l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



Il doit y avoir quelque chose de pourri au coeur même d'un système social qui augmente sa richesse sans diminuer sa misère - Karl Marx

> la maire de Poitiers poursuivie par le préfet pour avoir soutenu un stage de désobéissance civile

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          Ulcéré par une « formation à la désobéissance civile », le préfet de la Vienne conteste la légalité d’une subvention accordée par la Ville de Poitiers à une association écologiste.

          Le tribunal administratif de Poitiers examinait ce jeudi un recours déposé par la préfecture de la Vienne à l’encontre de la Ville de Poitiers dirigée par l’écologiste Léonore Moncond’huy. Son tort ? Avoir accordé une subvention de 10000 euros à l’association Alternatiba – un mouvement citoyen pour le climat et la justice sociale – afin d’organiser, en septembre 2022, son « Village des Alternatives ». Lors de cette manifestation avait été proposée une « formation à la désobéissance civile ». Cet « atelier » a fort déplu à Jean-Marie Girier, actuel préfet de la Vienne et ex-directeur de campagne d’Emmanuel Macron durant l’élection présidentielle de 2017.

Le rapporteur public suit la maire de Poitiers

          D’après lui, cette formation s’avère « manifestement incompatible avec le contrat d’engagement républicain » auquel les associations doivent désormais souscrire pour bénéficier des subventions publiques. Introduit en 2021 par la loi « confortant le respect des principes de la République », dite « loi séparatisme », ce mécanisme vise théoriquement le fondamentalisme religieux et entend faire respecter les principes de liberté, d’égalité et de fraternité ainsi que les symboles de la République. Mais la préfecture de la Vienne y a vu matière à contester la subvention poitevine. « Les associations ne doivent entreprendre ni inciter aucune action manifestement contraire à la loi, violente ou susceptible d’entraîner des troubles graves à l’ordre public. L’association s’engage à ne pas provoquer à la haine ou à la violence envers quiconque et ne pas cautionner de tels agissements », avait ainsi rappelé Jean-Marie Girier à Léonore Moncond’huy.

          Cette élue dénonce depuis « une intervention politique de l’État », « une menace lourde contre la liberté d’expression » et n’entend pas retirer la subvention accordée à Alternatiba. Donner raison à l’État reviendrait à favoriser l’autocensure face aux associations engagées tout en « heurtant le principe de la libre administration des collectivités territoriales », a notamment plaidé l’avocate de la Ville de Poitiers, Me Sonia Fodil-Cherif.

          « La loi est détournée de sa cible. Le préfet a tenté de faire pression sur la société civile », a poursuivi l’avocat d’Alternatiba, Me Paul Mathonnet, avant de fustiger « la punition collective » infligée par le préfet de la Vienne au mouvement écologiste et à tous ceux qui, en réalité, soutiennent le mouvement anti-bassines. Le représentant de la préfecture, Charles-Edouard Minet, a lui-même tissé un lien entre « l’écologie radicale », cette « formation à la désobéissance civile » et la présence, lors de cet atelier, « de participants pour le moins problématiques » comme Julien Le Guet, porte-parole du collectif Bassines Non Merci (BNM). « L’argent des contribuables peut-il financer un atelier où sont abordées les actions violentes, le sabotage et les dégradations ? »

         Pour autant, rien ne permet d’affirmer que les participants au « Village des alternatives » n’ont été incités à commettre des actions violentes, a estimé le rapporteur public dont les conclusions sont le plus souvent suivies par la juridiction administrative. Les débats organisés lors de cette manifestation auraient aussi été « contradictoires », a-t-il rappelé en estimant que l’association Alternatiba n’avait pas enfreint son contrat d’engagement républicain. Léonore Moncond’huy a immédiatement salué ces conclusions. Mis en délibéré, le jugement sera rendu le 30 novembre. - source -

La dictature qu'on connait en France a deux principaux supports : le préfet et le procureur, auxquels les gouvernements successifs, aux ordres de l'union européenne de merde, donnent de plus en plus de pouvoirs, tout en restreignant évidemment ceux des élus du peuple,...

 

> JO : il va y avoir du sport !

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          A neuf mois des Jeux, Anne Hidalgo a fait le voyage jusqu’en Polynésie pour, une fois sur place, ne pas inspecter les installations olympiques. « Le Canard », lui, a mouillé le maillot pour une tournée d’inspection de Paris 2024 à petites foulées. Et le résultat est là : nombre de promesses faites lors de la candidature de la capitale ne seront pas tenues. Des Jeux du peuple ? Les prix des billets tendent à prouver le contraire. Des Jeux écolos ? Le bilan carbone sera plus élevé que prévu, la Seine moins propre que voulu, la place des vélos moins grande qu’annoncé, les transports moins collectifs qu’espéré. Des Jeux qui vont créer de l’emploi ? Le Comité d’organisation embauche beaucoup de bénévoles... qui bosseront donc gratos. Des Jeux sécurisés ? Le ministère de l’Intérieur s’inquiète d’une cérémonie d’ouverture à haut risque sur la Seine. Des Jeux accueillants ? Les hôteliers et Airbnb affichent des prix stratosphériques, alors que punaises de lit et rats des villes sont à la fête. L’investissement dans les Jeux en vaut-il la chandelle ? Oui, répond le Comité international olympique, qui y gagne des milliards. Les Parisiens, eux, demandent à voir. Avec « Le Canard », ils ont déjà la réponse.

• « Les Dossiers du Canard », « Il va y avoir du sport ! », 124 p., 6 € en points de vente.

 

> l'union européenne dans toute sa puanteur, sa merde et son fric !

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          Ce jour est un jour bien sombre actant la poursuite inique des ravages perpétrés à l'encontre de nos sols, de nos eaux, de nos airs, de nos santés publiques et de nos démocraties européennes ;

         une nouvelle flèche bien purulente, tirée d'un paradis où vivraient nos "élites", vient à nouveau d'être plantée en plein cœur de centaines de millions de citoyens de l'union européenne laissés pour quantité insignifiante et négligeable,

          qui vont pouvoir, avec leurs enfants, petits-enfants et arrières-petits enfants,

          grâce au glyphosate, béni du fric, ( ou roundup américain de Monsanto acheté par l'allemand Bayer en 2018 pour 63 milliards de dollars ),

          crever de plus en plus jeune, de beaux cancers et de très belles tumeurs, dans de belles grandes souffrances rédemptrices...

 

 

n'oubliez jamais les principaux responsables, leurs maîtres et leurs complices :

 

> le nouveau classement énergétique des ampoules Led

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          Les ampoules Led répondent à des normes et se positionnent selon un classement d’efficacité énergétique. Cela a pour but de permettre à l’utilisateur de faire un choix "éclairé" sur ces produits. Depuis mars 2023, la nouvelle étiquette fait disparaître les classes : A+, A++, et A+++. Le classement s’établit selon les lettres de A à G et 7 couleurs.

          Mais voilà, l’idée est d’éviter de considérer qu’une ampoule d’il y a deux ans affiche une performance A alors qu’une ampoule dotée des dernières technologies plus économiques est, elle aussi, en A. Résultat, les anciennes références A se trouvent en moyenne entre G et F avec cet affichage. Pourtant, elles sont toujours plus économiques que les anciennes ampoules, mais le législateur a prévu l'avenir. On peut parler de norme plus sévère et de l’idée de pousser les fabricants à aller toujours plus loin. C’est une question que devra sûrement revoir le même législateur en termes de vignette automobile par exemple. Donc, certes une lampe Led aujourd'hui affichée G est moins bonne qu’une ampoule notée A, même si cette dernière n’existe peut-être pas encore.

 

> les bons petits plats français au restaurant : beurk !

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Toques en stock

          Le million de touristes étrangers attendu aux JO de Paris, dans neuf mois, ne va pas nous décerner la médaille d'or de la gastronomie. Lorsque, entre deux épreuves, ceux-ci pousseront la porte d'un restau pour savourer de bons petits plats français, ceux-ci auront plus de 9 chances sur 10 de se voir servir de la cuisine d'assemblage. Dans la patrie du bien manger, qui s'enorgueillit depuis 2010 d'avoir sa gastronomie classée au patrimoine culturel immatériel de l'humanité, seuls 7 000 restaurants sur 175 000 emploient un vrai cuistot en cuisine. Tous les autres se contentent de remettre en température au micro-ondes ou au bain-marie des plats industriels sous vide ou surgelés. Dur à avaler.

          Pour redorer notre réputation culinaire, la ministre déléguée chargée des PME et du Commerce, Olivia Grégoire, veut obliger les restaurateurs à indiquer sur leur carte, sous peine d'amende, tous les plats qui ne sont pas faits maison. On applaudit l'initiative, mais ça ne va pas être du gâteau. Déjà, en 2007, sous Nicolas Sarkozy, les pouvoirs publics avaient sorti de leur toque un label « Maître restaurateur », avec un autocollant à poser sur la vitrine du restau indiquant au chaland que, ici, on faisait la cuisine. Sauf que, seize ans plus tard, seuls 4 % des restaus ont décroché la timbale ! Le cahier des charges est pourtant ultra-light, puisqu'il se contente d'une popote préparée sur place avec seulement 50 % de produits frais. Constatant que la mayonnaise ne prenait pas, le gouvernement avait remis le couvert, sous Hollande, avec un label « Fait maison ». Cette fois, il s'agissait juste de signaler sur la carte, avec une casserole surmontée d'un toit, les rares plats mitonnés par le chef. Avec, dans la marmite, un tas de dérogations. Un mets peut par exemple être déclaré « fait maison » même s'il contient de la pâte feuilletée surgelée ou un fond de sauce industriel sous vide. Nouveau flop.

          Et pour cause : en servant de la tambouille industrielle, les restaurateurs se contentent d'une cuisine riquiqui qui libère des mètres carrés en salle pour mettre plus de tables, tout en augmentant le nombre de services grâce au temps gagné. Sans oublier l'oseille que ça rapporte aux boîtes de l'agroalimentaire qui fournissent clés en main les restaus. Avec 8 500 produits au catalogue et plus de 1 milliard d'euros de chiffre d'affaires, c'est l'américain Sysco qui rafle la mise en France. De là à ce que la ministre Olivia Grégoire se fasse retoquer...

De la même manière que la France a sa gastronomie classée au patrimoine culturel immatériel de l'humanité, alors que celle-ci est aujourd'hui de la merde industrielle, l'idée que la France est la patrie de la liberté, égalité et fraternité est une fumisterie qui a encore bien cours de nos jours...

Perso, je ne mets quasiment plus les pieds dans un restaurant dont les seuls 4% se réclamant "fait maison" sont en dehors de ma bourse et les autres bien trop chers pour ce qu'ils offrent, préférant de loin me faire un bon sandwich avec des produits bio...

 

🔨 BLOB du jour

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          " La pauvreté reste toujours l'engrais principal, intarissable, incontournable qui assure aux riches la grande fertilité de leurs indécents profits "

> avec novembre, revoilà la pénurie de médocs...

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     Novembre en France, cela veut dire un hiver qui approche doucement, et, avec lui, les températures plus basses, parfois la neige et… les pénuries de médicament.

     Comment, vous n’aviez pas noté cette nouvelle tradition des périodes de fin d’année ? Pourtant, au cours du précédent hiver, certains produits comme l’amoxicilline ou le paracétamol avaient connu des soucis d’approvisionnement plus ou moins longs, et les mines de certains pharmaciens s’étaient notoirement allongées à mesure que leurs tiroirs se vidaient.

     À l’époque, le gouvernement avait fait assaut d’inventivité pour expliquer les problèmes d’approvisionnement, trouvant dans le conflit russo-ukrainien une excellente raison à ces nouvelles pénuries.

     Depuis, les choses avaient peu ou prou repris leur cours normal, jusqu’à ces dernières semaines où les craintes de nouvelles pénuries réapparaissent. C’est ainsi que, la semaine dernière, l’inutile minustre de la santé Aurélien Rousseau promettait de rassembler les acteurs de la filière pharmaceutique pour lutter contre les pénuries qui pointent le bout de leur nez malingre.

     On s’attend donc sans surprise à un énième exercice de communication vasouillard auquel la brochette de clowns macronistes nous ont maintenant habitué depuis plusieurs années, pour camoufler les raisons profondes de ces pénuries. La tentative d’utiliser les recettes de l’hiver précédent promet quelques moments de gène intense, l’année écoulée ayant nettement réduit la crédibilité du baratin gouvernemental.

     Et plus exactement, ces pénuries ne sont pas nées l’année dernière. En pratique, elles sont même en augmentation assez marquée ces dernières années et ont été observées dès la fin des années 90, coïncidant avec plusieurs phénomènes : l’arrivée de la Chine comme consommatrice majeure de médicaments, le déplacement des productions locales … vers la Chine justement (qui se sert donc en premier) et l’Inde, pour compenser les coûts de fabrication de plus en plus impossibles à supporter en France même (coût de la main d’œuvre, impôts locaux et nationaux, taxations à tous les étages,… est-ce étonnant ?)

► pour lire la suite...

> les assureurs font le mort

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          Pompes funèbres, banques et assurances viennent de se faire sonner les cloches, pour la quatrième fois consécutive depuis 2015, sur les « défaillances » de leurs contrats obsèques. Chargée de gendarmer les vendeurs de ce genre d’assurance, l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) a publié un communiqué salé le 3 novembre, au lendemain du Jour des morts...

          Il en ressort que les professionnels n’ont tenu quasiment aucun compte des précédents avertissements, délivrés par l’APCR en 2015,en 2019 et en 2021. Les ressorts de cette farce mortuaire sont toujours les mêmes : les clients sont rarement informés que le montant de leur prime d’assurance pourrait ne pas suffire à régler les frais de la cérémonie et que leurs héritiers risquent de devoir remettre au pot. Les vendeurs se montrent également d’une discrétion d’asticot sur les limites des garanties proposées. Par exemple sur le fait que certains contrats obligent le signataire à mourir avant la date d’échéance, sous peine de perdre tous les fonds versés... Il existe bien une solution plus économique pour les futurs défunts. Elle consiste à autoriser à l’avance les pompes funèbres à prélever le coût des funérailles directement sur le compte en banque du trépassé. Mais, cette proposition s'avérant moins rentable, les commerciaux évitent le plus souvent de la proposer à leur aimable clientèle.

          Bonne fille, l'ACPR s’est abstenue, une fois de plus, de sanctionner les fautifs. Elle s’est contentée de promettre qu’elle n’enterrerait pas l'affaire. Elle devrait ainsi procéder à une nouvel le série de contrôles en 2024 et s’engage à « [tirer] les conséquences des défaillances qui seraient une nouvelle fois constatées ». Sans fleurs ni couronnes... H.L.

même pas une petite amende à 135 € ! C'est vrai que celles-ci semblent réservées qu'aux gueux...