La solution trouvée par le Gouvernement pour faire face à la pénurie de médicaments
Antidouleurs, antidiabétiques, antibiotiques… depuis quelque temps, la France doit faire face à une pénurie de médicaments. Pour éviter une situation délicate cet hiver, la vente à l'unité va être généralisée, a appris franceinfo.
Dans les pharmacies, le constat est net : des médicaments manquent à l'appel. "Aujourd’hui, une ordonnance sur deux, je ne peux pas la délivrer en intégralité. Entre moi, mes adjoints, mes préparateurs, nous passons entre deux et quatre heures par jour entre les appels aux médecins, les appels aux fournisseurs, pour avoir des produits", expliquait un pharmacien à franceinfo il y a une semaine. Depuis la pandémie de Covid-19, les pénuries de médicaments sont nombreuses et l'hiver qui se profile inquiète au plus haut point le ministère de la Santé.
Alors, pour faire face à de potentielles ruptures, et surtout limiter la casse, le Gouvernement va rendre obligatoire la distribution de médicaments à l'unité, a appris franceinfo. Cela veut dire tout simplement que lorsqu'un patient présentera une ordonnance, le pharmacien devra lui délivrer les antibiotiques cachet par cachet, et non la boîte entière comme auparavant. Le Gouvernement veut éviter un gâchis et une perte inutile de médicaments qui restent dans la boîte lorsqu'elle n'est pas utilisée entièrement.
Dans un entretien accordé aux Échos ce mercredi, le ministre de l'Industrie a confié qu'en cas de pénurie, les hôpitaux et les industriels pourront fabriquer des préparations, et ce peu importe les médicaments. Une manière, aussi, de dépanner. Selon franceinfo, le ministère de la Santé planche également sur les problèmes de livraison de matières premières et la mauvaise gestion des stocks. Aujourd'hui, 70% des médicaments qui manquent sont des médicaments anciens. Or, leur rentabilité n'est plus la même depuis quelques années et les laboratoires préfèrent les médicaments plus innovants et donc plus rentables.
Et pour éviter que des médicaments soient en pénurie permanente, le Gouvernement voudrait s'inspirer de la loi Florange. Le but ? Rendre obligatoire la reprise d'un site industriel qui produit des médicaments jugés d'intérêt thérapeutique. S'ils ne le font pas, l'État pourra reprendre la main gratuitement dessus pendant deux ans. De même, certains prix vont être relevés, comme celui de l'amoxicilline, afin d'inciter à produire ou relocaliser en France. Mais cette hausse de tarif implique une obligation d'assurer des stocks dans le pays. Enfin, le ministre de la Santé a déjà annoncé que les pharmaciens pourront délivrer des antibiotiques sans ordonnance. En revanche, un patient devra faire un test au préalable, selon sa pathologie. - source -
Alors voilà quel était le but de l'organisation de la pénurie de médicaments en France par la macronie : distribuer les médicaments à l'unité pour réduire encore le budget de la sécu, qui reversé au budget de l'état, va permettre d'engraisser encore les entreprises ! Quand aux antibiotiques, il suffit de les interdire pour les animaux d'élevage qui en sont goinfrés journellement, à commencer par les lapins !!!
les interactions et effets indésirables entre médicaments; votre médecin ( même s'il est certainement abonné à Vidal et à ce système d'interactions entre médicaments ) ne sait pas tout et peut aussi se tromper...
Pour éviter des consultations injustifiées chez le médecin, l’exécutif rappelle que les justificatifs réclamés par les fédérations et clubs de sport ne sont plus obligatoires.
Forum des sports, rentrée des associations… dans beaucoup de villes, ce week-end sera l’occasion d’inscrire enfants et adultes à une activité physique. Une bonne nouvelle car la pratique régulière du sport est bénéfique pour la santé. Mais pour les médecins généralistes, la rentrée rime souvent avec le grand retour des certificats médicaux abusifs.
Un non-sens dénoncé depuis des années par les praticiens, car ces certificats exigés par les clubs et fédérations n’ont pas toujours de justification médicale, font perdre du temps aux médecins déjà surchargés et bloquent des rendez-vous au détriment de patients malades qui en auraient vraiment besoin.
Plusieurs fédérations ont abandonné les certificats médicaux
« En cette rentrée, 15 % à 20 % de mes consultations sont uniquement dédiées aux certificats alors que l’immense majorité pourrait être supprimée », regrette Raphaël Dachicourt, généraliste à Croix dans la banlieue Lilloise et président du syndicat Reagjir (Regroupement autonome des généralistes jeunes installés et remplaçants). « Il faut vraiment agir et changer la loi pour rendre ces certificats illégaux et les demandes passibles de sanction, réagit Thomas, généraliste en Seine-Saint-Denis. Je les remplis mais au détriment de consultations utiles ». « Le gouvernement avait pourtant promis des mesures de simplification. Mais il ne s’est rien passé », se désole un autre.
En février dernier, l’ancien ministre de la Santé François Braun, souhaitant que « les certificats médicaux deviennent l’exception », avait annoncé 15 mesures de simplification administrative, reprenant les conclusions d’une mission flash lancée en janvier. Six mois plus tard, des mesures ont bien été prises, mais se heurtent encore aux habitudes sur le terrain. « Dorénavant, pour obtenir ou renouveler une licence et participer à une compétition sportive autorisée par une fédération, la présentation d’un certificat médical d’absence de contre-indication n’est plus obligatoire, sauf si la fédération l’exige », ont indiqué vendredi les trois ministres Aurélien Rousseau (Santé), Agnès Firmin-Le Bodo (Professions de santé) et Amélie Oudéa-Castéra (Sport). Pour les mineurs, plus besoin de certificat, la présentation d’une attestation, obtenue après renseignement d’un questionnaire de santé, est désormais suffisante. Pour les majeurs, la décision dépend encore des fédérations. Mais plusieurs d’entre elles ont déjà supprimé cette exigence, notamment en cyclisme, tennis, golf, char à voile, pétanque, pêche, parachutisme en soufflerie, etc. En outre, un décret du 31 août a réduit le nombre des «disciplines à contraintes particulières» pour lesquelles il convient toujours de présenter un certificat médical, comme c’est toujours le cas par exemple pour la plongée.
Les demandes superflues ne se limitent pas aux certificats pour le sport
Bref, « les certificats médicaux, ce n’est pas automatique » résume Marguerite Cazeneuve, directrice déléguée de l’Assurance-maladie. Au final, c’est moins de paperasserie pour les patients, du temps gagné pour les médecins et des économies pour la Sécu qui rembourse les consultations pour rétablir ces certificats.
Mais, « les mesures attendues ne sont pas là du tout », regrette Raphaël Dachicourt, car les demandes administratives superflues ne se limitent pas au sport. Les médecins restent confrontés aux demandes de certificats des collectivités locales, crèches, écoles, etc. Pour l’accueil en crèche par exemple, « il faut un certificat d’aptitude à la vie en collectivité pour tous les enfants depuis août 2021 », explique une puéricultrice. À contre-courant du mouvement de simplification tant attendu.
À Orléans, pour lutter contre le gaspillage alimentaire, la mairie a décidé de pénaliser d’une amende de 5 euros les familles des élèves absents sans justification valable à la cantine ou lors des garderies. « Le certificat médical pour les absences scolaires n’est pas obligatoire, sauf pour certaines maladies infectieuses. Les parents sont responsables de leurs enfants et sont aptes à faire des mots d’absence. Si l’école pense qu’il y a des abus, il y a des protocoles de l’Éducation nationale », rappelle une généraliste. « Les mesures de simplification prises sont insuffisantes. Il faudrait un arrêté listant les certificats exigibles plutôt que de renvoyer à des textes divers et variés », conclut Raphaël Dachicourt. « Et surtout pour les certificats d’arrêts de travail, nous plaidons pour que les patients puissent s’autodéclarer pour les arrêts de moins de trois jours, puisque le délai de carence fait qu’ils ne sont pas indemnisés par la Sécu durant cette période ». Une demande qui se heurte jusqu’à présent au refus des entreprises.- source -
Bien évidemment, il y a un abus généralisé entretenu par les assureurs car ils permettraient de mettre en cause les médecins en cas de problème... Quant au auto-arrêts de travail inutiles de - 3 jours, c'est pas pour demain !
Quand le cidre est tiré, il faut le boire. La Commission européenne s'est mis en tête de réglementer une bonne fois pour toutes ce qu'on a le droit de vendre dans I UE sous l'estampille « cidre ».
Actuellement, on trouve un peu de tout dans la barrique. En France, première puissance cidricole au monde, le cahier des charges impose depuis soixante-dix ans du 100 % pomme. Mais d'autres États membres se contentent de 30 %, voire de moins de 20 %, comme la Suède ou le Danemark, le reste de la mixture étant composé, selon l'inspiration, de céréales, de miel, de sirop de glucose, de poires ou de carottes, un vrai pot-pourri !
Ce n'est donc pas une mauvaise idée de mettre de l'ordre dans le tonneau. Sauf que l'une des trois recommandations bruxelloises servies aux eurodéputés pour leur rentrée parlementaire a fait sauter le bouchon des producteurs de cidre français. La Commission européenne ne verrait pas de problème à étiqueter « cidre », y compris dans l'Hexagone, un breuvage contenant seulement « 50 % de jus de fruits (frais et/ou reconstitué) ». Une aubaine pour les géants de la bière, comme le néerlandais Heineken ou le danois Carlsberg, qui développent des pseudo-cidres afin de capter la clientèle féminine.
Et tant pis pour tous nos petits cidriculteurs. Sur les 80 millions de litres de cidre vendus chaque année en France, près de 80 % sortent des usines de deux industriels, le groupe Eclor et Les Celliers associés. Le reste est élaboré par des producteurs fermiers, qui aimeraient bien que la qualité de leur breuvage saute aux yeux du consommateur.
Depuis juillet 1987, une réglementation concoctée sur mesure pour les géants du secteur permet de faire du cidre avec 50 % de moût concentré. Le « MC », de son petit nom, est une pâte visqueuse ultra-sucrée, obtenue après chauffage du jus de pomme, que le fabricant rallonge généreusement avec 50 % d'eau. De quoi faire pétiller les rendements. S'il faut 1,4 kilo de pommes pour obtenir un litre de cidre élaboré à l'ancienne, 800 grammes suffisent pour sa version industrielle. Et la manip est même autorisée en bio ! Le hic, c'est que rien ne distingue, sur l'étiquette, le cidre contenant du MC du cidre tradi. D'où l'estampille « traditionnel » qui fleurit sur toutes les bouteilles de cidre industriel.
Les cidriers indépendants tricolores espéraient que Bruxelles clarifierait enfin l'étiquette. Ils en ont marc qu'on les prenne pour des pommes ?
Entre les industriels français et les autres requins des pays du Nord ( en particulier la Suède ), le consommateur français avale ou mange de plus en plus de merde, et..., "on" s'étonne encore que les cancers explosent !!!
Un homme a été découvert mort dans sa voiture sur un parking d'un centre commercial à Gassin, dans le Var. Le touriste allemand s'était présenté quelques heures plus tôt aux urgences se plaignant de douleurs.
Un drame lié à la crise des urgences en France ? Ce jeudi 7 septembre, un quinquagénaire a été découvert mort dans sa voiture sur le parking d'un centre commercial à Gassin dans le Var. Selon nos confrères de Nice Matin, aucune enquête n'a été ouverte en raison d'absence d'obstacle médico-légal, mais la femme de la victime a précisé aux forces de l'ordre que son mari et elles étaient allés aux urgences quelques heures avant.
"Fonctionnement adapté"
Ce vacancier allemand serait allé tôt le matin à l'hôpital, indiquant souffrir de fortes douleurs. Sauf que ce jour-là, les urgences sont en "fonctionnement adapté", autrement dit, seuls les pronostics vitaux engagés sont admis. Les urgences auraient alors préconisé au touriste d'attendre l'ouverture à 10 heures du centre de soin à proximité.
L'homme ne s'y est visiblement jamais présenté, selon nos confrères, qui rappellent que l'hôpital de Gassin a connu au cours de l'été des fermetures à répétition de ses services d'urgence, qui seront une nouvelle fois en "mode dégradé" de ce samedi 9 septembre au dimanche 10 septembre, entre 18 h 30 et 7 h 30. - source -
Et cela va devenir de plus en plus courant ! Bientôt des cliniques privées seront accessibles sous réserve d'un abonnement très cher ou d'une assurance spéciale très chère ? On y va droit, les autres qui n'auront pas les moyens de se les payer ? ben,... qu'ils crèvent !
Tout cela à cause de de nos chers : - Sarkozy, son parti LR ( et associés ) et ses députés, - Hollande, son parti PS ( et associés ) et ses députés, - Macron, son parti - à multiples sigles - ( et associés ) et ses députés, Sans oublier cette merde d'union européenne...
Une décision unilatérale : les soins dentaires bientôt moins bien remboursés
L'Assurance maladie baisse sa prise en charge des soins dentaires au 1er octobre. En contrepartie, les actes de prévention ont été revalorisés.
Le 15 juin, la direction de la Sécurité sociale annonçait la baisse du remboursement des soins dentaires de 70 à 60% au 1er octobre prochain. Une décision prise sans concertation avec la profession ni avec les assurances complémentaires et qui a suscité de vives critiques.
LE COÛT DES MUTUELLES VA AUGMENTER
Pour les assurés qui ne bénéficient pas d’une complémentaire santé (ils étaient 2,5 millions en 2019), le reste à charge va en effet augmenter. France Assos Santé craint qu’ils ne renoncent encore plus à se faire soigner. Pour les autres, les complémentaires santé épongeront la différence mais ce transfert de charges ne sera pas pour autant indolore. Car si la Sécurité sociale table sur une économie de 500 millions d’euros, les complémentaires santé ne sont pas prêtes à récupérer l’addition. Elles répercuteront donc encore ce coût sur les cotisations.
FINANCER LE "VIRAGE PRÉVENTIF”
Pourquoi un tel transfert de charges ? Pour financer le «virage préventif» d’une spécialité « historiquement tournée vers la réparation et le curatif», dixit le ministère de la Santé. Si, en juin, l’objectif « génération sans caries » était posé, la contrepartie du déremboursement n'était pas encore claire. La convention dentaire 2023-2028 signée le 21 juillet en a précisé les contours : revalorisation de 4 % des soins conservateurs pour tous, de 30 % des actes préventifs des 3-24 ans, prise en charge d’un examen bucco-dentaire annuel entre 3 et 24 ans, prise en charge du vernis fluoré étendue jusqu’à 24 ans (au lieu de 9 ans)... Les jeunes en sortent logiquement principaux bénéficiaires. Les plus âgés verront, eux, surtout leurs cotisations augmenter.» A. R.
Encore !!! La macronie continue ses attaques contre la santé des gueux pour récupérer encore du fric - ici 500 millions d'euros ( + doublement des franchises médicaments ) - pour ses chères banques et multinationales !!! On va se prendre une belle augmentation de la part des mutuelles dans la gueule qui vont, évidemment, en profiter pour récupérer ce qu'elles ont "perdu" depuis l'inflation... On va donc être rackettés 2 fois : 10% du prix dentaire + 15% de mutuelle !