La carte Vitale numérique arrivera bien en France en 2023, via l'application mobile apCV. En phase d'expérimentation, elle propose les mêmes fonctions que son homologue physique avec quelques avantages.
L'arrivée de la carte Vitale numérique (ou e-carte Vitale) se fait un peu plus concrète chaque jour ! Le précieux sésame est même déjà accessible via l'application du même nom, disponible en téléchargement en version bêta sur Android et iOS. Toutefois, seuls certains résidents français peuvent en profiter pour le moment, avant un déploiement plus global. Une démarche qui s'inscrit dans la numérisation des documents officiels français. Attention, la carte Vitale numérique n'a pas pour but de remplacer la version physique, il s'agit seulement d'offrir une alternative aux usagers. On fait le point sur ce qui nous attend.
Carte Vitale numérique : qui est concerné ?
Comme il l'avait promis, le Gouvernement continue sa numérisation des services publics. Un mouvement désormais généralisé dans notre société, notamment pour les titres de transport et les timbre. Ainsi, après avoir la carte d'identité numérique avec France Identité, c'est la bonne vieille carte Vitale qui va progressivement passer en version dématérialisée. Le but : assurer le virage numérique de la santé et "fluidifier les relations entre professionnels de santé et assurés". Ainsi, un décret paru le 28 décembre 2022 et entré en vigueur le 1er janvier 2023 a confirmé le déploiement de l'e-carte Vitale sur le territoire français courant 2023 – elle doit être proposée à l'ensemble des assurés sociaux d'ici le 31 décembre 2025. Il définit également les "caractéristiques des moyens d'identification électronique des assurés et des professionnels de santé".
Le passage d'une carte Vitale physique à une numérique ne se fait pas en un claquement de doigts, fort heureusement. Le Rhône et les Alpes-Maritimes sont en phase de test depuis 2019, suivis de la Saône-et-Loire, la Seine-Maritime, le Bas-Rhin, l'Hérault, la Loire-Atlantique, la Sarthe et le Puy-de-Dôme. L'ouverture au reste de la France est prévue en 2023 grâce au décret, mais il n'est pas impossible qu'un retard de déploiement – assez habituel avec le Gouvernement – la reporte à 2024. Toujours est-il que le dispositif doit être globalement installé et utilisable sur l'ensemble du territoire d'ici 2026. L'application carte Vitale est disponible sur Android et iOS. Les personnes affiliées à un organisme de l'Assurance Maladie, de la MSA ou de la MGEN de ces départements, ayant au moins 16 ans et nétant pas sous tutelle peuvent d'ores et déjà l'utiliser, à condition que leur smartphone tourne sous iOS 7 ou Android 12 au minimum. En revanche, les utilisateurs n'habitant pas dans les territoires concernés se verront préciser que "Vous n'êtes pas éligible" et seront invités à se rendre sur le site applicartevitale.fr.
Pour l'instant, le décret n'implique aucune contrainte à devoir passer à une carte Vitale numérique, il est donc tout à fait possible de garder son petit bout de plastique vert. Il s'agit plus d'une solution alternative au format physique. Espérons que cela ne devienne pas obligatoire, car cela accentuerait la fracture numérique, notamment pour les personnes âgées qui ne sont pas très à l'aise avec la technologie et celles qui ne possèdent pas de smartphone. Bien évidemment, chacun n'a le droit qu'à une seule carte Vitale active, déclinée à la fois en format physique et en format numérique.
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les paroles :
Au marché de Briv'-la-Gaillarde,
A propos de bottes d'oignons,
Quelques douzaines de gaillardes
Se crêpaient un jour le chignon.
A pied, à cheval, en voiture,
Les gendarmes, mal inspirés,
Vinrent pour tenter l'aventure
D'interrompre l'échauffouré'.
Or, sous tous les cieux sans vergogne,
C'est un usag' bien établi,
Dès qu'il s'agit d'rosser les cognes
Tout l'monde se réconcili'.
Ces furi's, perdant tout' mesure,
Se ruèrent sur les guignols,
Et donnèrent, je vous l'assure,
Un spectacle assez croquignole.
En voyant ces braves pandores
Etre à deux doigts de succomber,
Moi, j'bichais, car je les adore
Sous la forme de macchabé's.
De la mansarde où je réside,
J'excitais les farouches bras
Des mégères gendarmicides,
En criant: "Hip, hip, hip, hourra !"
Frénétiqu' l'une d'ell's attache
Le vieux maréchal des logis,
Et lui fait crier: "Mort aux vaches !
Mort aux lois! Vive l'anarchi' !"
Une autre fourre avec rudesse
Le crâne d'un de ces lourdauds
Entre ses gigantesques fesses
Qu'elle serre comme un étau.
La plus grasse de ces femelles,
Ouvrant son corsag' dilaté,
Matraque à grands coups de mamelles
Ceux qui passent à sa porté'.
Ils tombent, tombent, tombent, tombent,
Et, s'lon les avis compétents,
Il paraît que cett' hécatombe
Fut la plus bell' de tous les temps.
Jugeant enfin que leurs victimes
Avaient eu leur comptant de gnons,
Ces furi's, comme outrage ultime,
En retournant à leurs oignons,
Ces furi's, à peine si j'ose
Le dire, tellement c'est bas,
Leur auraient mêm' coupé les choses:
Par bonheur ils n'en avaient pas !
Leur auraient mêm' coupé les choses:
Par bonheur ils n'en avaient pas !
(...) Le modèle français est celui d’une police armée de grenades explosives et de LBD, une rareté en Europe et une absolue impossibilité dans les pays de l’UE les plus démocratiques. Ces armes sont en principe utilisées de manière graduée, c’est à dire en mode d’escalade. La doctrine implicite en France est celle d’une escalade nécessaire où la police doit toujours avoir une puissance de frappe supérieure, pas celle de la recherche d’une désescalade. En cela la France s’écarte des bonnes pratiques des pays Européens qui ont participé au projet GODIAC, et les principes KFCD (Knowledge, Facilitation, Communication, Differenciation) sur lesquels le Défenseur des droits a mis l’accent.
La multiplication des violations des règles européennes et de celles du SNMO s’est traduite de multiples manières. Ce fut notamment le cas des tirs illégaux de LBD ou de grenades, et les blessures correspondantes, les coups de matraques hors de toute nécessité de défense et ou d’interpellation, les nasses assortis de gazages. On y ajoutera le détournement des procédures judiciaires permettant les arrestations de centaines de manifestants (relâchés 24 à 48 heures après), les interdictions de filmer en dépit de la légalité de la pratique, les entraves au travail des journalistes et des observateurs en dépit de la garantie qui leur est apportée par le SNMO (Schéma National du Maintien de l’Ordre) ou les règles européennes.
Ces pratiques, qui se répètent depuis 2018, traduisent l’émergence d’une démocratie policière en France. Ce régime nouveau est une forme hybride : ni Etat de droit authentique, ni Etat policier véritable. La France navigue désormais à l’extérieur des limites de l’Etat de droit pour ce qui est de la police, sans pour autant remettre en question les élections, l’indépendance des juges, ou le droit de la presse à couvrir les événements. La transparence tend plutôt à s’accroitre comme on l’a souligné. La démocratie policière combine donc de manière inattendue des pratiques de l’Etat de Droit et un usage policier qu’on ne s’attend pas à observer dans une démocratie européenne prompte à rappeler que sa déclaration des droits de l’homme date de 1789. Un usage qui ressemble à ce qu’on observe en Pologne ou en Hongrie, comme le rappellent les commentateurs étrangers.
Lorsque l’autorité, la légitimité de l’Etat est affaiblie, il s’appuie plus sur la coercition policière pour se faire obéir. Tel est le cadre actuel.(...) - source -
démocratie policière ? appelons un chat un chat ! méthodes de dictatures = dictature, surtout lorsque la démocratie n'est plus qu'un mot qui sert plus qu'à l'enfumage généralisé des citoyens électeurs...
Christian Raffin est un peintre français contemporain, né en 1957 demeurant Véron (France). Raffin réinterprète des scènes qu'il a mémorisées de sa vie quotidienne ou de ses nombreux voyages à l'acrylique et à la peinture à l'huile au couteau ou au pinceau sur divers matériaux (papier, bois, toile, etc.). L'artiste laisse ses émotions diriger son pinceau vers l'essentiel en fuyant la rigueur technique. Son intention est de transmettre son sentiment plutôt que de représenter fidèlement le sujet, ainsi il le purifie au point qu'il n'est plus reconnaissable.
Être ou ne pas être diplômé, telle est la question. Las ! « un certain nombre d’établissements (de l’enseignement supérieur) jouent de la confusion qui existe entre les différentes appellations : titres, grades, diplômes d’Etat, diplômes reconnus ou visés par l’Etat, Mastères, bachelors (...) ». C’est le diagnostic - enfin ! - posé par Catherine Becchetti-Bizot, médiatrice de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur, dans son rapport annuel intitulé « Apprendre à vivre ensemble » (sic).
Conséquence principale de cette « confusion » savamment entretenue par ces organismes privés lucratifs : de nombreux étudiants ont « la mauvaise surprise de constater que le diplôme obtenu ne leur permet pas d’emprunter la voie choisie à l’issue d’un cursus parfois long et coûteux » (« Les Echos », 20/7). L’important, c’est que leurs chèques aient bien été encaissés !
Rien qu’en 2022, le nombre de saisines émanant d’élèves et d’étudiants du secteur privé de l’éducation auprès de la médiatrice a atteint un sommet avec 1 392 réclamations, soit une hausse de... 346 % en cinq ans ! Parmi ces saisines, près de 500 concernent les établissements privés d’enseignement supérieur. Le plus souvent, les requérants « veulent s’assurer de la reconnaissance par l’Etat du diplôme qu’ils préparent » ou cherchent à débloquer leur situation administrative, « en particulier lorsqu’ils ne parviennent pas à récupérer leur diplôme ou une attestation de réussite, l’établissement ayant fermé, parfois en cours d’année ». C’est ballot !
Afin de « sécuriser le parcours des étudiants », la médiatrice recommande aux établissements privés de « proposer des outils permettant aux [jeunes] de vérifier (...) leurs perspectives en termes de poursuite d’études et d’insertion professionnelle ».
Nul doute que ces boîtes à fric vont se bousculer pour faire savoir que leurs « diplômes » sont en carton ! (C. B.)
Et l’État ne fait rien ! Si ! Il recommande !!! Il est vrai que la macronie, et alliés, sont pour la destruction de l’Éducation Nationale au profit d'une éducation privée hyper-cupide. Alors, ces écoles privées en profitent un max et ont encore de très beaux jours devant elles,...
SONDAGE EXCLUSIF - Fabien Roussel, personnalité préférée des électeurs de gauche
L'ancien candidat communiste à la présidentielle, qui cultive sa distance vis-à-vis de Jean-Luc Mélenchon, tire son épingle du jeu chez les sympathisants de gauche, montre le baromètre Elabe pour « Les Echos ».
La bonne image de Fabien Roussel dans l'opinion publique se confirme. Le secrétaire national du Parti communiste (PCF) est même, pour la première fois, la personnalité préférée des électeurs de gauche et des écologistes, révèle le baromètre d'août Elabe pour « Les Echos », publié jeudi.
Avec 52% d'opinion positive, il devance légèrement François Ruffin, Jean-Luc Mélenchon et François Hollande, tous trois pointant à 49% d'image favorable. Il a gagné 6 points en un mois. ( pas de suite : article payant de ce jour...) - source -
(.....) « Dans l'électorat de gauche, on cherche une alternative à Jean-Luc Mélenchon » , explique Bernard Sananès, le président d'Elabe. Preuve en est, le leader insoumis a perdu pas moins de 13 points de popularité chez les sympathisants de gauche en un an, quand Fabien Roussel en a gagné sept sur la même période.
Depuis plusieurs mois, le leader communiste cultive médiatiquement sa distance vis-à-vis de la Nupes et de son chef de file. Exemple récent début juillet, dans le cadre brûlant des émeutes urbaines, lorsqu'il n'hésite pas à se « désolidariser des propos tenus par Jean-Luc Mélenchon et certains Insoumis, qui ont refusé d'appeler au calme » . Ses critiques et sa méfiance envers l'alliance de gauche ne le pénalisent pas non plus. Auprès de l'électorat LFI, il a une image positive pour près de six sympathisants sur dix (58 %).(.....)
Bé bien sûr, encore une couche !!! Celui qui a permis l'élection de Macron aux dernières présidentielles en refusant sciemment de s'associer à la NUPES ( Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale ) est la personnalité préférée des électeurs de gauche !!! Ils se fichent presque pas de la tête du monde les journalistes des Échos ! Enfumage classiquement malhonnête, par un soi-disant sondage, d'un journal détenu par l'homme le plus riche du monde, Bernard Arnault, depuis 2007 et appartenant au Groupe Les Échos-Le Parisien depuis 2015, une filiale de LVMH. wikipedia : " ... Le quotidien s'est engagé contre l'union de la gauche lors des élections législatives de 2022..."
De plus, pourquoi faire dans la dentelle ! Roussel aurait une image positive auprès de 58% des électeurs de La France Insoumise !!! Il serait aussi "légèrement" plus apprécié que François Ruffin, et ils osent même remettre Hollande, l'infâme traitre à ses électeurs sur le tapis !!! Sans oublier l'objectif de diviser, encore et toujours, les différents électeurs de gauche ( sauf le PS dont les élus ont collectivement soutenu la politique de droite ultra-libérale d'Hollande ).
Quant au cabinet d’études et de conseil aux sondages exclusifs Elabe, il est associé aux Echos mais aussi à l'institut Montaigne ( présidé par Henri de Castries - très grand ami de Macron - PDG du groupe d'assurance AXA de 2000 à 2016, et président du comité de direction du groupe Belderberg depuis 2012. )...
N'oubliez pas que ces méthodes d'enfumage grossier mais vicelard sont toutes aussi organisées par ces gens dans tous les médias qui leur appartiennent ( et associés et affilés et... ) sans oublier les réseaux sociaux et autres d'internet,...
Caractéristiques principales :
WEBP en PNG, WEBP en JPG, WEBP en TIF, WEBP en GIF, WEBP en BMP, WEBP vers ICO,
PNG vers WEBP, JPG vers WEBP, TIF vers WEBP, GIF vers WEBP, BMP vers WEBP, ICO vers WEBP
Supports : Windows Windows 11, Windows 10, Windows 8/8.1, Windows 7, Windows Vista (32-bit & 64-bit)
Licence : Freeware - pas d'ennuis, pas de publicités, entièrement fonctionnel ; langue : Anglais mais possibilité de Français sur la version non portable.
>>> c'est par iCi
>>> à télécharger en version portable >>> iCi
indispensable et encore gratuit,...
Qu'est-ce que WebP ?
WebP est un format d'image moderne qui permet une compression efficace avec ou sans perte, ce qui se traduit par des temps de chargement plus rapides et des images de meilleure qualité. Les développeurs web peuvent utiliser ce format pour améliorer l'expérience de l'utilisateur sur leurs sites web. WebP prend en charge la transparence (également connue sous le nom de canal alpha) et les images WebP sont 26 % plus petites que les images PNG. Les images WebP sont 25 à 34 % plus petites que les images JPEG comparables. Aujourd'hui, la plupart des navigateurs tels que Chrome, Firefox, Edge peuvent afficher le format WebP.
Convertisseur WebP par lots
Vous pouvez convertir JPEG/PNG/TIFF/GIF/BMP en WebP ou convertir WebP en JPEG/PNG/TIFF/GIF/BMP avec Vovsoft WebP Converter. La conversion préserve la transparence (lorsque c'est possible). Ce logiciel vous permet également de créer des images en noir et blanc en utilisant l'option "Convert to Grayscale".
Cet utilitaire de conversion WebP de masse est un outil très facile à utiliser pour votre ordinateur portable ou de bureau. Il existe de nombreux sites web en ligne qui peuvent convertir des images WebP. Cependant, ils ont des limitations de téléchargement. Vovsoft WebP Converter peut convertir autant d'images que vous le souhaitez grâce à une interface conviviale. Vous pouvez facilement créer des fichiers d'images en masse.
La meilleure partie du programme est que la conversion se fait complètement hors ligne. Vous êtes le seul à contrôler vos données privées. Aucun fichier image n'est envoyé sur Internet.
Comment convertir un fichier WebP en JPG
Si vous avez téléchargé un fichier .webp et que vous souhaitez le convertir au format .jpg, vous pouvez vous fier à un outil spécialisé tel que Vovsoft WebP Converter. Ce programme peut rapidement convertir les fichiers WebP en JPG, parmi de nombreux autres formats.
ou, autrement dit, dictature, dictature, dictature !