d'études, il se sent attiré par les œuvres de Cézanne, Braque, Picasso et le cubisme en général, c'est pourquoi, en tant qu'artiste, ses premières créations ressemblent beaucoup à celles qu'il aime, mélangées à du réalisme. En se promenant dans les rues de la vieille Havane, en voyant ses bâtiments, ses colonnes, ses couleurs grises, ocres, siennes, les couleurs gaies de sa campagne natale, le vert des arbres, le rouge de la terre, la beauté des oiseaux et le regard du peintre, dans ce vaste monde, il a développé son style.
correspondent exactement au montant de la dette de l’état français...
Depuis la promulgation de la loi Pompidou (*) le 3 janvier 1973, la France ne peut plus emprunter à sa propre banque nationale (article 25), comme c’est le cas pour beaucoup de pays dans le camp du bien.
Conséquences :
- enrichissement des banques privées sur le dos de l’état via nos impôts - transfert de la création monétaire à ces mêmes banques privées.
Or, le processus de la création monétaire est directement lié aux emprunts bancaires (cf le film de Paul Grignon "l’argent dette") et, depuis cette loi, l’Union Européenne a été instituée. L’article 104 du traité de Maastricht impose la même interdiction de se financer directement auprès des banques centrales :
Article 104 : "Il est interdit à la banque centrale européenne et aux banques centrales des États membres, ci-après dénommées « banques centrales nationales », d’accorder des découverts ou tout autre type de crédits aux institutions, organes ou organismes de l’Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres. L’acquisition directe, auprès d’eux, par la banque centrale européenne ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite."
Les états signataires s’interdisent donc de se financer directement à taux zéro auprès de leur banque centrale ou de la banque centrale européenne (BCE). Ils sont obligés de s’adresser aux banques privées qui leur proposent les taux qu’elles décident, allant jusqu’à 25% d’intérêts pour la Grèce en mars 2012. Ces banques privées empruntent, elles, au taux de 0% auprès de la BCE en 2017.
Pour la France, le montant des intérêts de la dette cumulés et payés aux banques privées était fin 2012 d’environ 1 800 milliards d’euros, c’est-à-dire exactement le montant de la dette de l’état français début 2013 ! L’état français n’aurait pas été déficitaire s’il n’avait payé aucun intérêt aux banques privées pour ses emprunts depuis 1973, mais avait continué de se financer à 0% auprès de sa banque centrale. Cette situation profite aux banques privées et ce sont les contribuables qui en pâtissent, puisque ces sommes ne sont pas affectées à des financements d’équipements ou de services publics qui eux sont soumis au régime sec amaigrissant ! - source -
(*) Georges Pompidou ? (il me rappelle quelqu'un), ... Il est nommé maître des requêtes honoraire au Conseil d'État en 1946 et demeure un collaborateur de De Gaulle pendant la « traversée du désert » de celui-ci, tout en assurant les fonctions de directeur général de la banque Rothschild... - source -
(...) L'année dernière, le FBI et ses partenaires internationaux ont annoncé l'opération Trojan Shield, dans le cadre de laquelle le FBI a secrètement géré pendant des années une société de téléphonie cryptée appelée Anom et l'a utilisée pour récupérer des dizaines de millions de messages des utilisateurs d'Anom. Anom a été commercialisé auprès de criminels et s'est retrouvé entre les mains de plus de 300 syndicats du crime dans le monde. Cette opération historique a conduit à plus de 1 000 arrestations, dont des trafiquants de drogue présumés de haut niveau, et à des saisies massives d'armes, d'argent liquide, de stupéfiants et de voitures de luxe.
Motherboard s'est procuré le code sous-jacent de l'application Anom et en publie aujourd'hui certaines parties, car le public souhaite comprendre comment les forces de l'ordre s'attaquent au problème dit de "Going Dark", où les criminels utilisent le cryptage pour garder leurs communications hors de portée des autorités. Le code permet de mieux comprendre la nature précipitée de son développement, les outils en ligne librement disponibles que les développeurs d'Anom ont copiés pour leurs propres besoins, et comment la section de code concernée a copié les messages dans le cadre de l'une des plus grandes opérations de répression jamais réalisées. (...) - source -
Il serait étonnant que seuls les criminels aient été ciblés... J'ai toujours pensé que cette méthode est très certainement utilisée par divers gouvernements, par exemple pour des logiciels dits de cryptage ou similaires. Si une entreprise vend un truc "hyper sécurisé" sans montrer les sources, il est très possible qu'elle raconte des "salades". Vous avez compris : en matière de sécurité, ne jamais faire confiance à des logiciels à sources fermés...