l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



Même sous la constitution la plus libre, un peuple ignorant est esclave - Condorcet
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> et tu sais ce qu'ils te disent ceux qui ne "travaillent" pas monsieur le très riche ministre ?

Classé dans : autres

" Encore un qui a grandi avec une cuillère en or dans la bouche et qui pense que son succès est entièrement dû à son travail."

wikipedia > (...) Gabriel Nissim Attal naît le 16 mars 19891 à Clamart. Son père, Yves Attal, (fils de Claude Attal, issu d'une famille juive tunisienne et de Jeanine Weil, issue d’une famille juive alsacienne.) est avocat puis producteur de cinéma et sa mère, Marie de Couriss, salariée d’une société de production. Il grandit dans les 13e et 14e arrondissements de Paris auprès de ses trois sœurs. Il ajoute, à titre d'usage, le nom de sa mère à son patronyme et se fait appeler : Gabriel Attal de Couriss. Il est admis en 2007 à l'Institut d'études politiques de Paris, où il obtient en 2013 un master en affaires publiques. Il suit également une licence de droit à l'université Panthéon-Assas.
Lié par un pacte civil de solidarité (Pacs) au député européen Stéphane Séjourné, il révèle son homosexualité après que des allusions à sa vie privée et à son couple ont circulé dans les travées de l’Assemblée... (...)

 

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> selon une étude, les frais de santé des Français ont augmenté de 75% en cinq ans

Classé dans : santé

          Selon une étude de Cofidis rendue publique mercredi 13 avril, le budget annuel des frais de santé des Français a augmenté de 75 % depuis cinq ans. Un quart des sondés admettent renoncer à se soigner, les jeunes font partie des plus affectés.

          Voilà sans doute une énième conséquence de la crise sanitaire : les Français sont plus préoccupés par leur santé et en paient le prix fort. Depuis cinq ans, le budget annuel de leurs frais de santé s’est accru de 75 %, passant de 715€ par an en 2018 à 1 249€ aujourd’hui, selon une étude Cofidis publiée ce mercredi. La société de crédit, en partenariat avec CSA Research, a interrogé un échantillon de «1 004 Français, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus». La moitié a le sentiment «d’une augmentation de ses charges», alors que l’inflation restreint les bourses depuis plusieurs mois et creuse encore un peu plus les inégalités d’accès aux soins.

          La majorité des interrogés affirment ne pas avoir rencontré de difficultés pour payer leurs frais de santé, mais un quart admet quand même avoir dû «se serrer la ceinture», notamment les foyers avec enfants à charge. Plus alarmant : 26 % des sondés déclarent avoir renoncé à se faire soigner au cours des douze derniers mois. Avec les familles, les 25-35 ans sont ceux qui abandonnent le plus les soins. Les plus jeunes, 18-24 ans, sont aussi près de 40 % à avoir du mal à payer leurs frais de santé.

          Pour y faire face, plus de 40 % des sondés évoquent mettre en place des «stratégies» et adapter leurs comportements. Comme comparer les prix entre pharmacies, demander à ne se faire prescrire que des médicaments génériques ou remboursés, privilégier les rendez-vous chez des médecins sans dépassement d’honoraires…

          Si les Français dépensent plus, c’est principalement parce que, malgré les remboursements de la sécurité sociale et des mutuelles, le reste à charge demeure élevé. Il est aujourd’hui estimé à 288 euros par an, 46€ de plus qu’en 2018. Les soins dentaires et d’optique ont le reste à charge le plus élevé. Et sont donc les moins accessibles : plus de la moitié des Français interrogés déclarent renoncer à soigner leurs dents, dont 60 % des plus de 50 ans.

          Les tarifs ne sont pas les seuls facteurs qui poussent à renoncer à prendre rendez-vous : une fois de plus, le manque de médecins, de places disponibles et plus globalement les déserts médicaux entravent l’accès aux soins. - source -

en 5 ans, ma mutuelle a augmenté de 28% et c'est pas fini !... De toute façon, l'union européenne de merde et la droite veulent détruire la sécu française pour la privatiser (et faire de gros bénéfices) par le biais des mutuelles qui d'ailleurs s'y préparent ( cf. par exemple le programme de Fillon et associés sur la santé ). Il suffit de voir comment cela se passe aux États-Unis.

 

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> faut pas se leurrer, c'est vers quoi va aussi la santé publique en France

Classé dans : santé

Le NHS britannique se meurt lentement à cause de la privatisation

          Le National Health Service (NHS) britannique est à genoux après des décennies d’austérité. Le gouvernement britannique sous-finance délibérément le système, ce qui soulève la question de savoir si le système de santé publique peut survivre encore longtemps.

          Nous vivons sous un gouvernement profondément cruel et motivé par l’idéologie. Depuis son arrivée au pouvoir en 2010, le programme d’austérité des conservateurs a causé plus de 330 000 décès, et la mauvaise gestion de la pandémie a entraîné 200 000 décès supplémentaires, dont beaucoup auraient pu être évités. Actuellement, on estime que 500 personnes meurent chaque semaine à cause de retards dans les soins d’urgence, tandis que d’innombrables autres meurent sur les listes d’attente du Service national de santé (NHS).

          Le coût humain de la mauvaise gestion du NHS par le gouvernement est difficile à exagérer, mais il résulte d’une politique intentionnelle visant à sous-financer les soins de santé et à permettre aux intérêts privés d’extraire de l’argent du système.

           Le Royaume-Uni dépense aujourd’hui environ un cinquième de moins en soins de santé que ses voisins européens, soit un écart de plus de 40 milliards de livres Sterling par an. En fait, l’une des premières mesures du gouvernement Cameron a été de réduire les coûts en interrompant l’expansion de la formation des médecins dans les écoles de médecine et en supprimant 4 000 places de formation pour les infirmières. Les salaires des travailleurs du NHS ont été la cible suivante, ce qui a entraîné plus d’une décennie d’augmentations salariales inférieures à l’inflation, provoquant la chute des salaires réels du personnel : les infirmières sont payées plus de 5 000 livres Sterling par an de moins qu’en 2010.

          Nous payons aujourd’hui le prix de ces décisions. Le NHS compte 133 000 postes vacants, dont 50 000 infirmières et 17 000 médecins, y compris les généralistes. Des années de sous-financement ont entraîné une pénurie mortelle de lits d’hôpitaux, des cabinets de médecins généralistes et des centres de santé en état de délabrement, des bâtiments hospitaliers qui s’écroulent littéralement et une main-d’œuvre épuisée et frustrée. Au cours de mes années de pratique, je n’ai jamais vu le moral du personnel aussi bas.

          Pendant ce temps, l’argent qui devrait être consacré à l’amélioration des services est détourné par des entreprises privées. Le gouvernement injecte de l’argent dans des entreprises privées pour qu’elles sélectionnent les patients du NHS sur les listes d’attente. En conséquence, les entreprises privées pratiquent aujourd’hui plus d’arthroplasties de la hanche pour le compte du NHS que ce dernier n’en pratique. Le financement de ces opérations provient du NHS, mais les entreprises privées s’en taillent une part.

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