l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


> des bananes plantains badigeonnées d'éthéphon

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          Mauvaise pub pour la banane plantain. Le mois dernier, les bananeraies martiniquaises étaient sous le feu des projecteurs car des margoulins avaient badigeonné sur des bananes plantains fraîchement récoltées un produit interdit. En l'occurrence, un régulateur de croissance végétale - l'éthéphon, de son petit nom - qui, entre autres, accéléré le mûrissement des fruits.

          L'occasion de se pencher sur l'une des baguettes magiques de l'agriculture intensive. Si l'éthéphon, classé cancérogène à fortes doses, est indésirable dans les bananeraies, on a en revanche le droit d'en pulvériser dans les vergers, sur la vigne, les céréales, les aubergines, les poivrons ou les tomates. Malgré les inquiétudes sur sa toxicité, cette molécule est autorisée depuis quinze ans dans toute l'Europe. Vingt et un produits phytosanitaires en contiennent.

          Il faut dire que l'éthéphon est épatant pour gonfler les rendements et faciliter la récolte. Prenez l'ananas, deuxième fruit exotique le plus consommé dans l'Hexagone derrière l'avocat. Les Français en avalent en moyenne 1,3 kilo par an. Aspergée quelques jours avant la cueillette, la substance pénètre dans l'écorce et la chair du fruit, qu'elle fait ainsi jaunir prématurément. L'objectif est de cueillir les ananas avant l'heure afin qu'ils durent plus longtemps en rayons, tout en laissant croire aux chalands qu'ils sont mûrs à souhait. Ce qui donne des fruits plombés de résidus.

          Le Bénin, quatrième producteur d'ananas africain avec 450 000 tonnes par an, avait dû, en 2016, suspendre pendant plus d'un an ses exportations vers l'Europe car les quantités d'éthéphon retrouvées dans ses cargaisons dépassaient les limites maximales autorisées.

          En mars dernier, pour la même raison, des ananas venus du Cameroun ont fait l'objet d'une alerte européenne. Idem en décembre, pour des poivrons espagnols « colorés » en jaune avec de l'éthéphon. Et que dire des tomates ? Les producteurs ibériques, champions de la culture intensive sous serre, vaporisent de l'éthéphon pour faire mûrir artificiellement les tomates encore vertes et intensifier ainsi la récolte.

          Embêtant quand on sait que, chaque année, l'Espagne nous envoie plus de 100000 tonnes de tomates industrielles. Nos céréaliers de la Beauce ont, eux aussi, un faible pour l'éthéphon, qui empêche le blé ou l'orge de verser en rigidifiant les tiges.

          L'Europe a prévu de revoir les autorisations accordées l'année prochaine à cette charmante substance. On espère que la décision de Bruxelles sera mûrement réfléchie !

Comme d'hab., pour goinfrer ses actionnaires, l'agro-alimentaire - avec la complicité des gouvernements et de l'Europe de merde -  nous goinfrent de résidus de pesticides !!! Vous êtes souvent malade ( maux de têtes, ventre,... ) ou subissez des maladies "chroniques", ne cherchez pas trop loin, regardez ce que vous mangez ou respirez...

💩 Europe : « Décision historique » pour les défenseurs des abeilles

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          Dans un arrêt rendu le 14 septembre, le Tribunal de l’Union européenne (UE) a invalidé plusieurs décisions de la Commission européenne qui, depuis 2018, refusait à cette ONG l’accès aux documents relatifs au blocage des « tests abeilles ». Ces protocoles scientifiques, établis en 2013 par l’Agence sanitaire européenne (EFSA) à la demande de la Commission européenne, ont pour but d’évaluer, avant leur mise sur le marché, la toxicité réelle des pesticides sur les pollinisateurs. Problème, comme le rappelait Pollinis dans un texte publié en mai dernier : ces « tests abeilles » ont depuis été révisés (ils sont désormais moins protecteurs) et surtout n’ont jamais été adoptés par les États membres. Et ce, « sans qu’aucune information sur les raisons de ce blocage n’ait été rendue publique par les institutions européennes ».

          D’où la demande de l’ONG qui, désirant connaître « les raisons de ce blocage (servant) uniquement les intérêts de l’industrie agrochimique », souhaitait avoir accès à tous les documents échangés à ce propos par la Commission européenne, l’EFSA et le comité permanent des végétaux (Scopaff). L’idée, comme le dit à Reporterre Julie Pecheur, directrice du plaidoyer chez Pollinis, est de « savoir ce que notre pays a voté lors de ces réunions et quels ont été les arguments échangés de part et d’autre pour ne pas adopter ce document scientifique voulu par l’ensemble des parties prenantes, sauf l’agrochimie, le tout sans que les citoyens n’aient accès à ces informations ».

          « Avec ce jugement fondamental, le Tribunal de l’UE met fin à l’opacité inacceptable qui entache une partie du processus décisionnel européen », s’est de son côté félicité dans un communiqué publié le 15 septembre Nicolas Laarman, délégué général de l’ONG. (...) - source -

Comme toujours avec cette union européenne de merde : "... les raisons de ce blocage (servant) uniquement les intérêts de l’industrie agrochimique ", les raisons, facile, l'unique intérêt des actionnaires...

 

💩 Europe : l'union européenne sacrifie l'Armenie pour le gaz d'Azerbaïdjan

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          " L'Azerbaïdjan peut être rassuré : l’Union européenne craint tellement d’avoir froid cet hiver que tout lui est permis. Y compris de guerroyer à nouveau dans le Haut-Karabakh, deux ans après avoir conquis une bonne partie de ce territoire disputé à l’Arménie depuis des lustres. Les accords gaziers signés entre Bruxelles et Bakou le 18 juillet pour limiter les pertes en gaz russe ne seront donc pas remis en cause. L'UE préfère se taire malgré les tendances belliqueuses en cours au pays de la dynastie Aliyev.

          À la mi-septembre, fort du blanc-seing tacite de l’Europe, les forces azerbaïdjanaises ont donc repris quelques kilomètres carrés de terrain à l’Arménie dans le Haut-Karabakh. Et ce, à l'encontre même des dispositions de l’accord de cessez-le-feu passé il y a deux ans sous l’égide de Moscou. Bakou, supporté par son parrain turc, peut d’ailleurs se féliciter du peu d’entrain du gendarme de la région. Les récents déboires du Kremlin sur le plan militaire en Ukraine expliquant sans doute une réaction à retardement.

          Une aubaine pour llham Aliyev et son clan. L’aventure ukrainienne de Moscou couplée à la lâcheté hivernale de Bruxelles lui rapporte gros : sur l’ensemble de l’année 2022, le volume d’exportation de gaz de l'Azerbaïdjan à l’Europe aura augmenté de 31 % comparé à 2021 ! "

 

> extraits du "discours de la servitude volontaire" d'Etienne de La Boétie

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          (...) Je voudrais seulement comprendre comment il se peut que tant d’hommes, tant de bourgs, tant de villes, tant de nations supportent quelquefois un tyran seul qui n’a de puissance que celle qu’ils lui donnent, qui n’a pouvoir de leur nuire qu’autant qu’ils veulent bien l’endurer, et qui ne pourrait leur faire aucun mal s’ils n’aimaient mieux tout souffrir de lui que de le contredire. Chose vraiment étonnante - et pourtant si commune qu’il faut plutôt en gémir que s’en ébahir, de voir un million d’hommes misérablement asservis, la tête sous le joug, non qu’ils y soient contraints par une force majeure, mais parce qu’ils sont fascinés et pour ainsi dire ensorcelés par le seul nom d’un, qu’ils ne devraient pas redouter - puisqu’il est seul - ni aimer - puisqu’il est envers eux tous inhumain et cruel. Telle est pourtant la faiblesse des hommes : contraints à l’obéissance, obligés de temporiser, ils ne peuvent pas être toujours les plus forts.

          (...) Quel est ce vice, ce vice horrible, de voir un nombre infini d’hommes, non seulement obéir, mais servir, non pas être gouvernés, mais être tyrannisés, n’ayant ni biens, ni parents, ni enfants, ni leur vie même qui soient à eux ? De les voir souffrir les rapines, les paillardises, les cruautés, non d’une armée, non d’un camp barbare contre lesquels chacun devrait défendre son sang et sa vie, mais d’un seul ! Non d’un Hercule ou d’un Samson, mais d’un homme et souvent le plus lâche, le plus efféminé de la nation, qui n’a jamais flairé la poudre des batailles ni guère foulé le sable des tournois, qui n’est pas seulement inapte à commander aux hommes, mais encore à satisfaire la moindre femmelette ! Nommerons-nous cela lâcheté ?

          Appellerons-nous vils et couards ces hommes soumis ? Si deux, si trois, si quatre cèdent à un seul, c’est étrange, mais toutefois possible ; on pourrait peut-être dire avec raison : c’est faute de cœur. Mais si cent, si mille souffrent l’oppression d’un seul, dira-t-on encore qu’ils n’osent pas s’en prendre à lui, ou qu’ils ne le veulent pas, et que ce n’est pas couardise, mais plutôt mépris ou dédain ? C’est le peuple qui s’asservit et qui se coupe la gorge ; qui, pouvant choisir d’être soumis ou d’être libre, repousse la liberté et prend le joug ; qui consent à son mal, ou plutôt qui le recherche… Plus les tyrans pillent, plus ils exigent ; plus ils ruinent et détruisent, plus on leur fournit, plus on les sert. Ils se fortifient d’autant, deviennent de plus en plus frais et dispos pour tout anéantir et tout détruire.

          (...) Mais si on ne leur fournit rien, si on ne leur obéit pas, sans les combattre, sans les frapper, ils restent nus et défaits et ne sont plus rien, de même que la branche, n’ayant plus de suc ni d’aliment à sa racine, devient sèche et morte.

          (...) Et tous ces dégâts, ces malheurs, cette ruine, ne vous viennent pas des ennemis, mais certes bien de l’ennemi, de celui-là même que vous avez fait ce qu’il est, de celui pour qui vous allez si courageusement à la guerre, et pour la grandeur duquel vous ne refusez pas de vous offrir vous-mêmes à la mort. Ce maître n’a pourtant que deux yeux, deux mains, un corps, et rien de plus que n’a le dernier des habitants du nombre infini de nos villes. Ce qu’il a de plus, ce sont les moyens que vous lui fournissez pour vous détruire. D’où tire-t-il tous ces yeux qui vous épient, si ce n’est de vous ? Comment a-t-il tant de mains pour vous frapper, s’il ne vous les emprunte ? Les pieds dont il foule vos cités ne sont-ils pas aussi les vôtres ? A-t il pouvoir sur vous, qui ne soit de vous-mêmes? Comment oserait-il vous assaillir, s’il n’était d’intelligence avec vous ? Quel mal pourrait-il vous faire, si vous n’étiez les receleurs du larron qui vous pille, les complices du meurtrier qui vous tue et les traîtres de vous mêmes ? Vous semez vos champs pour qu’il les dévaste, vous meublez et remplissez vos maisons pour fournir ses pilleries, vous élevez vos filles afin qu’il puisse assouvir sa luxure, vous nourrissez vos enfants pour qu’il en fasse des soldats dans le meilleur des cas, pour qu’il les mène à la guerre, à la boucherie, qu’il les rende ministres de ses convoitises et exécuteurs de ses vengeances. Vous vous usez à la peine afin qu’il puisse se mignarder dans ses délices et se vautrer dans ses sales plaisirs. Vous vous affaiblissez afin qu’il soit plus fort, et qu’il vous tienne plus rudement la bride plus courte. Et de tant d’indignités que les bêtes elles-mêmes ne supporteraient pas si elles les sentaient, vous pourriez vous délivrer si vous essayiez, même pas de vous délivrer, seulement de le vouloir.

          (...) Soyez résolus à ne plus servir, et vous voilà libres. Je ne vous demande pas de le pousser, de l’ébranler, mais seulement de ne plus le soutenir, et vous le verrez, tel un grand colosse dont on a brisé la base, fondre sous son poids et se rompre. (...) - source -

Toujours, hélas, d'actualité,... plus : discours de la servitude volontaire (wikipedia) et l’œuvre complète > télécharger le pdf

 

> nos "amis" allemands : rêve allemand, cauchemar européen

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Chronique : les élections italiennes sonnent l'échec de l'Europe et de l'euro. Fallait-il signer ce traité de Maastricht, qui tourne au désastre ? Après l'avoir tant défendu, on finirait par en douter. ( Arnaud Leparmentier )

          Ils sont beaux, jeunes et brillants. Ils sont les nouveaux immigrants en Allemagne. "Die neuen Gastarbeiter", titre en "une" le Spiegel. Ces "nouveaux travailleurs invités" ne sont plus les paysans turcs d'Anatolie des années 1960, venus faire tourner les usines automobiles de RFA. Ils sont italiens, espagnols, grecs ou d'Europe de l'Est. Diplômés des meilleures universités de leur pays, ils forment "la jeune élite de l'Europe pour l'économie allemande". Cette semaine, l'hebdomadaire allemand affiche une insolence digne de son confrère britannique The Economist. Il se moque du monde, comme l'Allemagne se fiche de l'Europe.

          "Deutschland AG" refuse de délocaliser ses usines, même lorsqu'elle perd la bataille industrielle. Son néoprotectionnisme l'a conduite à bloquer la fusion entre Airbus et British Aerospace pour protéger ses usines bavaroises. Et la voilà qui pille les talents latins, lesquels affluent pour échapper à un chômage endémique. Le "rêve allemand" célébré sans pudeur par le Spiegel, c'est le cauchemar de l'Europe.

          Dans ce contexte, pourquoi pousser des cris d'orfraie en découvrant le résultat des élections italiennes le 25 février ? Après les technos aux ordres d'Angela Merkel, les populistes ; après "il Professore" Mario Monti, les tristes amuseurs Silvio Berlusconi et Beppe Grillo. Le choix des Italiens est un non cinglant aux recettes européennes, un rejet de la potion de Merkel-Monti.

          La couverture du Spiegel le confirme : cette affaire ressemble à un jeu de dupes. Ainsi s'accentue la crise de légitimité politique dans une Europe prisonnière de l'euro. Le Vieux Continent est incapable de remettre à zéro les compteurs de la compétitivité par une bonne dévaluation. Tout débat sur la parité de l'euro vis-à-vis du dollar ou du yuan est proscrit par l'Allemagne. L'ajustement se fait sur l'emploi et provoque un chômage de masse, en Europe du Sud mais aussi en France, où il a retrouvé ses niveaux de 1997. Inexorablement, les talents s'exilent.

          C'est l'échec de l'Europe. L'échec de l'euro. Fallait-il signer ce traité de Maastricht (1992), qui tourne au désastre ? Après l'avoir tant défendu, on finirait par en douter. Curieusement, le sujet reste tabou. Dans les années 1990, on vendit la monnaie unique en assurant qu'elle permettrait de lutter contre les prétendues dévaluations compétitives des pays du Sud. Contresens total : la lecture inverse devrait prévaloir. Les dévaluations n'étaient que des bouffées d'oxygène pour compenser ex post le rouleau compresseur de l'industrie allemande. Sans doute aurait-il fallu écouter à l'époque les mises en garde précoces de Gerhard Schröder.

          "Que se passera-t-il lorsque l'outil de la dévaluation ne sera plus disponible en Espagne et en Europe et que l'économie allemande s'imposera partout grâce à ses énormes gains de productivité avec la monnaie unique ?", s'était interrogé, dès 1997, le candidat social-démocrate à la chancellerie. Mais le "camarade des patrons" et membre du conseil de surveillance de Volkswagen passait alors pour un horrible néo-bismarckien face au grand européen Helmut Kohl, qui avait su faire l'Allemagne sans défaire l'Europe. Gerhard Schröder était inaudible. En réalité, son mépris pour l'Europe du Sud, incapable de résister selon lui à l'euro, aurait sans doute plus protégé les Latins que la volonté d'inclusion française, apparemment généreuse mais qui se révèle après coup si ravageuse.

          L'euro était un projet politique, serinaient les Français. Politique, ce mot magique devait effacer toutes les contraintes. L'économie s'est vengée, et l'Europe du Sud menace de sombrer dans la crise politique et sociale.

          Mauvais joueur, nous avions grogné contre les électeurs français et néerlandais qui n'avaient rien compris en votant non à la Constitution européenne de 2005. Aujourd'hui, la menace est plus grande encore. Mais fustiger les Italiens pour leur vote semble aussi dérisoire que le roi de Perse Xerxes qui fit fouetter la mer pour avoir rompu un pont de bateaux sur l'Hellespont. Ils sont le deuxième peuple à se rebiffer après les Grecs et ne seront pas les derniers. Bien malin qui peut prédire le résultat des prochains scrutins en France, entre une droite parlementaire en ruine et une gauche mélenchonisée.

          L'alerte des Grecs fut sérieuse, eux qui faillirent se donner aux extrêmes au printemps 2012. Les élections de mai ont consacré l'irruption des néonazis d'Aube dorée, tandis que le Pasok (Parti socialiste grec) était laminé par la gauche populiste de Syriza. Seules de nouvelles élections, organisées un mois plus tard, sous la menace d'une expulsion de la zone euro, permirent de former une sorte de grande coalition préservée des extrêmes.

          L'issue de la crise italienne n'est pas claire. Elle sonne en tout cas la fin de l'ère des gouvernements techniques, ouverte au G20 de Cannes, en novembre 2011. La crise de l'euro est alors à son paroxysme, les traders parient sur la fin de la monnaie unique. Angela Merkel et Nicolas Sarkozy précipitent la chute du premier ministre grec Georges Papandreou, coupable d'avoir voulu organiser un référendum sur le plan de sauvetage-rigueur concocté à Bruxelles quelques jours plus tôt, ainsi que celle de Silvio Berlusconi.

          Ils sont remplacés par Lukas Papadémos (novembre 2011-mai 2012), ancien vice-président de la Banque centrale européenne, et Mario Monti, "le plus allemand des économistes italiens". Un rêve de Bruxellois ! Ces gouvernements technocratiques sont par définition éphémères, censés pallier la démission des politiques, incapables de prendre les décisions jugées nécessaires. "Les gouvernements technocratiques sont la forme libérale de la crise démocratique, au sens où les technos restent amis de la liberté", commente le spécialiste des populismes Dominique Reynié.

          Ils chutent une fois leur mission accomplie - les premiers ministres technocratiques Lamberto Dini et Romano Prodi avaient pour feuille de route la qualification de l'Italie pour la monnaie unique. Mais Mario Monti n'a pas su tirer son pays du mauvais pas de l'euro ni gagner ses galons politiques en descendant dans l'arène. Les élections devaient marquer un retour à la normale. Elles ouvrent au contraire la voie vers l'inconnu. Il s'agit d'un nouvel échec, italien et européen. - source -

article du 27 février 2013, toujours d'actualité !

 

> les cas de dengue explosent en France métropolitaine

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          Un nombre sans précédent de cas de dengue a été identifié en France métropolitaine depuis le milieu de l’été. En effet, près d’une quarantaine de cas « autochtones » – autrement dit, des infections contractées sur le territoire national, sans que les malades n’aient voyagé à l’étranger – avaient déjà été rapportés à la mi-septembre, ce qui est plus que le total cumulé des 10 dernières années.

          La maladie s’est par ailleurs déclarée dans des départements où elle n’avait jamais été détectée jusqu’à présent. Alors que le nombre d’infections continuera probablement à augmenter dans les jours et semaines à venir, quelles régions sont concernées ? Quelles sont les causes les plus plausibles de cette situation exceptionnelle ? Cette situation peut-elle s’avérer préoccupante ?

          Dans les Alpes-Maritimes, le foyer le plus important jamais identifié en France métropolitaine. Actuellement, sur les cinq départements touchés par la maladie, trois sont situés en région Occitanie et deux en région Provence-Alpes-Côte d’Azur (PACA). (...) - source -

Il est un peu tard, mais on sait quels coins il faut éviter d'aller car l'été prochain, ce sera évidemment pire,...

 

► pour lire la suite...

> logiciels gratuits pour rechercher efficacement les doublons d'images d'un dossier

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>>> mieux qu'Awesome Duplicate Photo Finder (présenté précédemment), je suis passé à VisiPics qui semble accepter la comparaison de plusieurs milliers d'images :

( informations trouvées sur l'excellent site https://progresser-en-informatique.com)

          VisiPics est légèrement plus complet qu’Awesome Duplicate Photo Finder. Il intègre un filtre qui permet de régler le degré de rigueur pour la comparaison entre les images. De plus, il est capable de sélectionner automatiquement les doublons selon certains critères (le plus petit fichier, l’image qui a la plus faible résolution ou le fichier de type non compressé), ce qui permet de faire le ménage très rapidement. Pour couronner, VisiPics est traduit en français et reste très simple à utiliser. Que demander de plus ?

          Commencez par cliquer sur le dossier dans lequel vous souhaitez rechercher des doublons (1). Cliquez ensuite sur le bouton + (2) pour ajouter le dossier sélectionné à la liste des dossiers à analyser. Répétez les étapes 1 et 2 pour ajouter d’autres dossiers.

          Définissez ensuite le filtre de comparaison sur le niveau de votre choix (3). Strict détectera uniquement les images identiques alors que Large trouvera également des images similaires. Si vous ne savez pas quoi choisir, optez pour le niveau Moyen, comme sur l’image ci-dessus. Cliquez sur le bouton Play (4) pour lancer l’analyse. Ce processus peut durer plusieurs minutes selon le nombre de photos à analyser.

          Une fois l’analyse terminée, cliquez sur le bouton Choix auto (6) pour automatiquement sélectionner les doublons selon les critères définis dans l’onglet Choix auto (5). Cliquez enfin sur Effacer (7) pour faire le ménage.

          Pour mettre VisiPics en français, allez dans Options > Languages > Français. - source -

>>> télécharger Visipics ICI

 

Awesome Duplicate Photo Finder

          Si vous recherchez une solution efficace et simple pour trouver et supprimer les photos en double d’un dossier. C’est un logiciel portable gratuit très simple et puissant.
          Commencez par ajouter les dossiers dans lesquels vous souhaitez rechercher des doublons (1). Lancez la recherche (2) puis supprimez ensuite le doublon ou l’image similaire de votre choix (3). Selon le nombre de photos contenues dans les dossiers choisis, la recherche de doublons peut prendre plusieurs minutes. - source -

>>> télécharger Awesome Duplicate Photo Finder ICI

 

💩 Europe : Union européenne, vers un totalitarisme immatériel

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          L’Union européenne sous la férule de la Hyène, et orientée par Klaus Schwab, est en train de générer une transformation fondamentale de l’ensemble des pays européens. Il s’agit de désindustrialiser fondamentalement l’Europe, et de ruiner sa population, tout en exerçant un contrôle drastique sur elle. Un « grand remplacement » est en cours. Les partisans de Zémour et de Renaud Camus crieront qu’ils nous l’avaient dit, que c’est en cours et prévu, sauf que ne n’est pas la bonne vision. Il ne s’agit pas de remplacer des êtres humains par d’autres, des autochtones par des étrangers, mais de remplacer le capitalisme matériel par le capitalisme immatériel (dans la vague que je nomme turbo-capitalisme).

          Les profits générés par les Gafas, liés aux entreprises pharmaceutiques, qui vendent non pas des produits, mais des droits aux brevets, des logiciels, ou des places de publicité, à coûts de fabrication dérisoires, sont considérables par rapport à ceux générés par la production réelle d’objet réels, comme les automobiles.

          Il faut donc que ce capitalisme disparaisse, car il y a une péréquation entre les différents profits et les plus bas diminuent l’efficacité capitalistique globale (comme dans les entreprises qui ferment des parties certes rentables, mais moins que la moyenne). D’abord en Allemagne, où les puissantes industries chimiques et métallurgiques continuent de fonctionner. Et qu’un capitalisme immatériel, numérique, digital, le remplace. C’est une lutte interne au système capitaliste dont nous sommes les victimes, comme nous l’avons vu au temps du covid où le confinement a favorisé les entreprises pharmaceutiques au détriment, par exemple, de l’automobile (il a fallu cette période de confinement, rendue possible par l’absence de masques, pour imposer les vaccins).

Effondrement de l’industrie

          L’effondrement de l’industrie est basée sur l’augmentation des coûts de production, grâce à celle des prix de l’énergie et des matières premières. L’isolation de la Russie via la guerre en Ukraine est une des clefs du plan. La critique, via les écologistes (qui n’en sont pas vraiment), des énergies fossiles, du gaz et du nucléaire vont dans ce sens. Bien avent la guerre, le refus par les Eurocrates des conditions avantageuses (contrat à long terme) par une approche dogmatique et libérale, puis le refus de Nord Stream II allait également dans ce sens. Favoriser les USA, détruire l’industrie européenne, désindustrialiser, appauvrir la population tels sont les credo cachés de ces politiques.

Avènement du numérique

          De nombreuses directives et règlements sont en cours afin d’imposer un tournant numérique à l’Europe. D’une part via le développement de la 5G, voire 6G, qui permettront de convertir les objets achetés en objets loués à vie, avec des logiciels renouvelables par abonnement. C’est de la plus-value immatérielle : un prix pour quelque chose qui n’est pas fabriqué (le logiciel téléchargé). Les universités, les citoyens sont conviés à participer à ce champ de transformation, ce qui veut dire que des capitalistes numériques vont utiliser les connaissances globales à leur profit, et intégreront ces connaissances dans les produits et services que les mêmes citoyens seront obligés de payer. Le capitalisme exploitait les salariés, le turbo-capitalisme spolie les individus et la société tout entière en privatisant ses connaissances.

          D’autre part, le numérique permet de contrôler les utilisateurs : automobiles télésurveillées, frigo connectés qui vérifient la consommation quotidienne, voir la présence d’alcool, bracelet électronique sui surveillent le nombre de pas, enceintes qui enregistrent les conversations privées et d’éventuels écarts de langage, etc. L’UE prévoit également la collecte des données de santé pour chaque citoyen. Les banques risquent d’être intéressées pour vos prochains prêts.

Élimination des citoyens

          Grâce à la crise de covid et à la guerre en Ukraine, l’EU a expérimenté le contrôle total de la population. Pour l’épidémie la présence du pass vaccinal autorisant les déplacements est une mesure autoritaire digne des dictatures les plus dures, et qui aurait fait bondir les eurocrates si elle avait été prise dans d’autres états considérés comme non démocratiques. Mais puisque nous sommes en démocratie, les mesures totalitaires sont permises…

          Grâce à la guerre, provoquée depuis des années par le bloc UE USA appuyant la guerre civile contre les russophones en Ukraine, des restrictions supplémentaires sont envisagées. Limitation des températures des appartements, éliminant les plus fragiles en hiver, diminution drastique de la production animalière, comme ce qui a été fait aux pays bas, probablement rationnement de la nourriture, à venir ; iront-ils jusqu’à interdire la consommation de la viande au nom de la défense des animaux ? Le discours vert est à ce propos des plus adéquats, car justement il vise à éliminer tout ce qui est matériel, et s’attaque systématiquement au patrimoine populaire (comme les pavillons de banlieue avec leurs petits jardins où prospère la faune et la flore remplacés par des cubes à entasser les gens, labellisés écoquartier, où rien ne pousse). Les écologistes sont à la fois ultralibéraux, anti-industrie, et vont bien dans le sens du grand remplacement, du matériel par l’immatériel, de l’homme par la machine (la dernière diatribe sur le travail dit bien ce qui sous-tend leur projet).

          Après avoir éliminé les prolétaires et les paysans, ils s’en prennent désormais à la classe moyenne devenue inutile. Pendant le capitalisme classique, elle servait de garde-chiourme pour surveiller les classes dangereuses, qui étaient nécessaires à la production de biens. Celles-ci disparaissant, elle ne sert plus à rien. Privée de droit, privée d’énergie, privée de ses propriétés, elle va s’effondrer cet hiver. Mais comme pour le naufrage du Titanic, ce ne sont ni les premières classes, qui se réservent les moyens de secours, ni les classes inférieures, qui se démerdent et n’ont pas confiance dans le système, mais les classes intermédiaires, qui sont dépendantes du système et gardent confiance en lui quelles que soient ses exigences, qui vont le plus souffrir.

          Le changement de paradigme de capitalisme devenu turbo-capitalisme est désormais entré dans sa phase active, la plus dangereuse. Car ce qui est en jeu, c’est l’économie, l’accumulation sans fin des biens des super-riches, qui trouvent ainsi le moyen de continuer de créer des super-profits à tout prix tout en se débarrassant d’une partie de la population, en termes économiques, voire physique.

          Une partie du monde est en train de se dégager de ce turbo-capitalisme, ce que celui-ci ne supporte pas. La guerre a donc deux objectifs. Ruiner les classes moyennes par les conséquences dramatiques des flux de sanctions en en profitant pour transformer l’économie matérielle en immatérielle et essayer de détruire les pays qui n’entrent pas dans ce schéma diabolique.

          L’inconnue reste la réaction des peuples occidentaux lorsqu’ils seront occis, mais la propagande de haute intensité veille au contrôle et la phase covid a montré combien ils étaient manipulables. - source -

Une autre analyse intéressante des agissements de cette merde d'union européenne pour les plus grands profits des multinationales américaines,...