l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



Il n'y a pas de libre choix dans une économie capitaliste. Il n'y a que la volonté du patron - Nadine Gordimer

> qu'en est-il de la dette négociable française au 31 octobre 2023 ?

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DETTE de 2 411 282 325 072 € au 31 octobre 2023

soit une baisse de 15,485 milliards d'euros en un mois, MAIS la durée de remboursement a été augmentée de 30 jours...

 

- source officielle

données officielles ( et très certainement "arrangées" ) avec une manipulation sur la durée de remboursement qui permet de "réduire" le montant de la dette sur un mois...

 

> le bus gratuit, c’est formidable l

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          Depuis son entrée en vigueur en 2018, la mesure, vantée localement, a fait bondir les chiffres de fréquentation des bus de la ville et a permis de fluidifier la circulation

          Fin décembre, les 500 000 habitants de la métropole de Montpellier bénéficieront de la gratuité des transports dans les bus et les trams. Une mesure à imiter dans toutes les villes de France ? Rendez-vous le 21 décembre, à l’Opéra Comédie pour un débat sur les enjeux de la mobilité. Entrée libre sur inscription.

          «Le bus gratuit, c’est formidable !» Au pôle d’échange Gare de Dunkerque, ce conducteur de DK bus résume l’avis général. Moins d’incivilités, estime-t-il, plus de respect pour les fauteuils et le mobilier, que du bonheur. Philippe, cadre à la retraite de 64 ans, a carrément revendu sa deuxième voiture. «Avec l’appli, on sait quand le bus arrive, on ne part qu’une minute ou deux avant de chez soi, on n’attend plus à l’arrêt», apprécie-t-il. Sonia, agente d’entretien, trouve l’idée «impeccable». Elle vit à Mardyck, et avant, avec les correspondances, elle devait parfois acheter deux billets pour rejoindre sa destination quand elle mettait plus d’une heure. Alors, c’est une vraie économie pour elle.

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> les USA sont de gentils amis ?

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          « les États-Unis représentent la moitié des 92 cas d'ingérence dans des entreprises françaises par extraterritorialité du droit (lawfare) relevés par la DGSI depuis 2020 jusqu'à fin 2022 »

On peut arrêter de croire que les USA sont de gentils amis ? Ce sont des concurrents.

          Corollaire: N'utilisez aucun logiciel ou service appartenant à une entreprise de droit américain. La loi FISA (section 702) permet au gouvernement américain de mettre son nez dans les données des clients de ces entreprises, quelle que soit la localisation du serveur. ( source )

sans oublier l'extraterritorialité du droit américain qui est le nom donné à l'ensemble des dispositions du droit américain qui peut être appliqué en-dehors des frontières des États-Unis à des personnes physiques ou à des personnes morales de pays tiers.> iCi : les américains sont nos pires meilleurs ennemis...

 

> le maire de Mazamet (Tarn) veut «ficher» les chiens pour verbaliser leurs maîtres

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          Prenant exemple sur Robert Ménard à Béziers, le divers droite Olivier Fabre veut prélever à Mazamet l’ADN canin pour sanctionner les crottes laissées sur les trottoirs de Mazamet, qu’il dirige depuis 2014.

          Après sa décision polémique sur les cantines scolaires, Olivier Fabre a trouvé une autre idée lumineuse dans sa commune pour tenter de sortir de l’anonymat. Le maire de Mazamet, étiqueté «divers droite», demande aux 10 000 habitants de la petite ville tarnaise de se prononcer pour ou contre… le fichage ADN des chiens. Son objectif : «responsabiliser et sanctionner les maîtres défaillants», selon le site Internet de la commune. Chacun peut d’ores et déjà répondre en ligne au «sondage» proposé par la ville. Le questionnaire papier va être envoyé aux administrés les plus âgés qui ne sont pas familiers de l’ordinateur, précise le maire, interrogé par Libération. «Les premiers retours sont positifs à 90 %, y compris chez les propriétaires de chiens», se félicite Olivier Fabre.

          Le maire de Mazamet suit en fait son lointain voisin de Béziers à la trace. Dans l’Hérault, Robert Ménard est le premier maire à expérimenter, depuis la rentrée, la verbalisation des crottes de chiens en France. «Il ne s’agit pas vraiment d’une amende, mais d’une facturation des frais de nettoyage», précise Olivier Fabre. L’argumentation semble sortir tout droit du laboratoire privé qui vend ses enquêtes génétiques clé en main aux collectivités. A Béziers, la justice administrative avait censuré à la demande du sous-préfet de l’Hérault une première tentative de verbaliser les crottes de chiens via leur l’ADN en 2016. Prudent, le maire de Mazamet promet de prendre en charge le coût du fichage sur le budget communal. Mais les propriétaires récalcitrants qui ne pourront pas présenter la carte ADN obligatoire de leur toutou aux agents de la police municipale s’exposeront à une amende de 40 euros.

          Selon une technique de communication bien rodée, Olivier Fabre a commencé par tâter le terrain sur sa page Facebook en novembre. Sa proposition pour lutter contre les déjections canines a suscité plus de 100 commentaires. Elle lui a aussitôt valu une invitation aux Grandes Gueules de RMC pour développer son idée. Le maire de Mazamet connaît bien le filon : fondateur de 100 %, une station FM qui s’est développée sur toute la région Occitanie depuis le sud du Tarn, Olivier Fabre n’a lâché le micro qu’en 2014, pour se lancer à l’assaut de la mairie de Mazamet. Elu sans étiquette à l’époque mais avec le soutien des centristes de l’UDI avec près de 40 % des voix dans une quadrangulaire face au maire sortant (divers droite), une liste du Parti socialiste et une autre du Rassemblement national. Dans une ville où François Fillon (24 %) et Marine Le Pen (23 %) avaient devancé Emmanuel Macron (19 %) en 2017, le maire de Mazamet a, lui, facilement été réélu en 2020. Il avait obtenu 100 % des suffrages exprimés. Sans aucun opposant.

          Ouvertement candidat à un troisième mandat, Olivier Fabre semble toutefois à l’étroit dans sa commune. Après avoir échoué à se faire élire au département, puis à la région sur une liste macroniste, le maire de Mazamet ne cache pas à Libération son envie de réaliser une OPA sur la présidence de la communauté de communes de Castres-Mazamet. Sans s’interdire de se présenter à un mandat national en ratissant large, depuis les ruines libérales du macronisme jusqu’à la «droite populaire» et sans exclure le RN que Fabre ne classe plus à l’extrême droite, mais parmi la «droite hors les murs». Comme Robert Ménard à Béziers. - source -

" Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. " - Michel Audiard -

 

> loi immigration : qui se ressemble, s'assemble...

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Aucune surprise donc, ce sont les mêmes, ils ont simplement acté leurs compromissions sur la répression et un contrôle dictatorial des populations. Macron n'a-t-il pas appelé, il y a quelques temps, à un rassemblement de tous les partis autour de son trône ? Clairement, Macron n'a pas de parti autre que celui du fric et pour cela il est prêt à s'associer avec le diable lui-même !...

 

> uniforme dans les écoles françaises...

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Polo, pantalon : à quoi devrait ressembler l’uniforme scolaire du XXIe siècle version Attal

          Les premières pistes envisagées par le gouvernement pour expérimenter l’uniforme dans les écoles, collèges et lycées de quelques communes, départements et régions volontaires ont été dévoilées ce lundi 11 décembre par France Info.

          Cinq polos, deux pulls et deux pantalons par enfant pour 200 euros : voilà la version 2024 de l’uniforme. «Moins tristoune» que la blouse grise, de quoi satisfaire la première dame favorable depuis longtemps à la tenue unique, mais plus réac que le jeans-baskets proposé par Emmanuel Macron devant HugoDécrypte, cet uniforme version XXIe siècle devrait être expérimenté dès la rentrée 2024 dans quelques écoles, collèges et lycées volontaires, selon les informations récoltées par France Info.

          Annoncée le 6 décembre par Gabriel Attal, l’expérimentation de la tenue unique débutera à la rentrée 2024, voire au printemps pour les communes les plus motivées. Les enfants vivant à Tourcoing (ancien fief de Darmanin du Nord), Reims (Horizon), Nice (LR), Perpignan (RN), dans les départements de l’Allier (UDI), des Alpes-Maritimes (LR) ou dans la région Auvergne-Rhône-Alpes de Laurent Wauquiez devront donc porter l’uniforme.

          Toutes les familles n’ayant pas les moyens de débourser 200 euros par enfant, le ministère devrait prendre en charge 50 % du coût des tenues selon France Info, le reste sera financé par la commune, le département ou la région.

          Normalement fabriquée dans l’Hexagone, la nouvelle version de l’uniforme sera identique sur tout le territoire. Complètement identique ? Non, un petit écusson sera personnalisable au niveau local. Chaque enfant aura droit à un vêtement neuf de rechange par an, selon les collectivités territoriales interrogées par le média public, si le modèle est abîmé ou s’il devient trop petit. En revanche, France Info ne précise pas si la tenue sera la même pour les filles et les garçons (la jupe sera-t-elle autorisée ?) ou si le kit contient une tenue de sport. La question n’est également pas encore tranchée pour le tablier chez les maternelles. L’expérimentation est prévue pour durer deux ans, affirme encore France Info, ajoutant qu’un suivi scientifique, ainsi qu’une «évaluation du climat scolaire, des résultats et de l’ambiance en classe» devront être réalisés. - source -

Bé bien sûr ! comme aux USA ou au RU et à l'armée, d'abord l'uniforme, puis comme à l'armée, une hiérarchie dictatoriale et l'obéissance absolue aux ordres ! Qu'en sera-t-il des écoles privées, costard/cravate Prince de Galles pour bien marquer les différences ?

 

> le Grand Orient, les lumières sont éteintes

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MICHEL MAFFESOLI : la perte de l’idéal maçonnique

          Le sociologue et professeur émérite à la Sorbonne, Michel Maffesoli, que j'avais rencontré précédemment pour parler de l'élite pressentant sa fin et agitant les peurs d'un Etat-Léviathan, revient avec un pamphlet, Le Grand Orient. Les lumières sont éteintes, (Guy Trédaniel, 2023), qui se présente à la fois sous la forme d'un solde de tout compte, mais aussi d'une charge violente contre la transformation progressive d'une des plus grandes obédiences de France. Celui qui en fut le membre durant 50 ans, accuse le Grand Orient, d’avoir éteints les lumières, en passant d’une quête spirituelle à des problèmes politiques et sociétaux éteignant les lumières, ou plutôt les Lumières, celles de l’universalisme et de la liberté de penser, pour leur préférer les nouveaux problèmes propres au « politiquement correct » de notre époque, comme le wokisme par exemple. Ce fut l’occasion de revenir sur quelques grandes questions métaphysiques et spirituelles qui pourront éclairer nos temps bousculés.

Marc Alpozzo : Cher Michel Maffesoli, vous avez été membre du Grand Orient depuis 1972 et vous en avez été exclu le 10 novembre 2022. Pourquoi avoir choisi d’intégrer cette obédience de la Franc-maçonnerie, et pourquoi en être sorti ?

          Michel Maffesoli : J’ai été 50 ans au Grand Orient. J’ai d’abord démissionné, puis j’ai été exclu quelques jours après. Lorsque j’y suis rentré j’étais jeune. Pour quelle raison ? C’était l’époque où j’ai fait la connaissance de celui qui fut toute ma vie durant mon maître, Gilbert Durand, anthropologue, trop peu connu à mon goût, et avec lequel j’ai fait mes deux thèses. C’était un Franc-maçon. Il était l’équivalent de Claude Lévi-Strauss à son époque. J’avais été nommé assistant à Grenoble, et je l’avais rencontré là-bas. Il a également aiguillé tout mon travail, ma sociologie étant très influencée par sa pensée, et je le cite régulièrement. Mais à côté de son œuvre majeure, Les Structures anthropologiques de l'imaginaire, et tous ses travaux sur le symbolique, il était maistrien. Il a écrit un ou deux livres très intéressants sur Joseph de Maistre. Et, la seconde raison - même si la vie est sans pourquoi, n’est-ce pas ? - : me préoccupaient, le symbolique et l’imaginaire, et il s’est trouvé que la maçonnerie avait cette spécificité-là. Aussi, dans le cadre des obédiences maçonniques, on en trouve certaines pour lesquelles, ce que je viens de dire est plus important, par contre le Grand Orient est plutôt orienté vers des questions plus rationalistes, voire de gauches. Mais il y avait des niches, et je me trouvais dans une de ces niches. Et puis, très lentement, durant les deux dernières décennies, j’ai réalisé que ces niches n’étaient plus tenables non plus. Particulièrement dans leur dimension sociétale.

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> prosulfocarbe : « Combien de potagers contaminés sans que les gens le sachent ? »

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          Deuxième herbicide le plus vendu après le glyphosate en France, le prosulfocarbe se retrouve partout. L’air, l’eau et nos aliments sont contaminés par cette molécule. Son autorisation vient d’être renouvelée, malgré l’absence de données sur les effets chroniques sur la santé humaine.

          Le prosulfocarbe est l’herbicide le plus vendu en France après le glyphosate, mais son nom est loin d’être aussi connu. « L’agriculture française montre une forte dépendance au prosulfocarbe » indique un récent rapport de l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE). Les tonnages de cette substance active ont été multipliés par six depuis 2010 ! Avec plus de 6500 tonnes achetées en 2021, les ventes de prosulfocarbe ont augmenté de 14 % en 2022. « D’autres herbicides ont vu leurs conditions d’utilisation se durcir, voire ont été retirés du marché » note l’institut, ce qui expliquerait en partie cette hausse.

          Les produits à base de prosulfocarbe sont essentiellement utilisés sur les cultures de céréales. La moitié des surfaces cultivées en blé tendre en reçoivent. Deux tiers des surfaces cultivées en pommes de terre sont traités avec cet herbicide. Celui-ci est particulièrement épandu à l’automne, dans le bassin parisien où pousse une grande partie du blé tendre, dans le Sud Ouest pour le blé dur, et dans le Nord de la France au printemps pour les pommes de terre. À ce jour, 19 préparations commerciales à base de prosulfocarbe sont autorisées, dont deux appartiennent au groupe suisse Syngenta, en tête des ventes

          Au total, les surfaces avec des cultures traitées au prosulfocarbe représentent 7,6 millions d’hectares en France, soit un quart de la surface agricole utile. Si les surfaces traitées n’augmentent pas depuis quelques années, la quantité d’herbicides, elle, progresse. Cela signifie une hausse des doses épandues à l’hectare. « Ce recours croissant s’explique notamment par la montée de résistances de certaines adventices [mauvaises herbes] » souligne l’INRAE.

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