l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...
« Les opportunités qui se présentent à nous n’ont jamais été aussi grandes » Larry Fink ( octobre 2024 ) patron de BlackRock, gestionnaire américain d'actifs aux 11 500 milliards de dollars…


Avec l’euro, il y a quelques gagnants, mais beaucoup de perdants - Antonio Costa

> Macron et son ministre de l'agriculture soutiennent les pesticides des maïsiculteurs au détriment de la santé publique !

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          Quel est le point commun entre les mégabassines de Sainte-Soline et le S-métolachlore ? Les gigantesques trous creusés dans les champs pour stocker l'eau pompée l'hiver dans les nappes phréatiques et l'herbicide soupçonné d'être cancérigène qui hérisse le poil des écolos sont tous deux défendus par le puissant lobby du maïs, une plante boit-sans-soif qui doit pousser sur un sol récuré comme un sou neuf. Tout ça avec le soutien décomplexé du ministre de l'Agriculture.

          Le 30 mars, Marc Fesneau en a remis une louche au congrès de la FNSEA, le principal syndical agricole, au conseil d'administration duquel siège le président de l'Association générale des producteurs de maïs. « Sainte-Soline est un système vertueux », a lancé le ministre à la tribune. Puis, devant l'assistance, qui buvait du petit-lait, Fesneau a cogné sur l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses), qui a proposé l'interdiction du fameux herbicide. « L'Anses n'a pas vocation à décider de tout, tout le temps, en dehors du champ européen et sans jamais penser les conséquences pour nos filières », a-t-il martelé.

          L'Agence est carrément sommée de revoir sa copie. Du jamais-vu, s'agissant d'une expertise scientifique produite par une autorité indépendante. D'autant que c'est bien le ministère de l'Agriculture qui, le 17 mai 2021, avec ceux de la Santé et de l’Écologie, lui avait demandé de se pencher sur le cas de l'herbicide. Près de deux ans plus tard,après avoir constaté la présence quasi généralisée dans les nappes phréatiques d'un des métabolites cancérigènes du S-métolachlore, l'Anses a proposé d'interdire le désherbant favori des maïsiculteurs.

          L'Autorité européenne de sécurité des aliments a, elle aussi, pointé du doigt l'ampleur de cette contamination, le 28 février dernier. De l'aveu même de la Direction générale de la santé, l'eau du robinet de plus de 3,4 millions de Français est contaminée au-delà de la limite sanitaire maximale fixée par l'Europe.

          Pas touche à mon métolachlore ! La filière tricolore du maïs, numéro un en Europe, a sorti les fourches. La veille de l'intervention du ministre au congrès de la FNSEA, le patron de l'Anses a été convoqué par la commission des Affaires économiques de l'Assemblée nationale pour s'expliquer.

          A l'Agriculture, on compte bien profiter du bazar pour revenir à la situation d'avant 2015, quand le ministère décidait seul d'autoriser les pesticides et que l'Agence se contentait d'émettre un avis. Avec ou sans bidon(nage) ?

Sans oublier que Macron va restreindre l'eau pour les particuliers en la faisant payer plus cher ! Et, ce, vraisemblablement pour laisser la culture du maïs ( et autres ) pomper tout ce qu'elle veut gratuitement,...

Pour aller plus loin :

(...) " Après les annonces par E. Macron sur le “plan eau”, nous avons pu lire sur le site du Ministère de la Transition Écologique les 53 mesures de ce plan. Comme nous l’avions craint, les mesures proposées sont bien faibles au regard de l’enjeu de la préservation de la qualité et de la quantité de cette ressource précieuse. Nous ne nous étendrons pas sur la question de la gestion en quantité de la ressource pour nous consacrer sur la question de la qualité. Sur ce point il y a très peu de mesures dues aux pratiques agricoles et rien sur les pollutions industrielles, notamment par exemple sur le sujet des perfluorés (PFAS). Ce point est particulièrement inquiétant quand on sait combien ces pollutions sont une question environnementale et sanitaire majeure !

(...) Concernant les dépassements de pesticides et de leurs métabolites dans les eaux destinées à la consommation humaine, le plan prévoit (mesure n°28) : “En cas de dépassement des exigences de qualité fixées pour les eaux destinées à la consommation humaine par un pesticide toujours utilisé, des mesures de gestion permettant de juguler le risque seront mises en place automatiquement par le préfet, en complément des mesures du plan de gestion de la sécurité sanitaire des eaux de la collectivité”. Qu’entend-on par “mesures de gestion” cela reste très flou. Pour certains pesticides il faut prévoir des mesures non pas de gestion mais d’interdiction comme dans le cas du S-Métolachlore. (...) - source -

 

⚠️ cabines de téléconsultation médicale : attention aux arnaques sur les tarifs !

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CABINES DE TÉLÉCONSULTATION : attention à l'affichage des tarifs

          Medadom, Tessan, H4D... les cabines de téléconsultation gagnent du terrain. On les retrouve dans les pharmacies, les locaux communaux et même les supermarchés. À l'intérieur, plusieurs équipements connectés (tensiomètre, thermomètre, stéthoscope, balance, dermatoscope...) pilotés à distance par le médecin. Grâce à eux, le praticien peut affiner son diagnostic.

          En octobre 2022, Medadom, l'un des principaux acteurs du marché, affirmait avoir franchi le cap du million de téléconsultations. En 2023, il vise l'installation de 6000 dispositifs.

          Côté tarif, si vous faites le choix d'une téléconsultation dans l'un de ces équipements avec un médecin généraliste conventionné en secteur 1, vous aurez droit à la même prise en charge que pour une consultation classique. Gare, cependant, aux défauts d'information sur les tarifs et les honoraires. C'est ce qui ressort de la première enquête de la répression des fraudes sur le secteur de la télémédecine, dont les résultats ont été dévoilés en avril 2021. Selon elle, 23% des opérateurs ont présenté des «anomalies», principalement des «défauts d'information sur les tarifs et les honoraires». Plus grave, la répression des fraudes a aussi relevé «une pratique commerciale trompeuse telle que la présentation confuse d'un service de téléconseil qui, lui, n'est pas pris en charge par l’assurance maladie, à la différence d'une téléconsultation».

Et, ce qui me semble encore encore plus grave que grave, ces fraudes ( évidemment organisées donc, disons "arnaques" ) sont subies par des personnes MALADES donc fragilisées...

 

> fin de vie : la convention citoyenne se prononce en faveur de l’euthanasie et du suicide assisté, sous conditions

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          Les 184 Français tirés au sort ont rendu leur rapport final dimanche au gouvernement, ainsi qu’un « manifeste » pour lui demander de s’emparer du sujet. Emmanuel Macron doit les recevoir lundi pour dire quelles suites il compte donner à leur travail.

          La convention citoyenne sur la fin de vie, qui réunit depuis décembre des Français tirés au sort pour orienter l’action de l’exécutif sur le sujet, a conclu dimanche 2 avril ses débats, en confirmant sa position majoritaire pour légaliser l’euthanasie ou le suicide assisté.

          « Pour une majorité de citoyennes et citoyens de la convention, l’accès à l’aide active à mourir doit être ouvert », est-il écrit dans son rapport final, qui a été soumis au vote de ses membres dimanche à la clôture des débats organisée au siège du Conseil social, économique et environnemental (CESE), qui organise la convention. Elle y fixe toutefois aussi des nuances et des conditions. La convention n’exprime notamment pas position majoritaire sur le cas des mineurs ou celui des personnes incapables d’exprimer leur volonté. Le rapport détaille par ailleurs précisément diverses positions, dont celle minoritaire contre une légalisation de l’euthanasie ou du suicide assisté.

Des difficultés à accéder à ce qui est déjà prévu par la loi

          Cette convention, convoquée à l’appel du gouvernement à l’automne 2022, rassemble 184 Français tirés au sort, dont l’avis vise à orienter l’action de l’exécutif. Réunis vingt-sept jours au total depuis décembre, ses membres devaient dire si la législation actuelle sur la fin de vie, fixée par la loi Claeys-Leonetti de 2016, apparaît adaptée à toutes les situations et s’il faut y apporter des changements. Cette dernière autorise une « sédation prolongée et continue », autrement dit une plongée définitive dans l’inconscience, pour les patients à l’état désespéré à court terme et dont les souffrances sont intolérables. Mais elle ne va pas jusqu’à autoriser une « aide active à mourir », c’est-à-dire soit un acte d’euthanasie par un soignant, soit une assistance au suicide.

          A l’issue de leurs échanges, les Français réunis en convention ont majoritairement estimé que le cadre actuel de la fin de vie n’était pas adapté. Toutefois, ils n’en tiennent pas uniquement responsable la législation actuelle. Ils soulignent aussi les difficultés concrètes d’accès à ce qui est prévu par la loi, notamment une offre suffisante de soins palliatifs. A ce titre, la convention met l’accent sur la « situation alarmante » du système français de santé.

Un « manifeste » remis en plus au gouvernement

          Au-delà de la seule question de l’euthanasie ou du suicide assisté, la convention fait donc une longue liste de recommandations pour développer les soins palliatifs et faciliter leur accès. L’incertitude porte désormais sur la traduction concrète de ces recommandations, notamment la rédaction d’une nouvelle loi. Emmanuel Macron, qui s’était par le passé prononcé pour une évolution de la loi mais s’abstient désormais de se prononcer clairement, doit recevoir lundi les participants à la convention pour dire quelles suites il compte donner à leur travail.

          Pour voir leurs recommandations trouver des suites concrètes, les participants, ont ainsi choisi de remettre au gouvernement, en plus de leur rapport, un « manifeste » – dont Le Monde dévoile ici l’intégralité –, lu dans l’hémicycle du palais d’Iena dimanche matin, à la conclusion des travaux. « Emparez-vous de cette question de la fin de vie qui est un enjeu de société majeur », y écrivent-ils à l’intention du gouvernement et des législateurs. - source -

Faut pas se leurrer, il n'y a rien à attendre de Macron. Il y aura tellement de conditions que peu de personnes pourront en bénéficier et ceux qui en auront les moyens iront toujours en Belgique ou ailleurs. En effet, les lobbies religieux sont très écoutés en France où l'extrême-droite, droite et centre, rappelons-le, veulent toujours un retour d'avant 1905 par le rétablissement d'une religion catholique d'état pour laquelle la douleur est toujours rédemptrice ! D'autre part, l'état montre aussi au citoyen qu'il est RIEN car même son propre corps ne lui appartient pas, sans oublier que :

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> selon l’ONU, l’eau en bouteille n’est pas toujours plus saine que celle du robinet

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          L’organisation a passé au crible un marché très polluant qui explose, avec environ 600 milliards de bouteilles vendues en 2021. Selon plusieurs études, ce produit de «luxe» est parfois soumis à moins de tests sanitaires que l’eau du robinet.

          L’eau en bouteille serait-elle une parfaite illustration de l’absurdité du monde actuel ? Ce produit de luxe qui pollue, creuse les inégalités et freine, voire empêche, les investissements dans les réseaux publics d’eau potable, n’offre même pas la garantie d’une bonne qualité. Voici en substance la conclusion d’un rapport de l’ONU publié ce jeudi, qui synthétise des travaux et données sur l’industrie mondiale de l’eau en bouteille.

          Le marché explose. En cinquante ans, l’eau embouteillée est devenue «un secteur économique majeur», l’un de ceux qui croissent le plus vite au monde, avec un bond de 73% entre 2010 et 2020. En 2021, il était estimé à près de 270 milliards de dollars, pour 350 milliards de litres vendus. Et les ventes devraient encore doubler d’ici 2030, pour atteindre 500 milliards de dollars. Chaque minute, il s’écoule aujourd’hui dans le monde plus d’un million de litres d’eau en bouteille. En volume, l’eau traitée (par exemple par chloration) provenant de réseaux d’eau publics ou d’eaux de surface représente près de la moitié du marché (47%), devant l’eau minérale (33%) et l’eau dite «naturelle» (20%).

          Les États-Unis constituent le plus gros marché (avec environ 64 milliards de dollars de ventes), devant la Chine (45 milliards de dollars) et l’Indonésie (22 milliards de dollars), ces trois pays représentant près de la moitié du marché mondial. En Europe, le plus gros marché est l’Allemagne. Les plus assoiffés d’eau en bouteille sont les habitants de Singapour (qui ont dépensé pas moins de 1 348 dollars par habitant en 2021 pour se procurer le précieux liquide), devant les Australiens (386 dollars par habitant). En moyenne, chaque habitant de cette planète dépense 34 dollars par an d’eau en bouteille, dont le litre peut coûter 150 à 1 000 fois plus que l’eau du robinet. De quoi faire les choux gras de multinationales comme PepsiCo (marque Aquafina), Coca-Cola (marque Dasani), Nestlé et Danone, qui occupent les quatre premières places du marché mondial.

          Les raisons d’un tel engouement pour l’eau en bouteille diffèrent. Dans les pays riches «du Nord», cette eau est «souvent perçue comme un produit plus sain et meilleur au goût que l’eau du robinet et représente davantage un bien de luxe qu’une nécessité», remarque le rapport. Dans les pays en développement «du Sud», les ventes d’eau en bouteille «sont principalement dues au manque ou à l’absence d’approvisionnement public en eau qui soit fiable». Des problèmes «souvent causés par la corruption et le sous-investissement chronique dans les infrastructures de distribution d’eau», indique le rapport. Lequel remarque que les compagnies vendant de l’eau en bouteille sont promptes à faire de cette situation un argument marketing en faveur de leurs produits, qui seraient une alternative saine et sûre à l’eau du robinet.

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> un nouveau tour de cochon ( de l'industrie de la cochonnaille et de la macronie )

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          Une victoire de plus pour l'industrie de la cochonnaille. Pour la troisième fois, le ministre de l'Agriculture, Marc Fesneau, vient de  repousser le plan d'action gouvernemental visant à réduire la quantité de sels nitrités saupoudrés dans nos assiettes. On sait depuis belle lurette que ces additifs, identifiables sur l’étiquette d'un produit par le code « E250 », qui donnent un joli teint rose à la charcuterie tout en allongeant sa durée de vie, sont cancérigènes. En janvier, une équipe de chercheurs français en épidémiologie nutritionnelle a montré que ces fameux nitrites jouaient, en prime, un rôle dans l'épidémie de diabète sucré qui touche actuellement 2 millions de Français (« PLOS Medicine », 17/1 ).

          Une raison de plus de forcer les industriels de l'agroalimentaire à y aller mollo sur ces cochonneries. C'était d'ailleurs l'objectif affiché du fameux plan gouvernemental, qui devait être présenté ce 22 mars. Son report ne peut que réjouir le lobby de la charcuterie. La puissante Fict, la Fédération des industriels charcutiers traiteurs, alliée aux gros producteurs de cochons, avait déjà haché menu plusieurs tentatives parlementaires d'interdire les sels nitrités (« Conflit», 13/7/22). Le cabinet du ministre, gêné aux entournures, explique au « Canard » que le plan « a été décalé pour procéder a quelques bouclages techniques ». Et ne donne aucune explication au départ soudain de l'inspectrice de Santé publique vétérinaire qui, en juillet dernier, avait été spécialement chargée du dossier par Marc Fesneau. Les opposants aux sels nitrités refusent, eux, de battre en retraite. La pétition lancée par la Ligue contre le cancer et l'association de défense des consommateurs Foodwatch pour le bannissement de l'E250 approche des 550 000 signatures.

          Côté Parlement, le député MoDem Richard Ramos, qui, l'an dernier, avait déjà tenté, dans une proposition de loi, de rendre persona non grata les additifs nitrités, remet le couvert. A son initiative, le 30 mars, la commission des Affaires européennes de l'Assemblée nationale devra décider si elle demande ou pas à Bruxelles de s'attaquer à ces additifs mal famés. Le 6 mai, c'est une députée Europe Ecologie-Les-Verts qui doit en rajouter une louche avec un amendement.

          Manquerait plus que le gouvernement dégaine le 49.3 pour sauver l'industrie cochonnière...

Voilà une super merde ( que l'on retrouve aussi dans tout le bio ) dont on sait parfaitement qu'elle est cancérigène, et plus particulièrement le cancer de la prostate chez les hommes,  et ... rien ! Aussi bien du côté de la macronie que de l'union européenne de merde ! Heureusement que quelques producteurs comment à faire de la charcuterie sans nitrites.

 

> pour s'attaquer aux problèmes du surpoids, la Finlande envisage une taxe sur la santé

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          Six partis politiques sur neuf en Finlande souhaitent introduire au cours de la prochaine législature une taxe sanitaire pour s’attaquer au problème séculaire du surpoids en dans le pays, selon une nouvelle enquête.

          Les niveaux d’obésité et de surpoids en Finlande ont considérablement augmenté depuis 1980 : le nombre d’adultes en surpoids a doublé (désormais deux hommes sur trois et plus de la moitié des femmes) et 25 % des hommes et des femmes de plus de 30 ans sont obèses. Les chiffres ont également triplé pour les adolescents : 20 % d’entre eux sont actuellement en surpoids.

          Les partis qui soutiennent pleinement l’introduction d’une taxe sur la santé au cours de la prochaine législature sont le Parti de la coalition nationale (PCN), les sociaux-démocrates, l’Alliance de gauche, les Verts, les démocrates-chrétiens et le Mouvement maintenant. Le Parti nationaliste des Finlandais a déclaré qu’il n’avait pas d’opinion sur la question.

          « Il en résulte un message très fort pour le prochain gouvernement. Il faut poursuivre avec détermination la mise en place d’une taxe sur la santé. L’état d’esprit politique est là et l’opposition de l’industrie ne doit pas ralentir la rédaction de la loi », a commenté Ulla Kiuru, responsable des relations sociales de Soste.

          Malgré le soutien de la majorité, la hausse de l’inflation, en particulier, pourrait contrecarrer l’idée d’une nouvelle taxe sur la santé.

          Selon une enquête demandée en janvier à l’Association finlandaise des industries alimentaires et des boissons (ETL), la plupart des Finlandais préféreraient que la TVA sur les légumes et les baies soit abaissée plutôt que d’augmenter les prix des produits malsains. - source -

Ou comment marcher sur la tête ! Au lieu d'interdire aux industriels de bourrer leurs aliments de sucre, d'huile de palme et de pesticides, ils pensent seulement à taxer la population ! Sans oublier quelques propositions dégueulasses comme celle d'augmenter le coût de la sécurité sociale pour les obèses ou ceux qui ne font pas de sport...