l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



L'esclave fait son orgueil de la braise du maître - Antoine De Saint-Exupéry

> les bagarres aux bornes de recharge de véhicules électriques se multiplient....

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Les bagarres aux bornes de recharge de véhicules électriques,
qui se multiplient, menacent la mobilité et le secteur.

 

          Les disputes entre conducteurs aux bornes électriques deviennent monnaie courante, poussant les gestionnaires de stations de recharge à embaucher des agents de sécurité pour maintenir l'ordre.

          La transition vers la mobilité électrique au Royaume-Uni se heurte à un obstacle inattendu : la violence de la recharge, appelée « charge rage » outre-Manche. Un problème qui touche déjà aussi la France, dans des proportions moindres (câbles arrachés ; voitures thermiques stationnées sur des places réservées aux modèles électriques etc.).

          Alors que de plus en plus de conducteurs optent pour des véhicules électriques, les stations de recharge sur les autoroutes britanniques sont de plus en plus sujettes à des disputes entre usagers, particulièrement lors des périodes d'affluence. Pour remédier à cette situation, des agents de sécurité ont carrément été embauchés

La violence de la recharge électrise les bornes, pour une transition chargée de tensions

          La « charge rage » n'est pas une simple anecdote amusante, mais plutôt un symptôme des obstacles liés à la transition vers la mobilité électrique, et accessoirement d'une montée de la violence dans notre société. Moto, l'un des principaux gestionnaires de bornes de recharge au Royaume-Uni, a recruté des agents de sécurité pour mettre fin aux disputes entre usagers, devenues fréquentes.

          Le réseau électrique vieillissant du Royaume-Uni est, il faut le dire, un facteur aggravant de la situation. Selon Ken McMeikan, CEO de Moto, le réseau actuel ne dispose tout simplement pas de la capacité nécessaire pour répondre à la demande en électricité lors des pics d'utilisation.

          Donc forcément, sans une solution adéquate, chaque jour férié, vacances de Noël, Pâques et été pourraient se transformer en une crise de l'approvisionnement électrique, à l'image des pénuries d'essence et de diesel.

Une nécessité de moderniser le réseau, et d'accélérer l'installation des bornes

          L'annonce récente du gouvernement britannique de reporter de 2030 à 2035 l'interdiction de vente des moteurs thermiques illustre bien la complexité de la transition. La « charge rage » devient un problème sérieux, au point que des mesures supplémentaires pourraient s'avérer nécessaires pour résoudre cette question devenue un enjeu crucial pour le développement de la mobilité.

          La recrudescence des cas de violence de la recharge met en lumière le besoin pressant d'améliorer l'infrastructure de recharge électrique et de moderniser le réseau électrique britannique.

          Les gestionnaires de bornes et le gouvernement devront collaborer pour garantir un approvisionnement en électricité stable et fiable. Ce qui implique d'augmenter le nombre de bornes de recharge. Tout cela somme en tout cas comme un rappel des défis que pose la transition vers la mobilité électrique. - source -

Pour une fois que se sont les riches qui se foutent sur la gueule...

 

> la production d'électricité en France par filière ( RTE éCO2mix )

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          Par rapport aux dires gouvernementaux, il est intéressant de connaitre la production et la consommation d'électricité en France en temps réels. RTE nous informe journellement sur ce type de données :

>>> c'est par iCi

          Malheureusement, il manque une donnée essentielle pour pouvoir comparer, la capacité totale de production journalière, cela doit relever du secret des affaires... On a seulement ces vieilles données de janvier 2023 :

un autre type de synthèse de RTE > iCi

 

> la corruption de "basse intensité" : comment des agents du service public cèdent aux sirènes de l'argent

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          Cette corruption se déroule à bas bruit dans les couloirs des services publics. Des élus et des fonctionnaires rendent des services à des délinquants contre rémunération, notamment en divulguant des informations sensibles contenues dans des fichiers administratifs.

          C'est une réalité qui inquiète les autorités. La corruption dite de "basse intensité" qui concerne les élus, fonctionnaires ou contractuels travaillant pour l'État, comme pour ce policier parisien placé en détention provisoire car il est soupçonné d’avoir revendu des centaines de fichiers de police. Quand on évoque cette corruption, il s'agit de services payants rendus à des délinquants voire au grand banditisme. On l'appelle aussi "corruption du quotidien" ou "corruption de facilitation".

          Par exemple, à Beauvais en mars, un vaste trafic de voitures volées est démantelé. Un policier adjoint supprimait leurs immatriculations des fichiers de police pour qu'elles soient légalement remises en circulation. Il y a une centaine de véhicules au total dont des voitures de luxe. Ce policier est suspecté d'avoir touché 600 euros par véhicule radié et d'avoir empoché en tout plus de 60 000 euros alors qu'un gendarme faisait également des consultations illégales de fichiers de police au profit du réseau démantelé.

Des données à haute valeur ajoutée

          Ces fichiers sont au cœur de la corruption comme les fichiers d'immatriculation, du permis de conduire, des antécédents judiciaires ou des personnes recherchées. Il s'agit de données à haute valeur ajoutée. "Les richesses de l'administration, en France ou ailleurs, ce sont les bases de données, explique le commissaire Thomas de Ricolfis, numéro 3 de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), la police des polices, et ancien patron de l'office anticorruption. Donc on a les fichiers de police, les fichiers des impôts ou le casier judiciaire. Donc tout ça, ce sont des informations qui ont une très forte valeur pour les groupes criminels. Parce qu'à travers ces informations, ils peuvent savoir si on travaille sur eux, si on prépare des opérations sur eux ou s'ils font l'objet de recherches. C'est un peu comme un délit d'initié boursier."

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> l'aide à domicile reste à la porte

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          "Allez-vous-en, je ne vous connais pas !" Excédées ou déboussolées, les personnes âgées préfèrent parfois fermer leur porte aux auxiliaires de vie qu’elles ne connaissent pas. Il leur arrive aussi de rester plusieurs jours sans visite, et sans être prévenues que personne ne peut assurer la « tournée ».

          Hugues Vidor, le directeur d’Adédom, une importante fédération de structures d’aide à domicile à but non lucratif, explique : « Notre secteur est en crise. En plus de l'inflation et des prix du carburant, 25 000 emplois restent non pourvus, et une intervention sur cinq ne peut pas être réalisée ! Nous avons demandé cet été au ministère de la Solidarité un plan d’urgence de 400 millions d’euros et nous en avons obtenu 100, à partager avec les Ehpad ! » Et ce n’est pas le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2024, imposé le 25 octobre par un nouveau 49.3 d’Elisabeth Borne, qui va améliorer les choses. Le budget dévolu au vieillissement à domicile bénéficie d’une augmentation de moins de 5 % - pas de quoi rompre l’isolement. Vous reprendrez bien un petit Scrabble... en solo ?

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🎨 Eugène Druet, vous connaissez ?

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          Eugène Druet (1867-1916) est un artiste photographe d'art français né et mort à Paris. Grâce à ses recherches sur l'ortho-chromatisme ou impression des négatifs au gélatino-bromure d'argent, il invente le "Procédé Druet" qu'il signe ainsi pour chacun de ses tirages par une signature en cachet à sec. Sa technique nécessitait plusieurs heures de pose pour un rendu velouté exceptionnel qui, par son style incomparable en noir et blanc, allié avec une grande précision, lui permettait de donner vie aux œuvres d'art de ses amis artistes peintres ou sculpteurs.

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> pour toutes vos démarches, privilégiez le site gouvernemental service-public.fr

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Conso : vrais-faux sites officiels

           Que ce soit pour consulter ses points de permis, changer son adresse sur une pièce d’identité ou carte grise, déclarer la perte de son sésame, etc., ces démarches restent pour la majorité gratuites sur un site officiel. Cela posé, il est facile de se faire avoir, tant les truands regorgent d’imagination pour récolter, au mieux vos coordonnées pour alimenter des banques de données qu’ils revendent à prix d’or, au pire, pour vous délester de dizaines d’euros, voire vider vos comptes. Or l’arnaque du moment cible l’identité des sites administratifs officiels qui sont copiés jusqu’aux moindres détails (“Marianne”, couleurs nationales bleu, blanc, rouge...). La victime est souvent “ferrée” via un SMS (ignorez-le!) qui les redirige jusqu’à l’adresse URL qui arbore “.gouv". Ainsi la DGCCRF recommande de vérifier qu’elle se termine bien par “.gouv.fr” et non “.gouv.org”, par exemple. Sinon, privilégiez le site gouvernemental Service-public.fr. qui vous dirigera vers le vrai site officiel selon votre recherche. ( Pascale Gétln - Auto-plus n° 1835 du 3 novembre 2023 )

>>> c'est par ici >>> https://www.service-public.fr/

 

> l'Etat actionnaire

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Les brillants résultats de l’État actionnaire

          Le chiffre est passé quasiment inaperçu, il est pourtant révélateur. En 2022, la perte des 56 sociétés dans lesquelles l’État détient une part essentielle du capital a atteint 12,5 milliards d’euros. Le plus mauvais résultat depuis 2007.

          EDF a battu tous les records, en affichant un résultat net négatif de 17,9 milliards. Les bénéfices réalisés par Airbus (4,2 milliards) ou par la SNCF (2,4 milliards) n’ont pas suffi pour améliorer significativement le bilan. Lequel est aussi plombé par les résultats de firmes comme Safran, qui a affiché, l’an dernier, une perte de 2,5 milliards d’euros.

          En 2021, comme le souligne cruellement « Le Nouvel Économiste » (3/11), les comptes consolidés desdites sociétés avaient fait apparaître un bénéfice total de 9,3 milliards et avaient permis au Trésor public d’encaisser 2,3 milliards de dividendes. C’était autant de déficit budgétaire en moins, et ce malgré le ralentissement économique dû au Covid.

          Après avoir calculé le montant global des pertes affichées par ces 56 entreprises, « Le Nouvel Économiste » s’est intéressé à leur endettement. Il atteint 165 milliards d’euros pour 145 milliards de fonds propres. Soit un ratio « dettes sur fonds propres » de 114 %. Un pourcentage à comparer avec celui des sociétés du CAC 40 : 40 % en moyenne au cours des quinze dernières années.

          Et encore bravo à l’État actionnaire !

La macronie a fait basculer les entreprises rentables qu'elle avait que le privé puisse s'en faire les couilles en or. Aujourd’hui, elle poursuit sa casse à laquelle s’ajoute aussi la technique de l'endettement à mort. Il suffit de voir EDF ou la SNCF. Ce "manque à gagner" n'est donc que le résultat de la mise en pièces des services publics et des entreprises d'état...

 

> de l’impérialisme numérique

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          (...) le numérique certes concentre et polarise les pouvoirs, mais également développe une “interdépendance mondiale”. La technologie produit une mutation géopolitique inédite, notamment en produisant des acteurs privés aussi forts que des États, dont on peine à prendre la mesure des conséquences sociales que cela implique, notamment l’impact sur la démocratie, les droits de l’homme, la vie privée, l’éducation, la santé ou l’emploi… Du fait de leur grande granularité et de leur grande maîtrise par les multinationales monopolistiques, les produits numériques sont très souples. Ils permettent d’imposer des conditions d’utilisation spécifiques et de couper les accès au cas par cas et de favoriser des connivences de l’autre. Dans ces produits extrêmement modulables, les clients ne sont pas en contrôle, ce sont les fournisseurs de technologie qui restent maîtres. Les Big Tech ont construit un pouvoir très fort et très fin à la fois. La technologie produit de fortes et puissantes dépendances dont il est difficile de s’extraire. Ophélie Coelho conclut son livre en proposant de mesurer la perte de souveraineté à l’aune de la criticité des services dont on dépend. Pour elle la souveraineté ne dépend pas tant d’une grande politique stratégique de création de champions que d’une action plus pragmatique consistant à utiliser la commande publique pour soutenir un maillage d’entreprises moyennes afin qu’elles se renforcent les unes les autres. Construire son indépendance technologique, sa souveraineté numérique, prend du temps et nécessite de mobiliser des investissements et des capacités techniques sur le long terme. C’est là où nous avons été trop longtemps défaillants. Enfin, elle invite à garder le contrôle sur les infrastructures critiques, par exemple en favorisant une copropriété publique-privée.

          La grande question de cette géopolitique, c’est surtout la montée d’un pouvoir privé qui vient renforcer plus que perturber les équilibres géopolitiques en cours. Un pouvoir face auquel nous ne parvenons pas vraiment à mettre de limite, à l’image des niveaux de capitalisation boursière de ces entreprises, atteignant des montants qui leur assure une pérennité que bien des États n’auront peut-être jamais. Le sous-titre du livre est “l’Impérialisme à pas de géants”, et il me semble, très justement, que nous sommes confrontés à une puissance impériale inédite, qui, à partir d’un certain niveau, est capable de se développer sans n’avoir plus de compte à rendre. Une géopolitique capable de s’affranchir de toute considération géographique comme politique, pour s’imposer par sa seule puissance à produire le monde moderne. > article complet

Cela s'appelle par ailleurs la "mondialisation". Livre à ne pas manquer ou à offrir,...

 

🔨 BLOB du jour

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          Assurément, au rythme où vont les choses, dès que je sortirai de mes toilettes, je recevrai un mail de ce type : " Dites-nous comment ça s'est passé - votre avis compte pour nous ".

> ce qu’ils pensent, ce qu’ils disent, et ce qu’ils font...

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          La plupart des gens rencontrent un « problème » d’alignement entre : ce qu’ils pensent, ce qu’ils disent, et ce qu’ils font. Dans la pratique, cela ne pose pas de problèmes particuliers à la plupart des gens, conditionnés dès leur plus jeune âge à ce désalignement.

          Certaines choses « ne se disent pas« , même à nos proches. À l’école, on nous demande de faire des choses que nous n’aimons pas, qui manquent de sens, ou ne donnent aucun résultat.

          Au lieu de nous expliquer que les mathématiques sont un langage incroyable permettant de comprendre le fonctionnement de l’univers, on préfère nous imposer son apprentissage, comme une chiante étape obligatoire de plus de la vie.

          Côté personnel, c’est le même régime : obliger d’embrasser son arrière-grand-tante (remplacer par n’importe quel membre de la famille) même si cette idée nous révulse et peu importe l’amour que l’on peut lui porter, ou devoir passer un temps interminable à se « faire chier » à table pendant que « les adultes » déblatèrent des histoires qui nous indiffèrent… Il faut dire à quel point on trouve génial ou joli le cadeau qu’on vient de recevoir, mais que pourtant on déteste, ou éviter de dire à table que la « nourriture » qu’on est en train d’essayer d’avaler avec le sourire chez notre hôte est tout simplement immonde et immangeable !

          J’ai développé très tôt une résistance intérieure, très forte, à ce désalignement, jusqu’à faire le choix, d’aligner, autant que faire se peut, ce que je pense, ce que je dis, et ce que je fais, dans le fond et dans la forme, de ma vie quotidienne. Ceci m’a valu quelques désagréments à l’école, avec une majorité de mes camarades, ainsi qu’avec certains professeurs.

          Plus tard, cet alignement a souvent généré des sentiments « clivants » à mon intention. Une majorité de gens qui me connaissent, de près ou de loin, le plus souvent m’adorent ou me détestent (et parfois les deux sans vraiment savoir lequel des sentiments domine) mais ils sont rarement neutres à mon égard.

          Lors d’un précédent post, je vous indiquais à quel point, d’aussi loin que je me souvienne, je m’étais toujours senti heureux. Je suis persuadé que cet alignement intérieur est un l’un de mes meilleurs « cheat code » vers le bonheur.

          « Il y a des choses que l’on peut penser, mais que l’on ne peut pas dire, et des choses que l’on doit faire et qui vont à l’encontre de ce que l’on pense » : c’est une réalité de notre société contre laquelle je résiste de toutes mes forces, et c’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles je ne respecte pas les « codes » de réussite sur les principaux réseaux sociaux. ( Christophe Casalegno ) - source -

Je me demande si c'est pour cela que la majorité des gens sont "déphasés" voire relèvent de la psychiatrie, et, en particulier les femmes d'aujourd'hui, coincées entre leur naturel de gardienne du foyer et le désir de supplanter les mâles... Par ailleurs, les politiques sont l'exemple le plus flagrant d'alignement avec leur "fais ce que je dis, pas ce que je fais".