l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


Armée, Mariage, Église et Banque : les quatre cavaliers de l'Apocalypse. - Carlos Ruiz Zafon
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> le bac à compost devient obligatoire dès le 1er janvier 2024

Classé dans : cauchemar

- Dès le 1er janvier prochain, les bacs à compost seront obligatoires en France.
- On estime qu'en moyenne, chaque habitant jette 83 kilos de biodéchets par an.
- Or, en étant collectés à part, ils peuvent avoir une deuxième vie en étant valorisés.

          Après la fin des emballages en plastique ou l'apparition de la vente au vrac, place au compostage ! À partir du 1er janvier 2024, chaque foyer français devra disposer d’un bac à compost à son domicile, conformément à la loi du 10 février 2020 relative à la lutte anti-gaspillage pour une économie circulaire. "En France, les pertes et gaspillages alimentaires représentent 10 millions de tonnes de produits par an, soit une valeur commerciale estimée à 16 milliards d’euros", rappelle le ministère de l’Écologie sur son site internet.

          Pour bien comprendre, à compter de cette date, épluchures de fruits et légumes, coquilles d’œufs ou encore marc de café et filtre ne pourront plus être jetés dans la poubelle verte, qui sert aux déchets classiques. À défaut d’avoir un bac à compost à votre domicile, vous pourrez toujours déposer ces biodéchets dans les bacs de compost mis à la disposition par les communes, précise le texte de loi. La plupart n'ont pas attendu l'arrivée de la loi pour mettre en place des bacs à compost dans l'espace public ou en fournir aux habitants, au même titre que les poubelles.

          On estime qu'en France, chaque habitant jette en moyenne 83 kilos de biodéchets par an. Or, étant collectés à part, ils peuvent être utilisés comme fertilisant naturel afin d'enrichir les sols. Ils peuvent également être transformés en biogaz qui feront par exemple rouler les bus de transports en commun. Aucune sanction n’est mentionnée dans la loi en cas d’absence de bac à compost à son domicile. Néanmoins, le texte prévoit une amende forfaitaire de 35 euros (75 euros si le délai de paiement est dépassé) en cas de non-respect des consignes de tri des biodéchets. - source -

 

          Encore un moyen de se faire du fric car le "traitement spécial" sera évidemment confié à une boite privée dont les actionnaires vont se faire les couilles en or. Les "administrés" prisonniers, eux, n'auront qu'à payer, en plus le prix exorbitant basique du ramassage des poubelles qui, à moyen terme, faut pas se leurrer, sera encore plus cher mais ne sera plus du tout assuré...

 

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💩 la libre concurrence !!! ou comment enculer la France et les français

Classé dans : europe de merde

Adieu poulet du dimanche !

          En torpillant la réglementation de l’élevage en plein air pour favoriser le lobby industriel allemand avec l’accord de l’Élysée, Bruxelles sonne le glas des labels de qualité dont dépend l’excellence de la volaille française. (par Périco Légasse )

          Absorbés que nous étions par le conflit poutino-zélenskien, par la crise énergétique, l’inflation menaçante, la guerre des retraites, le péril chinois, nous en avions un peu oublié les méfaits de ce fléau qu’est la Commission européenne.  Qu’a-t-elle fait cette fois-ci ? Rien de moins que de planifier l'éradication de la volaille française de qualité, notre bon vieux poulet dominical, en poignardant dans le dos les labels qualitatifs dont le consommateur se prévaut pour être sûr de son choix. La méthode est particulièrement sournoise et révèle, une fois de plus, le véritable objectif des instances européennes : éliminer toute entrave à l’enrichissement des marchés.

          Au nom de la libre concurrence, on détricote la loi pour permettre aux marchands de malbouffe d’éliminer ceux qui leur font de l’ombre.

          En ce sens, le poulet est tout un symbole puisqu’il est l’un des aliments ayant subi la plus massive et violente des industrialisations, avec des élevages intensifs en batterie, surtout en Europe de l’Est, puis dans le monde entier, jusqu’au Brésil, où l’on dépasse l’abomination. Une réalité qui incite depuis longtemps la filière de la volaille de chair française à réagir en développant des élevages de qualité. Nous connaissons tous le poulet label Rouge, avec ses nombreuses variantes locales, comme le poulet de Loué, de Saint-Sever, de Janzé, de Licques, de Challans, du Périgord, du Lauragais, du Berry, du Gâtinais, des Cévennes, d’Auvergne, du Béarn, etc., aujourd’hui au nombre d’une quarantaine.

          Cette filière obéit à des normes de production drastiques, fixées par un cahier des charges officiel, validé par les pouvoirs publics et sévèrement contrôlé par des organismes certificateurs. Il s’agit d’établir des règles s’assurant du bien-être animal et du respect de l’environnement, appliquées à des races rustiques sélectionnées pour leur croissance lente et leur qualité de chair, c’est-à-dire leur goût ; élevées en plein air ou en liberté, par petits groupes, dans de vastes espaces herbeux et ombragés, à raison de 2 m² au moins par animal durant un minimum de quatre-vingt-un jours, exclusivement nourries d’aliments végétaux naturels à base de céréales et soumises à un suivi sanitaire régulier s’assurant des conditions d’hygiène à toutes les étapes de la production.

          Un niveau d'exigence spécifique à la France obtenu au terme d’un combat mené durant des décennies par des éleveurs soucieux de se distinguer de la filière industrielle et de ses horreurs. Comme pour certains autres aliments, comme le pain, on peut parler de conquête sociale au profit du consommateur, du patrimoine agricole français, grâce à des paysans courageux bien décidés à préserver l’image et le renom de leur volaille de terroir. Des normes strictement codifiées, dans leur dernière mouture, chaque fois plus précise, depuis 1991. En gros, trois types de production sont aujourd’hui définis par l’Union européenne pour distinguer les filières : la volaille standard produite en batterie, la volaille label Rouge et la volaille bio. Ces deux dernières répondent elles-mêmes à trois mentions liées à la forme d’élevage, « sortant à l’extérieur », « fermier élevé en plein air » et « fermier élevé en liberté ».

          Des normes obligatoires, imposées par les pouvoirs publics, auxquelles les éleveurs français sont très attachés puisqu’elles sont la garantie officielle de la différence entre un bon et un mauvais poulet, et surtout des références clairement indiquées sur l’étiquetage qui permettent au consommateur de s’y retrouver. Autant de valeurs condamnées à disparaître, la Commission européenne ayant décidé de revoir totalement cette réglementation. En effet, présenté à Bruxelles en décembre 2022, un projet de nouvelles normes prévoit d'annuler le caractère obligatoire de la réglementation actuelle en rendant facultatives les contraintes liées à l’élevage en plein air et en liberté. Ainsi, à partir de février 2023, si la Commission ne revient pas sur sa décision, tout opérateur européen pourra user de mentions non réglementées pour étiqueter sa production. Ainsi trouvera-t-on sur le marché du « poulet des champs », de la « volaille de plein vent » ou du « poulet à l'air libre », dont l'intitulé ne correspondra à rien de vérifiable et de vérifié. De quoi désorienter le consommateur soudain exposé à un étiquetage quasi sauvage qui ne lui permettra plus de distinguer au premier coup d’œil un poulet label Rouge certifié « élevé en liberté », qui, lui, conservera son éthique de production, vendue aux alentours de 106 le kg, et une volaille industrielle roumaine ou bulgare, nourrie avec des détritus, entassée dans des cages et vendue sous la mention « poulet libre » à moins de 5€ le kg... Si les initiés un peu vigilants pourront vérifier leurs achats, la grande masse des consommateurs, elle, se laissera abuser. Cette concurrence déloyale et trompeuse portera fatalement préjudice à la filière française de qualité, qui représente aujourd’hui 17% du marché de la volaille. Déjà que près de 90 % de la volaille servie en restauration collective, cantines scolaires, Ehpad et hôpitaux est importée, c’est au tour de ce trésor alimentaire de faire les frais du néolibéralisme financier.

          Une telle régression... Imposée par l’Allemagne, où le lobby industriel contrôle le réseau des élevages intensifs, dont les filiales s’étendent en Pologne, où l’on abat
plus de 1 milliard de poulets par an, mais aussi en Roumanie et en Bulgarie, où sévissent des centaines d’usines, dont certaines comptent plus de 120 000 volailles, cette dérégulation brutale, allant dans le sens contraire de l’histoire et de la demande des consommateurs, est un coup dur pour l’agriculture française.

          Nous voudrions bien savoir ce qui a conduit l’Élysée et Matignon à consentir une telle régression aux lobbys bruxellois et au commissaire polonais à l’Agriculture, Janusz Wojciechowski. Il est vrai que, pour fabriquer un cordon-bleu, il n’est pas besoin de poulet tricolore. Regroupés au sein des organismes Anvol et Synalaf, les éleveurs sont bien décidés à se battre et à obtenir du gouvernement qu’il s’oppose à cette aberration. Marianne les accompagne bien entendu dans cette épreuve qui déshonore la France. ( Marianne du 2 février 2023 )

L’Allemagne a gagné la troisième guerre européenne qui était économique, aidée en cela par nos très chers amis américains farouchement opposés à De Gaulle. Aujourd'hui, notre très chère amie l'Allemagne, qui dirige l'union européenne et ses annexes depuis des 10zaines d'années, poursuit son œuvre de cocufiage et de destruction de la France...

 

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> cancers d'enfants à Sainte-Pazanne, la faute à pas de chance

Classé dans : santé

Cancers d'enfants, la faute à pas de chance

          Sainte-Pazanne et alentour, en Loire-Atlantique, entre l’Atlantique et le fabuleux lac de Grand-Lieu. On commence à le savoir, le territoire a été ravagé par une vague de cancers d'enfants : 25 ont été dénombrés dans un rayon de 15 km autour de cette petite ville de 6000 habitants. Sept gosses en sont morts. Est-ce que cela fait beaucoup ? Dans un courrier adressé au ministre de la Santé - tombé dans les mains de Charlie - le sénateur Yannick Vaugrenard prend clairement position. Il rappelle que les expertises officielles ont conclu « qu'il n'existait pas de foyer de cancers pédiatriques dans le pays de Retz, à la surprise et à la consternation générale des parents et des élus locaux ».

          Or, et n'oublions pas que parle un éminent élu de la République, des enfants ont été écartés, car ils avaient plus de 15 ans. Pis, on a retenu un providentiel découpage administratif qui exclut certains gosses vivant dans le rayon de 15 km, mais pas dans le strict canton de Sainte-Pazanne. Enfin, des dossiers ont été intervertis. Et le sénateur d'évoquer « un climat de doute et de méfiance vis-à-vis des institutions sanitaires dans la région », en réclamant une étude plus rigoureuse.

          En réponse, le ministre de la Santé, François Braun, envoie gentiment chier le sénateur, n’évoquant pas même la question saugrenue d’une nouvelle enquête, car « L'analyse statistique spatio-temporelle n'a pas montré d’anomalie épidémiologique locale, malgré la perception d'un excès de cas de cancers pédiatriques par la population ». Cela n'a l'air de rien, mais c'est un petit chef-d'œuvre. La mise en scène d'une opposition entre la science supposée et le « ressenti » d'une population saisie par la peur.

          On ne sait pas la cause des cancers, même si l'hypothèse d'une exposition à un cocktail de produits toxiques est plausible. Quant à la « science » officielle, on lira avec le plus vif intérêt une critique de fond, scientifique elle aussi, et sans guillemets, publiée par la revue Pratiques. C’est long, sans doute beaucoup trop long pour le ministre Braun. qui a déjà oublié sa lettre (F.N.) ( extrait de Charlie Hebdo n° 1593 du 1er février 2023 )

A qui profite les 7 crimes d'enfants et de ceux qui vont suivre ? Cette affaire a été étouffée dès ses prémices, donc c'est vraisemblablement une entreprise - qui a utilisé, volontairement ou non, quelques produits phytosanitaires miracles - avec de très hautes protections...

 

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> cosmétiques en vrac... à fuir !

Classé dans : presse

          Pratique récente, la vente en vrac de cosmétiques nécessite des précautions et une adaptation des habitudes des commerçants.
          En contrôlant les magasins la proposant, les inspecteurs de la répression des fraudes ont constaté que la majorité en avait conscience. Dans deux tiers des cas, le personnel a été formé. Ils ont toutefois eu de mauvaises surprises : balances non étalonnées, délivrance de la quantité demandée « à vue de nez », achat d'un litre minimum imposé...
Côté hygiène, ce n’est pas glorieux.
          « De nombreux professionnels méconnaissent les risques microbiologiques liés à la vente en vrac, notamment des produits liquides, et ignorent les responsabilités et les obligations leur incombant», déplore l’administration. Six des vingt prélèvements ont révélé la présence de bactéries, de levures et de moisissures. Des lignes directrices sont en cours de rédaction pour sécuriser le secteur.

Bé, balances non étalonnées, quantités à vue de nez et achat minimum imposé d'un litre, c'est une pratique commerciale habituelle aux "bons" commerçants, non ? Ces braves commerçants "ignorent" la règlementation de leur profession mais en on conscience ? Je rigole, ils s'en foutent tout simplement... Quant à l'hygiène, je suis souvent effrayé par certaines boucheries/charcuteries/traiteurs ou produits "frais" ou décongelés du lendemain,...