l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées... « Les opportunités qui se présentent à nous n’ont jamais été aussi grandes » Larry Fink
( octobre 2024 ) patron de BlackRock, gestionnaire américain d'actifs aux 11 500 milliards de dollars…
Après le changement de nom, le visage de l’abbé Pierre disparaît. La Fondation pour le logement des défavorisés (ex-fondation abbé Pierre) ouvre ce lundi 17 mars un « nouveau chapitre » huit mois après le « tsunami » provoqué par les accusations sexuelles visant son fondateur.
La fondation a dévoilé sa nouvelle identité visuelle sur laquelle le visage d’Henri Grouès n’apparaît plus. Le précédent logo mettait en valeur l’héritage de l’auteur de l’Appel de février 1954, l’année d’un hiver rude où la misère est telle dans les rues de Paris que l’abbé Pierre lance un cri de détresse à destination des politiques. Mais celui qui est accusé d’agressions sexuelles ne peut plus être l’image de la Fondation contre le mal logement.
« On change de nom, mais pas de combat. Ce nouveau logo marque un nouveau chapitre. Nous retirons l’Abbé Pierre, mais nous replaçons le logement au cœur de notre mission. », explique son délégué général Christophe Robert ce lundi soir dans C à vous sur France 5.
Une « grosse » baisse des dons
« On a mis un point “d’indignation” au centre du mot Fondation pour montrer la dynamique militante qui consiste à faire du logement un combat vital », détaille Christophe Robert dans un entretien à l’AFP. Le délégué général explique également que les changements de dénomination et de logo ont été poussés par la nécessité de respecter « les victimes mais également par respect pour tous les militants, les bénévoles, les salariés. »
Un changement d’image qui intervient également dans une période de « grosse baisse des dons des particuliers ». Il constate une baisse « d’environ 30 % » depuis la publication à l’été 2024 de deux rapports révélant des faits de violences sexuelles sur 24 femmes par l’abbé Pierre. Et Christophe Robert dit espérer « que ce nouveau chapitre qui s’ouvre, cette clarification sur les choix que l’on fait et le rappel de l’urgence du combat vital de la Fondation pour les mal logés, rassurera les donateurs particuliers. » - source -
Une bonne chose, mais d'autres, comme la légion d'honneur toujours muette, doit estimer qu'un violeur de gueuses et de leurs gueusettes a toujours sa place dans les plus décorés de cet ordre ! Quand aux plus décorés de cet ordre ou leurs familles, silence tout aussi assourdissant...
Royan : un cabinet de téléconsultation autonome va enrichir l’offre de soins
Infrastructure connectée de 15 mètres carrés, cette Box Médicale va être installée boulevard de la Marne à compter du 11 avril. Mode d’emploi
Une solution innovante et complémentaire à la médecine de ville pour faire face, aussi, aux déserts médicaux. L’installation d’une Box Médicale, cabinet de téléconsultation connecté, dans le quartier prioritaire de la politique de la ville (QPV) de l’Estuaire, boulevard de la Marne à Royan, n’est plus qu’une question de jours. Sa mise en service, prévue le 11 avril 2025, vient d’être détaillée.
Après les inaugurations de la Maison de santé pluridisciplinaire du quartier Renaissance, en novembre 2022, et du nouveau pôle santé Médecin général Valérie-André, en octobre 2024, la municipalité royannaise cherchait à proposer une offre de soins dans ce secteur dépourvu de la station balnéaire. L’option, illusoire, de faire venir de nouveaux médecins généralistes a été vite écartée au profit de cette solution proposée par cette start-up 100 % française créée par trois associés.
Cette infrastructure médicale connectée de 15 mètres carrés, conçue à partir d’un conteneur recyclé et équipée de matériel de téléconsultation, permettra aux patients d’avoir accès à un médecin généraliste à distance pour des soins non programmés avec la possibilité de réaliser des examens cliniques comme la prise de tension, de température ou l’utilisation d’un oxymètre qui mesure le niveau de saturation en oxygène dans le sang.
Aux quatre coins de l’Europe, les partis centristes dépeignent de plus en plus la social-démocratie, même modérée, comme une menace « d’extrême-gauche ». La rhétorique outrancière sur le danger gauchiste a un objectif clair : justifier les alliances avec des partis d’extrême-droite autrefois mal vus.
En janvier, l’homme le plus riche du monde a offert une tribune mondiale à la dirigeante de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), un parti d’extrême-droite. Ancienne membre de la Hayek Society, conseillère financière et toujours fervente adepte du néolibéralisme, elle ne s’est pas privée de proférer des obscénités telles que « Hitler était communiste, socialiste ».
Les propos tenus par la présidente de l’AfD, Alice Weidel, sur le site X avec Elon Musk peuvent sembler extrêmes. Pourtant, cela illustre ce qui est désormais une tendance de fond en Europe.
Cela fait déjà des années que nous regardons la classe politique traditionnelle faire tomber les derniers obstacles qui se dressent contre l’extrême-droite. Mercredi dernier, au Bundestag, les chrétiens-démocrates (CDU) et l’AfD de Weidel ont voté ensemble une motion appelant à une restriction de l’immigration. Mais aujourd’hui, la situation est telle que nous ne pouvons plus parler uniquement de la levée de ces barrières. En effet, le fameux cordon sanitaire se dresse désormais activement contre la gauche.
Par « gauche », je n’entends pas seulement les partis ayant une vocation sociale, comme nous l’avons vu récemment avec la diabolisation du Nouveau Front Populaire en France et l’exclusion des sociaux-démocrates des négociations gouvernementales en Autriche. Car ce bâillonnement s’étend également aux mouvements sociaux, aux militants pour le climat, aux ONG, aux syndicats et, plus généralement, à une société civile vitale capable de réagir contre l’alliance sans scrupules des néolibéraux et des populistes de droite.
" Il y a péril en la demeure. Crues, canicules, sécheresses, incendies de forêt : les maisons sont très vulnérables aux effets du réchauffement climatique. Dans ce numéro, Jamy part à la rencontre des Français qui les subissent de plein fouet. Comment protéger les logements ? Quelles sont les régions les plus exposées ? Faut-il rester ou partir ? Jamy, accompagné d'experts, cherche des réponses dans ce tour de France des maisons les plus menacées. "
Et la réglementation imposant aux particuliers concernés de déboiser et débroussailler même les terrains ne leur appartenant pas ! > article précédentici
Petit extrait de cet excellent reportage d'Elephant Doc / france.tv studio / France Télévisions et réalisé par Emmanuel Pernoud, Mathieu Duboscq
On y apprend aussi que l'usage de certains outils sont interdits en période de sécheresse ? et qu'il faudrait rester dans sa maison qui serait le meilleur refuge en cas d'incendie ???