l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> le conflit d'intérêts bientôt discipline olympique ?

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          A un an de l'échéance, le Parquet national financier piste les petits malins lancés dans la course à l’argent des JO.

          Dans un an tout juste, le 26 juillet 2024, Paris accueillera les Jeux olympiques. En espérant que les maudits magistrats du Parquet national financier qui conduisent deux enquêtes préliminaires pour prise illégale d’intérêts, détournement de fonds publics et favoritisme ne s’avisent pas de gâcher la fête !

          Très en forme de ces dernières semaines, les limiers ont multiplié auditions et perquisitions - y compris à domicile - de hauts cadres du Comité d’organisation des JO (Cojo) et de responsables de sociétés ayant décroché une quinzaine de marchés. Certains d’entre eux pèsent moins de 1 million d’euros ; d’autres - comme l’organisation du relais de la flamme - flirtent avec les 20 millions. Mieux qu’une médaille d’or !

La flamme et la braise

          Parmi les heureux élus du contrat de la flamme, une petite boîte peu connue, RnK, créée en 2020 par David et Edouard Donnelly. Le second, qui en est parti en novembre dernier, est illico devenu... directeur exécutif des opérations de Paris 2024 ! Il affirme toutefois se « déporter » lorsqu’un marché olympique met son ancienne entreprise en concurrence.

          Il n’empêche : le succès de la très jeune RnK - qui a aussi raflé l’organisation des matchs de foot aux Jeux et planche sur une candidature française aux olympiades d’hiver en 2030 - en agace plus d’un. Comme l’a révélé « L’Equipe » (13/7), Tony Estanguet, le président du Cojo, a reçu, le 11 juillet, une lettre furibarde de l’entreprise Keneo.

          « Depuis bientôt trois ans, écrit l’avocat de cette dernière, la société Keneo se voit régulièrement refuser l’attribution de marchés (...), dont un nombre très élevé - pour ne pas dire la quasi-totalité - sont attribués à la société RnK seule ou en groupement avec d’autres partenaires. »

          Echaudé par l’accusation de « conflit d’intérêts » évoquée dans la missive, le Cojo affirme qu’il « respecte les mesures imposées par le comité d’éthique », dirigé par l’ancien conseiller d’Etat Jean-Marc Sauvé.

          Ces investigations judiciaro-policières répondent au double rapport de l’Agence française anticorruption (AFA), dont « Le Canard » (20/10/21) avait révélé le contenu. L’institution, sous la double tutelle de la Justice et des Finances, avait pointé des risques d’« atteinte à la probité » et de « conflits d’intérêts », égratignant l’image des « exemplaires » JO promis par Tony Estanguet.

          Les inspecteurs de l’AFA visaient, entre autres, et sans le nommer, un ancien cadre de Paris 2024 parti monter sa boîte de conseil et d’organisation d’événements sportifs, laquelle a obtenu par miracle un « accord-cadre conseil hébergement » pour les futurs visiteurs (sportifs, dirigeants, médias...) accueillis à Paris. Une forme de dopage, non ?

Contrats en or

          Ces descentes à répétition n’ont pourtant pas freiné toutes les ardeurs. Comme l’a découvert « Le Canard », Thomas Remoleur, ancien dirigeant des relations institutionnelles du Comité national olympique et sportif français (CNOSF), de novembre 2010 à décembre 2013, impliqué dans l’organisation de Paris 2024, a lui aussi monté sa société avant de profiter de l’argent olympique. Il a créé, dès janvier 2014, Olbia Conseil. Laquelle profite avec RnK, par exemple, du marché de la flamme. C’est chaud !

          Au début de ce mois de juillet, par courriel à en-tête de la société, il a pris contact avec plusieurs personnalités du sport français pour leur annoncer une bonne nouvelle : en compagnie d’une collaboratrice, ex-salariée du Cojo, il est chargé de rédiger le « livre officiel » de Paris 2024. Ce « beau livre », explique Remoleur, a pour ambition de « retracer l’histoire de cet événement unique ». Au « Canard », il assure que c’est son éditeur qui a obtenu le marché auprès du Cojo. Lui ne touchera « que les droits d’auteur ». Montant du marché ? Mystère pour l’instant, et pour cause : le Cojo n’a procédé à aucun appel d’offres. Encore une pratique drôlement sportive ! ( Didier Hassoux - le Canard enchaîné du mercredi 19 juillet 223 )

Cela doit être un sacré boxon cette organisation des JO où tout à chacun, bien placé, espère se faire les couilles en or sur la collectivité, et ce, certainement par tous les moyens,...

 

> le monde dans le piège de la dette

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          Ménages, entreprises, municipalités, états : partout sur la planète, la dette explose. Gros plan sur un fléau qui menace autant les individus que la stabilité économique mondiale...

Et, on arrive à l'inflation organisée actuelle où les populations viennent de perdre 20% de leur pouvoir d'achat...

 

> livret A : record du montant des encours qui dépassent les 400 milliards d'euros

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          (AOF) - Le Livret A, placement préféré de 55 millions de Français et actuellement rémunéré à hauteur de 3%, a engrangé 1,34 milliard d'euros en juin, selon les chiffres de la Caisse des Dépôts publiés ce vendredi. Au total, ce sont désormais 401,3 milliards d'euros qui reposent sur les Livrets A des Français. Il s'agit d'un niveau record. - source -

Très mauvais ! Cela veut dire que les français ont encore de l'argent et beaucoup ! = la finance va tout faire pour en récupérer un max = l'inflation et l’augmentation des prix vont continuer de plus belles...

 

> LockHunter : débloquez efficacement vos fichiers sous Windows

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          " L’autre jour, j’ai rencontré sous Windows un problème avec un fichier que je ne pouvais pas supprimer. Il était bloqué par un processus inconnu, et je ne savais pas ce qui coinçait. C’est alors que j’ai découvert un petit bijou d’utilitaire appelé LockHunter qui a résolu mon problème en un clin d’œil. Dans cet article, je vais vous présenter cet outil indispensable et comment l’utiliser pour débloquer vos fichiers et dossiers sous Windows.

          La première chose que j’ai aimé avec LockHunter, c’est sa simplicité. Pas besoin de chercher partout comment l’utiliser, il suffit de faire un clic droit sur le fichier ou le dossier bloqué et de choisir « What is locking this file? ».

          Miracle, le programme se lance et vous affiche toutes les informations nécessaires sur le processus en cours qui verrouille votre fichier ou dossier. Ensuite, jusque-là, rien de très étonnant par rapport à d’autres soft comme Unlocker dont je vous ai déjà parlé et qui est sûrement le plus connu.

          Je ne vais pas forcement comparer ces outils, mais plutôt vous montrer les fonctionnalités de LockHunter. Lorsque vous avez sélectionné un fichier, vous avez plusieurs options à disposition. La première est le bouton « Unlock It! » qui tente de fermer les processus en cours utilisant votre fichier ou dossier. Si cela fonctionne, vous aurez comme retour un message qui vous indiquera : « The file has been unlocked successfully!« .

          L’option suivante est le bouton « Delete It! », qui permet de forcer la suppression du fichier ou du dossier bloqué. Ce que j’aime avec cette option, c’est qu’elle place les fichiers supprimés dans la corbeille de Windows, ce qui vous laisse la possibilité de les restaurer en cas de suppression accidentelle. Un vrai plus pour les personnes comme moi qui sont parfois un peu trop promptes à supprimer les fichiers sans trop réfléchir.

          Enfin, le bouton « Other » contient plusieurs options intéressantes. La première, « Delete At Next System Restart », permet de supprimer le fichier ou le dossier bloqué au prochain redémarrage du système d’exploitation. Cela peut être utile en cas d’impossibilité de le supprimer autrement. Les options « Unlock & Rename » et « Unlock & Copy » permettent respectivement de déverrouiller, renommer ou copier le fichier ou le dossier en question.

          Une autre fonctionnalité que j’apprécie avec LockHunter est sa capacité à supprimer les processus bloquants directement depuis le disque dur. Cela peut être utile, car parfois les logiciels malveillants verrouillent vos fichiers à des fins obscures.

          Pour conclure, je tiens à dire que LockHunter est devenu pour moi un outil indispensable dans ma trousse à logiciels Windows. Il est simple, gratuit, et surtout très efficace pour débloquer n’importe quel fichier ou dossier bloqué. Si vous avez déjà rencontré ce genre de problèmes, je vous conseille vivement d’adopter cet utilitaire et de l’avoir toujours à portée de main. " - source -

>>> c'est par ici

 

Merci Korben, effectivement il semble intéressant et utile, je vais l'essayer...

 

> neuf millions de Français en situation de privation matérielle et sociale en 2022

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Précarité : neuf millions de Français en situation de privation matérielle et sociale en 2022,
un niveau jamais atteint jusque-là d'après l'Insee

          Selon l'Insee, qui publie une étude jeudi, la précarité a augmenté en France en 2022. Un ménage sur dix n'avait pas les moyens de chauffer correctement son logement et les Français sont plus nombreux à ne pas pouvoir partir en vacances une semaine.

          En France métropolitaine, neuf millions de personnes étaient en "privation matérielle et sociale" en 2022, selon une étude de l'Insee(*) publiée le jeudi 20 juillet. Cela représente 14% des personnes vivants en logement ordinaire et il s'agit du "plus haut niveau depuis 2013, première année où elle a été mesurée".

          L'Insee précise que "cet indicateur repère les personnes ne pouvant pas couvrir les dépenses liées à au moins cinq éléments de la vie courante parmi treize critères". Parmi ces critères, on retrouve notamment le fait de ne pas avoir les moyens de maintenir son logement à bonne température ou de partir en vacances pendant une semaine durant l'année.

          L'Insee constate que cette augmentation du taux de privation matérielle et sociale intervient alors qu'en 2021, "l'indicateur atteignait un niveau historiquement bas en raison de la crise sanitaire". Selon l'institut, cela peut s'expliquer par une "reprise des habitudes de vie antérieures à la crise sanitaire" et à "l'inflation [qui] est venue éroder le pouvoir d'achat des ménages".

13 critères pour mesurer la privation matérielle et sociale

          En 2022, une personne sur dix vivait dans un ménage qui n'a pas les moyens financiers de chauffer correctement son logement. Entre 2014 et 2021, ce taux oscillait entre 5 et 7%. Cette augmentation peut être attribuée, d'après l'Insee, "à la hausse des prix de l'énergie de l'hiver 2021-2022, et en particulier à celle du fioul domestique, combustible de chauffage que les ménages vulnérables utilisent davantage que les autres". Cette hausse des prix énergétiques touche plus durement les habitants des zones rurales, dont les dépenses en chauffage et en carburants sont plus élevées.

          Les ménages sont également plus nombreux qu'avant la crise sanitaire à ne pas pouvoir se payer une semaine de vacances (24,4% en 2022 contre 22,3% en 2019). Pourtant, cette proportion "baissait tendanciellement depuis une dizaine d'années", observe l'Insee. Les 13 critères mesurant la privation matérielle et sociale ne sont pas tous concernés par l'augmentation des difficultés rencontrées par les ménages depuis le début de la crise sanitaire. En effet, selon l'Insee en 2022, 4,1% des personnes vivant en logement ordinaire ne pouvaient pas posséder deux paires de chaussures pour des raisons financières, contre 5,7% en 2019. La proportion de ménages déclarant ne pas pouvoir s'acheter des vêtements neufs a également baissé (10,1% en 2022 contre 9,8% en 2019).

Les privations plus importantes chez les familles nombreuses et monoparentales

          Le risque de privation varie selon le niveau de vie, la catégorie socioprofessionnelle, le niveau de diplôme, l'âge, le type de ménage ou encore le lieu de résidence. Il augmente ainsi fortement dans le milieu rural. "Début 2022, la fréquence des situations de privation matérielle et sociale augmente nettement par rapport à 2020 dans les communes rurales (+2 points), et dans une moindre mesure dans les communes urbaines de densité intermédiaire (+1,6 points)" tandis qu'elle "recule dans les grands centres urbains", explique l'Insee.

          Les familles monoparentales et les familles nombreuses sont également plus exposées au risque de privation : l'an dernier, "trois personnes sur dix vivant dans des familles monoparentales étaient en situation de privation matérielle et sociale, et deux personnes sur dix au sein des couples avec trois enfants ou plus".

          L'Insee attire l'attention sur le fait que la situation de privation matérielle et sociale semble favoriser un certain sentiment d'exclusion, de solitude et d'isolement. "25% des adultes en situation de privation matérielle et sociale déclarent ne pas avoir de famille, d'amis ou de voisins à qui ils peuvent demander de l'aide morale, matérielle ou financière" et 27% "se sentent exclus de la société", contre seulement 7% des adultes n'étant pas dans cette situation. - source -

(*) Méthodologie : L'enquête Statistiques sur les ressources et les conditions de vie est menée auprès des ménages résidant dans des logements ordinaires en France métropolitaine. Cela ne comprend donc pas les personnes qui habitent dans des établissements pour personnes âgées ou dans des foyers de travailleurs, les personnes sans abri ou les habitations mobiles. Plus de 17 000 ménages, soit près de 39 000 personnes, ont répondu à l'enquête en 2022.

Mouais ! mais perso, les stats de l'insee ne sont pas fiables et il y a certainement beaucoup plus de personnes dans des situations de privation matérielle et sociale en France... Perso, vu ma facture d'électricité, j'ai réduit cet hiver mon chauffage électrique en utilisant un poêle à bois lors des grands froids. Finalement, le tout électrique, prôné par cette union européenne de merde, nous rendra encore plus dépendant de cette seule énergie utilisable dans le futur ; les actionnaires de Total et similaires ont de très beaux jours devant eux...

 

> dans le match de pouvoir police nationale / gendarmerie, la démocratie a perdu,

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Après l'incarcération d'un policier marseillais suspecté de violence,
les policiers héraultais relaient l'appel au service minimum


Bruno Mengibar, secrétaire départemental de l’Unité SGP-FOPolice 34, relaie l’appel national au service minimum dans l’Hérault. Pourquoi cet appel au service minimum ?

          C’est un appel national parti d’un mouvement spontané après le placement sous mandat de dépôt d’un de nos collègues suspecté dans une affaire de violences à Marseille durant les émeutes. Les trois autres collègues ont été placés sous contrôle judiciaire. C’est le mandat de dépôt de trop. Emmanuel Macron a évoqué une "faute inexcusable" au sujet du policier mis en cause dans l’affaire du refus d’obtempérer à Nanterre. On s’assoit sur la présomption d’innocence, nous le prenons comme une présomption de culpabilité. Dans le cas de notre collègue marseillais, il n’y a pas de risque de concertation ni de fuite. Une assignation à résidence avec contrôle judiciaire suffisait.

En quoi consiste un service minimum chez les policiers ?

          Nous prenons juste les appels du 17. On arrête toute initiative. Nous vivons comme une injustice d’être discriminé par rapport aux autres.

Quelles sont vos revendications ?

          Nous demandons un traitement dérogatoire dans ce type d’affaires de prétendus manquements. Nous devons avoir un statut particulier. Policier, ce n’est pas un métier comme les autres. A ce rythme, demain, il n’y aura plus de police. C’est une question de survie.

Le déplacement du directeur national de la police à Marseille peut-il désamorcer la situation ?

          C’est insuffisant. Notre mouvement est appelé à durer. En France, il y a 30 000 refus d’obtempérer. Certains sont prêts à tout pour ne pas obéir à la police... - source -

  Les gouvernements n'apprécient pas les revendications policières alors que de l'autre côté, les militaires de la gendarmerie sont muets comme des carpes et obéissent sans aucun état d'âme, normal au sein de la Grande Muette... D'un côté, les commissaires ne semblent pas tenir leurs fonctionnaires indisciplinés, de l'autre, les officiers supérieurs semblent tenir fermement leurs soldats et leurs troupes... Il est vrai qu'en gendarmerie/armée, réfléchir, c'est déjà désobéir.

On s'aperçoit depuis quelques temps de choix de généraux ou officiers supérieurs de la gendarmerie pour commander les forces armées de répression publique et d'enquêtes. La police nationale est, petit à petit, amoindrie : exemple de la suppression des polices spécialisées qui "gênent" souvent les puissants, les SRPJ, Services Régionaux de Police Judiciaire qui sont départementalisés et voient leurs compétences territoriales réduites, auxquels se substituent des services régionaux de la gendarmerie, ou les polices municipales, à qui le législateur donnent de plus en plus de pouvoirs judiciaires, de sécurité publique voire de répression directe de manifestants.

La prédominance en France de l'armée en matière de sécurité publique par sa gendarmerie ( sans oublier son nouveau rôle - SNU - auprès des jeunes dans l'éducation nationale ), montre que nous sommes bien dans une dictature qui, de plus, installe insidieusement des moyens militaires conséquents pour pouvoir durcir le ton et perdurer...

Tir ou pas tir ? Petit rappel, il me semble qu'un gendarme/militaire a légitiment le droit de tirer après sommations alors qu'un policier/fonctionnaire est soumis à la légitime défense du citoyen lambda ?

 

> les baisés du 1er août 2023...

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Le taux du livret A qui devait passé de 3 à 4,1% reste à 3%

          Alors que le taux du livret A aurait pu augmenter à 4,1 % selon l’application de la formule, il restera inchangé au 1er août 2023. Autrement dit, il sera toujours à 3 %. Une décision prise pour des « raisons d’intérêt économique nationales », a précisé Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie ce jeudi 13 juillet au 13h de TF1.

          En effet, comme l’indique la Banque de France, une hausse du taux du livret préféré des Français a des répercussions sur « le coût de revient des crédits immobiliers et de ceux à destination des PME ». Le taux à 3 % restera inchangé durant « 1 an et demi », a toutefois ajouté le ministre de l’Économie, en laissant entendre qu’il aurait forcément baissé dans les prochains mois. - source -

 

Les tarifs de l’électricité vont augmenter de 10%

          Pour un ménage se chauffant à l’électricité, la hausse atteindrait en moyenne 160 euros par an, selon le gouvernement.

          C’est une conséquence attendue mais douloureuse de la fin progressive du bouclier tarifaire d’ores et déjà annoncée par l’exécutif. Les Français vont devoir faire face à une hausse de 10 % des prix de l’électricité, et ce, dès le 1er août, ont conjointement confirmé les ministères de l’Économie et de la Transition énergétique, mardi matin.

         Cette hausse concernera avant tout l’ensemble des ménages français, mais aussi les petites entreprises (petits commerces, artisans), «raccordés à un compteur d'une puissance jusqu'à 36 kilovoltampères», ont précisé les cabinets des ministres. Concrètement, pour un ménage se chauffant à l’électricité, «avant la hausse, la facture était de l’ordre de 1640 euros par an. Après la hausse, elle sera à 1800 euros», soit une augmentation de 160 euros en moyenne, calcule le gouvernement.

          De fait, conformément au code de l'énergie, la Commission de régulation de l’énergie (CRE) calcule l'évolution théorique des tarifs réglementés de vente d'électricité (TRVE), ayant vocation à s'appliquer au 1er août 2023. Une augmentation qui se situe désormais à 74,5% TTC au-dessus des tarifs gelés actuellement en vigueur. C’est dans ce contexte que le gouvernement a décidé de «s’écarter de la proposition de la CRE», «en retenant une hausse moins élevée». Et ce, afin de «continuer à assurer la protection des consommateurs» grâce au bouclier tarifaire.

         Ainsi, s’en tenir à une hausse du 10% au 1er août, revient à dire que «le bouclier tarifaire continuera de s’appliquer», en prenant «en charge plus du tiers de leur facture». Soit environ 37% de leurs dépenses d’électricité, contre 43% aujourd’hui. «Le gouvernement continue de protéger les Français et réajuste les tarifs légèrement à la hausse, tout en leur garantissant de bénéficier des tarifs les plus bas en Europe», explique les conseillers techniques, graphique à l’appui.

          (...) Bien que brutale, cette augmentation était prévue, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire ayant déjà annoncé fin avril une sortie progressive du bouclier tarifaire sur l’électricité mais aussi sur le gaz d’ici à début 2025. La sortie de ces dispositifs se fera toutefois progressivement, et de manière encadrée, avait précisé le ministre, «pour ne pas inquiéter nos compatriotes». Ces annonces vont de pair avec la volonté de l'exécutif de serrer la vis sur les comptes publics, afin de réduire tant bien que mal une dette publique frôlant les 3000 milliards d'euros. «C'est l'heure de remettre les comptes d'équerre», avait notamment défendu le ministre de l'Économie.

          (...) Pour le gouvernement, cela pourrait représenter près de 14 milliards d'euros d'économies, auxquels s'ajoute aussi la fin du guichet d'accompagnement pour les entreprises très consommatrices d'énergies. Et ce, dans un contexte où ces mesures ont déjà coûté très cher : le coût du bouclier énergétique pour les ménages, les collectivités et les entreprises avait été évalué, à la fin de l'an dernier, à 110 milliards d'euros entre 2021 et 2023. - source -

Et les pertes conséquentes de mon pouvoir d'achat continent de plus belles !!! En conséquence, je viens de réduire drastiquement les dépenses que je faisais encore un peu : alimentaires, santés (dentaires), habillements, transports, entretiens, petits loisirs,...