l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> les Français ne se sont pas autant serrés la ceinture depuis les années 1980

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, d'après l’Insee

          Le quotidien des Français est bouleversé par une baisse historique de la consommation alimentaire, révèle l'Insee. Contraints par l'inflation, les foyers adoptent des stratégies drastiques pour maintenir leur pouvoir d'achat, marquant ainsi une rupture majeure dans leur comportement de consommation.

          Le constat est saisissant : la crise de l'inflation pousse les Français à ajuster leurs dépenses quotidiennes, une réalité palpable malgré les déclarations se voulant rassurantes du gouvernement. Les ménages se retrouvent à devoir rationaliser leur alimentation pour maintenir leur budget à flot. Pour beaucoup, cela se traduit par des choix drastiques dans leurs achats habituels. Mariée et jeune maman, Marie, interrogée par Le Figaro dans un article publié samedi 9 décembre, a dû adapter son panier alimentaire en optant pour des marques distributeurs et en réduisant la consommation d'aliments non essentiels. De même, Océane, mère de deux enfants, jongle avec les promotions pour maintenir son budget à 400 euros par mois.

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> un système agroalimentaire à la dérive

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          On ne peut pas dire que jamais nous n'avons jamais aussi bien mangé quand la moitié des humains ont pas assez ou trop. « Manger les riches, c'est faire ripaille de leurs privilèges » à quoi nous invite l'essayiste Nora Bouazzouni. Une charge décapante contre ce qu'elle appelle « la lutte des classes par l'assiette » signant la faillite du système agroalimentaire actuel.

          N’a-t-on pas entendu les tenants de l’agriculture industrielle nous dire que le confinement lié au Covid avait montré un système agricole productiviste qui tenait en cas de crise ? Rien n’est plus trompeur. Le système a paru tenir mais la distribution de masse grande ouverte à tous ceux tenaillés par l’angoisse du lendemain n’empêche pas la France d’afficher 8 millions de personnes en insécurité alimentaire jusqu’à… des étudiants, nos futurs médecins, ingénieurs, enseignants. Une situation qui perdure en 2024. Sans oublier qu’à l’échelle mondiale, la situation s’est aggravée aussi. Alors, efficace l'agriculture industrielle ?

          On vit sur un volcan, sachant qu’à certaines époques de l’histoire, des famines non prévues ni imaginées ont pu compter plus d’un million de morts en Europe entre 1845 et 1852 et que le système alimentaire d’aujourd’hui pourrait se détraquer tout aussi bien. Et on continue. On accepte aussi de jeter le tiers des aliments qui sont produits, ce qui représente en 2022 au moins 1,3 milliard de tonnes par an de végétaux, parce qu’on ne sait pas distribuer. Tout en laissant de côté 840 millions de personnes menacées par la faim alors que des firmes agrochimiques dirigent une planète alimentaire qui semble devenir ingouvernable, que des États, dépassés ou cyniques, peinent à contrôler par une bureaucratie délirante. Alors, que fait-on ? Que fait-on, sinon prendre en compte le fait que l’alimentation relève de la géopolitique, autrement dit, de rapports de force inégaux entre des acteurs multiples qui doivent être arbitrés, d’abord par les mangeurs eux-mêmes, mais surtout par les États et par les Nations unies déjà fortement impliquées avec les agences que sont la FAO et le PAM, prix Nobel de la paix.

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> de l’impérialisme numérique

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          (...) le numérique certes concentre et polarise les pouvoirs, mais également développe une “interdépendance mondiale”. La technologie produit une mutation géopolitique inédite, notamment en produisant des acteurs privés aussi forts que des États, dont on peine à prendre la mesure des conséquences sociales que cela implique, notamment l’impact sur la démocratie, les droits de l’homme, la vie privée, l’éducation, la santé ou l’emploi… Du fait de leur grande granularité et de leur grande maîtrise par les multinationales monopolistiques, les produits numériques sont très souples. Ils permettent d’imposer des conditions d’utilisation spécifiques et de couper les accès au cas par cas et de favoriser des connivences de l’autre. Dans ces produits extrêmement modulables, les clients ne sont pas en contrôle, ce sont les fournisseurs de technologie qui restent maîtres. Les Big Tech ont construit un pouvoir très fort et très fin à la fois. La technologie produit de fortes et puissantes dépendances dont il est difficile de s’extraire. Ophélie Coelho conclut son livre en proposant de mesurer la perte de souveraineté à l’aune de la criticité des services dont on dépend. Pour elle la souveraineté ne dépend pas tant d’une grande politique stratégique de création de champions que d’une action plus pragmatique consistant à utiliser la commande publique pour soutenir un maillage d’entreprises moyennes afin qu’elles se renforcent les unes les autres. Construire son indépendance technologique, sa souveraineté numérique, prend du temps et nécessite de mobiliser des investissements et des capacités techniques sur le long terme. C’est là où nous avons été trop longtemps défaillants. Enfin, elle invite à garder le contrôle sur les infrastructures critiques, par exemple en favorisant une copropriété publique-privée.

          La grande question de cette géopolitique, c’est surtout la montée d’un pouvoir privé qui vient renforcer plus que perturber les équilibres géopolitiques en cours. Un pouvoir face auquel nous ne parvenons pas vraiment à mettre de limite, à l’image des niveaux de capitalisation boursière de ces entreprises, atteignant des montants qui leur assure une pérennité que bien des États n’auront peut-être jamais. Le sous-titre du livre est “l’Impérialisme à pas de géants”, et il me semble, très justement, que nous sommes confrontés à une puissance impériale inédite, qui, à partir d’un certain niveau, est capable de se développer sans n’avoir plus de compte à rendre. Une géopolitique capable de s’affranchir de toute considération géographique comme politique, pour s’imposer par sa seule puissance à produire le monde moderne. > article complet

Cela s'appelle par ailleurs la "mondialisation". Livre à ne pas manquer ou à offrir,...

 

> autopsie de la macronie

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Aux racines de la dérive autoritaire : le néolibéralisme détruit la démocratie ! - Barbara Stiegler

Barbara STIEGLER est professeur de philosophie politique à l’université Bordeaux Montaigne. Elle est notamment l’auteur de « Il faut s’adapter. Sur un nouvel impératif politique » (Folio, 2023) et de « Démocratie ! Manifeste » (Le Bord de l'eau, 2023).

          Spécialiste du rapport entre la politique et la biologie, Barbara Stiegler s'est intéressée aux origines du néolibéralisme, portées notamment par une injonction à l'adaptation, issue du lexique biologique de l'évolution. Dans cet entretien par Olivier Berruyer pour Élucid, elle revient sur ce qui caractérise notre régime politique, et en tire les conséquences pour la « démocratie » : dans un monde néolibéral, le pouvoir (la souveraineté) ne peut pas appartenir au peuple. En ce sens, l'ère d'Emmanuel Macron se présente comme une forme archétypale de ce régime à bout de souffle et fortement contesté.

excellentes analyses, à ne pas louper et à visionner dans de bonnes conditions car cette vidéo d'Élucid dure 1h.30

https://elucid.media/ Élucid c'est quoi ? : Élucid est un média en ligne indépendant qui explore l’actualité économique, politique, sociale et environnementale pour en éclairer les mécanismes et les enjeux. Fondé en 2021 par le spécialiste de la donnée économique et démographique Olivier Berruyer, notre média est une entreprise solidaire de presse (voir nos mentions légales), possédée à 100% par ses collaborateurs. Élucid se donne comme mission de transmettre les connaissances fondamentales pour redonner le pouvoir aux citoyens, et offre des clés de compréhension essentielles pour décrypter l’actualité avec nuance et hauteur de vue. Ancrée dans le temps long, notre ligne éditoriale est détachée du traitement précipité de l’information et de la course au « buzz ».
C’est un pari risqué dans cette période où tout concourt à une polarisation du discours au service des puissances d’argent et des intérêts politiques. Cependant, Élucid a décidé de relever ce défi et de faire confiance à l’esprit critique et à l’intelligence de ses lecteurs ! Nous ne cherchons pas à imposer une idéologie, mais bien à diffuser du savoir pour renforcer votre lucidité face aux propagandes de tous bords. Là où d’autres cherchent à noyer les lecteurs dans un flot d’informations inutiles, Élucid propose de prendre le temps de regarder plus haut et plus loin. Chez nous, personne n’est considéré comme du « temps de cerveau disponible ».

 

> toute notre culture (musique, films, livres, jeux...) est désormais numérique...

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          Toute notre culture (musique, films, livres, jeux...) est désormais numérique. Et bardée de DRM. La seule solution pour la préserver, c'est de se mettre hors-la-loi.

          Il ya quelque chose que vous aimez beaucoup sur internet ? FAITES-EN UNE COPIE SUR VOTRE ORDINATEUR. La version sur internet peut disparaître à tout moment.

     extrait d'un article de sebsauvage se basant sur un riche et imposant article américain (Reason) dont la traduction, faite à l'aide d'un traducteur automatique, se trouve à la page suivante. N'oubliez pas que ce qui se passait/passait aux USA, passe ou va passer en France...

          Il me semble effectivement important de conserver à titre personnel une copie de ce qui est numérisé et nous intéresse car elle risque de disparaitre dès le lendemain, d'où aussi l'objet de ce site sur certains articles éphémères.

 

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