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-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> le maire de Mazamet (Tarn) veut «ficher» les chiens pour verbaliser leurs maîtres

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          Prenant exemple sur Robert Ménard à Béziers, le divers droite Olivier Fabre veut prélever à Mazamet l’ADN canin pour sanctionner les crottes laissées sur les trottoirs de Mazamet, qu’il dirige depuis 2014.

          Après sa décision polémique sur les cantines scolaires, Olivier Fabre a trouvé une autre idée lumineuse dans sa commune pour tenter de sortir de l’anonymat. Le maire de Mazamet, étiqueté «divers droite», demande aux 10 000 habitants de la petite ville tarnaise de se prononcer pour ou contre… le fichage ADN des chiens. Son objectif : «responsabiliser et sanctionner les maîtres défaillants», selon le site Internet de la commune. Chacun peut d’ores et déjà répondre en ligne au «sondage» proposé par la ville. Le questionnaire papier va être envoyé aux administrés les plus âgés qui ne sont pas familiers de l’ordinateur, précise le maire, interrogé par Libération. «Les premiers retours sont positifs à 90 %, y compris chez les propriétaires de chiens», se félicite Olivier Fabre.

          Le maire de Mazamet suit en fait son lointain voisin de Béziers à la trace. Dans l’Hérault, Robert Ménard est le premier maire à expérimenter, depuis la rentrée, la verbalisation des crottes de chiens en France. «Il ne s’agit pas vraiment d’une amende, mais d’une facturation des frais de nettoyage», précise Olivier Fabre. L’argumentation semble sortir tout droit du laboratoire privé qui vend ses enquêtes génétiques clé en main aux collectivités. A Béziers, la justice administrative avait censuré à la demande du sous-préfet de l’Hérault une première tentative de verbaliser les crottes de chiens via leur l’ADN en 2016. Prudent, le maire de Mazamet promet de prendre en charge le coût du fichage sur le budget communal. Mais les propriétaires récalcitrants qui ne pourront pas présenter la carte ADN obligatoire de leur toutou aux agents de la police municipale s’exposeront à une amende de 40 euros.

          Selon une technique de communication bien rodée, Olivier Fabre a commencé par tâter le terrain sur sa page Facebook en novembre. Sa proposition pour lutter contre les déjections canines a suscité plus de 100 commentaires. Elle lui a aussitôt valu une invitation aux Grandes Gueules de RMC pour développer son idée. Le maire de Mazamet connaît bien le filon : fondateur de 100 %, une station FM qui s’est développée sur toute la région Occitanie depuis le sud du Tarn, Olivier Fabre n’a lâché le micro qu’en 2014, pour se lancer à l’assaut de la mairie de Mazamet. Elu sans étiquette à l’époque mais avec le soutien des centristes de l’UDI avec près de 40 % des voix dans une quadrangulaire face au maire sortant (divers droite), une liste du Parti socialiste et une autre du Rassemblement national. Dans une ville où François Fillon (24 %) et Marine Le Pen (23 %) avaient devancé Emmanuel Macron (19 %) en 2017, le maire de Mazamet a, lui, facilement été réélu en 2020. Il avait obtenu 100 % des suffrages exprimés. Sans aucun opposant.

          Ouvertement candidat à un troisième mandat, Olivier Fabre semble toutefois à l’étroit dans sa commune. Après avoir échoué à se faire élire au département, puis à la région sur une liste macroniste, le maire de Mazamet ne cache pas à Libération son envie de réaliser une OPA sur la présidence de la communauté de communes de Castres-Mazamet. Sans s’interdire de se présenter à un mandat national en ratissant large, depuis les ruines libérales du macronisme jusqu’à la «droite populaire» et sans exclure le RN que Fabre ne classe plus à l’extrême droite, mais parmi la «droite hors les murs». Comme Robert Ménard à Béziers. - source -

" Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. " - Michel Audiard -

 

> loi immigration : qui se ressemble, s'assemble...

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Aucune surprise donc, ce sont les mêmes, ils ont simplement acté leurs compromissions sur la répression et un contrôle dictatorial des populations. Macron n'a-t-il pas appelé, il y a quelques temps, à un rassemblement de tous les partis autour de son trône ? Clairement, Macron n'a pas de parti autre que celui du fric et pour cela il est prêt à s'associer avec le diable lui-même !...

 

> uniforme dans les écoles françaises...

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Polo, pantalon : à quoi devrait ressembler l’uniforme scolaire du XXIe siècle version Attal

          Les premières pistes envisagées par le gouvernement pour expérimenter l’uniforme dans les écoles, collèges et lycées de quelques communes, départements et régions volontaires ont été dévoilées ce lundi 11 décembre par France Info.

          Cinq polos, deux pulls et deux pantalons par enfant pour 200 euros : voilà la version 2024 de l’uniforme. «Moins tristoune» que la blouse grise, de quoi satisfaire la première dame favorable depuis longtemps à la tenue unique, mais plus réac que le jeans-baskets proposé par Emmanuel Macron devant HugoDécrypte, cet uniforme version XXIe siècle devrait être expérimenté dès la rentrée 2024 dans quelques écoles, collèges et lycées volontaires, selon les informations récoltées par France Info.

          Annoncée le 6 décembre par Gabriel Attal, l’expérimentation de la tenue unique débutera à la rentrée 2024, voire au printemps pour les communes les plus motivées. Les enfants vivant à Tourcoing (ancien fief de Darmanin du Nord), Reims (Horizon), Nice (LR), Perpignan (RN), dans les départements de l’Allier (UDI), des Alpes-Maritimes (LR) ou dans la région Auvergne-Rhône-Alpes de Laurent Wauquiez devront donc porter l’uniforme.

          Toutes les familles n’ayant pas les moyens de débourser 200 euros par enfant, le ministère devrait prendre en charge 50 % du coût des tenues selon France Info, le reste sera financé par la commune, le département ou la région.

          Normalement fabriquée dans l’Hexagone, la nouvelle version de l’uniforme sera identique sur tout le territoire. Complètement identique ? Non, un petit écusson sera personnalisable au niveau local. Chaque enfant aura droit à un vêtement neuf de rechange par an, selon les collectivités territoriales interrogées par le média public, si le modèle est abîmé ou s’il devient trop petit. En revanche, France Info ne précise pas si la tenue sera la même pour les filles et les garçons (la jupe sera-t-elle autorisée ?) ou si le kit contient une tenue de sport. La question n’est également pas encore tranchée pour le tablier chez les maternelles. L’expérimentation est prévue pour durer deux ans, affirme encore France Info, ajoutant qu’un suivi scientifique, ainsi qu’une «évaluation du climat scolaire, des résultats et de l’ambiance en classe» devront être réalisés. - source -

Bé bien sûr ! comme aux USA ou au RU et à l'armée, d'abord l'uniforme, puis comme à l'armée, une hiérarchie dictatoriale et l'obéissance absolue aux ordres ! Qu'en sera-t-il des écoles privées, costard/cravate Prince de Galles pour bien marquer les différences ?

 

> la maison d'un militant écologiste saccagée par des agriculteurs en marge d'une manifestation de la FNSEA à La Rochelle

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          Les tensions ne cessent de monter autour de la question de la gestion de l'eau à usage agricole. Nouvel exemple en Charente-Maritime, où le domicile du vice-président de l'antenne locale de France Nature Environnement a été saccagée par des agriculteurs revenant d'une manifestation à La Rochelle. Il porte plainte.

          Cela fait plusieurs semaines que Nature Environnement 17, l'antenne départementale de France Nature Environnement, alerte la préfecture sur les violences subies par ses adhérents. Ce mercredi 22 mars, son vice-président a vu son domicile saccagé - pour la seconde fois - par des agriculteurs de la FNSEA. Avec l'association, il dénonce "des violences qui n'ont plus rien à voir avec une vie démocratique". Il appelle l'État à intervenir "urgemment" avant que la situation ne dégénère.

          Le 22 mars, à l'appel de la FNSEA et des Jeunes Agriculteurs, 140 tracteurs se sont retrouvés dans les rues de La Rochelle. En colère, les centaines d'agriculteurs présents étaient venus demander de continuer à pouvoir utiliser des pesticides en l'absence de solution de remplacement et de continuer à pouvoir irriguer. Devant la Direction départementale des territoires et de la mer (DDTM), ils déversent des pneus, du plastique, des cagettes... Ils assuraient, auprès de nos confrères de France Bleu, avoir gardé des "'munitions' [...] qu'ils devraient laisser derrière eux en quittant l'agglomération de La Rochelle".

           Ils ont tenu promesse. Sur le chemin de leur retour, une cinquantaine d'agriculteurs ont laissé des pneus, des tuyaux d'irrigation et du fumier. Mais pas n'importe où. La maison du vice-président de Nature Environnement 17, Patrick Picaud a été ciblée, à La Laigne. Vers 17 heures, plusieurs tracteurs ont débarqué pour déverser le reste des déchets, taguer le muret d'insultes homophobes et jeter des pierres sur la résidence. Mais pas seulement, comme en témoigne Patrick Picaud : "Le pire, ce sont des gens qui arrivent à ce stade de lâcheté. Venir menacer, insulter, agresser physiquement une femme, c'est monstrueux." Choquée, la femme du vice-président de l'association environnementale aurait subi des jets de pneus. "Je suis habitué à l'intimidation, il y a eu des menaces et même des menaces de mort, mais là ça commence à devenir grave", continue-t-il.

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> les policiers municipaux Saint-Laurent-du-Var ont constitué leurs propres fichiers de délinquants

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          Les fonctionnaires ont créé des groupes WhatsApp où ils partagent et archivent des centaines de documents sensibles: images extraites de la vidéosurveillance, photos des personnes contrôlées, plaques d’immatriculation, pièces d’identité...

          Sur le premier cliché on voit deux jeunes juchés sur un scooter noir, circulant sans casque dans les rues de Saint-Laurent-du-Var. L’image est manifestement une capture d’écran extraite de la vidéosurveillance de la commune. Sur le second cliché, les mêmes jeunes aux traits bien juvéniles "posent" adossés à un camion, en mode photo d’identité judiciaire. Entre les deux on imagine la traque. Elle a porté ses fruits. Et le tableau de chasse est épinglé sur le groupe WhatsApp de la police municipale. Accompagné de ce commentaire: "Pour info si jamais on les recroise..."

          Le groupe qui compte 14 membres est baptisé "BJ1" pour brigade de jour n°1. Mais, selon nos informations, la seconde section de la PM de Saint-Laurent aurait également le sien. Des messageries internes qui regroupent la plupart de ces représentants des forces de l’ordre, chefs de brigade en tête.

          Plus qu’un simple outil de communication, un fil où ces policiers partagent et archivent depuis des mois des centaines de documents sensibles : images extraites de la vidéosurveillance, photos des personnes contrôlées, plaques d’immatriculation, pièces d’identité, titres de séjour, permis de conduire... Plus de 1.200 médias ont ainsi été stockés sur le compte BJ1. Jusqu’à cette photo du patron des Républicains, le député Eric Ciotti, devant Cap 3.000 avec ce commentaire se voulant sans doute humoristique : "Dadou il a fini le service il traîne pas..."

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> des parents d’enfants victimes de harcèlement scolaire ciblés par des enquêtes sociales

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          Après le scandale des lettres menaçantes envoyées par le rectorat de Versailles à des parents d’élèves victimes de harcèlement, la cellule investigation de Radio France révèle que dans des cas similaires, des établissements scolaires ont initié des enquêtes sociales contre les parents.

          Ce matin du 16 août 2023, dans la torpeur des vacances, Béatrice est sous le choc. Cette mère de deux enfants, exerçant dans le milieu médical, reçoit une lettre à en-tête de son département. "C’était un courrier officiel de l’aide sociale à l’enfance, nous informant que nous étions convoqués, mon mari et moi, suite à un signalement d’information préoccupante pour notre enfant. À ce moment-là, on tombe de dix étages", se souvient-elle. Très inquiets, les parents cherchent en vain dans le courrier ce qui a motivé cette enquête. Ils l’apprennent quelques semaines plus tard, dans le bureau des deux assistantes sociales qui les reçoivent pour leur premier entretien organisé sans la présence de leur enfant.

          C'est le collège où leur fille cadette, Marie*, âgée de 13 ans, a été scolarisée en classe de 5e jusqu’en juin 2023, qui a effectué un signalement au parquet pour harcèlement scolaire, avec copie à la Cellule de recueil des informations préoccupantes (CRIP**). Le problème, c’est que leur fille n’est pas l’auteure des faits de harcèlement commis dans son collège, mais qu’elle en est la victime. Les assistantes sociales précisent aux parents qu’il ne s’agit pas d’une erreur. Elles sont bel et bien chargées de vérifier que les souffrances de leur fille ne sont pas dues à des violences familiales, et que ses parents font le nécessaire pour qu’elle aille mieux.

          Eux rappellent alors les faits. Le harcèlement de Marie au collège remonte à début octobre 2022. "Ma fille m'a parlé de difficultés rencontrées avec deux filles de sa classe. Ça se passait en cours de sport", se souvient Béatrice. S’en suit un bras de fer qui va durer toute l’année entre les parents de la jeune victime et l’équipe éducative. La mère envoie des dizaines de mails pour alerter sur les faits subis par sa fille. La principale de l’établissement et le conseiller principal d’éducation (CPE) s’engagent à être attentifs, à mener une enquête au collège et à déclencher le dispositif de lutte anti-harcèlement. Mais selon les parents, rien ne se passe. Le harcèlement continue et le groupe de harceleuses grandit. "Elles passent de deux à quatre filles à s’en prendre à Marie", se souvient la mère. Au fil des semaines, sa fille va de plus en plus mal : "elle commence à avoir des troubles du sommeil, à perdre du poids. Puis elle dit qu'elle ne veut plus aller au collège", poursuit Béatrice. Mi-décembre, sa fille se scarifie le poignet avec des ciseaux.

          Il faut attendre mars 2023, soit six mois plus tard, après que les parents ont contacté la plateforme téléphonique anti-harcèlement, pour que la direction du collège convoque les élèves mises en cause et menace de les expulser. L’une d’entre elles cesse de harceler Marie, mais les trois autres continuent, selon la mère de l’élève. La principale propose alors que sa fille change de classe. La mère refuse, arguant du fait que ce n’est pas à elle, victime, de le faire, mais aux jeunes filles qui l’agressent***. Mi-juin, Marie dit avoir des "idées noires" et affirme qu’elle va se jeter du haut du toit du collège. Sa pédopsychiatre la déscolarise jusqu’aux vacances d’été. Puis, sa mère porte plainte pour harcèlement.

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> la France est vraiment pourrie tous les niveaux !

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L'ancienne préfète du Loiret et du Centre-Val de Loire, Régine Engström,
condamnée par la justice pour prise illégale d'intérêts

 

          Le tribunal correctionnel de Paris a condamné ce lundi, Régine Engström à 25 000€ d'amende et une interdiction d'exercer une fonction publique d'un an avec sursis. Elle avait été soupçonnée d'avoir soutenu un projet immobilier de son ancien employeur Nexity.

          La peine est quasiment conforme à celle requise en octobre devant le tribunal correctionnel de Paris contre la fonctionnaire, qui n'est plus préfète depuis août 2023 mais chargée de mission auprès du ministère de la Transition écologique.

          Régine Engström, 59 ans, préfète du Loiret et du Centre-Val de Loire, de mars 2021 à août 2023, était poursuivie pour prise illégale d'intérêt pour avoir soutenu un projet immobilier de Nexity dans une ancienne caserne désaffectée à Montargis (Loiret). Le promoteur prévoyait de détruire une partie du bâtiment du XIXe siècle pour y construire une résidence sénior haut de gamme. Or, elle avait œuvré, avant sa nomination comme préfète en février 2021, comme directrice des partenariats stratégiques et de la responsabilité sociale et environnementale à Nexity.

          La prévenue n'avait certes aucun intérêt financier dans cette affaire, mais elle a compromis "son indépendance, son impartialité et son objectivité", avait estimé le représentant du parquet lors de l'audience. Dans sa décision, le tribunal a estimé que la préfète se devait d'être "particulièrement vigilante", d'autant qu'elle n'avait quitté son poste à Nexity pour arriver à la préfecture que quelques mois plus tôt.

          Il a mis en avant la particulière "exigence de probité" que l'on est "en droit d'attendre de la part d'une préfète", mais a cependant pris en compte son manque d'expérience et de "recul" dans cette fonction. À la barre, l'ex-préfète s'était défendue en assurant qu'"à aucun moment" elle n'avait "franchi de ligne rouge".

          Dès son arrivée dans la région, elle s'était déportée sur ce sujet au profit du secrétaire général de la préfecture du Loiret et de la secrétaire générale aux affaires régionales (SGAR), avait-elle affirmé. Le déport n'a cependant pas été "formalisé", en tout cas avant le 11 mai 2022, à la suite d'une injonction de la Haute autorité de la transparence pour la vie publique et après la publication d'articles, notamment dans Mediapart.

          "Le tribunal n'a pas tenu compte de la réalité du dossier et de l'absence d'intervention de Mme Engström dans le processus de protection de la caserne de Montargis", ont réagi auprès de l'AFP les avocats de la préfète, Christophe Ingrain et Tristan Gautier. Ils ont fait appel du jugement. - source -

La première technique de défense de ces gens-là, c'est d'essayer de passer pour des incapables, de dire qu'ils ont pas fait exprès, qu'ils n'avaient pas tout compris ou, comme Dupont-Moretti, qu'ils n'avaient pas conscience de commettre quelque chose d'illégal...