l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



Le capitalisme est un être particulièrement rusé doté d'un tas de qualités dont la plus remarquable à mes yeux est un manque absolu de vergogne - G. K. Chesterton

> toute la presse ce dimanche : «tout s’est bien passé»

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : autres Mots clés : aucun

. 3000 CRS
. 1400 stadiers
. Des grilles avec des pics
. Des drones
. Cartons rouges et sifflets confisqués
. Macron qui reste caché dans les vestiaires
. Les images du président diffusées à la télé mais pas sur les écrans géants du stade pour éviter les huées
. La remise des médailles et la coupe de France qui ont lieu dans les tribunes sans être diffusées sur les écrans…

          Toute la presse ce dimanche : «tout s’est bien passé», «quelques timides sifflets», «le président n’est pas si impopulaire». Le niveau de soumission des médias français est abyssal.

          Oui, les sifflets massifs et les cartons rouges n’ont pas été au rendez-vous attendu samedi soir. Mais à quel prix ? La contestation n’a pas eu lieu parce qu’elle a été contenue. L’épisode illustre bien le fonctionnement macroniste.

          S’il y avait eu une émeute avec envahissement de terrain, il y aurait eu une répression féroce et des discours pendant des jours à la télé sur le «danger» des supporters et l’irresponsabilité des syndicats. Mais c’est resté relativement calme, donc les macronistes se vantent qu’il ne s’est rien passé et que tout va bien.

          C’est exactement le même procédé médiatique qui s’est abattu sur le mouvement social. Des manifestation gigantesques et calmes en février, royalement méprisées par le pouvoir. Mais quand l’ambiance a chauffé en mars après le 49-3, le gouvernement a organisé des milliers d’arrestations, une répression sanguinaire, une diabolisation de «l’ultra-gauche» tout en se plaignant de «l’absence de dialogue».

          Dans ce scénario, Macron est gagnant à tous les coups :

Si ça ne pète pas, il se vante d’être soutenu et compris.
Si ça pète, il crie au péril factieux et déchaîne la violence répressive.

Troisième option : que le souffle de la révolte soit suffisamment fort pour que tout ce mécanisme vole en éclat. - source -

Nouvelles techniques macronistes ( similaires aux dictatures ) soutenues à 100% par les médias des milliardaires et les "chiens de garde"...