l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



Politiciens, demandez conseil aux gastro-entérologues : que peut-on encore faire avaler aux citoyens ? Stanislaw Jerzy Lec

> attention aux "places de marché" extra-européennes de Darty, Boulanger, Fnac, Amazon,...

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Places de marché, attention danger !

          Les « places de marché », par exemple sur le site de Darty, de Boulanger ou d'Amazon, hébergent aussi des commerçants extra-européens. Or, les produits proposés ne respectent pas toujours les normes européennes, en termes de sécurité ou de conformité.
          C'est ce que révèle la Répression des fraudes (DGCCRF) après avoir contrôlé, en 2022,11 places généralistes parmi les plus populaires. Sur les 155 produits testés, 56 % présentaient une anomalie jugée dangereuse dans 30 % des cas. Les colles et les produits phytopharmaceutiques (herbicides et insecticides, notamment) sont les plus préoccupants, la dangerosité atteignant 65 % et 60 % des produits non conformes, suivis par les jouets, 50 %, et les cosmétiques, 14 %.

On s'en doutait presque pas ! Attention, ces merdes peuvent aussi provenir de Grande-Bretagne qui est maintenant extra-européen... Comme je le dis depuis toujours, acheter hors France n'est pas jamais été un bon plan.

> rappel sur l'audio en roulant...

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En voiture comme en deux-roues, l'utilisation de ces accessoires peut vous coûter très cher,

          Faites très attention si vous aimez écouter de la musique en conduisant. Que ce soit en voiture, en moto, en vélo ou en trottinette, certains dispositifs de diffusion sonore sont strictement interdits par le code de la route. Avec des amendes à la clé !

          Qu'il est doux de se glisser dans les rues encombrées en pédalant nonchalamment au son d'une musique qu'on aime résonnant dans les oreilles. Jusqu'au moment où un policier sorti de nulle part vous ordonne de vous arrêter tout en préparant son carnet à souches pour vous dresser une contravention. Car vous ne le savez peut-être pas, mais se déplacer à vélo en portant "un dispositif susceptible d'émettre du son comme un casque audio, des écouteurs ou une oreillette " est une pratique sanctionnée par le code de la route selon le décret n°2015-743. Et celui-ci ne date pas d'hier puisqu'il est en vigueur depuis le 1er juillet 2015 ! Pas question donc de rouler avec des AirPods ou d'autres écouteurs sur les oreilles.

          De la même façon, l'usage du smartphone tenu à la main pendant la conduite est totalement interdit. Des comportements passibles d'une amende forfaitaire de 135 euros tout de même. Néanmoins, aucun point ne vous sera retiré de votre permis de conduire – si vous possédez un permis.

► pour lire la suite...

> par ici le PACtole

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          Macron l'a promis. Ce jeudi, pour calmer la grogne paysanne, il montera au créneau, lors du Conseil européen, pour que Bruxelles cesse d'imposer aux agriculteurs 4 % de terres en jachère. La mesure est vilipendée sur les barrages de tracteurs comme le symbole des règles absurdes dont I'UE accable les agriculteurs au nom de l'écologie. Histoire d'une manip qui va rapporter un peu plus de blé aux céréaliers.

          Depuis 2021, Bruxelles conditionne une partie des aides de la politique agricole commune (PAC) aux efforts que font les agriculteurs pour protéger l'environnement et lutter contre le réchauffement climatique. Parmi les mesures agro-environnementales obligatoires pour toucher l'oseille figurent les surfaces d'intérêt écologique (SIE). En clair, l'obligation d'aménager de façon écolo au minimum 5 % d'une exploitation si elle fait plus de 15 ha, avec, par exemple, des haies ou des bandes enherbées. Une cata pour les exploitants de la Beauce, qui tiennent à garder leurs champs propres comme un sou neuf. C'est là que la FNSEA, le principal syndicat agricole, qui fait la pluie et le beau temps, met la pression à Bruxelles pour que la mise en jachère soit intégrée dans les SIE. Dès lors, il suffit à un céréalier de mettre au repos sa portion de terre la moins fertile pour empocher les subventions européennes. L'occasion de déterrer un gros mensonge de la FNSEA repris par tous les médias : les jachères en France ne représentent pas 4 % des terres cultivables mais... moitié moins. Arrive la guerre en Ukraine ; la FNSEA réclame illico que l'Europe lève, au nom de la souveraineté alimentaire, l'obligation de mise en jachère. Chose faite jusqu'à décembre 2023. Ce jeudi, à Bruxelles, Macron ne va pas se contenter de demander un an de rab, il va aussi tenter de tronçonner les mesures agro-environnementales, au grand dam d'un autre syndicat agricole, la Confédération paysanne, qui milite pour l'agro-écologie.

          Chapeau bas au patron de la FNSEA, Arnaud Rousseau, qui, grâce à ses 700 ha de céréales, a empoché en 2022, 178 000 euros d'aides de la PAC, auxquels s'ajoutaient 44 168 euros pour sa société de production d'énergie photovoltaïque. Ce gros céréalier oléoprotéagineux dirige, en prime, le géant des huiles Avril, qui touche chaque année de Bruxelles peu ou prou 130 millions d'euros. Rappelons que 20 % des agriculteurs français raflent à eux seuls 35 % des 9 milliards de la PAC. Le grisbi est bien empaqueté.

autres sons de cloche : les idées défendues par la Confédération paysanne > iCi

 

> surenchères de la FNSEA pour démanteler les réglementations sur l’eau et les pesticides

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          Alors que la révolte paysanne gronde, les syndicats agricoles multiplient les demandes au Gouvernement. Certaines de ces revendications sont portées de longue date par l’UFC-Que Choisir, telles que l’application de la Loi Egalim pour obtenir des prix rémunérateurs en rapport avec les coûts de production agricole ou encore l’abandon des accords bilatéraux (Mercosur, Nouvelle Zélande) qui ouvrent toutes grandes les portes du marché français à des produits alimentaires ne respectant pas nos normes sanitaires et environnementales.

          En revanche, d’autres exigences, soutenues plus particulièrement voire spécifiquement par la FNSEA, sont proprement scandaleuses. Dans un document appelé "Retrouver la liberté d’entreprendre" on trouve un florilège de demandes parfaitement inadmissibles, comme par exemple l’abandon pur et simple des zones de non-traitement des pesticides à proximité des habitations (la liberté d’asperger les riverains, je suppose), un moratoire sur l’interdiction des pesticides jugés dangereux (c’est-à-dire la liberté de polluer avec des substances hautement toxiques) ou encore l’accélération de constructions des stockages d’eau (la liberté de faire main basse sur une ressource en voie de raréfaction !).

          Ces demandes sont d’autant moins légitimes qu’elles ne font pas partie des griefs exprimés par la base. D’ailleurs, la construction des bassines ne bénéficierait qu’à une très faible minorité d’exploitations, l’irrigation n’étant pratiquée que sur 5 % de la surface agricole française. On voit bien qu’il s’agit d’une revendication catégorielle émanant d’une fraction d’agriculteurs cherchant à surfer sur la vague de mécontentement. Quant aux pollutions en pesticides, je voudrais rappeler à Arnaud ROUSSEAU, Président de la FNSEA, que près d’un demi-million de consommateurs français boivent une eau contaminée au-delà des limites définies par la réglementation européenne et ce malgré la coûteuse dépollution - au bas mot un milliard d’euros par an - intégralement payée par les consommateurs ! Je tiens également à lui rappeler que ce coût, déjà considérable, sera encore amené à augmenter fortement dans les prochaines années, du fait des nouveaux pesticides particulièrement toxiques (métolachlore, chlorothalonil…) que les agences régionales de santé découvrent de plus en plus régulièrement dans les prélèvements d’eaux soi-disant "potables".

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