l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...
« Les opportunités qui se présentent à nous n’ont jamais été aussi grandes » Larry Fink ( octobre 2024 ) patron de BlackRock, gestionnaire américain d'actifs aux 11 500 milliards de dollars…


L'argent n'a pas d'odeur, mais la pauvreté en a une - Paul Léautaud
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> la première école de journalisme en France (ESJ) devient l'école des milliardaires

Classé dans : presse

          L'école des milliardaires... Quand Vincent Bolloré, Bernard Arnault, la famille Dassault et Rodolphe Saadé s’allient pour racheter la plus ancienne école de journalisme française

           Onze entreprises, pour la majorité détenues par des milliardaires, ont annoncé avoir racheté l’ESJ Paris, la première école de journalisme en France. Une alliance qui va permettre de consolider leur puissance au sein du secteur des médias.

          Mettre la main sur de grands groupes médiatiques ne suffit pas. Place maintenant aux écoles de journalisme, dont les élèves représentent un vivier de futurs salariés, plus facilement façonnables à leur image. Les patrons de presse les plus voraces, du réactionnaire Vincent Bolloré au plus macroniste Rodolphe Saadé, en passant par la première fortune de France, Bernard Arnault, ou la famille Dassault s’allient pour prendre possession de l’École supérieure de journalisme (ESJ) de Paris.

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> c’est qui qui a fuité aujourd’hui ?

Classé dans : autres

          " C’est à se demander si la liste arrêtera un jour de s’allonger… Boulanger, Cultura, DiviaMobilités, Truffaut, Cybertek et Grosbill (qui font partie du même groupe), l’Assurance retraite, RED by SFR, Meilleurtaux, Ornikar, Free (fixe et mobile), Picard, Molotov, et maintenant Auchan ainsi que le Point. (...) Durant les multiples fuites de la rentrée, plusieurs sociétés ont pointé du doigt un partenaire/prestataire externe, sans jamais le nommer (et donc impossible de savoir si c’est le même à chaque fois). C’était le cas de Cultura, DiviaMobilités et Truffaut par exemple. " - source -

 

c’est qui qui a fuité aujourd’hui ?

19 novembre 2024 : Direct Assurance
nom / adresse email / numéros de téléphone / IBAN

19 novembre 2024 : Mediboard  800 000 patients
nom, prénom / date de naissance et de décès / genre / numéro de téléphone / médecin traitant / prescriptions médicales / identifiant externe / historique des soins

19 novembre 2024 : Auchan  500 000 clients
nom, prénom / adresse email / adresse postale / téléphone / composition familiale / date de naissance / numéro de carte de fidélité, montant de la cagnotte

18 novembre 2024 : Le Point
nom / adresse email / numéro de téléphone / adresse postale / date de naissance

14 novembre 2024 : Huttopia
nom, prénom / adresse email

13 novembre 2024 : Molotov 10 millions de personnes
nom, prénom / date de naissance / adresse email

12 novembre 2024 : Picard 45 000 personnes
nom, prénom / date de naissance / adresse email / adresse postale / numéro de téléphone / numéro de carte de fidélité / points de fidélité / bons de réduction / historique des commandes / tickets de caisse / liste d’achats / favoris d’achat  - source -

C'est comme l'entretien des cours d'eau, des routes,... cela coûte cher, donc "on" fait l'impasse et "on" attend le problème pour commencer à agir lentement ! Tant qu'il n'y aura pas une amende salée infligée aux entreprises qui laissent à l'abandon leurs sécurités informatiques et/ou emploient des incompétents, nos données personnelles continueront allégrement de fuiter et les escrocs se réjouir de la connerie crasse des entreprises.

 

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> l'application Yuka

Classé dans : santé

          L'application Yuka permet désormais d'interpeller un industriel en cas de présence d'additifs controversés dans un produit

             L'application Yuka va bientôt permettre à ses utilisateurs d'interpeller directement par mail ou sur X un industriel en cas de présence d'additifs controversés dans ses produits, révèle mardi 19 novembre France Inter(Nouvelle fenêtre). " Les pouvoirs publics malheureusement mettent trop de temps à bannir, interdire des substances qui sont controversées ", se justifie Julie Chapon, co-fondatrice de Yuka. " Il faut attendre des dizaines d'années. Il y a aussi des conflits d'intérêts. Face à tout ça, le consommateur a aussi le pouvoir d'agir directement ", ajoute-t-elle.

          L'application Yuka, créée il y a huit ans, totalise 60 millions d'utilisateurs dans le monde, dont 22 millions en France. 55 additifs y sont répertoriés, tout comme des édulcorants mauvais pour le microbiote, des émulsifiants à risque pour le système cardio-vasculaire, des colorants suspectés de favoriser l'hyperactivité des enfants. Ces substances s'affichent en rouge lorsqu'un produit qui en contient est scanné. Avec la nouvelle fonctionnalité, il sera alors possible d'un simple clic d'envoyer un mail ou un message sur X directement au fabricant pour lui demander d'éliminer ces additifs.

Il y a toujours un meilleur choix à faire que les additifs

          " Il ne faut pas écouter les discours de l'industrie qui soutient qu'on aura toujours besoin de certains additifs potentiellement dangereux. Ce n'est pas vrai ", explique Olivier Andrault spécialiste des questions d'alimentation à l'UFC-Que Choisir(Nouvelle fenêtre). "Nos études montrent qu'il y a toujours un meilleur choix, soit du point de vue nutritionnel soit du point de vue de la présence d'additifs."

           Sous la pression des consommateurs, les pratiques évoluent et les industriels ne peuvent pas ignorer l'appétit des Français pour des produits plus sains. Les campagnes menées ces dernières années ont d'ailleurs permis de faire reculer l'utilisation de nitrites dans le jambon et ont fait baisser le taux de sucre dans certaines céréales pour enfants. L'association nationale des industriels de l'agroalimentaire, l'Ania, n'a pour l'instant pas souhaité réagir. - source -

Mouais, nouveauté efficace ou enfumage publicitaire ? Bonne application que j'utilise, malheureusement elle est incomplète... Ils auraient mieux fait de compléter leur application en indiquant les rappels de produits alimentaires. En scannant un produit, on ne peut savoir si celui-ci a été rappelé pour éviter de le consommer. Cette impossibilité divise par deux l'efficacité de Yuka...

 

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> “Aide sociale pour les riches” : comment la Politique Agricole Commune (PAC) est devenue un monstre insatiable

Classé dans : europe de merde

          Le déclin brutal de l’environnement n’était pas censé être le fruit de la politique agricole commune. Et pourtant, c’est le cas, assène cette journaliste du quotidien britannique “The Guardian”.

          L’hiver dernier, le Rhin est sorti de son lit. L’eau a inondé des champs situés à des kilomètres de là et, par endroits, ne laissait plus apparaître que la cime des arbres. Ces débordements n’ont toutefois pas inquiété Thomas Bollig, dont les terres se trouvent pourtant à quelques petits kilomètres des rives rhénanes. Même quand l’eau a envahi les champs de ses voisins, rendant les semailles impossibles, son exploitation à lui n’a pratiquement pas été touchée. C’est que Thomas Bollig pratique des méthodes d’agriculture biologique. Les moyens naturels qu’il emploie pour amender les sols permettent à ses champs de retenir davantage d’eau lorsqu’il pleut et de la restituer progressivement, et par conséquent de mieux résister aux inondations et aux sécheresses.

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> les recettes des labos pour gonfler le prix des médocs

Classé dans : santé

          Achetés au prix fort pendant l’épidémie de Covid, des milliers de traitements vont être jetés à la poubelle par l’Etat, qui ne sait toujours pas négocier avec l’industrie pharmaceutique.

          Près de 135 000 boîtes de Paxlovid sont prêtes à partir à la benne. Le traitement de Pfizer contre le Covid, remboursable à 100 %, se vend 999,20 euros. En février 2022, quand il a commencé à être distribué en France, il a été commandé en masse par le ministère de la Santé (500.000 boîtes) à un tarif tenu secret. Problème : compte tenu des interactions avec d’autres traitements pris par les personnes âgées ou immunodéprimées - les plus à risque de développer une forme grave de Covid -, il a été peu prescrit.

          Selon les informations du « Canard », seulement 364.758 boîtes du stock d’Etat ont été distribuées. Environ 135.000 boîtes ont donc dépassé la date de péremption. Résultat, le ministère pourrait avoir gaspillé pas loin de 135 millions d’euros. A l’heure où l’exécutif cherche à réaliser des économies par tous les bouts, cela fait désordre !

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