l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

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🎨 Andrea La Martina, vous connaissez ?

Classé dans : arts

          Andrea La Martina (NEXA ART), artiste italien né à Cuneo en 1959 ..." Mon parcours artistique a commencé dans le monde de l'informatique, où j'ai développé une compréhension profonde des technologies numériques. Cela m'a permis d'expérimenter diverses formes d'art numérique, en combinant mon expertise technique à une approche artistique intuitive. Au fil des ans, j'ai techniques numériques avancées, telles que la manipulation d'images et l'impression manipulation d'images et l'impression giclée, pour créer des œuvres qui reflètent une interprétation personnelle et moderne de l'art visuel."...

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> suppression de l’ASS : une punition pour les demandeurs d’emploi de plus de 50 ans

Classé dans : autres

          Gabriel Attal a annoncé la suppression prochaine de l’allocation spécifique de solidarité (ASS) pour les chômeurs en fin de droits. Les anciens bénéficiaires – une majorité de séniors, devraient basculer vers le RSA. Alors qu’il a déclaré vouloir « fermer une trappe à inactivité », le Premier ministre élargit en réalité un gouffre à pauvreté

          Basculer les bénéficiaires d’une allocation conditionnée à l’activité vers une allocation pour les personnes qui sont le plus éloignées de l’emploi ? La suppression de l’ASS au bénéfice du RSA pourrait surprendre pour un gouvernement qui n’a de cesse de déclarer son amour à la « valeur travail ». C’est pourtant l’annonce faite par le nouveau Premier ministre, à la surprise générale, lors de sa déclaration de politique générale, devant l’Assemblée nationale le 30 janvier. Selon le cabinet de la ministre du Travail, Catherine Vautrin détaillera la mesure dans les prochaines semaines.

          La suppression de l’ASS a plusieurs avantages pour l’exécutif. Le premier est d’ordre budgétaire, puisque le RSA est à la charge des départements. Le transfert de plus de 320 000 bénéficiaires de l’ASS, allocation versée par Pôle emploi, vers le RSA représente une économie d’environ deux milliards d’euros, selon Département de France. D’autant que l’association d’élus dénonce le fait que les dépenses liées au RSA ne soient déjà pas entièrement compensées par les dotations de l’État aux collectivités territoriales.

          Autre intérêt de la mesure pour le gouvernement : poursuivre le détricotage des droits à l’assurance chômage. L’attaque cible cette fois les seniors, puisqu’ils représentent plus de la moitié des bénéficiaires de l’ASS. Objectif : pousser encore les demandeurs d’emploi à accepter n’importe quel petit boulot pour atteindre un taux de chômage de 5 % et un taux d’emploi des seniors à 65 %, alors que l’âge de départ à la retraite a été repoussé de deux ans en septembre 2023.

Appauvrir les plus pauvres en supprimant l’ASS

          Le passage de l’ASS au RSA rimera avec perte de droits et de revenus pour nombre de bénéficiaires. Au premier abord, le changement de dispositif peut sembler sans grand effet. Rappelons que pour toucher l’ASS, il faut avoir travaillé au moins 5 ans sur les 10 dernières années. Son montant, pour une personne seule, varie de 545 euros à 563 euros – selon que le mois comprenne 30 ou 31 jours. Le RSA, lui, varie de 607€ à taux plein, à 535€ si la personne bénéficie d’aides au logement.

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> un pas de plus vers la privatistion de la sécurité sociale : moins de remboursement pour les maladies chroniques ( ALD )

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A la recherche d'économies, le gouvernement se penche sur les maladies chroniques

          Les revues de dépenses lancées pour bâtir le budget 2025 s'intéressent, selon nos informations, aux dépenses en faveur de la jeunesse et aux affections de longue durée (ALD). Sur ce dernier chantier, potentiellement explosif, l'exécutif marche sur des œufs.

          Sur les questions budgétaires, Gabriel Attal a fait le strict minimum lors de sa déclaration de politique générale mardi . Une petite minute quarante sur le sujet - quand le discours s'étirait sur une heure vingt - pour au final bien peu d'annonces. Tout juste le Premier ministre a-t-il réaffirmé « poursuivre et renforcer les revues de dépenses, auxquelles tous les ministères et tous les secteurs de l'action publique seront associés ».

          Derrière ce sabir technique de « revue des dépenses » se cachent quelques chantiers sensibles politiquement. Parmi toutes les politiques publiques auscultées pour jauger l'efficience de la dépense, figure notamment la prise en charge des maladies chroniques - ou affections de longue durée (ALD). Dans le camp présidentiel, tout le monde marche sur des œufs à l'évocation du dossier. « Un travail est engagé et il n'y a rien de décidé. Mais c'est un des sujets les plus délicats », reconnaît un ténor de la majorité.

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> Guillaume Kasbarian, l’homme de la loi « antisquat », nommé ministre du logement

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          Le député Renaissance d’Eure-et-Loir s’est fait connaître par une loi contre les squatteurs et les locataires expulsés. Sa nomination confirme le coup de barre à droite annoncé pour répondre à la crise du logement.

          Le nom de Guillaume Kasbarian circulait depuis une quinzaine de jours, mais beaucoup refusaient de croire qu’il deviendrait ministre délégué au logement : choisir l’homme de la loi « antisquat » apparaissait comme une provocation à l’encontre du secteur, habitué à ce que ce ministère porte une politique d’orientation plus sociale.

          Annoncée jeudi 8 février au soir, la nomination du député Renaissance d’Eure-et-Loir « est un signal clairement négatif, qui fait craindre une rupture en faveur d’une politique encore plus hostile aux plus pauvres », selon le directeur des études de la Fondation Abbé Pierre, Manuel Domergue. « Ce choix relève soit de l’inconscience, soit du mépris le plus complet », commente, de son côté, le président de la Fédération des acteurs de la solidarité, Pascal Brice. « On est très inquiets », abonde Marylise Fleuret-Pagnoux, présidente de l’office public de l’habitat de La Rochelle et vice-présidente (divers gauche) de l’agglomération, qui appréciait la bonne connaissance du secteur du ministre sortant, Patrice Vergriete, et son projet de décentraliser les politiques du logement.

          Diplômé de l’Essec, Guillaume Kasbarian a été consultant dans des cabinets de conseil. Ce libéral convaincu, âgé de 36 ans, s’est engagé en politique en 2016 pour soutenir Emmanuel Macron. Elu député l’année suivante, il a été réélu en 2022 et a obtenu la présidence de la commission des affaires économiques de l’Assemblée nationale. Quelques mois plus tard, il s’est fait connaître par sa proposition de loi, signée avec Aurore Bergé, contre l’occupation illicite des logements, surnommée loi « antisquat ». - source et article complet payant -

La guerre contre les fainéants de gueux et la dictature macroniste se radicalisent de plus en plus...

 

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