l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> procès avorté contre TotalÉnergies : un possible conflit d’intérêts

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          TotalÉnergies a-t-il bénéficié de la complaisance d’un juge ? C’est ce qu’a révélé le 26 juillet l’ONG Lanceur d’alerte. Le 6 juillet dernier, le tribunal de Paris a jugé irrecevable l’action en justice déposée par une coalition d’ONG pour inaction climatique. Mais l’identité du magistrat qui a rendu cette décision interroge. Il s’agit d’Antoine de Maupeou d’Ableiges, cousin germain d’un haut cadre de TotalÉnergies, selon l’ONG Lanceur d’alerte. D’après elle, ce haut cadre, Xavier de Maupeou d’Ableiges, a une carrière longue de vingt-quatre ans chez TotalÉnergies et a occupé « des postes de directeur général d’importantes filiales du groupe pétrolier ».

          « Pourtant, lors du procès, le juge n’a jamais mentionné cette potentielle situation de conflit d’intérêts, en apparente violation des obligations déontologiques de la magistrature », souligne l’ONG. Qui estime que selon ces règles, il aurait dû se « dessaisir spontanément » et que cela jette un « discrédit » sur l’ordonnance qu’il a rendue.

          L’information est dévoilée alors que TotalÉnergies a annoncé le 27 juillet avoir engrangé 4 milliards d’euros de bénéfices pour le second trimestre 2023. « Ces bénéfices sont encore et toujours le fruit de la stratégie climaticide de la major française, notamment sa stratégie basée sur le GNL (gaz dit naturel — fossile en réalité — liquéfié) [...] alors qu’il s’agit d’une énergie fossile qui aggrave le changement climatique », analyse Greenpeace. - source -

Sans surprise, l’État ( et toutes ses composantes ) et les multinationales sont intimement imbriquées...

 

> vous mangez encore de l'agneau néo-zélandais ?

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La guerre des moutons

          Ça y est, c'est fait. Après cinq ans de négociations, l'Europe vient de signer un accord avec la Nouvelle-Zélande, qui mange la laine sur le dos de notre filière ovine tricolore. Rembobinage du fil. Tout commence en juillet 1985, lorsque les services secrets français coulent, dans le port d'Auckland, le « Rainbow Warrior », le bateau amiral de Greenpeace. Pour se faire pardonner, la France accepte que le pays des All Blacks importe chaque année en Europe, sans aucun droit de douane, 228 359 tonnes de viande d'agneau. Une concurrence déloyale qui mettra sur la paille un tiers de nos éleveurs. Il est vrai que l'agneau néo-zélandais, vendu deux fois moins cher que le nôtre, est estampillé sur les étals « viande fraîche », alors que cette bidoche, abattue trois mois auparavant, est trimballée pendant huit semaines dans les cales d'un bateau après un traitement à l'azote liquide.

          Autant de détails introuvables sur l'étiquette, vu qu'il n'y a aucune obligation de préciser la date d'abattage ni le mode de conservation. Les 29 000 éleveurs d'agneaux qui nous restent avaient un temps repris espoir avec le Brexit. Sitôt la Grande-Bretagne avait-elle claqué la porte que le quota des importations de barbaque néo-zélandaise détaxée autorisé en Europe avait été amputé des 114 000 tonnes qui débarquaient chaque année dans les ports anglais. Las, l'accord avec la Nouvelle-Zélande ajoute dans la balance 38 000 tonnes d'agneau par an exemptées de taxes d'importation.

          Kiwi sur le gâteau, Bruxelles n'a imposé aucune réciprocité sur les normes sanitaires et environnementales en vigueur dans l'Union européenne. Prenez le diflubenzuron, cet antiparasitaire interdit dans l'UE car possiblement cancérigène pour l'homme, utilisé par les éleveurs néo-zélandais pour vermifuger leurs moutons. Sans compter le bilan carbone d'une viande importée qui parcourt 20 000 kilomètres ! Et ce malgré le plan européen d'action pour une alimentation durable baptisé « De la ferme à la fourchette », qui vise notamment à « lutter contre le réchauffement climatique en partie causé par notre mode de consommation et de production ».

          Le pire est à venir puisque l'Europe mijote un accord de libre-échange avec l'Australie, autre grande puissance moutonnière. Canberra, qui ne peut plus vendre ses moutons à la Chine depuis le refroidissement de ses relations diplomatiques avec Pékin, compte en refourguer 120 000 tonnes par an à l'Union européenne. On comprend pourquoi nos éleveurs d'agneaux crient au loup.

L'union européenne de merde dans toute sa splendeur ! Sans oublier que tous les autres produits en provenance de ce pays doivent être vérolés...

 

> Patrick Martin, le nouveau patron des ennemis des gueux

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          Après une réforme [ des retraites ] « indispensable », bien que « douloureuse », Patrick Martin a surtout estimé ce samedi 29 juillet que la « déconnexion » entre les échauffements du débat politique et la réalité du terrain est « très préoccupante ».

          Un drôle de pari au beau milieu de l’été. « Je pense que la rentrée sera politiquement chaude, et socialement assez apaisée », a anticipé Patrick Martin, le nouveau président du Medef, dans un entretien aux journaux régionaux du groupe Ebra, publié ce samedi 29 juillet au soir. Jugeant que les Français savent que la réforme des retraites était « indispensable », bien que « douloureuse », le patron des patrons remarque qu’« il n’y a pas eu de mobilisation dans les entreprises privées ». « Il y a eu un pic de 1,4 million de manifestants, ce qui est considérable, mais il y a en France 28 millions d’actifs », note-t-il.

          En revanche, Patrick Martin s’alerte de l’inflammabilité des débats politiques. « Nous sommes dans une configuration politique telle que tout devient éruptif, et l’Assemblée nationale s’échauffe autour de sujets qui n’intéressent guère le grand public. […] Cette déconnexion entre le débat politique et la réalité sociale est très préoccupante », dit-il.

          Refusant de dévoiler son propre salaire - qui représente « neuf fois le salaire médian de (son) entreprise » -, le successeur de Geoffroy Roux de Bézieux appelle à « remettre les choses en perspective » quand on parle de rémunération des dirigeants d’entreprises. Les rémunérations très importantes ne concernent selon lui « qu’une infime minorité de chefs d’entreprise ».

         « Le marché des top-managers est un micro-marché mondial. Vouloir plafonner ces rémunérations, c’est s’exposer au risque qu’ils partent ailleurs. Il faut savoir attirer des talents », plaide le patron des patrons. Celui-ci estime d’ailleurs que les rémunérations des élus politiques « ne sont pas à la hauteur de leur charge de travail, de leur exposition médiatique et des risques réputationnels et judiciaires qu’ils encourent ».

          Patrick Martin, qui a pris la tête du Medef le 17 juillet, a abandonné la direction opérationnelle de son groupe Martin Belaysoud, dont il est l’actionnaire majoritaire, pour en devenir le président du conseil de surveillance. « Je tiens à être à la tête de mon entreprise pour fêter son bicentenaire en 2029 », assure aux journaux du groupe Ebra le dirigeant, aujourd’hui âgé de 63 ans.

          Martin Belaysoud est un groupe d’environ 3 000 salariés, spécialisé dans la distribution professionnelle pour les secteurs du bâtiment et de l’industrie, qui dépasse le milliard d’euros de chiffres d’affaires annuel. - source -

Le Medef dans toute sa splendeur !!! en attendant plus d'informations, ces extraits de wikipedia :

     . Il est président du Medef Rhône-Alpes de 2006 à 2011 puis président du Medef Auvergne-Rhône-Alpes de 2016 à 2018. À l'époque de cette dernière fonction, il occupe également plusieurs autres postes : il est notamment administrateur de la Banque de France, de plusieurs organismes appartenant au groupe de prévoyance retraite Apicil, et également de Sipare, une structure d'investissement et d'ingénierie financière destinée aux PME.
     . Il déclare vouloir militer pour la baisse des cotisations sociales et des impôts de production.
     . Sa fortune professionnelle (hors biens personnels comme les voitures, œuvres d'art, maisons, etc.) est estimée en 2022 à 300 millions d'euros, ce qui le positionne selon Challenges à la 389e place des plus grandes fortunes française.

et selon le Medef : " ... Militant patronal convaincu depuis toujours du rôle bénéfique de l’entreprise dans nos territoires et pour le pays ..."

 

> la loi « anti-squat » validée par le Conseil constitutionnel, à l’exception d’un article

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          Cette loi, très contestée par la gauche et les associations, triple les sanctions encourues par les squatteurs et vise à faciliter les expulsions en cas de loyers impayés.

          Mauvaise nouvelle pour la gauche et les associations qui s’opposaient à ce texte. Ce mercredi 26 juillet, le Conseil constitutionnel a validé la récente loi « anti-squat ». Largement contestée par les députés de la gauche et critiquée par les associations, cette loi, qui triple les sanctions encourues par les squatteurs, n’a été amputée que d’un article par la haute juridiction d’après sa décision rendue publique.

          Les « Sages » ont seulement censuré l’article 7 qui libère le propriétaire d’un bien squatté de son obligation d’entretien et l’exonère en cas de dommage résultant d’un défaut d’entretien.

          Des députés de l’alliance de gauche Nupes avaient saisi le Conseil constitutionnel le 26 juin, pour obtenir la censure de la loi portée par le député Guillaume Kasbarian (Renaissance, parti présidentiel) « visant à protéger les logements contre l’occupation illicite ». Elle avait été adoptée au Parlement le 14 juin dernier. Selon les députés de la Nupes, cette loi constitue un « accès de sévérité », contraire au principe de « proportionnalité des peines », et à l’objectif constitutionnel du « droit au logement décent ».

Les sanctions encourues triplées

          Le texte, qui triple les sanctions encourues par les squatteurs - jusqu’à 3 ans de prison et 45 000 euros d’amende - et étend la notion de domicile aux résidences secondaires, va pouvoir entrer en vigueur, à l’exclusion de l’article 7.

          Le Conseil a validé la création d’un nouveau délit punissant d’une amende maximale de 3 750 euros la propagande ou la publicité en faveur des méthodes facilitant ou encourageant la violation d’un domicile.

          En vertu de cette nouvelle loi, peuvent être considérés comme des « domiciles » tous les locaux d’habitation contenant des biens meublés, y compris les résidences secondaires. Sur ce point, le Conseil constitutionnel introduit une « réserve d’interprétation », précisant qu’il « appartiendra au juge d’apprécier si la présence de ces meubles permet de considérer » que la personne « a le droit de s’y dire chez elle ».

          Pour les loyers impayés, le texte accélère les procédures judiciaires dans les litiges locatifs, en incluant notamment de manière systématique dans les contrats de bail une « clause de résiliation de plein droit ».

          L’ONU avait exprimé, en avril, ses inquiétudes quant à ce qui était alors encore une proposition de loi, estimant qu’elle fragiliserait des personnes déjà « particulièrement vulnérables ».

          Auprès du HuffPost, Noria Derdek, à la direction des études de la Fondation abbé Pierre, avait par ailleurs souligné en juin que « cette loi [allait] avoir des conséquences sociales et humaines dramatiques et [allait] pousser les gens à choisir entre la rue et la prison ». - source -

à droite toute !!!

 

> concurrence : les bons filons des filous du marché

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          Roi des télécoins, fabricant de verres optiques, alcoolier, pros du bâtiment ou de la boulangerie figurent au tableau d'honneur des flibustiers de l'économie.

          Entente sur les prix ou abus de position dominante, ces atteintes aux lois du commerce ont coûté, en 2022, la bagatelle de 468 millions d’euros à de petites et grandes boîtes françaises. L’Autorité de la concurrence, qui les a alignées, a aussi dressé pour près de 7 millions d’euros de contraventions au premier semestre 2023. Un montant inférieur, pourtant, à celui des années précédentes (874 millions en 2021). Car, explique-t-on à l’Autorité, les décisions sont de plus en plus contestées, et les tricheries, de plus en plus élaborées !

          Benoît Cœuré, son président, s’est par ailleurs inquiété, le 11 juillet, d’un projet de loi en cours de discussion devant le Parlement. Celui-ci envisage d’étendre aux juristes d’entreprise le secret de la correspondance, jusqu’ici dévolu aux échanges entre avocats et clients. Traduction : l’Autorité ne pourrait plus, lors des perquisitions, saisir une note écrite par le directeur juridique d’une boîte à son patron, même si elle prouvait que les pratiques anticoncurrentielles sont intentionnelles. En attendant, le pandore des étiquettes assure qu’il a fait gagner 20 milliards d’euros à l’économie française depuis 2011.

Aperçu des canailleries de l’année écoulée.

• Sacrées bondieuseries. Des messes basses avant de retaper des églises. C’est ce qu’a reproché l’Autorité à trois boîtes spécialisées dans la restauration de bâtiments historiques dans les Hauts-de-France. Selon un rapport de la Répression des fraudes, Entreprise Lelu, la société ECR ainsi que Bernard Battais et fils ont communié sur les prix en amont de leurs réponses à des appels d’offres. En 2013, d’abord, pour soigner la maison de Dieu de la commune de Bonneuil-les-Eaux (Oise). Puis en 2016, pour l’église d’Oxelaëre (Nord). « Les coûts induits par ces marchés ont pesé plus lourdement sur les budgets (des communes) qu’ils n’auraient dû si le jeu de la concurrence avait été effectif », a sermonné le gendarme de la concurrence. Pénitence : 174 000 euros d’amende au total... Amen !

• Lunettier sans clairvoyance. Pendant presque douze ans, entre 2009 et 2020, Essilor, fabricant de verres correcteurs portant ce nom ou celui de Varilux ou de Crizal, s’est ingénié à entraver le développement des lunettiers en ligne. Dans un communiqué du 22 novembre 2011, il expliquait : « Nous avons décidé de ne pas associer les verres de marque Essilor aux sites de vente de lunettes en ligne. » Au prétexte que « la visite chez l’opticien reste la meilleure façon de protéger sa vue ». Manque de bol, les enquêteurs ont découvert un courrier interne de la direction juridique (25/11/11) qui reconnaissait l’entourloupe : « En l’état de la réglementation et de la jurisprudence, nous ne pouvons ni interdire la revente de nos produits sur Internet ni refuser de vendre nos produits aux opticiens en ligne. Cette question est particulièrement sensible, notamment pour les autorités de concurrence. » Bien vu ! Essilor a écopé d’une belle amende de 81 millions d’euros pour abus de position dominante. Il en faudra, des verres, pour se consoler...

• Stop au gaz pillage. Après avoir naguère bastonné de 300 millions d’euros EDF - qui avait usé de méthodes siciliennes pour renforcer ses positions dans le gaz -, l’Autorité de la concurrence s’est occupée de Gaz de Bordeaux (« Le Canard », 3/5) : 1 million d’amende. Unique fournisseur de méthane de la métropole bordelaise, la société a planqué son offre à tarif réglementé et présenté la seule offre de marché auprès de ses 200 000 clients résidentiels. Gonflé.

• Bien cuit, le boulanger ! Baptisée Paneotrad, la machine « diviseuse, façonneuse et repose-pâtons » du groupe Bongard permet d’éliminer jusqu’à 30 % des opérations manuelles nécessaires à la confection du pain. Las ! l’engin, jugé trop cher, a fait un four chez les 30 000 artisans boulangers français et 10 000 autres points de vente de chaînes comme Paul ou La Mie Câline. Les membres du réseau de distribution exclusive et Bongard lui-même se sont entendus sur un prix unique de revente du Paneotrad - 24900 euros - et ont proposé de fournir à leurs clients des accessoires supplémentaires et des heures de formation. Pincés, les conjurés ont transigé pour limiter la pénalité à 2,95 millions. Un grain de blé dans les rouages...

• Téléphoniste sourd. Maison mère de SFR, Altice est un resquilleur récidiviste. Lorsque Numericable (devenu Altice) avait mis la main sur SFR en 2014, il s’était engagé par contrat à poursuivre le déploiement de la fibre optique avec Bouygues Telecom. La boîte dirigée par Patrick Drahi devait, notamment, relier le réseau souterrain de la fibre aux colonnes montantes des immeubles. Condamné, en 2017, à verser 40 millions d’euros pour non-respect de ses engagements, Altice a écopé d’une nouvelle sanction de 75 millions cette année, pour avoir privé Bouygues Telecom de clients, toujours pas raccordés à la fibre. Une amende à mettre à son (haut) débit.

• Champagne : flûte ou pipeau ? Maison mère des champagnes Canard-Duchêne, Arvitis, situé dans l’Hexagone, maintenait une exclusivité avec deux grossistes basés en Guyane (Sodis Chrismay) et en Guadeloupe (Sodipa). Il refusait notamment de vendre à de potentiels acheteurs, les renvoyant vers ses partenaires locaux. Tarif : 283 000 euros d’amende et la gueule de bois !

• Trop bonne intelligence... Avant d’être pris la main dans le sac, Moody’s Corporation, la société mère du groupe BvD (Bureau van Dijk), spécialisé dans l’intelligence économique, s’est très spontanément confessée à l’Autorité. Le secret ? Depuis 1989, elle s’entendait avec Ellisphere, vendeur d’abonnements à des bases de données contenant des infos sur les entreprises. Le duo fixait d’abord les prix des produits puis se répartissait la clientèle... Des pratiques sanctionnées à hauteur de 3,5 millions pour Ellisphere. BvD a, lui, bénéficié de la procédure de « clémence », qui permet d’échapper à la douloureuse si l’on dévoile ses propres turpitudes. Etre honnête, ça paie...

• Ecran de fumée. « Confrontés à un nombre croissant d’actes de délinquance », les débitants de tabac peuvent se barricader grâce à une aide à la sécurisation de leurs établissements. Jusqu’en 2017, les services des douanes prenaient en charge jusqu’à 15 000 euros de travaux, en contrepartie de la production de deux devis d’entreprises rivales. La mesure a fait un tabac chez le groupe Save et sa société mère, Age Invest ! La boîte émettait des « devis de couverture » (arrangés) pour se répartir les marchés avec sept entreprises « concurrentes ». Chaque société proposait, à tour de rôle, ses services en soumissionnant à un tarif trop élevé pour être retenu, faisant gagner le candidat convenu. 25 000 euros d’amende pour cette fumisterie ! ( Odile Benyahia-Kouider et Fanny Ruz-Guindos )

Et, cela doit être qu'une infime partie immergée de l'iceberg de la magouille du commerce et de la finance, qui ont "même pas peur" devant la légèreté des amendes... Par ailleurs, comme elle le fait, lentement mais sûrement, pour tout ce qui peut "entraver le libre commerce" ( au détriment des consommateurs ), la macronie va rogner les dents de cette Autorité de la concurrence,...