l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> arnaque par omission sur la mobicarte d'Orange

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          Comme "on" nous demande de plus en plus un n° de téléphone pour n'importe quoi, j'ai décidé de prendre un autre n° d'autant plus que j'ai la possibilité de 2 cartes SIM sur mon téléphone portable. Comme je suis chez Orange, après avoir consulté leurs offres, la mobicarte à 5€ m'a semblé très intéressante = j'ai passé commande et je viens de la recevoir ce jour.

          Je passe les difficultés et le temps passé pour faire en sorte que les 2 cartes SIM coexistent et l'absence d'automatisme entre les deux n° y est pour beaucoup, je retourne chez Orange pour prendre le forfait de 5€ et là, voici ce que je découvre :

 

le forfait à 5 € n'est valable que 6 jours !!!!

pour 12 jours, faut compter 10€ et même 15€ pour 20 jours !!! Si vous voulez un an - pour un usage "gratuit" de la wifi de quelqu'un par exemple, ce sera 100 € - ! aucun chemin logique n'amenait à ces informations lors de l’achat de la carte SIM à 2,99€, activation et envoi gratuits...

          Bref, j'ai fait l'erreur de ne pas m'être informé au préalable sur https://forum.quechoisir.org/tva-forfait-f156.htmlhttps://forum.quechoisir.org/tva-forfait-f156.html et je me sens bien pigeonné par cette sorte d'arnaque par omission. Comme c'est un achat par correspondance, on peut renvoyer la carte SIM mais on paie quand même les frais... alors, le pigeon que je suis devenu a pris un forfait de 2 mois à 25€ pour "essayer" la double numérotation et, dans deux mois, je jette cette carte SIM de merde d'Orange et ses forfaits d'enfoirée de mobicarte à la poubelle !...

à bon entendeur...

> et pan ! encore 15% d'augmentation du prix de l'électricité !!!

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reçu ce jour :

          Bé bien sûr, je suis très content que voir que l’État m'évite une soi-disante augmentation de 100% du prix du kWh pour faire face à la spéculation acharnée sur les énergies... Bref, je me prends  15% en plus sur mes factures !!! Enfoirés ! En laissant faire Total et Cie et autres qui se goinfrent, l’État - qui ne touche pas surtout pas aux super-profits du CAC40 - arrivera à réduire mes revenus et mon pouvoir d'achat d'au moins 20% d'ici mars ! Ils sont très très contents les macronistes et leurs amis du MEDEF, le salarié français va coûter 20% moins cher pour la "compétitivité" des entreprises mais surtout pour leurs plus grands profits,...

> médicaments : le casse-tête de l’accès des patients à de nouveaux traitements

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          Des traitements potentiellement efficaces, mais qui mettent du temps à arriver jusqu’aux patients gravement malades, ou n’arrivent pas : de nombreux soignants réclament un accès simplifié aux nouvelles molécules, pointant du doigt une perte de chance pour les malades français.

          Les médecins de la société française de médecine prédictive et personnalisée (SFMPP) ont récemment lancé un appel afin de dénoncer le retard d’accès pour leurs patients et « un décalage grandissant » entre les décisions prises par les agences respectivement française et européenne du médicament.

          En cause, la décision de la Haute autorité de santé (HAS), l’instance chargée d’évaluer les médicaments en France, de ne pas rembourser plusieurs anticancéreux. Et ce, alors que l’Agence européenne du médicament (EMA) avait, elle, donné son feu vert, s’agace auprès de l’AFP le professeur Pascal Pujol, président de la SFMPP.

          Pour l’oncologue, c’est le symptôme « d’une méthodologie qui n’est plus adaptée aux nouvelles thérapies », dans les cas où toutes les autres options thérapeutiques sont épuisées.

          En France, la HAS base son évaluation des nouvelles molécules sur plusieurs critères, dont l’un concerne le service médical rendu. Pour cela, elle prend notamment en compte les données fournies par les essais cliniques de phase 3 – dernière étape avant la commercialisation – menés sur un grand nombre de patients.

          Or l’émergence d’une connaissance plus fine des maladies ces dernières années signifie que les molécules ciblant spécifiquement certaines mutations, comme dans le cancer, vont concerner une infime partie des malades. Dans ces conditions, les essais cliniques sur des milliers de cas ne sont plus réalisables, alertent des médecins.

          « Il y a, par exemple, des cancers du poumon très rares qui ne touchent que 200 patients en France. Il n’est pas possible de faire le même type d’études cliniques dans ce cas que sur des maladies qui touchent 60 000 patients », explique le professeur Jean-Yves Blay, oncologue et président d’Unicancer, qui réclame depuis plusieurs années un changement de la méthodologie.

Dispositif d' »accès précoce »

          « Il y a un décalage entre ce qu’on peut lire d’un point de vue scientifique et ce qu’on peut appliquer chez nos malades », abonde le professeur Steven Le Gouill, hématologue à la tête de l’ensemble hospitalier de l’Institut Curie à Paris. « On se retrouve avec des règles d’évaluation des médicaments pas toujours adaptées aux maladies que l’on peut rencontrer ».

          La fédération des associations de patients, France Assos Santé, nuance toutefois cet état des lieux. « Nous ne pouvons pas dire qu’en France nous n’avons pas accès à l’innovation », déclare Catherine Simonin, de la fédération.

          Elle souligne le rôle bénéfique joué par le dispositif d’autorisation dit « d’accès précoce » : un mécanisme mis en place depuis 2021, accordé aux nouvelles molécules dans un cadre très strict, pour les cas les plus graves, avant que le médicament n’ait fini toutes les étapes des essais cliniques.

          De son côté, la HAS indique que les demandes d’accès précoces pour les nouveaux médicaments sont accordées dans la majorité des cas.

          « Cela permet habituellement d’avoir accès à des médicaments en phase 2, voire en phase 1-2 d’essais cliniques », soit les phases intermédiaires, précise à l’AFP le professeur Pierre Cochat, président de la commission de la transparence de la HAS.

          « On cherche sans cesse à trouver un équilibre entre le développement clinique accéléré et la maîtrise du risque au bénéfice du patient », dit-il. Un casse-tête pour les médecins comme pour les autorités de santé, car une molécule sur deux qui présente une efficacité en phase 2 échoue par la suite à démontrer son efficacité en phase 3, sur un nombre plus important de patients, précise la HAS. L’autorité de santé vient de modifier sa méthodologie pour élargir certaines règles d’évaluation.

          Les spécialistes, médecins comme associations, plaident enfin pour une meilleure prise en compte des données de vie réelle – qui correspondent au suivi des patients sous traitement – pour juger des nouvelles molécules. Des données essentielles à leurs yeux pour avoir une évaluation la plus juste possible. - source -

 

Cela me fait penser à l'industrie pharmaceutique qui a fait voter aux USA des lois selon lesquelles ils n'étaient pas responsables des effets secondaires de leurs médicaments en phase 1 sur la covid. La phase 3 des médicaments est très onéreuse, alors, autant s'en passer ?

 

> la fin de la police judiciaire le 1er juillet 2023

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Darmanin veut la peau de la police judiciaire

          La direction centrale de la police judiciaire, créée en 1907 par Georges Clemenceau, sera enterrée le 1er juillet. Alors que le 16 mars, policiers et magistrats se mobilisent une nouvelle fois contre cette réforme, des promesses gouvernementales ne seront pas tenues : des services seront mutualisés et le budget actuel de la DCPJ pas garanti.

          « Le temps du dialogue est terminé. » Le message est limpide, à la veille d’une nouvelle mobilisation contre la réforme de l’institution policière. Ce message, transmis d’après nos informations par Jérôme Bonet, directeur central de la police judiciaire, aux différents chefs de cette dernière, se veut menaçant : « Dans la police, il y a un principe hiérarchique : le chef a dit, donc on fait. » Il demande à ces chefs de « protéger les gens d’eux-mêmes » et d’éviter « les débordements » sous peine d’en « subir les conséquences » menace-t-il clairement.

          Jérôme Bonet veut éviter l’embrasement alors qu’il est porteur d’une nouvelle qui pourrait enflammer le mouvement de contestation : la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) va mourir le 1er juillet prochain, diluée avec les services d’investigation de la direction centrale de la sécurité publique (DCSP). Les « PJistes » seront placés sous la coupe d’un puissant directeur départemental de la police nationale (DDPN), lui-même rattaché au préfet.

          Jusque-là, la police fonctionnait en tuyaux d’orgue. La DCPJ, réputée pour son excellence, traitait le moyen et le haut spectre de la criminalité, soit 2 % des affaires les plus complexes. De son côté, la DCSP abritait un service d’investigation qui s’occupait de la petite et de la moyenne délinquance, soit 98 % des affaires. Or ce dernier a accumulé un stock de deux millions d’affaires non traitées. Surmené, il souffre d’une baisse de la qualité de ses procédures et d’un effondrement de ses taux d’élucidation. L’Intérieur a donc décidé de le fondre avec la police judiciaire dans une filière « investigation », avec l’espoir que les 5 673 personnels de la PJ viennent en aide aux 17 400 personnels affectés aux petites enquêtes.

          « C’est aussi stupide que de mettre le Raid [unité d’élite d’intervention] à la circulation : du gaspillage de ressources humaines ! » s’étouffe Christian Mouhanna, chercheur au CNRS, spécialiste de la police. La PJ est mise à mort, malgré des taux d’élucidation atteignant 95 % en matière de trafics de stupéfiants.

          (...) François Molins, procureur général près la Cour de cassation, alerte à l’Assemblée nationale : « L’échelon départemental n’est pas adapté à la police judiciaire. ». Il pointe le risque d’abandon de la lutte contre la délinquance financière, déjà en grande difficulté. Marc Cimamonti, procureur général près la cour d’appel de Versailles, avertit aussi : si l’autorité devient départementale, « les moyens basculeront en sécurité publique au détriment de la police judiciaire ».

          (...) Tout sera rattaché au puissant DDPN, entre les mains duquel sont concentrés l’ensemble des pouvoirs opérationnels. « C’est la mort de la lutte contre le crime organisé et la délinquance économique et financière », annonce Marion Cackel, magistrate, présidente de l’Association française des magistrats instructeurs. (...) - source -

 

Il parait évident que cette mort, organisée depuis Sarkozy, de la police judiciaire permettra au gouvernement de minimiser ( après une fonte des effectifs des brigades financières et de leurs moyens ) les procédures à l'encontre des entreprises/financiers - c'est le premier objectif - et de réduire les possibilités d'enquêtes des magistrats instructeurs - deuxième objectif par ailleurs loupé par Sarkozy - sans oublier les préfets (directement aux ordres du pouvoir), ayant déjà acquis énormément de pouvoirs, sont les patrons des directeurs départementaux de la police nationale. Le tout pour un plus grand pouvoir régional de l'armée (gendarmerie) aux ordres ? Cela pue la dictature pure et dure...

 

> encore plus de merde pour les gueux : la France enregistre un record d’investissements étrangers en 2022

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          Plus de 1 700 nouveaux projets d’investissement étrangers ont été recensés en France au titre de l’année 2022. Ils devraient permettre de garantir ou créer plus de 58 000 emplois.

          L’agence publique Business France, chargée de la prospection et de l’accueil des investissements internationaux en France, a publié lundi (27 février) son bilan, qui fait état d’une augmentation de 7 % du nombre de projets d’investissements étrangers par rapport à 2021, qui était déjà une année record. 1 725 projets qui devraient créer ou maintenir 58 810 emplois.

           Il s’agit, selon le ministère français de l’Économie, du « plus haut niveau d’attractivité » de la France. Les investisseurs sont majoritairement issus de pays européens, à hauteur de 65 %. Avec 280 projets, les investisseurs venus des États-Unis devancent de peu les Allemands (256) et les Britanniques (176).

          Plus d’un quart des nouveaux investissements concernent le domaine industriel, en hausse de 13 %. Business France note aussi une augmentation importante (+ 23 %) des projets de recherche et développement (R&D) et des emplois qu’ils généreront (+ 53 %) par rapport à 2021. La France est « le premier pays de l’OCDE en termes de financement public et d’incitations fiscales pour la R&D des entreprises », rappelle l’agence.

          Dans un entretien accordé à L’Express, le directeur général de Business France Laurent Saint-Martin, ancien député, indique que ces données s’expliquent par les réformes menées par la France depuis 2017, « notamment fiscales, autour du droit du travail, qui nous a fait considérablement changer d’échelle dans l’attractivité mondiale ». Il se félicite également de la « résilience » française face aux crises, en particulier celle sanitaire, énergétique et, enfin, celle liée à la guerre en Ukraine. Il alerte toutefois sur les possibles conséquences de l’Inflation Reduction Act (IRA) américain, plaidant pour qu’une réponse nationale et européenne soit trouvée. - source -

Au plus la France est "attractive", au plus la pauvreté et la récession sociale augmente. Car ce sont les gueux qui paient en réalité la facture de cette "attractivité"...

 

> ma mutuelle vient d'augmenter de 24,14 % !

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          Très mauvaise surprise en faisant mes comptes mensuels, ma mutuelle a augmenté de 24,14 % et bien sûr, je n'ai reçu aucune notification de ce nouveau tarif ! Enfoirés !

> escroquerie officielle au Label Rouge

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Ces poulets "en liberté" qui ne sortent pas du hangar
(extrait du magazine Marianne du 2 mars 2023 )

          Afin de ne pas pénaliser l’élevage industriel, les pouvoirs publics autorisent le maintien de la mention “élevé en plein air” pour les volailles confinées. Une dérogation qui n’en relève pas moins de la tromperie à la consommation.
(...)
          C’est dire si le principe de la dérogation répétée, autorisée à l’annexe II du règlement européen daté du 23 juin 2008, ouvre la porte à d’inacceptables dérives que les pouvoirs publics ne maîtrisent pas.
          Comment l’administration française peut-elle accepter de tromper sciemment un consommateur qui fait confiance à l’étiquetage officiel ?
          Que doit penser la mère ou le père de famille qui accepte de payer un peu plus cher son poulet et ses œufs label Rouge, par souci de bonne nutrition, et qui découvre que, pour préserver la part de marché de producteurs peu consciencieux, on lui ment sur les garanties certifiées ?

          Des millions de ces produits ont été mis en vente sur les étals de la grande distribution sans que personne soit informé de la supercherie. Une mention devait préciser « poules élevées en plein air momentanément confinées à la demande des autorités » en cas de dérogation au label. On ne l’a guère lue dans les rayons des grandes surfaces. Sans doute les pouvoirs publics attendent-ils que les poules aient des dents pour l’imposer systématiquement, étant entendu que la logique néolibérale préconise de plumer le consommateur avant l’industriel.

Il me semble que les dérogations ne concernent pas que les poulets... En dehors du label AB ( et encore ! ), les labels ne sont plus que de la publicité dont le cœur est le mensonge par omission et l'objectif, les super-profits...

 

> sans pesticides : difficile de faire le tri parmi les labels !

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          L'absence de pesticides dans les produits alimentaires est devenue un argument de vente. Or les allégations qui foisonnent sur les emballages tournent au greenweshing.

(...) DANS LA JUNGLE DES LABELS VERTS

          La multiplication des labels verts, moins exigeants et moins chers que le bio, « contribue à diminuer le consentement des consommateurs à payer plus cher des produits bio », indique la Cour des comptes dans un rapport de juin 2022. Parmi ces nouveaux labels, on trouve Zéro résidu de pesticides, créé en 2018 par le collectif privé Nouveaux champs ou encore Haute valeur environnementale, une certification publique adoptée par les marques de distributeurs comme Intermarché, Super U, Leclerc ou encore Lidl. Sans compter les différentes allégations de marques comme « sans résidu de pesticides » ou « issu d’une agriculture durable».

          Il n’est pas facile de s’y retrouver. D’autant plus que la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) pointait, dans un rapport de 2018, que sur 94 produits testés issus des labels du type « sans résidu de pesticides », plus d’un tiers ne
respectaient pas leur allégation.
          Dans cette jungle, l’idée de se tourner prioritairement vers un label officiel, en l’occurrence Haute Valeur Environnementale (HVE), semble pertinente. Mais sa nouvelle version, entrée en vigueur depuis le 1er janvier 2023 et souhaitée plus exigeante par le ministère de l’Agriculture, peine pour l’instant à convaincre. Si le seul critère économique (la part des engrais et des pesticides dans le chiffre d'affaires inférieur à 10 %) ne suffit plus, les critères retenus pour permettre d’afficher le label restent trop peu ambitieux, selon les associations environnementales.

SEULS LES LABELS BIO DONNENT SATISFACTION

          Le 22 janvier, un collectif composé d’associations de consommateurs, de défense de l’environnement et d’agriculteurs a saisi le Conseil d’État pour faire reconnaître « la tromperie du consommateur qui dure depuis plus de dix ans et mettre un terme au greenwashing entretenu par cette mention ».
          « Avec la HVE (Haute Valeur Environnementale), rien n’interdit l’utilisation des pesticides. Pire, il est possible d’utiliser des substances connues pour leurs effets cancérigènes, mutagènes ou reprotoxiques », dénonce Cécile Claveirole, secrétaire nationale de France nature environnement (FNE). Plus largement, cette militante épingle les labels auto-déclarés sans résidus de pesticides, car ils se focalisent seulement sur certaines molécules chimiques. « Il faut arrêter de se positionner sur une molécule plutôt qu’une autre, car on ne connaît pas la toxicité de l’ensemble des substances utilisées, reprend Cécile Claveirole. Avant, le glyphosate était présenté comme un produit biodégradable ! L’important est de supprimer tous les produits de synthèse. » Une approche partagée par le rapport du WWF/Greenpeace en 2021 sur les effets des labels sur l’environnement : seuls les labels bio affichent de bons scores. ( MAGALI REINERT - extrait du magazine 60 millions de consommateurs n° 589 de mars 2023 )

L'article entier détaille bien ces analyses... De toute façon, on sait très bien que ces labels "verts" ( hors AB ) sont des moyens supplémentaires pour enfumer le client et leur faire avaler la merde pesticidée de l'agriculture industrielle intensive.