Face au sentiment d’insécurité dont font régulièrement état les Français, nous devons renforcer l’ordre républicain et encourager la participation citoyenne aux décisions publiques.
Les défis auxquels nous faisons face
Les Français font régulièrement état d’un sentiment d’insécurité, dans le contexte d’une société plus violente, malgré l’investissement quotidien des forces de l’ordre pour assurer l’ordre public. La justice est également jugée encore trop lente et complexe. Enfin notre cadre démocratique ainsi que nos valeurs républicaines sont parfois remises en question.
Un sentiment de perte de contrôle face au numérique est aussi de plus en plus ressenti par une partie des Français (désinformation, cyberattaques et cyberharcèlement).
Le retour de la guerre en Europe et l’exacerbation des tensions géopolitiques dans le monde (prolifération nucléaire, menaces hybrides, …) est également une source d’inquiétudes. Le défi migratoire devant nous pose de forts enjeux d’intégration.
Alors que l’unité de la Nation est plus que jamais nécessaire, le sentiment d’appartenance est questionné, du fait notamment des fractures sociales et géographiques toujours très marquées.
Avant le passage à l’an 2000, les véhicules automobiles étaient conçus pour durer et permettre à leurs propriétaires de rouler longtemps. Depuis, les constructeurs ont décidé de s’inscrire, eux aussi, dans la société de consommation. Sous la pression de leurs actionnaires, toujours avides de toujours plus, le principe a été de regrouper les marques sous le nom d’un seul et même groupe, à l’instar de Stellantis. Et on a désigné un « grand » PDG qui, dans ses compétences, aurait pu gérer tout autant la fabrication d’aspirateurs ou de machines à laver.
Le principe est désormais de profiter du renom des marques et de leurs qualités, en baissant au maximum la qualité des éléments constitutifs des véhicules ; et ce, afin d’augmenter les marges. Tout a été mis en place : des nouveaux moteurs, des protocoles d’entretien permettant aux concessions de se déresponsabiliser tout en facturant à prix d'or. Surtout, pour compenser l'arrivée moins rémunératrice de l’électrique. Les mécaniciens hors pair cèdent leur place à des changeurs de pièces, assujettis à des logiciels d’ateliers et des ordinateurs de bord, qui les laissent en marge des problèmes mécaniques, et avec de bonnes excuses d'inefficacité.
Dans le même temps, des milliers de propriétaires de véhicules sont devenus des vaches à lait du système, démunis devant des concessionnaires armés de protocoles de défense basés sur la politique de l’autruche.
Le PDG de Stellantis a finalement démissionné pour ce qui s'apparente à une retraite de milliardaire, laissant son successeur se débrouiller avec la révolte de la clientèle. Ce suicide commercial des marques au profit d’un actionnariat implacable et volatil, reste quand même profitable, par rapport au trésor de guerre acquis. Reste la clientèle au bord de la route, avec des véhicules en panne… - Yves Cunin (Ille-et-Vilaine) -
Stellantis pue sérieux depuis plusieurs années, malheureusement beaucoup de clients ne l'ont pas compris et continuent, les pauvres, a acheter une des " quinze marques automobiles : cinq issues du groupe français Groupe PSA ( Citroën, DS Automobiles, Opel, Peugeot et Vauxhall ) et dix issues du groupe italo-américain Fiat Chrysler Automobiles (FCA) (Abarth, Alfa Romeo, Chrysler, Dodge, Fiat Automobiles, Fiat Professional, Jeep, Lancia, Maserati et Ram). " (wikipedia)
Par contre, beaucoup d'autres automobilistes ont compris que la solution, aux merdes proposées par les tous les constructeurs automobiles et aux véhicules électriques imposés par cette union européenne de merde, était l'acquisition d'un excellent véhicule ancien. Mais "ils" ont pensé à tout, sous prétexte d'écologie, déjà une grande partie de ces vieux véhicules sont interdits de circulation, Autre avantage non négligeable, les stocks de voiture d'occasion de plus de 8 ans s'amenuisent et celles qui restent, s'il en reste, deviennent plus chères. Enfoirés !!!
De nombreux utilisateurs ont remarqué qu'une étrange application s'est installée discrètement sur leur smartphone Android à leur insu. Et ils s'inquiètent naturellement sur sa nature et son rôle.
Si vous avez un smartphone sous Android, il est fort probable qu'une nouvelle application se soit installée récemment dessus. Mais de manière très discrète, sans vous demander votre avis. C'est ce qu'ont remarqué de nombreux utilisateurs ces derniers temps, qui se sont naturellement inquiétés, en lançant des alertes sur Internet. Il n'en effet pas normal qu'une application s'installe toute seule : en général, c'est le signe d'un piratage ou d'une infection par un virus.
Ce n'est heureusement pas le cas ici. L'application en question, c'est SafetyCore – Android System SafetyCore de son nom complet. Et c'est Google qui l'a développée et installée, à votre insu, sans vous informer sur sa nature et son rôle. Et vous n'en saurez pas plus en cherchant à la lancer ; car contrairement aux applications traditionnelles, il est impossible de l'ouvrir pour voir à quoi elle ressemble et ce qu'elle fait !
Et si vous cherchez sur Internet ou sur le Google Play Store, la boutique d'applications, vous apprendre seulement que c'est "composant système Android qui fournit une infrastructure de protection des utilisateurs sur l'appareil tout en préservant la confidentialité des applications". Une description pas très claire qui ne donne aucune information sur son rôle.
La scène Zelensky versus Trump-Vance est l’étape du moment dans le parcours de sidération que l’Europe accomplit depuis le retour du président américain à la tête de son pays. Les vieux européens cherchent quelles sont les motivations d’un comportement où leur servilité atlantiste est payée par un mépris qui les laisse transis de peur. Dans les premières secondes où Trump hausse le ton sur Zelensky, on croirait presque qu’il entre dans une escalade imprévue après le ton patelin du début. À vrai dire la gestuelle des personnages surlignant lourdement chaque parole, les voix qui se superposent comme dans une altercation de rue, tout porte à le croire. Pour autant, rien n’est davantage dans l’ordre des choses que ce moment de paroxysme. Ce qui semble être un hasard de circonstances exprime sous sa forme la plus crue une nécessité implacable. On peut la résumer : à cette heure, la guerre d’Ukraine est perdue pour les Européens. Comme si après le chaos en Irak ou en Libye, après la déroute en Afghanistan, après la mise à feu et à sang du Moyen-Orient, et combien d’autres épisodes calamiteux, l’Europe atlantiste faisait autre chose que de s’enfoncer…
Guerre perdue ? C’est-à-dire que les enjeux qui ont mis la Russie en mouvement ne peuvent plus lui être disputés à cette heure faute d’implication des USA, de son matériel militaire et de sa planche à billets pour financer la guerre. Quels enjeux ? Le Donbass et la Crimée ne seront pas récupérés, l’adhésion à l’OTAN de l’Ukraine n’aura pas lieu, car cette clause sera incluse dans les garanties de sécurité mutuelles qui devront accompagner la signature de la fin des combats.
Et s’il en est ainsi, c’est bien parce que depuis le début, les Européens ne se sont jamais demandés pourquoi la Russie agissait, ni quels moyens d’éviter la guerre étaient possibles. Au contraire. Ils ont tendu l’élastique autant qu’ils pouvaient dans une indifférence totale à la réalité des rapports de force du nouvel ordre du monde. Pendant des mois de commentaires, la psychologisation de la politique a fourni l’aliment du bavardage médiatique au détriment de la seule pensée qui vaille : celle qui se base sur les intérêts des protagonistes dans la réalité matérielle. « Poutine est-il fou ? » a-t-on débattu sur maints plateaux. Et par-dessus tout la certitude de la victoire, l’auto-hallucination sur l’effet des sanctions économiques, et la police politique médiatique interdisant toute pensée critique ont fait le reste. Il sera sans doute impossible encore d’en débattre froidement. C’est le cas depuis le début. Nous ne disposons que de quelques jours pour pouvoir parler en liberté avant que la machine de propagande ne se remette en mouvement avec le retour des perpétuels généraux d’opéra revenant faire régner la loi.
Igor Morski, né en Pologne en 1960 est un illustrateur qui expose les injustices de la société moderne avec des photomontages dans un style inspiré du surréalisme.