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Vaccins Covid-19 : Ursula von der Leyen n’a jamais été impliquée dans les négociations, selon la commissaire à la Santé
La commissaire européenne à la santé, Stella Kyriakides, a insisté sur le fait que la présidente de l’exécutif européen, Ursula von der Leyen, n’avait joué aucun rôle dans la négociation des contrats de vaccins Covid, lors d’une discussion animée devant la commission spéciale du Parlement européen sur le Covid-19 (COVI), lundi (27 mars).
À la suite de révélations du New York Times en avril 2021, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer Albert Bourla sont soupçonnés d’avoir négocié un contrat de 1,8 milliard de doses directement par textos.
« La présidente de la Commission n’a été impliquée dans aucune négociation de contrats. Je l’ai déjà dit et je le redirai », a déclaré Stella Kyriakides. Stella Kyriakides a rappelé que tous les contrats, Pfizer ou autres laboratoires, avaient suivi le processus législatif. « Il y avait une équipe conjointe de négociations et un comité de pilotage », a-t-elle précisé.
Le comité de pilotage est chargé d’octroyer un mandat de négociation à l’équipe de négociation, elle-même composée de représentants de la Commission et des États membres. « Les États membres ont toujours eu la possibilité de retoquer un contrat [ … ] Ils étaient parfaitement au courant des conditions des contrats », a encore dit la Commissionnaire.
Après la signature de l’accord, Pfizer et la Commission européenne ont justifié le manque de transparence des contrats – qui n’ont été fournis aux législateurs qu’à un stade ultérieur avec de nombreuses parties caviardées – par des clauses de confidentialité.
Plusieurs eurodéputés, dont la présidente de la commission COVI, la socialiste Kathleen Van Brempt, ont insisté sur le fait que les eurodéputés devraient être en mesure de voir tous les contrats signés sans caviardage. « Nous avons fait de notre mieux pour tenir les eurodéputés informés tout en tenant compte des obligations contractuelles », a ajouté Mme Kyriakides, reconnaissant toutefois que les réponses de la Commission aux législateurs n’ont pas été « pleinement satisfaisantes » en raison des clauses de confidentialité contenues dans les contrats.
Contrats caviardés et SMS introuvables
En 2020, la Commission européenne a commandé au nom des Etats membres des doses de vaccins contre le virus de la Covid-19. Plusieurs laboratoires, dont Pfizer, AstraZeneca, Moderna, Novavax ou encore Sanofi ont signé des contrats avec la Commission. A ce jour, grâce aux achats groupés de vaccins, 70% de la population européenne est vaccinée, a rappelé Mme Kyriakides. Parmi ces contrats, les députés européens s’intéressent particulièrement au troisième et plus gros contrat signé entre la Commission et le géant américain Pfizer, en partenariat avec le laboratoire allemand BioNTech.
Lorsque le journaliste Alexander Fanta, du site d’informations netzpolitik.org, a demandé l’accès aux SMS révélés par le NY Times, la Commission lui a répondu qu’elle ne les avait pas « identifiés » et qu’elle ne les retrouvait plus. Ces déclarations de la Commission ont donné lieu à une plainte de la médiatrice européenne Emily O’Reilly en janvier 2022, qui a rappelé l’exécutif européen à l’ordre et a exhorté la Commission à « effectuer une recherche plus approfondie des messages pertinents. »
Invité à deux reprises à s’expliquer devant les membres de la Commission COVI, Albert Bourla n’est jamais venu. Le 6 mars dernier, la présidente du Parlement européen Roberta Metsola a envoyé une lettre à Ursula von der Leyen dans laquelle elle demande l’accès aux contrats dans une salle sécurisée pour les eurodéputés. « Nous mettons tout en œuvre pour que vous ayez une réponse à la lettre de Roberta Metsola », a répondu Stella Kyriakides. - source -
Bé, comme prévu, tout a été nettoyé... On apprend que c'est le trio Commission (l'allemande von der Leyen) / Pfizer / BioNTech (laboratoire allemand) qui était la manœuvre...
wikipedia : (...) En novembre 2020, Albert Bourla fait l'objet de critiques pour avoir revendu pour 5,6 millions de dollars d'actions qu'il détenait au sein du capital de Pfizer, le jour de l'annonce de la fiabilité à 94 % du vaccin contre le Covid-19. L'opération d'Albert Bourla (imité par sa vice-présidente, Sally Susman, qui a vendu pour 1,8 million de dollars d'actions et par d'autres dirigeants d'autres laboratoires) est jugée peu morale mais est tout à fait légale. Ses participations au Forum économique mondial et aux réunions du groupe Bilderberg depuis son arrivée à la tête de Pfizer sont également décriées, car elles semblent participer d'une oligarchie à une période où l'entreprise Pfizer a centralisé une grande influence sur le monde entier, influence décriée par les complotistes et les mouvements de protestation face au vaccin contre la COVID-19 " (...)
Les 184 Français tirés au sort ont rendu leur rapport final dimanche au gouvernement, ainsi qu’un « manifeste » pour lui demander de s’emparer du sujet. Emmanuel Macron doit les recevoir lundi pour dire quelles suites il compte donner à leur travail.
La convention citoyenne sur la fin de vie, qui réunit depuis décembre des Français tirés au sort pour orienter l’action de l’exécutif sur le sujet, a conclu dimanche 2 avril ses débats, en confirmant sa position majoritaire pour légaliser l’euthanasie ou le suicide assisté.
« Pour une majorité de citoyennes et citoyens de la convention, l’accès à l’aide active à mourir doit être ouvert », est-il écrit dans son rapport final, qui a été soumis au vote de ses membres dimanche à la clôture des débats organisée au siège du Conseil social, économique et environnemental (CESE), qui organise la convention. Elle y fixe toutefois aussi des nuances et des conditions. La convention n’exprime notamment pas position majoritaire sur le cas des mineurs ou celui des personnes incapables d’exprimer leur volonté. Le rapport détaille par ailleurs précisément diverses positions, dont celle minoritaire contre une légalisation de l’euthanasie ou du suicide assisté.
Des difficultés à accéder à ce qui est déjà prévu par la loi
Cette convention, convoquée à l’appel du gouvernement à l’automne 2022, rassemble 184 Français tirés au sort, dont l’avis vise à orienter l’action de l’exécutif. Réunis vingt-sept jours au total depuis décembre, ses membres devaient dire si la législation actuelle sur la fin de vie, fixée par la loi Claeys-Leonetti de 2016, apparaît adaptée à toutes les situations et s’il faut y apporter des changements. Cette dernière autorise une « sédation prolongée et continue », autrement dit une plongée définitive dans l’inconscience, pour les patients à l’état désespéré à court terme et dont les souffrances sont intolérables. Mais elle ne va pas jusqu’à autoriser une « aide active à mourir », c’est-à-dire soit un acte d’euthanasie par un soignant, soit une assistance au suicide.
A l’issue de leurs échanges, les Français réunis en convention ont majoritairement estimé que le cadre actuel de la fin de vie n’était pas adapté. Toutefois, ils n’en tiennent pas uniquement responsable la législation actuelle. Ils soulignent aussi les difficultés concrètes d’accès à ce qui est prévu par la loi, notamment une offre suffisante de soins palliatifs. A ce titre, la convention met l’accent sur la « situation alarmante » du système français de santé.
Un « manifeste » remis en plus au gouvernement
Au-delà de la seule question de l’euthanasie ou du suicide assisté, la convention fait donc une longue liste de recommandations pour développer les soins palliatifs et faciliter leur accès. L’incertitude porte désormais sur la traduction concrète de ces recommandations, notamment la rédaction d’une nouvelle loi. Emmanuel Macron, qui s’était par le passé prononcé pour une évolution de la loi mais s’abstient désormais de se prononcer clairement, doit recevoir lundi les participants à la convention pour dire quelles suites il compte donner à leur travail.
Pour voir leurs recommandations trouver des suites concrètes, les participants, ont ainsi choisi de remettre au gouvernement, en plus de leur rapport, un « manifeste » – dont Le Monde dévoile ici l’intégralité –, lu dans l’hémicycle du palais d’Iena dimanche matin, à la conclusion des travaux. « Emparez-vous de cette question de la fin de vie qui est un enjeu de société majeur », y écrivent-ils à l’intention du gouvernement et des législateurs. - source -
Faut pas se leurrer, il n'y a rien à attendre de Macron. Il y aura tellement de conditions que peu de personnes pourront en bénéficier et ceux qui en auront les moyens iront toujours en Belgique ou ailleurs. En effet, les lobbies religieux sont très écoutés en France où l'extrême-droite, droite et centre, rappelons-le, veulent toujours un retour d'avant 1905 par le rétablissement d'une religion catholique d'état pour laquelle la douleur est toujours rédemptrice ! D'autre part, l'état montre aussi au citoyen qu'il est RIEN car même son propre corps ne lui appartient pas, sans oublier que :
Après avoir goûté les joies des articles 49.1 ; 38.1 ; 44.3, avant le 49.3, échapperons-nous à l'article 16 de la Constitution ? N'en doutons pas une seule seconde, Elizabeth Borne est pour si peu de choses dans ce qui arrive. C'est Macron le sinistre marionnettiste.
N’en doutons pas, Macron a déjà étudié cette possibilité. Mieux vaut être prévenu. Nous le voyons faire : moins il a de légitimité, plus il sort les outils autoritaires. Et la constitution de la 5e République recèle des merveilles pour un bricoleur autoritaire tel que lui.
Je ne crois pas une seule seconde qu'il dissoudra l'AN parce qu'il sait qu'il sera cette fois en minorité. Et je serais étonné qu'il choisisse la voie de la sagesse, à savoir, démissionner. Entre les deux, l'article 16 de la Constitution est une solution.
Lire la suite de > jusqu’où ira la dérive autoritaire de Macron ?
J'ai été journaliste un temps (en agence de presse) et je me suis reconverti après le covid faute d'emploi.
Je peux confirmer que les journalistes parisiens font partie de la classe supérieure. J'ai commencé en stage, je viens d'un milieu ouvrier, et je ne comprenais rien aux conversations à table. Investissement, achat d'une n-ième maison, vacances dans des pays lointains, etc. Ils étaient complètement déconnectés du monde réel en dehors de leur microcosme particulier (la politique).
Auparavant, j'avais travaillé dans le journalisme associatif. Même problème, mais dans une moindre mesure. Lors d'un de mes reportages sur les anciens ouvriers de +80 ans, j'ai posé la question « quelle avancée technologique vous a le plus marqué ? », la dame m'a répondu « l'amélioration des tisseuses. Je me cassais moins le dos à chaque nouvelle machine. »Ma rédac chef lui a dit de répondre de nouveau à la question, car la réponse n'était pas assez glamour. Elle voulait entendre « le frigo », « la radio », ce genre de choses.
Il n'y a plus que des bourgeois dans cette discipline parce que les écoles coûtent un rein, elles passent devant les cursus universitaires (pourtant excellents) grâce à des arrangements financiers, et le management moderne des universités détruit les cursus de lettres/infocom (cf Nantes et la suppression récente de sa licence/master Infocom, au profit d'un cursus à 12k chez Audencia, juste à côté de la faculté).
EDIT : je précise que ça ne représente pas la majorité des journalistes, mais plutôt ceux qui sont « tout en haut » de l'échelle. De nombreux journalistes, particulièrement en radio et en web, se font complètement exploiter. L'auto-censure de leurs articles (pour ne pas se faire virer et se faire remplacer) est très commune.
En conclusion, les journalistes à Paris ne sont pas tous de la classe sociale supérieure, mais ceux qui décident de ce qui est publié / qui décident de la direction que prend le média, si. ( par ViperHotline extrait de reddit )
Édifiant ! Et il en va de même pour tous ceux de la strate favorisée et cupide de l'union européenne de merde ( 1 à 5 % de la population ? ) peu importe la discipline ou la nationalité... L'histoire nous indique que ce sont le cynisme absolu, le dédain, la morgue, le mépris, l'absence d'humanité et les répressions violentes voire sanglantes de leurs ancêtres qui ont amené la révolution de 1789 en France.
Cesar Ayllón est un peintre péruvien contemporain. À travers ses peintures, il va au-delà de l'évidence pour découvrir le symbolisme dans l'aspect humain de la vie quotidienne. L'idée d'Ayllón est de dépeindre un monde onirique, à travers des personnages bouffons, solitaires, contemplatifs et dans une certaine mesure dramatiques. Cesar Ayllón est né en 1959, au Pérou, où il a étudié les arts plastiques à la Faculté d'art de l'Université catholique pontificale du Pérou et à l'atelier de dessin de Cristina Gálvez.