l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



L'homme moderne est l'esclave de la modernité : il n'est point de progrès qui ne tourne pas à sa plus complète servitude - Paul Valéry

> impôts : les collectionneurs de cartes Pokémon dans le viseur du fisc ?

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          Depuis plus de vingt-cinq ans, les cartes Pokémon déchaînent les passions à travers le monde. Aujourd’hui, ce simple jeu de cartes pour enfants s’est transformé en un véritable business, dont l’administration fiscale vient de préciser les règles.

          Revendues à des sommes folles, les cartes Pokémon attisent l’appétit des investisseurs. Aujourd’hui, ces petits morceaux de papier cartonné représentant d’étranges créatures, sont en effet devenus des objets de spéculation prisés des collectionneurs. L’exemplaire le plus cher du monde, un « Pikachu illustrator », s’est ainsi arraché pour le prix faramineux de 4 477 146 euros.

Et selon un sondage réalisé par eBay, près de 8% des Français collectionneraient ces cartes à jouer.

           Or, selon une mise à jour du bulletin officiel des finances publiques (Bofip), ces fameuses cartes ne peuvent pourtant pas bénéficier du statut d’objets de collection, rapporte le journal Les Échos. Conséquence : les cartes Pokémon sont imposées à hauteur de 36,2% sur la plus-value pour toute transaction supérieure à 5 000 euros. Selon le Code général des impôts (CGI), ces cartes de jeu ne sont pas considérées comme des objets de collection. Et ce, malgré un usage semblable à celui fait des timbres ou des cartes postales.

Un intérêt historique ou ethnographique

          « L'administration ne fait qu'appliquer le texte européen, qui définit clairement une liste d'objets de collection, dont les cartes de jeu ne font pas partie », explique à nos confrères Thomas Le Boucher, avocat associé au cabinet Cyplom, spécialiste de la TVA. L'article 98 A du CGI précise désormais : « Ces objets [de collection, NDLR] doivent présenter un intérêt historique ou ethnographique, c'est-à-dire marquer un pas caractéristique de l'évolution des réalisations humaines, ou illustrer une période de cette évolution. » Les cartes Pokémon sont donc considérées comme des biens de consommation et non comme des objets d'art pour l'application du régime fiscal français.

          La règle générale s'applique donc, « sauf s'il s'agit d'une carte historique, l'une des premières produites, par exemple », souligne le cabinet Cyplom. Concrètement, lorsque la vente dépasse 5 000 euros, le vendeur doit payer un impôt sur le revenu forfaitaire de 19% additionné aux prélèvements sociaux à hauteur de 17,2%, ce qui représente une charge fiscale globale de 36,2%. Les biens de collection sont, quant à eux taxés à hauteur de 6,5% lors des ventes au-delà de 5 000 euros. - source -

 

Pour ceux qui ont de l'argent à ne savoir qu'en faire, tous les objets de collection de plus de 1000 € devraient être taxés à 36,2%... Quant aux "intouchables" milliardaires ou multinationales , ils en ont tellement, qu' "on" leur a créé le juteux système des fondations pour échapper à l’impôt.

 

> comment lutter contre la précarisation du travail ?

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          Face à la montée de la précarité du travail, une autre voie est possible. Elle consiste à mieux contrôler les licenciements, limiter l’usage des contrats de courte durée, faire appliquer le droit du travail par les plateformes numériques et donner plus de pouvoir aux représentants des salariés. Les propositions de la professeure de sociologie Dominique Méda.

          La pandémie a révélé et accru les inégalités déjà importantes en vigueur sur le marché du travail français. Elle a joué le rôle de révélateur pour deux raisons. D’une part, parce que les Français se sont soudainement rendu compte de l’importance pour leur vie quotidienne de métiers trop souvent peu considérés, appartenant la plupart du temps à la catégorie des emplois dits non ou peu qualifiés. D’autre part, parce que la crise a été l’occasion de mieux connaître les conditions de travail et d’emploi de ceux que l’on a appelé les « travailleurs de la deuxième ligne » : caissières, vendeurs et vendeuses, vigiles, aides à domicile, agents et agentes d’entretien, ouvriers du bâtiment ou de l’agroalimentaire, etc., qui ont continué à aller au travail et à être en contact avec le public ou leurs collègues pendant le confinement, au début sans équipement de protection.

          Une enquête du ministère du Travail a montré que ces 4,6 millions de personnes avaient des revenus bien moins élevés que le reste des salariés du privé ( leur revenu annuel net moyen est inférieur à 12 000 euros, voire à 9 000 euros pour certaines professions comme les aides à domicile ou les ouvriers de la manutention ), que leurs conditions de travail étaient plus difficiles, que le fort sentiment d’insécurité de l’emploi partagé par nombre d’entre eux s’expliquait par la fréquence des contrats courts ou des situations d’intérim, enfin que leurs horaires étaient souvent atypiques et défavorables à la conciliation avec la vie familiale. La crise a également mis sur le devant de la scène certaines professions comme les infirmières et aides-soignantes, bien moins rémunérées que dans d’autres pays, mais aussi les livreurs à vélo qui ont souvent été les seuls à occuper les rues vides et dont les mauvaises conditions de travail et d’emploi ont également été médiatisées, comme leurs plaintes.

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> les industriels de plus en plus vicelards

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Cette nouvelle ruse des marques fait flamber les prix des produits alimentaires
- voici comment la déceler

          En période d'inflation, tout est bon pour augmenter les prix sans le montrer aux consommateurs. Et après la "shrinkflation", les industriels utilisent une nouvelle astuce pour dissimuler les hausses en rayon..

          L'inflation galopante qui touche toute la planète depuis deux ans n'épargne aucun secteur économique et certains, comme l'énergie ou l'alimentation, sont particulièrement touchés. Si les augmentations tarifaires sont clairement visibles pour l'électricité ou les carburants, dont les prix au kilowattheure ou au litre sont connus et scrutés par les consommateurs, il n'en va pas de même pour tous les produits. Par exemple, les denrées alimentaires et les produits d'entretien ont également connus de fortes hausses de prix, mais leurs modes de vente et de conditionnement ont permis aux industriels de camoufler subtilement ces augmentations.

          En effet, ces biens sont souvent vendus sous forme de paquets d'une certaine quantité, dont le prix affiché en gros est celui de la quantité totale vendue et non de l'unité de produit (kilogramme, litre). Un bidon de lessive de 10 litres vendu 5 € correspond par exemple à un prix de 0,5 € par litre de produit. Et si l'affichage du prix par unité de produit est bien obligatoire, il est souvent relégué au bas de l'étiquette et en tout petit. Pour dissimuler une augmentation de prix, il suffit donc au fabricant de réduire la quantité totale de produit sans réduire le prix. Ainsi, un bidon de lessive toujours vendu 5 € mais d'une contenance de seulement 8 litres correspond à un prix de 0,625 € par litre, soit une augmentation de prix de 25 % par rapport à un bidon de 10 litres vendu au même tarif.

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> les pratiques commerciales trompeuses des comparateurs

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Le comparateur d’offres d’énergie Selectra
écope de 400.000 euros d'amende pour « pratiques commerciales trompeuses »

 

          L’entreprise a accepté de régler une amende pour s’éviter un procès, à l’issue d’une enquête de la DGCCRF qui dénonce des fausses promotions, des informations trompeuses et une confusion sur les offres volontairement entretenue.

          Le comparateur d’offres de fournisseurs d’électricité et de gaz Selectra a écopé d’une amende de 400.000 euros pour « pratiques commerciales trompeuses », annonce la Direction générale de la répression des fraudes (DGCCRF) ce vendredi 17 mai. Fausses promotions, informations trompeuses, confusion... L’entreprise a été épinglée au terme d’une enquête de deux ans commencée en 2020 et a accepté de payer l’amende proposée par l’administration - en accord avec le procureur de la République de Paris - pour éviter un procès.

          Les investigations, menées conjointement avec les services de la Direction départementale de la protection des populations de Paris, ont mis au jour de nombreuses pratiques frauduleuses de la part de la plateforme. Elle a notamment « présenté les offres d'un fournisseur d'énergie de manière trompeuse notamment en mettant en avant des remises inexistantes, des mentions laissant faussement croire que les offres sont financièrement intéressantes et des éléments de langage qui occultent le fait que le prix du kWh proposé par ce fournisseur est supérieur à celui du tarif réglementé », explique la DGCCRF.

La DGCCRF appelle à la vigilance

          Selectra a également « entretenu la confusion, au travers des sites internet qu'elle exploite, entre elle et les fournisseurs historiques d'énergie, les gestionnaires de réseau, mais aussi le médiateur national de l'énergie ». Enfin, elle « a dissimulé ses intentions commerciales afin d'obtenir l'insertion de liens à visée commerciale sur des sites d'organismes publics ayant pour objet d'informer les consommateurs ». En payant l’amende, Selectra s’est également engagée à cesser les pratiques épinglées.

          Les fournisseurs d’énergie et les comparateurs d’offres sont particulièrement scrutés ces dernières années alors que les prix se sont envolés, notamment depuis la guerre en Ukraine et les sanctions contre la Russie. La DGCCRF invite les consommateurs à être vigilants et à « consulter le comparateur officiel du Médiateur national de l'énergie ». Il faut notamment regarder avec attention, à la lecture des offres, « la tarification proposée qui peut être fixe ou variable, qui intègre au-delà du prix du kWh un abonnement ». « En cas de problème avec un professionnel du secteur de l'énergie, les consommateurs peuvent le signaler sur le site internet et l'application SignalConso », rappelle la Répression des fraudes. - source -

La belle justice ! Ces margoulins se sont mis d'accord avec la DGCCRF et la justice pour éviter le procès ! La justice de M. tout le monde aurait condamné cette entreprise au niveau du montant de ce que leurs pratiques commerciales trompeuses leur avait rapporté, là, ils ont certainement fait beaucoup de bénéfs dans ces escroqueries... Que vaut l'engagement d'un escroc ? Quid des victimes de ces "pratiques commerciales trompeuses " ou plus exactement, appelons un chat un chat, ces vols ? Oubliées ?

Perso, en dehors des comparateurs du magazine/site Que-Choisir, le reste m'a toujours semblé bidon ou adepte rusé de " pratiques commerciales ... ".

 

> européennes : Manon Aubry fustige la « bataille de petits chevaux » qui se joue à gauche

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          Manon Aubry, tête de liste La France insoumise (LFI) pour les élections européennes de 2024, revient pour Euractiv sur les grandes lignes de son programme et fustige au passage une gauche divisée face à une extrême-droite au plus haut dans les sondages.

Euractiv France. À l’aune des élections européennes, que retenez-vous de ce mandat ?

          Manon Aubry. Cela a été un mandat de crises. On a vu les dogmes vaciller mais malheureusement aucune leçon n’a été tirée. La révision des règles budgétaires, pourtant initialement suspendues, va provoquer la pire cure d’austérité jamais connue sur notre continent. On a subi les conséquences de la désinsdustrialisation qui nous rend incapable de produire tout ce dont nous avons besoin en Europe mais l’UE continue de signer à tour de bras des accords de libre-échange.

           Heureusement, nous avons quand même réussi à arracher des victoires et je suis très fière d’avoir fait adopter la directive sur le devoir de vigilance des multinationales qui violent les droits humains ou détruisent l’environnement. Enfin, le mandat a été marqué par le Qatar Gate, le pire scandale de corruption de l’histoire, illustrant le fonctionnement opaque des institutions européennes.

Les règles de transparence votées à la suite du Qatargate sont-elles insuffisantes ?

          C’est l’une des plus grandes trahisons de ce mandat. Après ce scandale, les députés de tout le groupe ont défilé dans l’hémicycle en affirmant que “plus rien ne serait jamais comme avant”. Et six mois après, quand il a fallu changer les règles du Parlement pour de bon, je me suis retrouvée bien seule à défendre mes amendements pour interdire les rémunérations annexes ou encore introduire une période de carence [période pendant laquelle les anciens députés n’ont pas le droit de faire du lobbying au Parlement, NDLR ].

          Un député sur quatre au Parlement européen touche des revenus annexes, souvent d’entreprises, de lobbies ou d’États étrangers. Je propose d’interdire ces rémunérations annexes qui posent des conflits d’intérêt : voilà comment on rétablira la confiance entre les citoyens et les institutions européennes.

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> toujours d'actualité : " l'usine "

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L'usine - La Canaille - Une goutte de miel dans un litre de plomb

 

Le bus vient de l'déposer
Il pointe et ne r'verra l'jour qu'avec la rosée
D’ailleurs, l'odeur lui donne d'jà la nausée
Il rentre dans l'vestiaire, défait l'cadenas, ouvre son casier, pose le keuss du casse-dalle, enfile sa blouse et s'assied, enlève ses shoes, met les chaussures d'sécurité, prend ses gants, son cutter, quelques pièces pour l'café
Il regarde l'heure, plus qu'cinq minutes avant d'commencer
Il referme à clef, gavé d'avance, rien qu'd'y penser
Pas à pas se dirige lentement vers sa machine
Regarde la mine des autres, fatigués, mais contents d'quitter l'usine
Écoute les consignes du gars d'l'équipe précédente
Si y a rien, c'est bon signe. La nuit sera moins fatigante
Vingt-et-une heures pile. Le gars lui souhaite bon courage, ramasse ses affaires et file
Le v'là face à l'ouvrage
Pas l'temps de s'installer, deux pièces à contrôler, à emballer vite fait, avant qu'deux autres prennent le relais

Couper, séparer, jeter. (x3)
C'est ça le boulot
Couper, séparer, jeter
Toute sa vie

Pour lui, l'compte à rebours s'est enclenché
A peine le plancher foulé
Huit heures à tenir et pas question de flancher
Sinon c'est la porte
Des gars comme lui, y en a à la pelle
Profession : O.S. comme ils les appellent dans les boîtes d'intérim
Ouvrier spécialisé. Ferme-la et trime
L'exploitation est officialisée
Subventionnée par l’État, c'est sur qu'ça fait cogiter
De façon il fait qu'ça, cogiter. Même agité, pense à tout pour s'évader
Voit ses gosses gambader et s'rappeller du week-end dernier
Des conneries du J.T
Mais il redescend vite fait sur Terre, son chef l'interpelle
A défaut d'personnel, lui file du taf supplémentaire
Envie de s'occuper de son cas, de lui refaire la déco comme celui qui lui a fait le contrat y a trois mois chez Adecco
Maintenant ça lui fait deux presses
Plus de stress. Il galope de poste à poste avec cette cadence qui l'oppresse
L'horloge qui l’agresse
Il n'attend qu'une chose. Une heure et demie, que vienne son heure de pause

Couper, séparer, jeter. (x3)
C'est ça le boulot
Couper, séparer, jeter
Toute sa vie

Il bloque la dernière moulée
On vient l'remplacer
Quitte enfin l'atelier, tee-shirt mouillé, dos cassé
Grimpe les escaliers, va pouvoir pisser
S'laver les mains fissa avant d'pouvoir aller grailler
Dans l'local, qu'est tellement sale, qu'en temps normal ça aurait dû déclencher une lutte syndicale
Mais que dalle
Depuis le dernier plan social, peur d’espérer mieux
On a vu à quoi ça mène de l'ouvrir dans c'te PME
Ca parle PMU à côté d'lui
En face les vieux, un peu émus, rêvent d'une issue pour avoir ce qu'ils n'ont jamais eu
Deux, trois conneries d'sorties
Dans dix minutes, c’est reparti
Finit sa gamelle, vite, pour fumer la Camel
Le cul posé sur l'quai dehors
Son seul plaisir. Après c'est l'calme d'la ville qui dort
Avant d'reprendre l'effort, il écrase son mégot
Rentre, croise, aussitôt, son chef qui râle pour la minutes de pause en trop
Le v'là à nouveau entre deux moules qui s'ouvrent et se referment chaque trente secondes chrono
Pour éjecter une pièce qu'il faut couper, séparer jeter, poser dans l'chariot
Eh ouais, la nuit, le jour, ici, c'est ça le boulot

(x2)
Couper, séparer, jeter. (x3)
C'est ça le boulot
Couper, séparer, jeter
Toute sa vie

 

> de l'obligation de tenir son chien en laisse...

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          Il est courant de laisser son chien se promener librement dans la nature pour son bien-être. Cependant, cette pratique n’est pas toujours permise. En effet, il est fortement recommandé de garder votre chien en laisse dans certaines situations, notamment s’il représente un risque pour d’autres personnes ou animaux, ou s’il appartient à la 1ère ou 2ème catégorie de chiens. Cependant, depuis le 15 avril, il sera obligatoire de promener votre compagnon à quatre pattes en laisse, sous peine d’une amende conséquente.

Tenir son chien en laisse, est-ce une obligation ?

          Dans de nombreux scénarios, il est nécessaire de garder son chien en laisse. « Si votre chien représente une menace pour les individus ou d’autres animaux de compagnie, vous devez le garder en laisse. Vous êtes tenu responsable des préjudices que votre chien pourrait infliger aux personnes ou aux autres animaux domestiques », stipule le site du Service public. Cette obligation peut varier selon les municipalités. Toutefois, l’entrée des chiens, même en laisse, est généralement interdite dans les parcs nationaux, sauf pour les chiens guides ou ceux aidant les personnes handicapées.

          Selon le Service public, « les chiens d’attaque (appelés de 1ère catégorie) et les chiens de garde et de défense (appelés de 2ème catégorie) sont régis par des règles spécifiques plus sévères concernant leur déplacement dans divers espaces publics ». La classification des chiens est basée sur leur race. Par conséquent, les chiens concernés doivent être maintenus en laisse et muselés, et cela uniquement par un individu adulte. Si cette exigence n’est pas respectée, cela peut entraîner une sanction sous forme d’une amende de 150€.

Tenir son chien une laisse : pourquoi est-ce devenu une obligation ?

          Une autre obligation régit la tenue en laisse de nos fidèles compagnons. « Dans les bois et forêts, il est interdit de promener des chiens non tenus en laisse en dehors des allées forestières pendant la période du 15 avril au 30 juin », peut-on lire sur le site de Service public. Cette obligation concerne également les terres cultivées ou non, les prés, les vignes, les vergers, les marais ou encore les bords des cours d’eau, étangs et lacs. Au-delà des questions de sécurité, qu’il faut aussi prendre en compte à la plage, par exemple, il y a d’autres raisons.

          Pourquoi cette obligation sera-t-elle en vigueur dès le 15 avril ? « Ces interdictions ont pour but de prévenir la destruction des oiseaux et des espèces de gibier et de favoriser leur repeuplement », écrit Service public sur son site. Cela concerne bien entendu tous les chiens, quelle que soit leur race, car leur divagation peut avoir des conséquences néfastes sur la faune sauvage. En cas de non-respect, le maître risque alors une amende de 750 euros.

          Rappelons d’ailleurs qu’un « chien est considéré divaguant s’il n’est plus sous la surveillance effective de son maître et se trouve hors de portée de voix ou de tout instrument sonore permettant son rappel ». L’animal est aussi considéré comme divaguant s’il est éloigné de son propriétaire, ou de la personne qui en est responsable, s’il se trouve à une distance de plus 100 mètres. - source -

Les gueux étant déjà pas mal mis en laisse, normal que les chiens le soit aussi, non ? La nature s'adaptant ou le génie génétique, demain les chiens vont naitre avec une laisse et, ceux des catégories 1 et 2, avec une muselière en plus... quant aux gueux, ils auront un second trou de balle... Pauvres bêtes et pauvres gueux... pauvre France !

Je voulais adopter un chien ce week-end, mais vu ce qu'il précède, j'ai abandonné...

 

> Europe de l'est : nos emplettes sont leurs emplois

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          Selon Vincent Aussilloux, conseiller spécial du commissaire général de France Stratégie, centre de recherche rattaché à Matignon, « l'élargissement de l’Union européenne aux pays d'Europe centrale et orientale en 2004a stimulé les échanges intra-communautaires ». Oui, enfin, elle a surtout creusé notre déficit commercial, Vincent. Mais tant que tu n’auras pas été remplacé par une Roumaine, tu ne verras pas où est le problème.

         Il y a pile vingt ans, en 2004, la France dégageait un excédent commercial de 1,5 milliard d’euros avec les pays de l’ex-glacis soviétique. Pas une somme dingue, mais, au moins, nos exportations de Renault, Chanel et Roquefort Société étaient plus élevées que nos importations de blé et de becherovka, cette délicieuse liqueur tchèque à base de cannelle et de clou de girofle. Aujourd’hui, nous sommes dans le rouge (non, il ne s’agit pas d’alcool), et pas qu’un peu. Oui, Vincent, c’est vrai, les échanges se sont développés, que c’est bon, exporte-moi, grand fou, mais la France est devenue une véritable ONG de développement des pays de l’Est : un déficit commercial de 10 milliards d’euros !

          LE chiffre du désastre français, c’est celui du déficit commercial. Mais il est caché par l’euro, qui n’a pas la bonne idée de s’effondrer comme le faisait le franc de ma jeunesse, lorsque, dans les années 1980, les Allemands nous mettaient la misère. Alors oui, il y avait le drama « dévaluera ? dévaluera pas ? », le ministre des Finances devait venir au 20 heures expliquer aux Français que, certes, il avait à nouveau dévalué, mais que non, nous n’étions pas plus pauvres, etc.

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