l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...
« Les opportunités qui se présentent à nous n’ont jamais été aussi grandes » Larry Fink ( octobre 2024 ) patron de BlackRock, gestionnaire américain d'actifs aux 11 500 milliards de dollars…


L'esclave fait son orgueil de la braise du maître - Antoine De Saint-Exupéry
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💩 Europe : des vautours à domicile

Classé dans : europe de merde

          J’ai reçu une lettre de Séverine et de son frère Marc que je tiens à partager. Ces derniers mois, leur mère a passé beaucoup de temps à l’hôpital pour lutter contre la maladie qui vient de l’emporter. En relevant son courrier, durant son hospitalisation, Marc a découvert plusieurs magazines. En outre, il s’est aperçu qu’elle se faisait désormais prélever par le fournisseur d’électricité Eni. Et pas avec une, mais deux ponctions par mois, étrangement. L’une pour l’énergie, l’autre pour des abonnements. « Ma maman a toujours été abonnée chez EDF et ne nous a jamais parlé d'abonnement à des magazines », écrit Séverine. Marc constate aussi le prélèvement régulier d’une autre société, KSM.

          « Maman nous a expliqué qu’une personne était venue de la part d’Eni. Elle lui a demandé combien elle payait en électricité, en lui assurant qu'il fallait une prestation mieux adaptée à sa consommation. Elle a pensé qu'Eni était un prestataire d’EDF ». Apparemment, le démarcheur a ensuite bourré le crâne de cette dame, déjà malade, en affirmant qu’il fallait souscrire une assurance obligatoire, la fameuse KSM. « En lisant le contrat, j'ai compris qu'il s’agissait d’une garantie contre les factures impayées en cas de perte de salaire. Or, maman est retraitée ! Pour les magazines, elle m’a dit qu’elle n'avait vu personne et ne savait pas comment elle s’était abonnée. »

          Séverine prend les choses en main, contacte les éditeurs des magazines qui acceptent, plus ou moins rapidement, d’annuler les contrats et même de rembourser les sommes prélevées. Vente forcée d’un magazine auprès d’une personne vulnérable, ça fait un bon article mais pas une bonne publicité... Séverine a fini par comprendre que derrière ces opérations, il n’y avait qu’un seul et même démarcheur qui a refourgué de l’électricité, des journaux, une assurance... Avec l’aide du banquier de sa mère, elle parvient à stopper le prélèvement de l’assurance.

          Eni se montre bien plus coriace. « J’ai eu 23 échanges de mails, sans compter les formulaires en ligne et les appels téléphoniques. Mais les prélèvements ont continué, malgré le/ait d’avoir re/ait basculer ma maman chez EDF ». Résultat : impayés et frais bancaires s’accumulent. Eni ne reconnaît aucun abus et envoie même un cabinet de recouvrement chez la mère de Séverine, Recocash.

          La fille porte plainte pour sa mère qui ne peut plus se déplacer. Ce qui a pour effet de calmer les ardeurs de tout ce vilain monde. «Je salue le superbe travail du gendarme qui s’est occupé de notre affaire », souligne-t-elle. Le dossier a été transmis au parquet, mais Séverine vient d’apprendre qu’il a été classé sans suite. C’est ce qui l’a décidée à m’écrire.

          « Ce qu’a vécu ma mère est un traumatisme, qui ne l’a pas aidée à combattre la maladie, confie-t-elle. Notre deuil n’en a été que plus difficile. Savoir qu’elle avait été victime de tels agissements dans son état... » Séverine a la rage de ne pas avoir obtenu reconnaissance du préjudice de sa mère. Étant parvenue à identifier le démarcheur, via les réseaux sociaux, elle a été tentée de faire justice elle-même. Le gendarme lui a expliqué qu’elle pourrait saisir un juge pour les sommes non remboursées. Mais elle a décliné : « Ça coûte cher, ça prend des mois, voire des années, pour régler une situation qui m’a déjà épuisée. Je préfère faire une très mauvaise publicité à ces organismes ». L’y aider est le moins que je puisse faire. ( 60 MILLIONS DE CONSOMMATEURS N° 586 - DÉCEMBRE 2022 )

Et tout cela, grâce à cette union européenne de merde qui permet aux multinationales de se goinfrer aux détriments des plus faibles, qui, bien au contraire, sont de moins en moins protégés !

wikipedia > l'italien ENi est présent en France depuis 1968, via les stations-services Agip. ENi est en 2020 le deuxième plus grand fournisseur alternatif d'électricité et de gaz en France. Il a d'ailleurs été le premier à mettre en avant des offres à prix fixes révisables à la baisse. (...) Controverses pour démarchage abusif : en 2017 et 2018, ENi est arrivé en tête des fournisseurs d’énergie dénoncés pour leurs pratiques commerciales douteuses en France.

 

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> une montgolfière qui s’élève à 31 km pour vous faire voyager dans l’espace

Classé dans : ingénieux

          De plus en plus de personnes rêvent de voyager dans l’espace. Début 2022, la société Virgin Galactic de l’homme d’affaires Richard Branson avait d’ailleurs ouvert sa billetterie au grand public pour voyager 90 minutes dans l’espace. Et récemment, c’est un projet tout aussi fou qui a été dévoilé avec une montgolfière qui voyagerait dans toute la galaxie à plus de 30 480 mètres de hauteur.

          Cette idée totalement insolite a été annoncée par l’entreprise Space Perspective qui vient de faire l’acquisition d’un navire de 89 mètres de long et qui sera le point d’amarrage de la montgolfière baptisée Space Neptune. La société basée en Floride a ainsi prévu de transformer le bateau en un port à la fois spatial et maritime, afin d’envoyer des touristes dans l’espace le temps d’une courte expédition.

          La capsule de la taille d’un stade de football a été imaginée pour accueillir jusqu’à huit personnes maximum et pour plaire au plus grand nombre, notamment avec des services de luxe. Les passagers devraient admirer une vue incroyable à 360 degrés sur la Terre tout en profitant d’un petit-déjeuner, d’une salle de bain, d’un bar et d’une connexion Wi-Fi.

          D’après les fondateurs, les ports “spatiaux et marins” offrent des conditions de lancement plus efficientes et peuvent se déplacer plus facilement dans des zones où le climat est favorable à un décollage contrairement aux ports terrestres.

          Mais évidemment, ce voyage au cœur de l’univers vaut son pesant d’or. Pour une expérience d’environ six heures du départ du port à son déploiement total, il faudra débourser 125 000 dollars par personne, soit 121 500 euros. Les premiers vols sont prévus pour 2024 et sont déjà tous complets au point que certaines personnes réservent déjà ceux prévus pour 2025 sur le site officiel de Space Perspective. - source -

J'attends avec impatience 2024 pour voir cela... D'un autre côté, il y a de quoi être très jaloux des gens qui ont assez de fric pour se payer cette superbe balade à 40.500€ l'heure soit quand même les revenus nets de 2,5 années d'un smicard en France...

 

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> les hommes battus, dossier tabou

Classé dans : autres

(extrait d'un article de Marianne n° 1341 du 24 novembre 2022)

          Grands oubliés des violences conjugales, les hommes concernés font souvent face aux moqueries et à l’incrédulité lorsqu’ils parlent de ce qu’ils subissent. Ils représentent pourtant une victime sur quatre.

          Visage tuméfié, ecchymoses, mains lardées de coups de couteau... Pendant cinq ans, Éric Ponchard a encaissé sans broncher les accès de violence de Natacha. « Elle s’énervait pour un rien, cassait tout, se jetait sur moi », tremble encore l’agriculteur de 45 ans. Entre 2016 et 2021, les crises de sa compagne ont empoisonné leur quotidien. Souvent pour des broutilles: un jour qu’il rentrait du supermarché dans leur exploitation agricole des Bouches-du-Rhône, elle lui reproche d’avoir oublié le beurre et l’agonit d'insultes avant de le tabasser à coups de poing et de pied. Lui ne riposte pas : « Je suis croyant, je tape pas une femme. » Pas plus qu’il ne décampe. Il n’y parvient pas. « Elle m’a démoli et rabaissé. Elle a fait en sorte de m'éloigner de tous mes amis pour mieux me contrôler. Je me suis coupé du monde et réfugié dans mon travail » Ce n’est qu’en mai 2021, après qu’elle s’en est prise à sa fille aînée, un couteau à la main, que l’agriculteur s’interpose et fonce à la gendarmerie d’Orgnon. Mais il ne se remet toujours pas de l’accueil qui lui a été réservé. Tout en prenant sa plainte, le militaire se permet ce reproche : « Vous avez pas de couilles. »

(...)

          Sans être aussi affolant que les cas de violences faites aux femmes, le phénomène est assez répandu. Surtout à en croire la nouvelle enquête « Genese », du ministère de l’Intérieur, sortie ce 21 novembre, qui dresse un panorama des « violences par partenaire ». En 2021, ce sont 1,2 million d’hommes âgés de 18 à 74 ans (5,6 % de cette catégorie de la population) qui disent avoir été une fois dans leur vie victimes de violences (« coups, bousculades ou étranglements ») par leur compagne ou leur ex. L’équivalent de un homme sur 18. Pour les femmes, c’est 3,6 millions (15,9 %, une sur six).
          Autres différences, d’après « Genese » : les hommes subissent, en général, des violences moins diverses que les femmes, à des fréquences moins élevées et sur des durées moins longues. L’enquête « Cadre de vie et sécurité » (CVS), du même ministère, démontre la constance, voire une légère hausse, de ces faits. Chaque année, sur la période 2011-2019, entre 80 000 et 118 000 messieurs disent ainsi avoir été frappés (30 % du total des victimes). En revanche, au niveau judiciaire, les chiffres divergent : les hommes ne représentent qu’une plainte pour violences conjugales sur dix.

(...)

         « Ce sont des hommes dominés dans leur quotidien, explique-t-il. Leur compagne, comme n’importe quelle personne brutale, utilise la violence pour leur montrer que c'est elle le chef. Et leur expliquer, par les coups s ’il le faut, qu elle a raison. Et obtenir leur soumission. » Ces hommes, qui auraient pour « point commun » de « refuser l’injonction à la virilité », deviennent la cible de violences psychologiques : ils sont critiqués sur leur manière de s’habiller ou de gérer leur linge sale, soupçonnés d’infidélité, insultés lorsqu’ils passent des heures apathiques devant la télévision...

(...)

          « La violence conjugale est d’abord et surtout le moyen d’affirmer son pouvoir sur l’autre. Dans la mesure où de plus en plus de femmes s affirment, il est normal que le nombre d’hommes battus augmente lui aussi »

" Elle a fait en sorte de m'éloigner de tous mes amis pour mieux me contrôler. ", l'on pourrait ajouter aussi de ma famille. C'est le signe qu'il n'y a plus du tout d'équilibre dans le couple. Souvent la femme à des problèmes récurrents d'alcool, de schizophrénie ou autre maladie relevant de la psychiatrie mais elle sait parfaitement utiliser la moindre faiblesse/défaillance pour "enfoncer" petit à petit leur partenaire, qui plus est si cette faiblesse provient d'une maladie comme une leucémie par exemple. Seule solution pour retrouver sa liberté totale en entière : le divorce car rien d'autre ne le permettra...

 

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> bientôt la mise en service des radars urbains...

Classé dans : autres

ils vont fleurir en masse dans les villes et les villages ! Qui ont maintenant généralisé les limitations à 30kms/h quasiment partout, voire 20 ou même 15 ! ça va faire mal... Combien perçoivent les communes à chaque flash ?

 

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💩 Europe : la Cour de justice de l'union européenne au service des paradis fiscaux

Classé dans : europe de merde

          Une décision de la justice européenne remet en cause la législation de transparence financière du Grand-Duché du Luxembourg.

Actionnaires, restez cachés !

          La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a rendu un arrêt, mardi 22 novembre, qui permet aux bénéficiaires d’une entreprise de rester inconnus du grand public. Le 13 janvier 2019, le Luxembourg, pressé par ses partenaires qui voient en lui un paradis fiscal, avait adopté une loi anti-blanchiment instituant un « Registre des bénéficiaires effectifs » (RBE) des sociétés du Grand-Duché. En vertu de cette loi, un citoyen permettait de demander au Luxembourg Business Registers (LBR) de connaître quel est le bénéficiaire d’une entreprise. Par sa décision prise mardi, la CJUE a fait le choix de rendre invalide la loi.

           Un tribunal d’arrondissement du Luxembourg avait été « saisi de deux recours introduits respectivement par une société luxembourgeoise et par le bénéficiaire effectif de cette société », rappelle la Cour dans un communiqué. Ces derniers « avaient demandé, sans succès à LBR de limiter l’accès du grand public aux informations les concernant (…) estimant que la divulgation de telles informations est susceptible d’entraîner un risque disproportionné d’atteinte aux droits fondamentaux des bénéficiaires effectifs concernés ».

Le droit à la vie privée instrumentalisé

          La Cour a reconnu ces arguments, s’appuyant sur les articles 7 et 8 de la Charte des droits fondamentaux qui reconnaît le droit à la vie privée et à la protection des données à caractère personnel. « Les informations divulguées permettent à un nombre potentiellement illimité de personnes de s’informer de la situation matérielle et financière d’un bénéficiaire effectif », justifie la cour dans son communiqué.

          La loi luxembourgeoise permettait pourtant de lutter contre la prolifération des « sociétés écrans » dont on ne connaît pas les réels bénéficiaires, un montage financier caractéristique des paradis fiscaux.

          La décision de la cour n’est pas restée sans conséquence. Dès mardi, quelques heures après l’arrêt européen, le Ministère luxembourgeois de la Justice a suspendu l’accès au portail internet du Registre des bénéficiaires effectifs.

          « L’accès aux données sur les bénéficiaires d’une propriété est vital pour identifier et stopper la corruption et l’argent sale, a réagi Maira Martini, experte pour l’ONG Transparency International. Plus les gens ont accès à une telle information, plus il y a une chance de connecter les points. Nous avons vu encore et encore, de la République tchèque au Danemark en passant par le Turkménistan, comment l’accès public aux registres aide à dévoiler des accords louches. Au moment où le besoin de traquer l’argent sale apparaît de manière aussi forte, la décision de la cour nous ramène des années en arrière ». La loi luxembourgeoise participe de la retranscription de la directive européenne contre le blanchiment d’argent de 2018. Avec sa décision, la CJUE revient sur ce progrès, déplore Transparency international. Cette décision rendra plus difficile le travail des journalistes pour mettre en lumière les pratiques des sociétés écran." - source -

Et qui a été président de la commission européenne avant notre très chère Ursula von der Leyen ? Jean-Claude Juncker , le luxembourgeois valet des banquiers et responsable du paradis fiscal qu'est le Luxembourg*... Par là, on voit bien que la "justice" de l'union européenne de merde privilégie les actionnaires au détriment des populations mises en coupes réglées... ET, la valse des billets volés optimisés continue...

il a bien raison de rire, lui...

En 1995 "on" m'avait proposé une affaire en or : souscrire des emprunts la banque européenne d’investissement pour son tout nouveau et très opaque fonds d'investissement européen. Cet argent ( 30/40/50 milliards d'€ ? ) était mis au chaud au Luxembourg avant d'être redistribué (?) dans l'union européenne. L'affaire en or, c'est que cet emprunt rapportait 25% sur 3 ans non imposables. Malheureusement, je n'avais pas les 250 millions de francs nécessaires pour la mise la plus basse...

 

petit rappel :

6 novembre 2014 : Enquête sur le “premier paradis fiscal du monde” ( ce cher Juncker a pris 5 jours avant ses fonctions de président de la commission européenne )

          (...) Le système fiscal luxembourgeois prive des gouvernements autour du monde “des milliards d’euros de recettes fiscales” grâce aux accords secrets avec de milliers de multinationales peu présentes dans le petit pays européen, révèle Le Monde, qui publie une longue enquête réalisée en partenariat avec une quarantaine de médias internationaux et le collectif américain International Consortium of Investigative Journalists.

          Menée sur la base de 28 000 pages d’accords secrets signés entre le Grand-Duché et 340 grandes entreprises, parmi lesquelles Amazon, Apple, Deutsche Bank et Ikea, l’enquête a révélé notamment que ces groupes réalisent des milliards d’euros d’économie chaque année grâce à la création d’une holding ou d’une filiale au Luxembourg avec très peu d’activités et de salariés. […] Toujours stratégiques, ces opérations visent un but unique : acquitter l’impôt le plus faible possible, sinon obtenir une exonération totale.

          Les dispositifs fiscaux “sont légaux, mais jugés nocifs”, note le quotidien français, qui ajoute que la Commission européenne enquête, depuis juin, sur les pratiques d’un pays qui a bâti un régime fiscal sur mesure pour ces grands groupes, dérogatoire du droit commun. Elle estime que les avantages accordés à certaines entreprises sont potentiellement assimilables à des aides d’État illégales. (...) - source -

 

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> pesticides : le « tour de passe-passe » pour rendre l’eau potable

Classé dans : santé

          Fin septembre, l’eau potable de plusieurs millions de Français contaminée par l’ESA-métolachlore, un résidu d’herbicide, est… redevenue conforme. Un « tour de passe-passe » de l’État, dénonce une ONG.

          C’est l’histoire d’un polluant, l’ESA-métolachlore, qui disparaît subitement des eaux. Depuis le 1er avril 2021, ce métabolite issu de la dégradation du S-métolachlore – herbicide très largement épandu dans les cultures – est recherché systématiquement dans les analyses de qualité de l’eau. Et quand on cherche, on trouve. Sur les 16 845 prélèvements d’eau potable réalisés en France entre le 1er janvier 2022 et le 31 août 2022, 2 791 – soit près de 17 % – affichaient un taux d’ESA-métolachlore supérieur à 0,1 microgramme/litre (µg/L), la limite de qualité. Des taux fâcheux pour les industriels des pesticides — et pour l’État. L’un d’eux a donc livré de nouvelles études menant à ce que les agences gouvernementales revoient à la baisse la dangerosité de la molécule. « Un remarquable tour de passe-passe », selon Générations futures, qui dénonce « une méthode d’évaluation qui ignore le principe de précaution ».

          Dès fin 2021, Syngenta, l’un des fabricants du S-métolachlore, a soumis de nouvelles études à l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses). « La réglementation prévoit que c’est aux industriels d’apporter les preuves de l’innocuité de leurs produits », précise Éléonore Ney, cheffe de l’unité d’évaluation des risques liés à l’eau à l’Anses. « Jusque là, nous n’avions pas suffisamment de données sur le potentiel génotoxique de ce métabolite, les études fournies étaient anciennes et n’avaient pas été réalisées selon les normes actuelles. Nos experts ne pouvaient pas se prononcer. Dès lors l’ESA-métolachlore était classé comme molécule pertinente. » Concrètement, cela signifiait qu’au-dessus de 0,1 µg/L, l’eau était considérée comme non potable.

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