l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


Le gouvernement, ce sont des employés de grands groupes, qui font les plans de la prochaine crise, de la prochaine guerre - Demis Roussos

> dédicaments : pourquoi vous allez peut-être bientôt les payer plus cher

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          La prochaine boîte de Doliprane que vous achèterez vous coûtera peut-être plus cher. Et pour cause, le gouvernement planche sur l'idée d'augmenter la franchise médicale. Mais de quoi s'agit-il ? Concrètement, la franchise médicale est une somme que chaque Français paie sans s'en rendre compte. Comme l'explique l'Assurance maladie sur son site, cette somme, créée en 2008, "est déduite des remboursements effectués par votre caisse d'assurance maladie sur les médicaments, les actes paramédicaux et les transports sanitaires".

          Pour l'heure, la franchise médicale correspond à 50 centimes par boîte de médicaments prescrite et par acte paramédical. Quant aux transports sanitaires, elle est de 2 euros. Une somme qui est à la charge de l'assuré donc, et qui revient directement à la Sécurité sociale. Seulement selon les informations de RMC, la franchise médicale devrait prochainement augmenter de 50 centimes, et ainsi passer à 1 euro.

          Avec cette nouvelle mesure, le gouvernement compte faire d'une pierre deux coups. Tout d'abord, cette hausse des prix a pour but de gonfler les recettes de la Sécurité sociale. Et en parallèle, le gouvernement cherche à mieux responsabiliser les Français, qui sont des gros consommateurs de médicaments.

          En parallèle, le gouvernement envisagerait aussi d'augmenter la participation forfaitaire. Si pour l'heure elle est de 1 euro, elle pourrait doubler et passer à 2 euros. Pour rappel, cette somme laissée à la charge de l'assuré est déduite des remboursements des consultations ou actes réalisés par un médecin, examens radiologiques et analyses de biologie médicale. La double augmentation de la franchise médicale et de la participation forfaitaire pourrait rapporter jusqu'à 1,5 milliard d'euros à la Sécurité sociale, rapportent Les Échos. - source -

Cela va rapporter environ 1,5 milliards à la sécurité sociale : FAUX ! le budget de la sécu a été intégré par Macron dans le budget général de l'Etat, donc de 1,5 milliards d'euros va être intégrer au budget de l'Etat et va permettre d'utiliser encore de l'argent public pour mieux engraisser les entreprises privées ou, financer la nouvelle usine des taïwanais à Dunkerque ?

 

> les aliments qui contiennent le plus de prébiotiques

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          Les prébiotiques ne sont pas digérés par le corps humain mais ils servent de source de nourriture aux bactéries intestinales qui y résident et participent ainsi à la bonne santé du microbiote.

          Cent mille milliards de bactéries, virus, champignons et archées se logent dans les intestins des humains et forment le microbiote dont le rôle sur la santé est de plus en plus investigué. Soupçonné de moduler la réponse immunitaire, de participer à la bonne santé cardiovasculaire ou même jouer sur notre humeur, ces organismes également qualifiés de probiotiques ont besoin de se nourrir, c'est le rôle des prébiotiques fournis par l'alimentation. Lors du congrès de l'American Society for Nutrition, qui se tient à Boston (Etats-Unis) du 22 au 25 juillet 2023, Cassandra Boyd de l'Université d'Etat de San José a présenté une méta-analyse passant en revue le contenu de 8690 aliments afin de déterminer les plus riches en prébiotiques.

          Les résultats indiquent que ce sont les feuilles de pissenlit (qui peuvent être consommées en salade ou cuites) qui en contiennent le plus. Juste derrière, on retrouve le topinambour, l'ail, le poireau et l'oignon, avec pour ces cinq-là des quantités qui varient entre 100 et 240 mg de prébiotiques par gramme. Même s'il se situe à la dernière place de ce classement, l'oignon semble être l'aliment le plus intéressant puisque tous ses dérivés crus et cuits comme les "rings" ou la crème contiennent encore de bonnes quantités de prébiotiques (entre 50 et 60 mg par gramme).

          Tout comme les asperges, le niébé (une légumineuse consommée en Afrique subsaharienne) et certaines céréales pour le petit-déjeuner enrichies en fibres. Sur la base de ces données, il ressort que la consommation quotidienne d'un demi-oignon permet d'apporter cinq grammes de prébiotiques, ce qui est la quantité recommandée par les auteurs de l'analyse. Quant aux aliments les moins riches en prébiotiques, on retrouve ceux à base de blé, les produits laitiers, les huiles, les œufs et les viandes.

          Les chercheurs espèrent que leur travail fournira une base pour aider d'autres scientifiques à évaluer les effets des prébiotiques sur la santé afin de promulguer de meilleures recommandations en matière de santé publique. Ils avertissent toutefois que davantage de recherches sont nécessaires pour mieux comprendre l'impact de la cuisson sur le contenu prébiotique et pour évaluer les aliments contenant plusieurs ingrédients.
Des aliments non digérés

          Pour que les prébiotiques remplissent leur rôle de "carburant" pour les bactéries intestinales, il faut qu'ils parviennent jusqu'au gros intestin sans voir été digérés par les enzymes humaines. C'est principalement le cas des glucides complexes contenus dans les fibres alimentaires comme les polysaccharides ou les oligosaccharides. Arrivés dans le côlon, ils sont cette fois digérés par les bactéries du microbiote qui les dégradent en acide gras à chaine courte qui ont des propriétés bénéfiques pour l'organisme. - source -

Par les temps qui courent, et qui vont courir encore longtemps, ( médecine défaillante à tous les niveaux sauf, évidemment, celui du fric ) il vaut mieux s'informer,...

 

> la visio offre aux toubibs des primes de malade

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          LE « VU À LA TÉLÉ » fait un tabac. Effet secondaire de la crise du Covid, 1 million de téléconsultations sont facturées chaque mois à l’Assurance maladie. En cabine ad hoc dans les pharmacies ou chez eux devant leur ordinateur, les patients contactent des toubibs dispos à des horaires extensibles. Fastoche de joindre un cardiologue à 3 heures du matin s’il est au... Brésil. Des médecins proches de la retraite ou, au contraire, débutant dans le métier, sont conquis. Rien de mieux pour arrondir leurs fins de mois.

          L’affaire est surtout juteuse pour les boîtes spécialisées qui servent d’intermédiaires au prétexte d’une bonne cause : la lutte contre les déserts médicaux ou le désengorgement des urgences et des Samu. Leur bizness « contribue à capter de la ressource médicale en permettant à des médecins d’exercer une activité très lucrative depuis n’importe quel endroit de la planète », note le rapport de la mission flash parlementaire relative aux téléconsultations sur abonnement publié le 19 juillet.

Consultations à foison

          Pour pousser les blouses blanches à passer derrière l’écran, les as de la consultation à distance mettent le paquet. « Vous souhaitez travailler de chez vous, dans d’agréables conditions, 100 % en téléconsultation ? » essaie de faire rêver So Clinic. A la clé : un CDI à temps plein pour 3 000 à 15 000 euros par mois. L’entreprise Qare offre à ses 2 500 médecins 2 000 euros brut pour huit heures de visio par semaine ainsi qu’une modeste prime de bienvenue de 2 000 euros. Une petite joueuse face à Medadom, connu pour ses cabines installées dans les pharmacies et les supermarchés. La prime de bienvenue y dépasse les 5 000 euros. Un contrat de 10 heures minimum par semaine y est rémunéré 5 000 euros brut, avec 500 euros de bonus le samedi matin, et d’autres avantages quand on parraine ses pairs. Les toubibs se voient proposer un statut de salarié en CDI, avec congés payés, mutuelle, dispense des tâches administratives et de cotisations sociales. Medadom sait se montrer insistant. « Tous les lundis, je recevais une invitation à travailler pour eux. On a dû demander à Thomas Fatôme (le patron de la Cnam) de les freiner», se souvient Luc Duquesnel, le président du syndicat Les Généralistes-CSMF.

          Mais l’Ordre des médecins a vu revenir des blouses blanches refroidies par des « clauses de rendement », des « rendez-vous en trois minutes » qui virent à l’abattage, détaille René-Pierre Labarriere, le président de la section « exercice professionnel » de l’institution. Medadom fait miroiter un minimum fixe de 5 250 euros par mois pour 35 heures par semaine, « dépassé dès que vous êtes au-dessus de 3 téléconsultations par heure ». Pour 35 heures et 8 téléconsultations par heure, le doc peut palper 11 550 euros, assure la boîte.

Perfusion de liquide

          Pour attirer toujours plus de médecins, censés ne pas consacrer plus de 20 % de leur temps aux téléconsultations, les plateformes ne reculent devant rien. Ce que critique l’Ordre. En vain. Difficile de se faire entendre quand ces boîtes ont l’oreille attentive d’Emmanuel Macron. Le 6 décembre, il détaillait plusieurs mesures destinées à « libérer du temps médical » aux libéraux. Parmi lesquelles la suppression de la limite des 20 %. La Cnam, jusqu’ici, a résisté. Le 1" janvier prochain, elle agréera ou pas les boîtes de télémédecine. Aura-t-elle assoupli le temps des libéraux pour leur permettre de soigner leur porte-monnaie ? Ce qui est sûr, c’est que la télémédecine fait l’avide autour d’elle. ( Fanny Ruz-Guindos )

On a pas encore atteint le fond du trou ( américain ) avec la santé en France mais "on" y plonge de plus en plus profond...

 

> la nouvelle capsule endoscopique

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          Pilotée à l'aide de joysticks, cette nouvelle capsule endoscopique parcourt l'intestin grêle comme un sous-marin miniature, et détecte la moindre lésion avec une précision inédite.

          L’endoscope est un formidable outil de diagnostic. Dès les années 1950, cet appareil permet au médecin d’observer l’intérieur de l’estomac, grâce à une sonde flexible munie d’un dispositif d’éclairage. Au cours des années 1980, l’ajout de caméras autorise non seulement l’analyse de l’intestin, mais aussi les interventions chirurgicales, à l’aide d’instruments de cœliochirurgie. Mais c’est en 2000 qu’apparaît l’innovation la plus spectaculaire, la capsule endoscopique. À peine plus grosse qu’une gélule, elle intègre une micro-caméra qui transmet des photographies par ondes radio à un boîtier externe durant tout le transit intestinal. Un outil précieux pour filmer l’intestin grêle, difficilement accessible par entéroscopie, en raison de son étroitesse et de sa forme alambiquée.

Pilotage à distance

          Son principal atout réside, bien sûr, dans sa simplicité d’utilisation. La capsule ne requiert aucun contrôle par un gastro-entérologue, ce dernier examinant les images à l’issue du processus. En plus, l’examen n’est pas invasif, et les complications et effets secondaires sont rares. Le dispositif n’a qu’un défaut, il n’en fait qu’à sa tête. Comme il circule librement dans l’intestin, il ne photographie pas l’intégralité des parois, mais seulement celles qui font face à la caméra. Une lésion, une tumeur ou une autre anomalie peuvent donc échapper à l’examen. Pour pallier cette limitation, les ingénieurs étudient différents moyens de prendre le contrôle de la capsule. La technique la plus prometteuse consiste à la piloter grâce à un champ magnétique externe (vidéo-endoscopique magnétique guidée). En 2010, une équipe israélienne teste avec succès un prototype. La capsule est munie d’un aimant en néodyme-fer-bore, qui réagit à deux aimants que le médecin manipule à la main. La même année, Olympus et Siemens présentent un dispositif plus complexe, où le patient est placé dans une sorte de mini-IRM qui contrôle le champ magnétique. Le manipulateur pilote la capsule grâce à deux joysticks offrant cinq niveaux de liberté, pour une précision accrue. En 2013, enfin, l’agence chinoise de surveillance des produits de santé autorise la commercialisation du premier système de guidage magnétique développé par l’entreprise Ankon Technologies. Mais ce n’est qu’en 2020 que les États-Unis autorisent à leur tour cette technologie. Trois ans plus tard, le bilan est très positif.

Prochaine étape : l'IA !

          L’étude publiée en juin montre que la NaviCam Stomach Capsule System de l’entreprise AnX Robotica s’avère bien plus précise que les capsules non guidées pour la détection des anomalies gastriques. Partiellement robotisée, manipulable au millimètre près, elle permet d’observer jusqu’à 95 % de l’intestin. Les ingénieurs souhaitent à présent améliorer le diagnostic, en couplant la gélule à une intelligence artificielle capable d’interpréter en temps réel la moindre anomalie des tissus et d’optimiser ses déplacements. Seul bémol, l’ensemble du dispositif est extrêmement coûteux et sa manipulation doit être effectuée sous le contrôle d’un gastro-entérologue. ( Philippe Fontaine )

 

> la carte vitale numérique

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          La carte Vitale numérique arrivera bien en France en 2023, via l'application mobile apCV. En phase d'expérimentation, elle propose les mêmes fonctions que son homologue physique avec quelques avantages.

          L'arrivée de la carte Vitale numérique (ou e-carte Vitale) se fait un peu plus concrète chaque jour ! Le précieux sésame est même déjà accessible via l'application du même nom, disponible en téléchargement en version bêta sur Android et iOS. Toutefois, seuls certains résidents français peuvent en profiter pour le moment, avant un déploiement plus global. Une démarche qui s'inscrit dans la numérisation des documents officiels français. Attention, la carte Vitale numérique n'a pas pour but de remplacer la version physique, il s'agit seulement d'offrir une alternative aux usagers. On fait le point sur ce qui nous attend.

Carte Vitale numérique : qui est concerné ?

          Comme il l'avait promis, le Gouvernement continue sa numérisation des services publics. Un mouvement désormais généralisé dans notre société, notamment pour les titres de transport et les timbre. Ainsi, après avoir la carte d'identité numérique avec France Identité, c'est la bonne vieille carte Vitale qui va progressivement passer en version dématérialisée. Le but : assurer le virage numérique de la santé et "fluidifier les relations entre professionnels de santé et assurés". Ainsi, un décret paru le 28 décembre 2022 et entré en vigueur le 1er janvier 2023 a confirmé le déploiement de l'e-carte Vitale sur le territoire français courant 2023 – elle doit être proposée à l'ensemble des assurés sociaux d'ici le 31 décembre 2025. Il définit également les "caractéristiques des moyens d'identification électronique des assurés et des professionnels de santé".

          Le passage d'une carte Vitale physique à une numérique ne se fait pas en un claquement de doigts, fort heureusement. Le Rhône et les Alpes-Maritimes sont en phase de test depuis 2019, suivis de la Saône-et-Loire, la Seine-Maritime, le Bas-Rhin, l'Hérault, la Loire-Atlantique, la Sarthe et le Puy-de-Dôme. L'ouverture au reste de la France est prévue en 2023 grâce au décret, mais il n'est pas impossible qu'un retard de déploiement – assez habituel avec le Gouvernement – la reporte à 2024. Toujours est-il que le dispositif doit être globalement installé et utilisable sur l'ensemble du territoire d'ici 2026. L'application carte Vitale est disponible sur Android et iOS. Les personnes affiliées à un organisme de l'Assurance Maladie, de la MSA ou de la MGEN de ces départements, ayant au moins 16 ans et nétant pas sous tutelle peuvent d'ores et déjà l'utiliser, à condition que leur smartphone tourne sous iOS 7 ou Android 12 au minimum. En revanche, les utilisateurs n'habitant pas dans les territoires concernés se verront préciser que "Vous n'êtes pas éligible" et seront invités à se rendre sur le site applicartevitale.fr.

           Pour l'instant, le décret n'implique aucune contrainte à devoir passer à une carte Vitale numérique, il est donc tout à fait possible de garder son petit bout de plastique vert. Il s'agit plus d'une solution alternative au format physique. Espérons que cela ne devienne pas obligatoire, car cela accentuerait la fracture numérique, notamment pour les personnes âgées qui ne sont pas très à l'aise avec la technologie et celles qui ne possèdent pas de smartphone. Bien évidemment, chacun n'a le droit qu'à une seule carte Vitale active, déclinée à la fois en format physique et en format numérique.

► pour lire la suite...

> vous mangez encore de l'agneau néo-zélandais ?

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La guerre des moutons

          Ça y est, c'est fait. Après cinq ans de négociations, l'Europe vient de signer un accord avec la Nouvelle-Zélande, qui mange la laine sur le dos de notre filière ovine tricolore. Rembobinage du fil. Tout commence en juillet 1985, lorsque les services secrets français coulent, dans le port d'Auckland, le « Rainbow Warrior », le bateau amiral de Greenpeace. Pour se faire pardonner, la France accepte que le pays des All Blacks importe chaque année en Europe, sans aucun droit de douane, 228 359 tonnes de viande d'agneau. Une concurrence déloyale qui mettra sur la paille un tiers de nos éleveurs. Il est vrai que l'agneau néo-zélandais, vendu deux fois moins cher que le nôtre, est estampillé sur les étals « viande fraîche », alors que cette bidoche, abattue trois mois auparavant, est trimballée pendant huit semaines dans les cales d'un bateau après un traitement à l'azote liquide.

          Autant de détails introuvables sur l'étiquette, vu qu'il n'y a aucune obligation de préciser la date d'abattage ni le mode de conservation. Les 29 000 éleveurs d'agneaux qui nous restent avaient un temps repris espoir avec le Brexit. Sitôt la Grande-Bretagne avait-elle claqué la porte que le quota des importations de barbaque néo-zélandaise détaxée autorisé en Europe avait été amputé des 114 000 tonnes qui débarquaient chaque année dans les ports anglais. Las, l'accord avec la Nouvelle-Zélande ajoute dans la balance 38 000 tonnes d'agneau par an exemptées de taxes d'importation.

          Kiwi sur le gâteau, Bruxelles n'a imposé aucune réciprocité sur les normes sanitaires et environnementales en vigueur dans l'Union européenne. Prenez le diflubenzuron, cet antiparasitaire interdit dans l'UE car possiblement cancérigène pour l'homme, utilisé par les éleveurs néo-zélandais pour vermifuger leurs moutons. Sans compter le bilan carbone d'une viande importée qui parcourt 20 000 kilomètres ! Et ce malgré le plan européen d'action pour une alimentation durable baptisé « De la ferme à la fourchette », qui vise notamment à « lutter contre le réchauffement climatique en partie causé par notre mode de consommation et de production ».

          Le pire est à venir puisque l'Europe mijote un accord de libre-échange avec l'Australie, autre grande puissance moutonnière. Canberra, qui ne peut plus vendre ses moutons à la Chine depuis le refroidissement de ses relations diplomatiques avec Pékin, compte en refourguer 120 000 tonnes par an à l'Union européenne. On comprend pourquoi nos éleveurs d'agneaux crient au loup.

L'union européenne de merde dans toute sa splendeur ! Sans oublier que tous les autres produits en provenance de ce pays doivent être vérolés...