l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



Quand les riches se droguent c'est pittoresque. Quand les pauvres se droguent c'est un fléau social - Paul Schrader

> classement 2023 des villes les plus "dangereuses" de France

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Classement 2023 des villes les plus dangereuses de France
( villes qui ont enregistré le plus de crimes et de délits.)

          Pour la sixième année consécutive, nous publions début avril notre classement annuel des villes les plus dangereuses de France et celui des villes les plus sûres. Ce classement est particulièrement commenté et diffusé chaque année, nous souhaitons donc vous rappeler son caractère purement informatif et le côté incomplet par nature des données sur les crimes et les délits qui reposent sur les faits enregistrés par les services de Police et de Gendarmerie.

          L'enquête cadre de vie et sécurité 2016 - 2018 indique par exemple que seule 1 victime sur 4 porte plainte pour des violences hors ménage et 1 sur 10 lorsque ces violences ont lieu dans le ménage. Notre classement 2023 est basé sur le nombre de faits enregistrés pour 1000 habitants dans 8 catégories communes aux villes de plus de 22 500 habitants sur l'ensemble de l'année 2022. Une note de détail est disponible en bas de page.

          Les faits notables pour ce classement 2023 sont la forte progression de Lille qui détrône Lyon de la première place, les baisses notables de Lyon et de Nantes dans le classement, malgré des nombres de crimes et de délits toujours en hausse dans les deux villes, la surprenante présence d'Angoulême à la 14e place de notre classement 2023 et la forte progression sur un an de la ville de Puteaux.

N°1 : Lille département du NORD
Avec un nombre total de 25 124 crimes et délits en 2022 contre 21 876 en 2021 pour une population de 236 234 habitants, Lille présente un risque d'être victime d'un crime ou d'un délit de 106.35 pour 1000 habitants, soit 10.6 %. Le Ratio nombre d'habitants, nombre de crimes et délits classe Lille au 1er rang des villes les plus dangereuses de France en 2023, classement en hausse de 2 places sur un an, 3e en 2022.

N°  2 : Paris
N°  3 : Orly, préfecture : Créteil, département du VAL DE MARNE
N°  4 : Saint Denis, préfecture : Bobigny, département de la SEINE SAINT DENIS
N°  5 : Lyon département du RHÔNE
N°  6 : Bordeaux département de la GIRONDE
N°  7 : Cannes, préfecture : Nice, département des ALPES MARITIMES
N°  8 : Grenoble département de l'ISÈRE
N°  9 : Rouen département de la SEINE MARITIME
N°10 : Puteaux, préfecture : Nanterre, département des HAUTS DE SEINE
N°11 : Agde, préfecture : Montpellier, département de l'HÉRAULT
N°12 : Valenciennes, préfecture : Lille, département du NORD
N°13 : Marseille département des BOUCHES DU RHÔNE
N°14 : Angoulême département de la CHARENTE
N°15 : Aubervilliers, préfecture : Bobigny, département de la SEINE SAINT DENIS
N°16 : Roubaix, préfecture : Lille, département du NORD
N°17 : Avignon département du VAUCLUSE
N°18 : Nantes département de la LOIRE ATLANTIQUE
N°19 : Toulouse département de la HAUTE GARONNE
N°20 : Bobigny département de la SEINE SAINT DENIS


Classement des villes avec le plus grand nombre de cambriolages

          Le nombre de cambriolages de logements constatés par les forces de police et de gendarmerie l'année dernière s'élève à 167 463 au total, sur toute la France métropolitaine contre 152 372 l'année précédente.

N° 1 : Tournefeuille, préfecture : Toulouse, département de la HAUTE GARONNE
Avec un nombre total de 302 cambriolages de logements en 2022 pour une population de 28 763 habitants, Tournefeuille présente un risque d'être cambriolé de 10.50 pour 1000 habitants, soit 1.05 %. Le Ratio nombre d'habitants, nombre de cambriolages de logements classe Tournefeuille au 1er rang des villes où le risque de voir son logement cambriolé est le plus important en 2023, classement en hausse de 6 places sur un an, 7e en 2022.

N°  2 : Villenave d'Ornon, préfecture : Bordeaux, département de la GIRONDE
N°  3 : Carcassonne département de l'AUDE
N°  4 : Rezé, préfecture : Nantes, département de la LOIRE ATLANTIQUE
N°  5 : Martigues, préfecture : Marseille, département des BOUCHES DU RHÔNE
N°  6 : Avignon département du VAUCLUSE
N°  7 : Les Pavillons sous Bois, préfecture : Bobigny, département de la SEINE SAINT DENIS
N°  8 : Carpentras, préfecture : Avignon, département du VAUCLUSE
N°  9 : Saint Sébastien sur Loire, préfecture : Nantes, département de la LOIRE ATLANTIQUE
N°10 : Saint Cloud, préfecture : Nanterre, département des HAUTS DE SEINE

( source )

Quand on sait comment les statistiques policières ou gendarmesques sont magouillées ( comme toutes les statistiques gouvernementales : le site de cette source est un site gouvernemental : data.gouv.fr,... ), sans parler des très nombreux refus de dépôt de plainte, ces statistiques sont à prendre avec de très grosses pincettes...

 

> les coûts vertigineux de la facture de régularisation d'électricité

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"C'est l'équivalent d'un salaire" : des clients de fournisseurs alternatifs d'électricité abasourdis par le coût vertigineux de la facture de régularisation

          Des milliers de clients reçoivent depuis quelques semaines leur régularisation de factures d'électricité et la note est parfois très salée. Certaines vont jusqu'à 10 000 euros dans les cas les plus extrêmes.

          Sur les réseaux sociaux, des centaines d'internautes partagent en ce début août des photos de leur facture : 2 672 euros de régularisation pour l'un, 5 185 euros pour l'autre et dans des cas exceptionnels, jusqu'à près de 10 000 euros. C'est la mauvaise surprise qui tombe en plein cœur de l'été, qui n'a rien à voir avec une surconsommation mais avec la hausse des prix de l'énergie répercutée par les fournisseurs alternatifs.

          Anthony et Elise, qui habitent au Havre avec leurs quatre enfants, sont concernés. Le 5 juillet, ils découvrent que leur régularisation s'élève à 1 600 euros. "C'est une très grosse somme. C'est l'équivalent d'un salaire", déplore Anthony. Clients chez Eni, ils ressentent une grosse injustice puisque la hausse n'est pas liée à une surconsommation. "Nous avons consommé uniquement 7000 kWh sur les 10 200 estimés à la base. Depuis trois ans, on fait de gros efforts électriques, on a installé un poêle à bois. On est passé au LED partout, on a même installé un ballon d'eau chaude solaire".

Un manque de transparence

          Le couple se sent complètement floué. Eni explique que le coût d'approvisionnement en électricité a augmenté. L'entreprise a répercuté ces prix sur les contrats reconduits après leur échéance mais l'explication ne calme pas les esprits. En Seine-et-Marne, Vincent Audigier, en a fait son combat. Il vient de créer un collectif avec plus de 70 clients. Il a recensé de nombreux cas comme le sien : "J'étais dans une situation un peu extrême, avec 9 500 euros mais il y a des situations de personnes qui sont à 4 000, d'autres à 1 640. J'en ai encore un 7 194 euros".

          Estelle fait partie des personnes qui se sont rapprochées de Vincent Audigier. Lundi, celle qui habite dans la région de Nancy, a reçu sa facture de régularisation : 3.200 euros à payer. "Les bras vous en tombent, j'en ai eu les larmes aux yeux", témoigne la pharmacienne. La nouvelle est d’autant plus brutale que ses mensualités, 90 euros par mois, n’ont pas évolué après le renouvellement de son contrat en octobre. "Je me sens un peu piégée, commente-t-elle. On sent que ça a été un peu fait exprès pour qu’on ne s’en rende pas compte tout de suite parce que bien évidemment, si je m’en étais rendue compte dès le mois d’octobre, je serais partie de chez Eni".

          Le fournisseur Eni assure répercuter la nouvelle grille tarifaire sur les mensualités et traiter au cas par cas si les modifications n’ont pas été faites. Vincent Audigier dont l’échéancier a été augmenté de dix euros par mois, pour une régularisation finale à 9.200 euros malgré une consommation en dessous de l’estimation initiale, dénonce un manque de transparence et pour le justifier, il montre un courrier envoyé par Eni. "C'est un courrier du 7 août 2022, il est écrit qu'on leur a fait confiance en souscrivant chez eux et qu'ils nous en remercient. Mais qu'à compter du 7 septembre, Eni fait évoluer les conditions de l'offre indexée sur les tarifs réglementés de vente. Et là, effectivement, on a une grille qui présente tout plein de centimes. Quand bien même on a pris connaissance de ce courrier-là en temps et en heure, on ne comprend rien." Vincent Audigier et le collectif ont engagé des négociations avec Eni parce qu'ils considèrent que le fournisseur italien ne respecte pas la loi.

Que dit la loi ?

          En cas de changement de prix, les fournisseurs doivent prévenir leurs clients un mois avant et de manière claire. "S'ils envoient juste un mail sans dire que les prix augmentent de 20%, on considère que l'information n'est pas correcte", assure Caroline Keller, responsable du service information et communication au médiateur de l'énergie.

          Malgré les saisines, Eni fait partie des fournisseurs qui ont fait des efforts, selon le médiateur de l'énergie. En 2022, il a pointé du doigt trois autres fournisseurs, Mint Energie, Méga Energie et Wekiwi, pour un manque de transparence. Les litiges sont également en hausse chez Engie. La tendance est globale, d'après Caroline Keller : "En 2022, on a reçu à peu près 5 000 litiges qui sont liés aux prix appliqués. C'est deux fois plus qu'en 2021. Et sur 2023, on est sur la même tendance".

          Avec la fin progressive du bouclier tarifaire, la hausse encore de 10% en août du tarif régulé de l'électricité. La tendance devrait se poursuivre dans les prochains mois et les prochaines années, selon le médiateur de l'énergie. - source -

Faut être bien bête pour croire aux "promesses" des publicités !!! Ne jamais oublier que la publicité oublie toujours les inconvénients des produits proposés à la vente...

Vous commencez aussi à comprendre pourquoi l'union européenne de merde va imposer l'énergie électrique partout,...

 

> les voleurs : fiction et réalités

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          Héroïque dans la fiction, détesté dans les médias, différences de traitement selon son statut social et sa façon de faire (évasion fiscale ou vol à l'étalage), le voleur est un personnage à part. On s’éloigne un peu des films de fiction pour analyser plus longuement le traitement médiatique de ce sujet.
          Cette vidéo s’appuie en grande partie sur le livre Sociologie des élites délinquantes ; De la criminalité en col blanc à la corruption politique. Par Pierre Lascoumes, Carla Nagels. Armand Colin, Paris, 2014.

( source )

et ce commentaire de @melchior9049 :
Les vols de l'élite ne sont pourtant pas leur côté le plus toxique pour l'humanité. Déjà une élite qui en est réduite à voler n'est pas une vraie élite à proprement parler car une vraie élite, il y a longtemps qu'elle a fait voter et légaliser son vol qui n'est donc plus un vol. De plus, le plus toxique chez l'élite n'est donc pas le vol mais sa facilité à traiter l'humanité comme un troupeau d'élevage qui doit être rentable à tout prix. Géographiquement, l'élite déplace, croise et remplace son troupeau humain avec seul but le profit. Cette élite va aussi décider pour son troupeau de son alimentation, de son travail, de son logement, de sa vaccination, de sa culture, de sa politique et de son éducation. C'est toujours cette élite qui va décider du taux de pollution acceptable pour son troupeau humain. L'élite décide du réchauffement climatique et de son intérêt migratoire et financier. Elle va aussi décider de l'idéologie dominante, des guerres, des lois, des crises économiques, des pénuries et des famines. Un député qui détourne un million, c'est grave autant que mal mais ça n'est rien à côté de ce que le summum de l'élite nous fait comme mal. Je ne crois même plus un changement ou une révolution possible car ça aussi elles l'ont déjà prévu, préparé même et elles sauront en sortir gagnante et en tirer profit. C'est toujours l'élite qui organise les guerres et les révolutions. Aujourd'hui, il n'y a plus de concurrence possible entre-elles aux niveaux des matières premières, des innovations ou de l'énergie. Le seul terrain à absolument maîtriser reste celui de l'humanité que ces élites traitent donc leur troupeau d'humains comme un outil de profit comme un autre et sans état d'âme.

 

> PV de stationnement, qui se gave le plus ?

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          Depuis la disparition des pervenches, le business du stationnement payant est devenu une véritable manne : entre prunes gratinées et contrôles automatisés, dans certaines villes, les recettes s’envolent. La preuve.

Ces villes championnes de la prune

          Le contrôle du stationnement en voirie ? Une véritable “poule aux œufs dehors” qui dépend de deux facteurs: le nombre de places payantes et les moyens mis pour traquer les allergiques à l’horodateur. A ce petit jeu, devinez qui met tout le monde... à l’amende ? (...) - extrait d'Auto-Plus n° 1823 du 11 août 2023 -

On s'en doutait presque pas... Pour compenser la suppression d'aides étatiques aux communes et autres, Macron a fait passer l'amende pénale pour les infractions de stationnement à une redevance fiscale de stationnement ou plus exactement, depuis 2018, une redevance d’occupation du domaine public pour les communes, ce qui permet aussi aux communes d’appliquer les tarifs qu'elles veulent. Ce système vicieux permet aussi s'intégrer dans la "philosophie" ultra-libérale en cours où la loi ne doit surtout plus être la même pour tous ! Et, bien évidemment elles ( en particulier les grandes communes ) ne s'en privent pas... Le stationnement est devenu une variable d'ajustement des finances communales dont les besoins, on le sait, sont toujours de plus en plus grandioses et cela, d'ailleurs, peu importe l'étiquette politique...

Il parait tout aussi évident que cela s'étendra au fur et à mesure à d'autres usages de l'automobile...

 

> lobby des assurances : une hausse « sans précédent » des accidents sur les autoroutes françaises en 2022

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          Selon le rapport de l’Association des sociétés françaises d’autoroutes, la consommation d’alcool, de drogues ou de médicaments reste la première cause d’accidents mortels.

          Dans son bilan sécurité 2022 publié mercredi, l’Association des sociétés françaises d’autoroutes (ASFA) déplore une hausse « sans précédent » des accidents sur l’autoroute. Elle compte 188 morts en 2022, soit 57 de plus qu’en 2021. « On voit bien une progression spectaculaire, même si 2021 était encore marquée par quelques restrictions de déplacements liées au Covid-19… Mais le trafic a augmenté de 7,5 % entre les deux années, alors que le nombre de morts a grimpé de plus de 40 % », note Christophe Boutin, délégué général de l’association.

          Les chiffres de 2022 sont même en hausse par rapport à ceux de 2019, dernière année équivalente en matière de trafic routier. Outre les morts, l’ASFA relève aussi 1 654 accidents corporels en 2022 (11 % de plus qu’en 2021) pouvant induire de graves séquelles. « Il y a un phénomène de relâchement des comportements après les restrictions sanitaires », constate Christophe Boutin, qui remarque que les mois de juillet et d’août constituent des pics de l’insécurité routière.

          Selon le rapport, la consommation d’alcool, de drogues ou de médicaments reste la première cause d’accidents mortels. Les conducteurs de moins de 35 ans y sont surreprésentés. Il est aussi précisé qu’un conducteur alcoolisé sur deux présente une alcoolémie supérieure ou égale à 1,2 gramme par litre de sang (la limite légale est à 0,5). « On ne parle pas d’un petit verre de vin en trop entre copains à midi. A ce niveau, c’est une vraie prise de risque consciente », commente M. Boutin. (...) - source -

les notices de pas mal de médicaments disent qu'il faut éviter de conduire, OK, mais demandez-donc à votre médecin ( qui vous a d'ailleurs absolument rien dit sur ces contraintes ) de vous faire un arrêt maladie pour vous éviter de conduire pour aller travailler,...

Soyons clair, ce sont les assureurs qui font un lobbying forcené pour une répression à outrance des automobilistes. Au plus il devient difficile de circuler, au plus ces assureurs engraissent leurs actionnaires...

 

🎨 Edwin Loftus, vous connaissez ?

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          Edwin Loftus est un peintre et dessinateur américain né en 1951. Aujourd'hui, à Seattle, Washington, États-Unis, Edwin Loftus est à la retraite. Même s'il vendait toutes ses peintures au prix qu'il demandait, "artiste" serait le travail le moins bien payé qu'il ait jamais eu... mais c'est comme ça. Cela n'aura pas d'importance pour lui après sa mort. Il espère juste que certaines personnes aimeront suffisamment ce qu'il fait pour en profiter à l'avenir.

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🔨 BLOB du jour

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          Il y a de plus en plus de cambriolages en France, surtout dans les campagnes ; les cambrioleurs associés remercient chaleureusement les maires qui éteignent l'éclairage public de leur commune dès la nuit tombée...

> auriez-vous le niveau de culture générale nécessaire pour obtenir la nationalité française ?

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          Lors du procédé de naturalisation, les personnes qui souhaitent acquérir la nationalité française passent un entretien dans lequel elles doivent démontrer une certaine connaissance de l’histoire de France et des principes de la République. Les maîtrisez-vous aussi ?

          Si vous deviez acquérir la nationalité française aujourd’hui, en auriez-vous les connaissances ? Le Parisien s’est penché sur les acquis demandés aux étrangers qui souhaitent être naturalisés français. Au-delà d’un niveau minimum de langue et des conditions matérielles (insertion professionnelle, résidence depuis un certain nombre d’années…), tous les candidats à la naturalisation doivent passer un entretien en préfecture pour s’assurer de leurs connaissances sur la France, son histoire et l’exercice de la citoyenneté.

          Cependant, cet entretien ne consiste pas en un examen noté, comme on peut souvent le penser. « Il faut se garder de cette légende urbaine : il n’y a pas un questionnaire type de culture générale utilisé lors de l’entretien en préfecture », explique la Direction générale des étrangers en France (DGEF), contactée par Le Parisien.

          L’entretien réglementaire pour les naturalisations vise à apprécier les connaissances de la personne, mais aussi son adhésion aux principes et valeurs de la République. Il n’est « pas stéréotypé », nous assure-t-on, et tient compte de la situation professionnelle du candidat : « On ne demandera pas la même chose selon que l’intéressé a suivi ou pas des études supérieures, par exemple », détaille la DGEF. Il ne s’agit pas d’un test de culture générale à proprement parler donc, dans lequel le demandeur aurait un score minimal attendu.

          Les éléments fondamentaux que le demandeur doit connaître sont répartis au sein de quatre grands domaines, définis par un décret de 1993 : les grands repères de l’histoire de France, les principes, symboles et institutions de la République, l’exercice de la citoyenneté française, et la place de la France dans l’Europe et dans le monde. Un « livret citoyen » permet aux candidats de se préparer à cet entretien en regroupant l’essentiel des connaissances attendues.

          À vous de vérifier désormais si vous présentez le niveau requis des candidats à la naturalisation française dans notre quiz de 20 questions : ( source )

 

► pour lire la suite...

> l’homme qui a pris 59 milliards d’euros cette année : Axel Dumas (Hermès), 2ᵉ fortune de France

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          Axel Dumas, grand patron d’Hermès, vous connaissez ? L’héritier de la famille du même nom est la deuxième fortune de France en cette année 2023. Montant du butin partagé avec la famille Hermès : 137,8 milliards d’euros (Challenges), soit 59 milliards de plus entre 2022 et 2023. Voilà un exemple de super-super-profit. Qui est donc ce discret assisté d’en haut national ? Encore un milliardaire fils à papa. Chaque année, le classement des 500 fortunes françaises nous rappelle la réalité des gigantesques écarts de richesses dans notre pays. 5 milliardaires français possèdent autant que 27 millions de personnes, et « en même temps », 1 Français sur 6 ne mange pas à sa faim. Qu’est-ce qu’on attend pour taxer les ultra-riches ? Notre brève.

          Titulaire d’une licence de philosophie, Axel Dumas est diplômé de Sciences Po et de l’université américaine d’Harvard. Le gérant d’Hermès International depuis bientôt 10 ans entre dans le groupe familial en 2003, « à la demande de son oncle » (La Croix). Faire partie de cette famille a du bon. Son ascension au sein de la multinationale est très rapide. Elle passe notamment par un poste créé en mai 2011… rien que pour lui : directeur général des opérations d’Hermès International. Avec sa famille, Axel Dumas est aujourd’hui la 2ème fortune de France.

          Est-ce par la sueur de son front et par un travail harassant qu’Axel Dumas a accumulé une telle somme ? Non. Il est, comme 80% des milliardaires français, un héritier (Financial Times). Méritocratie ? Self made man ? Prise de risques en lançant sa petite entreprise dans son garage ? Balivernes. L’héritier d’Hermès partage avec cette famille un butin de 137 milliards d’euros, soit 59 milliards de plus en un an. Bruno Le Maire ne sait toujours pas ce qu’est un super-profit ? En voilà un : 137 milliards. Cent. Trente. Sept. Milliards.

          Sous le mandat d’Emmanuel Macron, la richesse des 500 plus grandes fortunes de France a doublé. 500 milliards d’euros en 2017, 1 170 milliards d’euros en 2023 : du « jamais vu », abonde l’hebdomadaire Challenges. Cette somme correspond presque à la moitié du PIB du pays : 45%. Et « en même temps », le pays compte 4 millions de mal-logés, 8 millions de personnes à l’aide alimentaire et 11 millions de pauvres (1 million de plus depuis qu’Emmanuel Macron est au pouvoir). Cherchez l’erreur.

          Il est plus que tant de taxer les riches et de partager les richesses. « C’est de l’enfer des pauvres qu’est fait le paradis des riches », disait Victor Hugo. À cette phrase bien connue, Jean-Luc Mélenchon en a ajouté une autre, à l’intention d’Emmanuel Macron : « Vous avez fait le paradis des riches, avec l’enfer que vous avez infligé aux pauvres. ».

          137 milliards pour Axel Dumas, partagés avec la famille Hermès. De son côté, le fameux Bernard Arnault, 1er assisté de la République, accumule… 203 milliards d’euros. Cocorico ! La première fortune mondiale est française. Les sommes accumulées par ces parasites sont gargantuesques. L’insoumission va continuer à les démasquer dans l’une de ses séries phares : les assistés d’en haut. Plus d’une quinzaine de portraits en un an. Ces assistés d’en haut, ils ont des noms, ils ont des adresses, ils ont des visages. De prochains portraits arrivent. - source -

Et c'est loin de s'arranger, au contraire ! Les gouvernements en place fourbissent leurs forces de sécurité et l'électronique pour museler dans la violence et la répression les contestataires...