l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



L'honneur et le profit ne couchent pas dans le même lit - Cervantes

🎨Greg Known, vous connaissez ?

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          Greg Known est un peintre russe contemporain, né en 1967 à Moscou, en Russie. Diplômé de l'Académie des Arts et de l'Industrie Stroganov, Faculté de restauration de la peinture monumentale, il travaille dans ce domaine et se perfectionne en tant qu'expert en restauration. Au cours de cette période, il s'est intéressé à la peinture d'icônes et a commencé à peindre des icônes pour les temples et les églises. Le surréalisme, la fantaisie steampunk et le symbolisme font partie de ses styles de peinture préférés.

 

► pour lire la suite...

> la chronique coquine de Mgr Barbarin

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          Qui n’a pas, un jour, senti les gouttes de sueur perler sous sa soutane à la vue des provocations d’un jeune scout prenant son bain ? De nos jours, cet émoi bien naturel est vilipendé par les sectateurs du wokisme, et peut malheureusement vous conduire devant des tribunaux païens tenus par des juges hérétiques, qui, quelle horreur, sont bien souvent des femmes (n’ont-elles donc rien d’autre à faire ?). Qui sommes-nous pour juger des érections que le Seigneur, dans sa bienveillance, a mises dans notre caleçon ? Profitons de ce bel été pour dire non aux injonctions liberticides et laissons faire la nature !
         Notre conseil : n 'avouez jamais.

 

> Télé fachos fait des fâchés

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     Un ministre a-t-il le droit de dire que CNews est « clairement d'extrême droite » ? Réponse ben oui. non ? Un peu comme s'il disait que « Lite » est clairement de gauche ou « Le Figaro » assurément de droite.

     Eh bien, dans le cas de la chaîne Bolloré, c’est plus compliqué ! A peine Pap Ndiaye a-t-il osé associer les termes « extrême droite » à la blanche CNews que fachosphère et lepénistes lui sont tombés dessus.

     Sur la chaîne, la présentatrice Laurence Ferrari a sauté la première à la gorge du ministre de l'Education nationale, celui qui met ses gosses dans le privé, celui qui donne « des leçons de démocratie depuis son salon cossu des quartiers chics de Paris ».

     « Le Monde » (13/7) a sollicité en vain 15 ministres pour qu’ils prennent position sur la sortie de leur collègue. « L’Opinion » (13/7) n’a trouvé que 6 députés Renaissance pour approuver sa charge contre CNews ! Dans ce bal de faux derches où brille la Macronie, le député Jean-René Cazeneuve s’est particulièrement illustré : « Moi, je me méfie de ces qualificatifs. » A croire que tous ces courageux veulent continuer de pérorer à l’occasion sur CNews, conserver leur rond de serviette à Europe 1 et leur bouteille de champagne à Canal Plus.

     C’était bien la peine que Macron se fasse élire comme l’ultime rempart contre l’extrême droite ! C. N.

 

à tel titre que Pap Ndiaye vient de se faire virer et remplacer par Gabriel Attal... Il apparait ainsi que Macron prévoit une alliance avec des membres du RN opportunistes - dans même processus de scission qu'avec les LR ou le PS - avec là évidemment Darmanin à la manœuvre, pour se maintenir au pouvoir ( s'il le peut constitutionnellement ) ?

 

> agriculture : du sur-mesure pour un lobby ( et le syndicat FNSEA )

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          Cousue main par et pour la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA), une proposition de loi « pour un choc de compétitivité en faveur de la ferme France » a été adoptée au Sénat. Elle comprend une foule de mesures régressives tant pour l’environnement que pour les consommateurs !

          Petit florilège : inscription du principe de ne pas aller au-delà des textes européens (alors que l’harmonisation minimale doit permettre de voter des dispositions plus protectrices pour l’environnement et la santé humaine ) : intégration de l'impact économique dans la balance bénéfice/risque que prend en compte l’Agence nationale de sécurité sanitaire avant d'autoriser ou non un pesticide, dans le but de diluer davantage la possibilité de prohiber l’usage des substances toxiques ; annulation du principe de séparation des activités de vente et de conseil des produits phytosanitaires. pour lequel l'UFC-Que Choisir s’était, avec d'autres, battu ; sanctuarisation des ouvrages de stockage d'eau alors même que leur intérêt environnemental demeure largement discuté.

          Si cette proposition de loi a très peu de chances d’être examinée à l'Assemblée nationale. l'UFC-Que Choisir reste vigilante. Elle entend s'opposer à toute reprise de ces mesures inadmissibles, notamment sous la forme d'amendements à d'autres projets législatifs.

Ce sont les LR et assimilés ( Sarkozy, Fillon, Cioti et autres ), qui, ont la majorité au Sénat, et, rappelons-le, veulent, entre autres, la suppression pure et simple de la sécurité sociale et la retraite à 67 ans...

 

> Comment ne pas rechercher un poison

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          Christophe Béchu, ministre de l'Ecologie, avec le nez rouge du comique professionnel. L’a pas l'air. Mais la chanson, si. Savourons une décision toute récente : le27 juin parait au Journal officiel un arrêté Béchu, qui demande à 5000 entreprises de rechercher, « sous trois mois, la liste des substances PFAS utilisées, produites, traitées ou rejetées par [leur] installation ».

          Les PFAS dont il est question sont appelées à un grand avenir, car ces mixtures chimiques ne disparaissent pas dans l'eau, l'air, les sols. Ou les corps. Et c'est pourquoi on les appelle des forever chemicals. Des produits chimiques éternels. Où trouve-t-on des PFAS ? Eh bien, partout car leurs propriétés antiadhésives, imperméabilisantes, et leur résistance aux fortes chaleurs en font des candidats parfaits pour les usages industriels. Ils sont utilisés aussi bien pour les poêles que pour les pesticides, dans les vêtements, les emballages alimentaires - miam -, les mousses anti-incendie, les cosmétiques, et la liste continue jusqu’au bout de la terre.

          Inventés dans les années 30 du siècle passé, ils ont vivoté jusqu’au 29 juillet 1967, date d'un grave accident sur le porte-avions USS Forrestal, qui tue 134 soldats après un incendie géant. Des petits malins se disent que des mousses contenant des PFAS auraient été bien plus efficaces contre les flammes. Nul ne s’interroge sur rien, et l’aventure continue. Dans les années 1970, on trouve dans le sang des personnels exposés dans leur travail des traces de PFAS. Et alors? En 2001, Giesy et Kannan montrent une contamination des ours polaires, des poissons, des oiseaux. Et alors ? On découvre, dans la foulée, que le sang de toute la population américaine - il doit pouvoir rester deux ou trois épargnés - contient des PFAS. Et pareil en Europe. L’air des cimes en contient. La glace arctique aussi.

          Est-ce bien embêtant? Un peu. On relie en effet les PFAS à des cancers des testicules, du sein, du rein. À des maladies thyroïdiennes, de l’intestin, à des lésions du foie, à de nombreux risques pour les fœtus, dont les effets ne se feront sentir qu’à la puberté, ou après. À ce stade, résumons : on sait ce qu’il faut savoir depuis trente ans, et l’on se demande ce que nos ministres de la Santé et de l'Écologie ont bien pu faire pour contraindre si peu que ce soit l’industrie à la prudence.

          Oui, qu'ont donc tenté les responsables de la santé Kouchner, Douste-Blazy, Guigou, Mattei, Bertrand, Bachelot, Touraine, Buzyn ? Rien. Et pareil chez les ministres de l’Écologie Bachelot, Lepeltier, Jouanno, Kosciusko-Morizet, Batho, Martin, Royal, Pompili. Zéro plus zéro égale la tête à Toto.

          Béchu a l'air bien parti pour suivre cette noble route. Revenons à sa décision historique du 27 juin : il donne trois mois à une petite fraction de l’industrie - 5000 entreprises - pour déclarer une utilisation éventuelle des PFAS. Il connaît bien sûr la réponse, mais ça permet de gagner du temps, ce qui n’est pas rien. Lorsqu’on reparlera des PFAS, qui sait où il aura atterri ? À Angers, son fief électoral ? Au secrétariat d’État aux Normes de la charcuterie et de la baguette réunies? Loin du mistigri en tout cas, qu’il aura refilé à un autre préposé.

          Au fait, les amis, savez-vous combien il y a de PFAS différents ? Tous les organismes officiels s'accrochent comme des noyés au chiffre ridicule de 4700 assemblages distincts. L’agence publique en charge de notre protection, l'Anses, écrit ainsi sur son site calamiteux : « Les substances per- et polyfluoroalkylées, également connues sous le nom de PFAS, sont une large famille de plus de 4 000 composés chimiques. »

          C'est tellement faux qu’on s’en pince la peau du bras. Le chiffre semble s'inspirer d’un rapport de l'OCDE, en 2007, qui dénombrait exactement 4 730 PFAS. L’agence en charge de l'environnement aux États-Unis ─ l'EPA ─ en comptait 14 735 il y a trois ans. PubChem, sous la tutelle des National Institutes of Health, fait autorité, et en annonce... 6 millions. On parle désormais de 7 millions. Béchu demande a 5000 entreprises d’en rechercher 20 en priorité. Nez rouge, oui.

 

> ça pue à Angoulême...

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           A Angoulême, être debout, assis ou allongé dans la rue peut désormais coûter 35 euros d’amende !

          La capitale charentaise vient de signer un arrêté contre « l’occupation abusive de l’espace public ». Sont notamment visés les marginaux, les voyageurs et les jeunes « pour rappeler les règles de savoir-vivre ».

          En Charente, Angoulême vient de signer un nouvel arrêté pour lutter contre « l’occupation abusive de l’espace public ». Une amende de 35 euros peut désormais sanctionner les « individus regroupés de manière immobile ou peu mobile, n’étant pas en transit et générant des nuisances ». Être assis, debout ou allongé est tout autant interdit si cela « entrave la circulation des piétons ». Sont visés pêle-mêle les marginaux, les voyageurs et les jeunes « pour rappeler les règles de savoir-vivre et de civilité », assure Jean-Philippe Pousset, l’adjoint au maire d’Angoulême chargé de la sécurité, en se prévalant du soutien de la préfecture.

          En 2014, la cité charentaise avait suscité un tollé national après avoir grillagé des bancs publics. Jugées « inhumaines », ces installations « anti-marginaux » avaient finalement été retirées. Angoulême promet cette fois « un outil réfléchi et indispensable » pour lutter contre « le sentiment d’insécurité », les violences, l’alcoolisation et les dégradations.

          « Ça n’est pas un arrêté anti-mendicité, insiste Jean-Philippe Pousset. Quelqu’un faisant la manche sans gêner l’espace public ne pose aucun problème. Une personne allongée en pleine rue piétonne, si. »

          Élu divers gauche de l’opposition, Raphaël Manzanas dénonce, lui, « une errance totale quant à la gestion de la grande précarité et une atteinte à la liberté de circuler. Demander 35 euros à des gens qui font la manche, c’est un mauvais coup de com’ pour Angoulême. » Jean-Philippe Pousset promet de gérer chaque situation « avec délicatesse ». Un temps de formation assorti de « cas pratiques » sera prochainement dispensé au sein de la police municipale, détaille l’adjoint au maire. - source -

évidemment, c'est un maire LR qui a pris une telle décision... Ils n'en peuvent plus les élus LR sur la répression tous azimuts, parti qui fait la morale mais qui en a aucune ( Sarkozy, Fillon... ). A semer ainsi la violence, on récolte évidemment la violence...

 

> glyphosate, mon amour

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          Bonne nouvelle pour tous les accros au pulvérisateur. L’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) vient de blanchir le glyphosate. L’agence, qui est chargée de soupeser l’innocuité de l’herbicide le plus aspergé sur la planète, explique ne pas avoir « identifié de domaine de préoccupation critique en ce qui concerne les risques pour l’homme, pour l’animal ou pour l’environnement ». Une belle fleur faite à Bayer, qui a demandé à Bruxelles de prolonger de cinq ans l’autorisation de commercialiser son pesticide vedette. Et un pavé dans la mare des écolos et des toxicologues, qui jugent le glyphosate dangereux et réclament depuis dix ans son interdiction.

          En 2017, à peine élu pour son premier mandat, Macron avait promis de bannir de la France le glyphosate d’ici à la fin de 2020. Avant de faire volte-face sous la pression de la FNSEA, le principal syndicat agricole. Et tant pis si l’avis de l’Efsa est en totale contradiction avec celui du Centre international de recherche sur le cancer (Circ), qui, en 2015, avait estampillé ladite substance « cancérigène probable pour l’homme ». Des soupçons confirmés six ans plus tard par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Les chercheurs français avaient alors non seulement pointé un risque de cancers du système lymphatique, de la prostate, des reins et de la vessie, mais aussi de possibles liens avec les maladies de Parkinson et d’Alzheimer. N’en jetez plus !

          Bayer pourra toujours dire que, l'Inserm et le Circ, c’est du bidon... C.L.

 

> fausses promotions, vrais escroqueries...

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          Pour mettre fin aux promotions bidon sur des articles aux prix de référence préalablement gonflés de manière artificielle, la directive européenne Omnibus oblige les commerçants à indiquer, sur les produits faisant l'objet d'un rabais, le tarif le plus bas proposé dans les 30 derniers jours. Une victoire pour l'UFC-Que Choisir, qui s'était battue pour cette mesure renforçant la protection des consommateurs.

          Les professionnels jouent-ils le jeu ? Afin d'en avoir le cœur net, notre association a mené l'enquête sur les plateformes de vente en ligne.

          Le bilan ? Un an après l’entrée en vigueur de ce dispositif législatif, nous avons épinglé huit enseignes s'obstinant à recourir à des pratiques commerciales trompeuses : Amazon, Asos, Cdiscount, E.Leclerc, La Redoute, Rue du commerce, Veepee et Zalando (lire aussi à ce sujet « Les stats de Que Choisir ». p. 9). Loin de respecter la règle des 30 derniers jours, ces webmarchands usent de biais cognitifs en instrumentalisant les prix de comparaison ( « Prix de vente conseillé ». « Prix moyen sur la marketplace », « Prix moyen sur les sites concurrents »). dans le but de duper leurs clients. Ils utilisent en effet les mêmes codes visuels (prix barrés, format, etc.) que pour les vraies promos. L’objectif ? Semer la confusion dans l'esprit des internautes tout en mettant en avant des réductions mirifiques.

          Déterminée à lutter contre ce stratagème, l’UFC-Que Choisir a saisi la justice mais également la Commission européenne, pour qu'elle interdise strictement tout autre prix de référence que celui prévu par la directive Omnibus.

Ce n'est pas une farce des prix de comparaison, peu importe la qualification légale, pratiques commerciales trompeuses ou autres, ce n'est ni plus ni moins du vol !

          Tiens, Michel-Edouard Leclerc, Monsieur donneur de leçons, si propre sur lui, ne l'est pas dans les magasins de son groupement d'entrepreneurs.... Quand aux autres, pré-supposés eux aussi encore innocents, ils estiment certainement que la loi française ne s'applique pas à leur juteux business.

 

> le retour du travail des enfants est le dernier signe du déclin des Etats-Unis

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          (...) Il est d’autant plus étonnant de découvrir qu’un fléau, que l’on croyait banni, revit. Le capitalisme états-unien est un système internationalisé, ses réseaux s’étendent pratiquement partout. Aujourd’hui, on estime à 152 millions le nombre d’enfants au travail dans le monde. Bien sûr, tous ne sont pas employés directement ou même indirectement par des entreprises états-uniennes. Mais ces millions devraient certainement nous rappeler à quel point le capitalisme est redevenu profondément rétrograde, tant chez nous qu’ailleurs sur la planète.

          Les vantardises sur la puissance et la richesse de l’économie des Etats-Unis font partie du système de croyances et de la rhétorique des élites. Cependant, l’espérance de vie aux Etats-Unis, mesure fondamentale de la régression sociale, ne cesse de diminuer depuis des années. Les soins de santé sont non seulement inabordables pour des millions de personnes, mais leur qualité est devenue au mieux médiocre si l’on n’appartient pas au 1% supérieur. De même, les infrastructures du pays sont depuis longtemps en déclin, en raison de leur âge et de décennies de négligence.

          Il faut donc considérer les Etats-Unis comme un pays «développé» en proie au sous-développement et, dans ce contexte, le retour du travail des enfants est profondément symptomatique. Même avant la grande récession qui a suivi la crise financière de 2008, le niveau de vie avait baissé, en particulier pour des millions de travailleurs mis à mal par un tsunami de désindustrialisation qui a duré des décennies. Cette récession, qui a officiellement duré jusqu’en 2011, n’a fait qu’aggraver la situation. Elle a exercé une pression supplémentaire sur les coûts de la main-d’œuvre, tandis que le travail devenait de plus en plus précaire, de plus en plus dépourvu d’avantages sociaux et non syndiqué. Dans ces conditions, pourquoi ne pas se tourner vers une autre source de main-d’œuvre bon marché: les enfants ?

          Les plus vulnérables d’entre eux viennent de l’étranger, des migrants du Sud, fuyant des économies défaillantes souvent liées à l’exploitation et à la domination économiques états-uniennes. Si ce pays connaît aujourd’hui une crise frontalière – et c’est le cas – ses origines se trouvent de ce côté-ci de la frontière [et non pas avant tout en Amérique centrale ou au Mexique].

          La pandémie de Covid-19 de 2020-2022 a créé une brève pénurie de main-d’œuvre, qui est devenue un prétexte pour remettre les enfants au travail (même si le retour du travail des enfants est en fait antérieur à la pandémie). Il faut considérer ces enfants travailleurs au XXIe siècle comme un signe distinct de la pathologie sociale présente. Les Etats-Unis peuvent encore tyranniser certaines parties du monde, tout en faisant sans cesse étalage de leur puissance militaire. Mais chez eux, ils sont malades. - source -

La législation sur la travail des enfants s'est aussi assouplie dans l'union européenne de merde sans oublier les périodes de travail déguisé, appelés "stages", qui sont de plus en plus longues en cours de scolarité,...