l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...
« Les opportunités qui se présentent à nous n’ont jamais été aussi grandes » Larry Fink ( octobre 2024 ) patron de BlackRock, gestionnaire américain d'actifs aux 11 500 milliards de dollars…


Les pauvres, ça gagne tellement peu que chômage ou pas chômage, ils ne voient pas la différence - Pierre Desproges

> professionnels de santé mercenaires

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dans le journal de mon département de droite :

          La sénatrice LR, conseillère en charge du Plan Santé : " Naître, grandir, vieillir en toute sérénité grâce à une proximité de soins, tels sont les engagements pris par le Département. Pour répondre à ces attentes fortes et légitimes, un Plan santé ambitieux, volontaire et d'une ampleur inédite a été voté fin 2000.

             Il mobilise des leviers variés et complémentaires en faveur d'une médecine générale de proximité, pour garantir aux médecins des conditions d'accueil et de pratiques à la hauteur de leurs attentes. (...) "

  "... garantir aux médecins des conditions d'accueil et de pratiques à la hauteur de leurs attentes...", voilà tout est dit : les médecins ( et professionnels de santé ) sont devenus des mercenaires. Dans ce journal départemental, évidemment très peu d'informations sur ce que cela nous coûte !

On paie au moins 4 fois pour notre santé : pour la sécurité sociale, pour la mutuelle et pour racoler/goinfrer localement ou départementalement les médecins ( et autres personnels de santé ) pour satisfaire leurs désirs... Sans pour cela qu'ils soient très compétents, s'ils l'étaient, ils s’installeraient au moins dans une préfecture... Mon médecin n'est pas génial ( soumis à des objectifs de santé publique drastique -Rosp- par la sécu pour palper le pognon en minorant les prescriptions de soins ? ), quant à l'infirmière IPA à laquelle j'ai eu affaire, déjà pas terrible comme infirmière standard, elle se prend dorénavant pour un médecin alors qu'elle était même pas capable de recopier une ordonnance, sans oublier un médicament essentiel, en supprimant un autre et en inscrivant, pour un autre, une quantité  moindre ! Bref la cata... J'ai dû revoir mon médecin pour obtenir une ordonnance correcte !

 

> attention friture : effluves cancérigènes

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          La France a la patate. Peu importe que Musk préfère installer son usine de voitures électriques en Allemagne, nous, on accueille les plus grosses usines à frites d'Europe. Le canadien McCain, premier producteur mondial de frites, vient de mettre 300 millions d'euros sur la table pour faire de son usine de Harnes, dans le Pas-de-Calais, la plus grosse friterie sur terre. Cette dernière produira bientôt 360000 tonnes de bâtonnets par an.

          Trois autres barons de la frite, belges, cette fois, misent sur la France. Résultat des courses : en 2027, l'Hexagone alignera six friteries XXL produisant plus de 1 million de tonnes de frites chaque année. Quasiment toutes ces usines seront installées là où poussent l'essentiel des pommes de terre tricolores, dans les Hauts-de-France, rebaptisés « la vallée de la frite ».

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> premières données sur la capacité d’accueil hospitalière en 2023

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En 2023, la baisse du nombre de lits et la hausse du nombre de places se poursuivent
Premiers résultats de la base administrative de la statistique annuelle des établissements de santé (SAE) 2023


          La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie les premières données sur la capacité d’accueil hospitalière en 2023. Ces résultats sont issus des bases administratives de la statistique annuelle des établissements de santé (SAE), collectées au premier semestre 2024. Ils sont susceptibles d’être révisés d’ici à la fin de l’année 2024.

          Fin 2023, 1 329 hôpitaux publics, 656 établissements privés à but non lucratif et 977 cliniques privées composent le paysage hospitalier français, dont le nombre de sites géographiques continue de diminuer lentement, sous l’effet de réorganisations et restructurations. Les capacités d’accueil de ces 2 962 établissements de santé se répartissent entre hospitalisation complète (369 400 lits), partielle (88 500 places) et hospitalisation à domicile (24 100 patients pouvant être pris en charge simultanément).
Un recul du nombre de lits en état d’accueillir des patients de 1,3 % et une progression du nombre de places de 4,1 % en 2023

          Depuis une vingtaine d’années, l’organisation de l’offre de soins évolue vers une hausse importante de la capacité de l’hospitalisation partielle (sans nuitée) et de l’hospitalisation à domicile, avec en parallèle une diminution continue des capacités d’hospitalisation complète (lits). Des innovations en matière de technologies médicales et de traitements médicamenteux ont rendu possible ce « virage ambulatoire ».

          En 2023, le recul du nombre de lits en état d’accueillir des patients se poursuit (-1,3 %, après -1,8 % en 2022 et -1,4 % en 2021) et reste plus rapide qu’avant la crise sanitaire (-0,9 % par an en moyenne entre 2013 et 2019). En revanche, le nombre de places continue de progresser (+4,1 %), à un rythme plus soutenu qu’avant-crise (+2,5 % par an). La hausse reste plus élevée en moyen séjour (+7,3 %) qu’en court séjour (+4,9 %) ; elle demeure relativement faible en psychiatre (+1,1 %).

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> secourisme : deux applis pour sauver des vies

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          On n’a pas toujours un diplôme d’urgentiste... Mais on peut télécharger deux applications sur son smartphone et réaliser les gestes qui sauvent !

Agir en urgence
En cas d'arrêt cardiaque, chaque minute passée sans massage diminue drastiquement les chances de survie. Les premiers soins donnés en attendant les secours sont donc fondamentaux. Encore faut-il que des témoins soient présents, et qu'ils connaissent les gestes à faire... C’est tout l’objectif de deux applications gratuites pour smartphones développées par des associations. Leurs utilisateurs auraient sauvé des centaines de vie en seulement quelques années.

SAUVLIFE : laissez-vous guider
Cette appli vous contacte si une personne à proximité (à 10 minutes à pied tout au plus) a besoin de gestes de premiers secours, et vous guide par GPS jusqu'à elle. Une fois sur place, un secouriste vous explique au bout du fil les manœuvres à effectuer en attendant l’arrivée du Samu ou des pompiers. Cela nécessite de garder le système de géolocalisation de votre téléphone allumé, ce qui consomme un peu d’énergie, mais ces kilowattheures sont bien dépensés ! « Et nous ne revendons aucune donnée de localisation ou autre », tient à préciser Lionel Lamhaut, médecin urgentiste et cofondateur de l’appli.

STAYING ALIVE : trouvez un défibrillateur
Comme SAUVLife, l’application Staying Alive vous alerte quand il faut venir en aide à quelqu’un près du lieu où vous vous trouvez. Mais elle présente quelques spécificités. D’abord, seules les personnes ayant suivi une initiation aux premiers secours (une heure suffit) peuvent participer. Ensuite, le logiciel est en lien avec d'autres casernes de pompiers et centres Samu que SAUVLife.

          On augmente donc ses chances d'être appelé et de sauver des vies si on télécharge les deux applis. Enfin, Staying Alive propose une carte des défibrillateurs très complète. Elle s'avère ainsi utile même si vous n’avez pas été formé aux gestes d'urgence.

Il y a quelques années, j'ai rencontré un secouriste qui était intervenu sur un accident et avait donné les premiers soins à un blessé grave. Puis sont arrivés, pompiers, samu, médecin, hôpital... Malheureusement le blessé est dcd. La famille s'est retournée contre les intervenants. Tous les autres intervenants s'étant  évidemment dégagés de toutes responsabilités, la "faute" est retombée sur le secouriste qui est passé au tourniquet et condamné. Quant aux défibrillateurs, un récent article signalait que plus de la moitié d'entre eux avait des défauts d'entretien et était inopérant...

 

> contamination au mercure : BLOOM révèle un scandale de santé publique d’une ampleur inédite

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          Du mercure dans chaque boîte de thon : c’est la découverte alarmante qu’a faite BLOOM en analysant près de 150 conserves prélevées dans cinq pays européens. Considéré par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) comme l’une des dix substances chimiques les plus préoccupantes pour la santé publique mondiale, au même titre que l’amiante ou l’arsenic, ce neurotoxique présente des risques graves pour l’organisme humain.

          Près 18 mois d’enquête, BLOOM révèle dans un rapport exclusif comment, depuis les années 1970, les autorités publiques et le puissant lobby thonier ont sciemment choisi de privilégier les intérêts économiques de la pêche industrielle thonière au détriment de la santé de centaines de millions de consommateurs et consommatrices de thon en Europe. Ce lobbying cynique s’est traduit par la fixation d’un seuil “acceptable” de mercure trois fois plus élevé pour le thon que pour d’autres espèces de poissons telles que le cabillaud, sans qu’il n’existe la moindre justification sanitaire pour un seuil différencié. La contamination autorisée en mercure dans le thon n’a pas été fixée arbitrairement : elle correspond aux niveaux de contaminations les plus hauts que l’on trouve dans le thon. En d’autres termes, le seuil de dangerosité n’a pas été fixé dans l’objectif de protéger la santé humaine mais uniquement les intérêts financiers de l’industrie thonière. Les seuils, tels que fixés par les pouvoirs publics en complicité avec le lobby thonier, génèrent ainsi une contamination généralisée des populations avec des conséquences potentiellement graves pour la santé.

Le mercure, un poison extrêmement dangereux

          Rappelons pour commencer que le mercure, dont les émissions mondiales ont fortement augmenté depuis deux siècles, se retrouve en grande quantité dans l’océan. Il s’accumule dans les poissons sous sa forme la plus toxique, le méthylmercure, finissant dans les rayons puis les assiettes de millions de familles. Le thon, en tant que prédateur situé au sommet de la chaîne alimentaire, accumule les métaux lourds de ses proies et présente ainsi une contamination décuplée en mercure par rapport à de plus petites espèces.

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> 433 000 nouveaux cas de cancer chez les adultes en 2023 !

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          " Dès le plus jeune âge, on doit consulter pour faire un bilan " : face aux cas de cancers chez les plus jeunes, ce médecin milite pour la prévention

           Une peau juvénile, des rêves de sorties, d’amour, de vie sociale, et déjà une tumeur qui enfle. Le cancer n’a pas d’âge. Des nouveau-nés aux centenaires, il se développe sous de multiples formes et mutations au fil des ans et d’une société qui devient trop sédentaire, à tendance obèse, et ne se prive pas d’alcool ni de tabac, et encore moins de malbouffe. Chez les 15 à 25 ans, la période de toutes les découvertes, la maladie reste le pire des cauchemars.

          Triste constat de ce début de siècle, le cancer progresse partout dans le monde. Et la France n’accuse malheureusement aucun retard. En 2023, elle a enregistré 433 000 nouveaux cas chez les adultes, 1800 chez les moins de 15 ans et 450 chez les 15 à 18 ans. "La bonne nouvelle" face à ce tableau noir, "le nombre des décès diminue", diagnostique le docteur Bernard Valentin, responsable du Centre de Dépistage des Cancers pour les 13 départements d’Occitanie. À l’entendre, il pourrait encore réduire de 42 %. Soit " le taux des cancers qu’on peut éviter en se faisant dépister, vacciner et en modifiant notre mode de vie. "

           Le cancer, une maladie génétique, ne serait pas une fatalité. " On fabrique tous les jours des milliers de cancers qui s’éliminent automatiquement. Sauf lorsque les cellules perdent leur capacité à vivre puis mourir, deviennent immortelles, se divisent en permanence et forment des tumeurs entraînant l’érosion de vaisseaux qui se baladent à distance et débouchent sur des métastases. " Voilà pour l’explication scientifique. Qui ne s’adresse pas aux enfants, adolescents et jeunes adultes. " Souvent, on comprend mal l’origine de ces cancers, ils restent un mystère. " Le docteur Valentin pense à "un dysfonctionnement du mécanisme de régulation qui élimine en temps normal les cellules atypiques." Des recherches approfondies sont menées par les plus grandes unités d’oncopédiatrie de l’Hexagone mais, pour l’heure, elles n’ont révélé aucune cause à ces pathologies, notamment des leucémies, lymphomes et tumeurs nerveuses cérébrales.

           Inutile ainsi d’attendre une thérapie miracle. " Le progrès doit venir des gens. Il faut vacciner les enfants contre le papillomavirus à la base des cancers du col de l’utérus, dans certains pays la pathologie a totalement disparu, il faut également inculquer une nouvelle culture de soins." Ne pas attendre d’être souffrant pour se rendre chez le médecin. " Dès le plus jeune âge, on doit consulter pour faire un bilan ", préconise l’expert qui mise bien sûr aussi sur les dépistages organisés. Un espoir vital à garder en tête : " Grâce à la panoplie des traitements actuels, on peut guérir à tous les stades. Il faut se soigner et se battre ". - source -

L'origine des cancers est un mystère ? On rêve, faudrait arrêter de nous prendre pour des cons ignares ! L'origine des cancers, c'est surtout ce que balance l'agro-alimentaire à tout va dans l'eau, l'air et dans ce que l'on mange. Il n'y a pas besoin d'être médecin pour le savoir, il suffit de regarder autour de nous...

" De nombreux types de cancers se multiplient très rapidement depuis deux décennies. Pourtant, l’information sur leur chiffre est lacunaire. Mais l’État ferme les yeux, et rejette la responsabilité sur les comportements individuels, plutôt que sur les polluants. " > la suite s'il le fallait encore...