l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées... « Les opportunités qui se présentent à nous n’ont jamais été aussi grandes » Larry Fink
( octobre 2024 ) patron de BlackRock, gestionnaire américain d'actifs aux 11 500 milliards de dollars…
Attention si vous achetez des vêtements sur ces boutiques en ligne très populaires : des études ont révélé que les textiles utilisés continent plusieurs produits toxiques. Et à des niveaux alarmants.
Avec une politique marketing ultra agressive et des prix défiant toute concurrence, les géants de la fast fashion se sont solidement implantés sur le marché européen et connaissent un succès écrasant auprès des consommateurs. Pourtant, ils suscitent de vives critiques non seulement au niveau concurrentiel, mais aussi en raison de leur incitation à la surconsommation. Elles poussent les consommateurs à acheter des produits à bas prix dont ils n'ont pas forcément besoin, qui sont souvent de mauvaise qualité et doivent donc être remplacés régulièrement. Autant dire que l'impact écologique est catastrophique... Et c'est sans compter les conditions de travail déplorables des employés – le peuple des Ouïghours en fait malheureusement les frais !
Bref, que ce soit au niveau de la production, du transport ou de la gestion des déchets, rien ne va quand il est question d'AliExpress, de Temu ou encore de Shein. Même les consommateurs en font directement les frais, puisque ces boutiques de e-commerce n'hésitent pas à vendre des contrefaçons, des articles dangereux ou nocifs pour la santé, faisant fi des réglementations européennes. D'ailleurs, le gouvernement métropolitain de Séoul (Corée du Sud) a fait tester des textiles proposés par ces trois géants chinois, en particulier des vêtements d'hiver pour enfants. Les résultats, relayés par Business Insider, sont sans équivoque.
La Journée mondiale de lutte contre le sida, le 1er décembre, est l'occasion de faire le point sur la PrEP, un moyen de prévention très efficace contre le VIH, mais encore trop peu utilisé en France.
« L'épidémie de VIH/sida n'est toujours pas contrôlée en France. S'il y a eu une diminution des cas ces dernières années, nous constatons aujourd'hui un rebond. Il y a toujours des patients hospitalisés pour un sida et des décès. Un trop grand nombre de nouveaux cas d'infections par le VIH sont rapportés en France chaque année », déplore le Pr Jean-Michel Molina, chef du service des maladies infectieuses et tropicales à l'hôpital Saint-Louis et à l'hôpital Lariboisière, dans le Xe arrondissement de Paris.
Oui, nous sommes bien en novembre 2024 et ce n'est pas parce qu'on en parle moins et qu'il n'y a plus de campagnes de prévention nationales grand public, que le VIH ne circule plus. En 2023, en France, 5.500 nouveaux cas d'infection par le VIH ont été rapportés, d'après les données de Santé publique France. Parmi ces cas et loin des clichés stigmatisants faisant de l'infection au VIH une problématique réservée aux hommes gays, bi et pan, on retrouve un grand nombre de femmes et d'hommes hétérosexuels.
L'utilisation du préservatif continue de diminuer
Dans le même temps, en France, tous les indicateurs pointent vers un délaissement du préservatif toutes générations confondues. L'enquête « Contexte des sexualités en France 2023 », menée par l'ANRS-Maladies infectieuses émergentes et l'Inserm et publiée le 13 novembre, établit notamment que seulement 49,4% des femmes et 52,6% des hommes ont utilisé un préservatif lors de leur premier rapport sexuel avec un·e partenaire rencontré·e dans les douze derniers mois. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, c'est parmi les plus de 40 ans, qui ont pourtant connu le pire de l'épidémie de VIH-sida et les slogans «sortez couverts», que l'on se protège le moins.
L’intervention des CMEI permet d’évaluer les sources de pollution, d’irritants et d’allergènes, présents dans l’environnement du patient. Selon les indications de la visite, les CMEI porteront leur attention sur les habitudes du patient et certaines caractéristiques du logement, les polluants biologiques (acariens, moisissures, blattes, allergènes d’animaux…), les polluants chimiques (composés organiques volatils ou COV, formaldéhyde, NO2…) et les polluants physiques (particules, radon...). Les CMEI proposent des mesures d’éviction et des conseils personnalisés et adaptés, afin d’accompagner au mieux le patient dans une prise en charge globale de sa pathologie.
Si un patient veut recourir par lui-même à un(e) CMEI, il est conseillé d’en parler à son médecin traitant, qui décidera de la pertinence d’une visite à domicile et précisera la demande. Les visites des CMEI n’ont pas vocation à faire aboutir une démarche de relogement ou conforter un conflit juridique ou de voisinage.
Établir un audit de son logement
Etape 01. La prescription
Les CMEI interviennent sur prescription médicale, après le diagnostic d’une maladie respiratoire (asthme, rhinite, pneumopathie complexe, BPCO…), allergique ou immunitaire, en lien avec un ou des polluants de l’environnement. Le médecin ou le patient peuvent contacter et transmettre la prescription de visite au CMEI de son secteur. Une fois la prescription transmise par le médecin (ou le patient) au CMEI du secteur d’habitation du patient, celle-ci est étudiée pour validation. Le CMEI prend alors contact avec le patient pour organiser un rendez-vous.
Etape 02. La visite du CMEI
Une visite à domicile suit un protocole bien précis qui permet d’identifier les facteurs de risque dans l’environnement, de réaliser des analyses (biologiques, chimiques ou physiques) en fonction des symptômes ou de certaines observations, puis d’accompagner le patient vers l’éviction des allergènes ou polluants. Une visite à domicile dure environ 2 heures durant lesquelles, les CMEI s’intéressent aux habitudes et à l’environnement du patient sur la base d’un questionnaire validé et visitent l’ensemble des pièces.
Etape 03. Les prélèvements et analyses
Généralement, les CMEI effectuent des mesures de température, humidité, ventilation… Ils peuvent aussi réaliser des prélèvements biologiques, chimiques ou physiques selon les cas rencontrés (en fonction de la pathologie et/ou des observations établies).
Etape 04. L'accompagnement
Les CMEI conseillent les patients afin qu’ils soient les acteurs de l’amélioration de leur environnement, notamment dans leur logement, et pour leur apporter des solutions adaptées pour l’éviction des polluants. Après la visite CMEI, le patient recevra un compte-rendu détaillé ainsi que de la documentation spécifique.Les CMEI peuvent aussi être relais d’information selon les situations et peuvent rediriger le patient vers d’autres acteurs sur son territoire, tels que l’ARS (Agence Régionale de Santé), les services sociaux, le PDLHI (Pôle départemental de lutte contre l’habitat indigne), l’ANAH (Agence Nationale d’Amélioration de l’Habitat), l’ADIL (Association Départementale d’Information sur le Logement), le CAUE (Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement).
Etape 05. Le suivi après la visite
Généralement, les CMEI reprennent contact avec le patient quelque temps après la visite (entre 3 mois et 1 an) pour faire un bilan du suivi des recommandations préconisées, des symptômes et traitements avant et après la visite et de son degré de satisfaction suite à la visite du CMEI. - source et autres infos -
C'est pas connu mais indispensable dans certains cas : les CMEI analyseront vos habitudes et certaines caractéristiques de votre logement, les polluants biologiques (acariens, moisissures, blattes, allergènes d’animaux…), les polluants chimiques (composés organiques volatils ou COV, formaldéhyde, NO2…) et les polluants physiques (particules, radon...). Si vous avez ce type de problèmes chroniques (asthme, rhinite, pneumopathie complexe, BPCO…), n'hésitez pas, insistez auprès de votre médecin traitant pour obtenir une ordonnance et établir un audit GRATUIT de votre logement.
Basique établi par mes soins en fonction des données recherchée et trouvées sur le site de la Direction de la Recherche des Études de l’Évaluation et des Statistiques (DREES).
Je ne m'attendais pas à de telles courbes, quasi identiques dans leur progression. En 2010, le privé représentait 23,18% des dépenses hospitalières, il est de 23,26% en 2023. Je pensais que la courbe "privé" aurait été plus importante au fil des années, peut-être est-ce le cas dans d'autres domaines de la santé ? D'un autre côté, il est dit que les cliniques privées "choisissent" des clients dont les pathologies sont rentables alors que le public ne peut pas "trier"...
Pour ne plus revivre la crise de 2023-2024, les ostréiculteurs du Bassin ont décidé de mettre en place eux-mêmes une surveillance du norovirus
Voilà l'objectif : ne plus revivre cet hiver 2023-2024 où la vente des huîtres du bassin d'Arcachon avait été interdite du 26 décembre 2023 au 19 janvier 2024, provoquant un trou dans les chiffres d'affaires et dans la confiance des consommateurs.
Les ostréiculteurs ne sont toujours pas remis de cette crise du norovirus, cette bactérie provoquant la gastro-entérite qu'on retrouve dans les eaux usées et qu’on avait observée dans les eaux du Bassin après que tous les réseaux ont débordé lors des incessantes pluies de l’automne 2023. Une pollution dont ils ne sont en rien responsables, mais qu'ils paient encore dans leur trésorerie, sans que la moindre indemnisation ne leur soit accordée.
En octobre dernier, après que les élus du Bassin ont annoncé des dizaines de millions d'euros d'investissement dans les réseaux, Olivier Laban, président du comité régionale conchylicole Arcachon-Aquitaine (CRC), avait expliqué que l'ostréiculture ne devait pas juste attendre les promesses des élus : « Marc Druard, l'ancien président du CRC, disait que les solutions venaient toujours de la profession elle-même. Alors nous prenons le sujet à bras-le-corps. On n'a pas le choix.»
Surveillance en place
Actuellement, le norovirus n'est signalé qu’après-coup, quand un certain nombre de toxi-infections alimentaires collectives liées à la consommation d'huîtres est tracé par l'Agence régionale de santé, entraînant une interdiction de la vente. Les ostréiculteurs veulent prendre les choses en amont.
Le CRC met donc en place une surveillance du nororovirus dans les huîtres du Bassin confiée à son groupement de défense sanitaire ostréicole. Ainsi, « pendant la période à risque hivernale, quand les nappes sont hautes, que le réseau est sous tension et que nous subissons possiblement des épidémies de gastro-entérite, nous surveillerons une fois par semaine en sept points du Bassin la présence de norovirus et de bactériophages afin d'évaluer l'état sanitaire de nos produits ». Après appel d'offres, le CRC a choisi le laboratoire Actalia pour des « prestations d'analyses biologiques sur des prélèvements d’huîtres », le même que celui choisi par Veolia pour les analyses en sortie de ses stations d’épuration.
Les huîtres « test » sont dans les parcs. 22 semaines de surveillance sont prévues par le CRC entre mi-novembre et mi-avril, soit la période à risque d'épidémie et de débordements des réseaux en cas de très fortes pluies. Si la présence de norovirus est détectée, avant le dépassement des seuils d'alerte, les ostréiculteurs pourront rentrer leurs huîtres pour les purifier, et ensuite les vendre sans risque. ( David Patsouris )
On consommait une fois par an des huitres à Noël, l'année dernière gastro-entérite et ce n'était pas la première fois ! Donc, on a définitivement abandonné l'idée de manger des huitres qui, si elles sont "vérolés", sont, comme d'autres, interdites de vente bien trop tard. Quant aux auto-contrôles, s'ils sont louables en la matière mais les multinationales de l'agro-alimentaire nous ont démontré leur quasi inutilité...
La consommation de soins hospitaliers, premier poste de dépense de la consommation de soins et de biens médicaux (CSBM), atteint 122 milliards d’euros en 2023, soit 49 % de la CSBM. Les soins hospitaliers restent dynamiques en 2023 avec une hausse de 5,7 % (après +5,8 % en moyenne annuelle entre 2020 et 2022). Dans le secteur public, les dépenses augmentent de 5,4 % en 2023 : le volume d’activité repart à la hausse (+1,8 % après -1,2 % en 2022) tandis que les prix ralentissent légèrement (+3,6 % après +5,9 %). Dans le secteur privé, les dépenses croissent en valeur de 6,4 % en 2023, portées quasi exclusivement par une hausse du volume (+6,3 %). La Sécurité sociale finance près de 93 % des soins hospitaliers. Le reste à charge des ménages à l’hôpital est très faible ; il s’établit à 1,8 % de ces dépenses dans le secteur public et à 6,9 % dans le secteur privé. [ extrait page 34 ]
Une répartition du financement stable par rapport à 2022
La Sécurité sociale est le principal financeur des soins hospitaliers (tableau 4). En 2023, elle prend en charge 93,9 % de la dépense de soins hospitaliers publics et 88,4 % de celle du secteur privé.
Les autres acteurs financent une part nécessairement beaucoup plus faible des soins hospitaliers : entre 3 % et 5 % selon le secteur pour les organismes complémentaires, autour de 1 % pour l’État (aide médicale de l’État [AME] et dépenses au titre des anciens combattants). Les organismes complémentaires financent, par ailleurs, des frais d’hébergement à l’hôpital (suppléments chambres particulières, télévision, frais de long séjour, etc.) qui ne sont pas comptabilisés dans le champ de la CSBM détaillé ici (fiche 18). Le reste à charge des ménages représente, en 2023, 1,8 % des dépenses pour les soins hospitaliers publics. Le reste à charge en secteur privé est sensiblement plus élevé, à 6,9 % en 2023. - source -
Ces chiffres officiels de la Drees indiquent une dépense des soins hospitaliers en 2023 (public+privé) à hauteur de 122,148 milliards d'euros où le privé a une part de 23,26 %
On notera sur le financement de ces soins hospitaliers ( hors sécurité sociale ) :
dans le public : une participation des mutuelles ( 3,3% ) supérieure à celle desménages ( 1,8% )qui est elle-même supérieure à celle de l’État ( 1,1% )
dans le privé : une participation desménages ( 6,2% )supérieure à celle des mutuelles ( 4,4% ) qui est elle-même supérieure à celle de l’État ( 0,3% )
ce qui indique, s'il le fallait encore, que la privatisation de la santé, qui s’aggrave d'année en année, va sérieusement impacter [ ménages + mutuelles = 10,6 % en 2023 ] le porte-monnaie des ménages déjà bien trop ponctionné... On notera de même que les honoraires des praticiens dans le privé ont augmenté de 15,6% entre 2021 et 2023.