l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



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> cette étrange et récente surmortalité

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : santé Mots clés : aucun

          Un précédent article (extrait ci-dessous) notait l’étrange épidémie de coïncidences qui agitait à la fois les services hospitaliers de cardiologie et quelques obscures revues scientifiques à faible tirage comme Nature, JAMA ou le British Medical Journal : un nombre statistiquement significatif de troubles cardiaques sont actuellement enregistrés alors même qu’une intéressante expérimentation vient de se produire à grande échelle, et le lien entre le premier et la seconde devient difficile à nier.


(...) Ainsi, une étude parue dans Nature (un obscur opuscule scientifique) montre une augmentation de 25% des événements cardiovasculaires d’urgence chez les 16-39 ans suivant les premières et secondes doses de vaccin. Stupéfiante coïncidence.

Ainsi, une autre étude semble montrer un taux de myocardites plus élevé chez les hommes de moins de 40 ans après deux ou trois doses de vaccin, et dans une proportion supérieure aux myocardites observées pour les hommes de la même tranche d’âge après un Covid.

Dans JAMA, on découvre que deux doses de Pfizer multiplieraient par 133 le risque de myocardite chez les jeunes de 12 à 15 ans par rapport à la valeur initiale. Le hasard fait écrire des choses étonnantes. (...)


          (...) dans tous les cas il apparaît que les pays occidentaux enregistrent tous actuellement une surmortalité statistiquement significative (de plus de 10% par rapport à la période précédent 2020).

          (...) la plus grande compagnie d’assurance maladie d’Allemagne, BKK, a récemment publié un communiqué basé sur ses données actuarielles qui montrent là encore une surmortalité inquiétante et elle conclut à une sous-déclaration importante des effets secondaires des vaccins.

          Plus récemment, c’est Lincoln National, une autre société d’assurance américaine, qui a fait état d’une augmentation de 163% des prestations de décès versées au titre de ses contrats d’assurance-vie collective en 2021. On pourra aussi, sans trop s’aventurer dans l’étrange, inclure le rapport d'activité de Reinsurance Group of America, qui montre des pertes importantes pour 2021…

          Devant ces éléments, les contorsions habituelles des fact-checkers et autres conformistes du narratif officiel vont devenir intéressantes à regarder. Pour les autres, il apparaît maintenant clairement que les campagnes de vaccination ont entraîné une surmortalité marquée observée dans la plupart des pays qui les ont pratiquées. Cette surmortalité est maintenant supérieure à la mortalité provoquée par le virus et ses variants.(...) - source -

 

Comme il est dit dans l'article c'est la suite dans le temps qui montrera les origines de cette surmortalité et " La réponse à cette question est primordiale puisqu’elle déterminera le tribut total que nous aurons à payer pour cette expérimentation hasardeuse."

Et, les stats de l'INSEE : " Sur la période allant du 1ᵉʳ juin au 31 décembre, le nombre de décès, qui était de 367 665 lors de la diffusion du 28 janvier 2022, est revu à la hausse pour s’établir à 368 446 à la date du 25 février 2022, soit une révision de + 0,2 %. La hausse du nombre de décès par rapport à la même période en 2019, qui était estimée à + 6,5 %, est révisée à + 6,7 %. Pour suivre l’évolution de la mortalité en 2021, l’Insee fait le choix de privilégier la comparaison avec l’année 2019, année sans épidémie Covid..." - source -

je penche plutôt sur la destruction de l'hôpital public qui entraine une inefficacité certaine donc un nombre de morts de tous âges plus important...

(...) " Officiellement, [ les urgences ] ce ne sont pas des fermetures, mais le barrage est tel et le reste de l’hôpital si exsangue que l’accès aux soins d’urgence, déjà fortement dégradé, est fondamentalement remis en cause. Et pour longtemps. Présenté comme solution temporaire pour faire face à un « été à haut risque », ce fonctionnement est en réalité l’occasion de ce « changement de paradigme » dont rêvent les gestionnaires publics. Les urgences hospitalières ont depuis longtemps été conçues comme dernier recours et manne d’actes rentables pour l’hôpital. Aujourd’hui que des lits ont été fermés dans tous les services et que les urgences s’en trouvent submergées, elles sont appelées à être réduites à peau de chagrin, quitte à amputer largement l’accès aux soins. Et le privé ne sera pas loin… La crise de l’hôpital, qu’ils ont eux-mêmes créée en organisant depuis des années un manque criant de personnel, et dont le Covid n’a été que le révélateur, est donc instrumentalisée pour achever la casse de l’hôpital public. (...) - source -