l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


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> l'union européenne de merde fait la guerre aux pauvres...

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
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En Italie, l’extrême droite fait la guerre aux pauvres

          169 000 familles italiennes ont été informées par SMS fin juillet de la suppression de leur revenu de citoyenneté. Cette réforme veut économiser trois milliards d’euros en excluant les personnes « employables ». Une mesure qui n’est pas sans rappeler celles mises en œuvre de ce côté-ci des Alpes.

          Le gouvernement d’extrême droite italien a décidé de faire la guerre aux pauvres. Avec une violence inédite. Fin juillet, quelque 169 000 ménages italiens ont reçu un simple SMS de l’Institut national de la prévoyance sociale (INPS) les informant qu’ils ne toucheraient désormais plus le « revenu de citoyenneté », une mesure introduite en 2019 qui peut, très grossièrement, être comparée à notre revenu de solidarité active (RSA). [...]

          Ce qui frappe avec la politique sociale de Giorgia Meloni, c’est sa proximité avec la politique française. De ce côté-ci des Alpes, la logique dominante de la politique sociale est aussi de mettre la pression sur les demandeurs d’emploi, les plus pauvres ou les travailleurs âgés avec trois réformes : celle de l’assurance-chômage et des retraites, ainsi que le projet concernant l’obligation de travail pour les titulaires du RSA.

          Dans les deux cas, la logique est strictement la même : il s’agit de mettre une pression supplémentaire sur les plus fragiles pour les contraindre à accepter les emplois que le marché propose, quelles que soient leurs conditions. Dans le cas italien, l’absence de salaire minimum rend encore plus féroce cette violence sociale et c’est précisément pour cette raison que l’opposition a cherché à lier les deux dossiers.

          Dans les deux cas, pourtant, l’emploi se porte en apparence plutôt bien en Italie comme en France. Les derniers chiffres de l’institut de statistiques italien Istat montrent ainsi un nouveau recul de 0,2 point en juin du taux de chômage à 7,4 %, soit un niveau proche de celui de la France (7,1 %). Dans les deux cas, le nombre d’actifs est en hausse. Alors pourquoi une telle pression ?

          En réalité, il n’y a là rien de mystérieux. L’activité est faible en France, mais elle est en contraction en Italie. Au deuxième trimestre 2023, le PIB de la péninsule a reculé de 0,3 % et n’a progressé que de 0,6 % sur un an. Pour assurer des créations d’emplois avec une activité si faible, il n’y a pas d’autre solution que de réduire le coût du travail en faisant travailler des personnes jusque-là inactives. Il convient à tout prix d’éviter de redonner du pouvoir de négociations aux salariés. D’où la pression sur les minima sociaux. - source -

Sans parler des autres pays européens, même politique sociale de restrictions tous azimuts ! Cela indique que ce soit Macron, Giorgia Meloni, Olaf Scholz ou autre, c'est quelque chose d'autre qui gouverne en réalité cette union européenne de merde et, ce quelque chose d'autre en a rien strictement à cirer des populations,...