l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

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> L’union européenne paie la machine de guerre yankee

          Jens Stoftenberg a mangé le morceau. À l’occasion d’un voyage effectué aux États-Unis afin d’obtenir une nouvelle enveloppe budgétaire au profit de l’Ukraine, le secrétaire général de l’Otan a confirmé que les Américains étaient les premiers bénéficiaires de la relance de la course aux armements.

          Les membres du bras armé de l’Alliance atlantique ont en effet décidé d’acheter pour 120 milliards de dollars aux entreprises de défense américaines. Conclusion de Jens Stoltenberg, dont on oublie parfois qu’il a fait ses premiers pas politiques au sein du Parti travailliste de Norvège : « Grâce à ces acquisitions, les alliés contribuent à l’essor des entreprises américaines. L’Otan est donc une bonne affaire pour les États-Unis. »

          Merci de confirmer que cette structure militaire héritée de la guerre froide et remise en selle par l’agression russe en Ukraine roule d’abord pour les marchands de canons d’outre-Atlantique.

          Pendant qu’on nous abreuve de propos rassurants sur une « Europe de la défense » qui n’existe pas, ou sur la nécessité d’une fumeuse « souveraineté européenne », Jens Stoltenberg confirme que l’Otan est une assurance tous risques pour les tenants d’une souveraineté atlantiste sous direction américaine, payée en grande partie par les Européens. Cela s’appelle un retour sur terre. ( jack dion )

De Gaulle l'avait bien compris depuis longtemps, mais Sarkozy, outre le fait d'avoir pas respecté le choix négatif du référendum concernant l'union européenne de merde, nous a aussi revendu aux américains...

 

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> nouveaux OGM : les combines de l’agrochimie pour s’approprier le vivant

          Prix des semences, brevets et droits de licence, présomption de contrefaçon : le projet de réglementation sur les nouveaux OGM menace les petits semenciers et les paysans, au bénéfice des multinationales agrochimiques.

          Avec les nouveaux OGM, « nous livrons encore un peu plus notre souveraineté alimentaire aux mains des grandes firmes agrochimiques ». Le représentant de la Confédération paysanne Guy Kastler connaît le sujet par cœur. Voilà 30 ans qu’il suit les tentatives successives des grandes firmes agrochimiques — telles les géants Corteva ou Bayer — de faire entrer les OGM dans les champs européens. Depuis l’été dernier, une proposition de la Commission européenne l’inquiète. Elle envisage d’assouplir considérablement les modalités de mise sur le marché des « nouveaux OGM », des variétés produites à l’aide de nouvelles techniques d’édition du génome (NGT).

          Le texte — qui est présenté au Parlement ce 6 février — prévoit notamment d’exempter d’étiquetage, d’évaluation des risques et de suivi une large palette de plantes obtenues par ces techniques de modification génétique. Mais la question du régime de propriété intellectuelle associé à ces nouvelles semences crispe de nombreux États membres.

          En Europe, les semences disposent d’un régime de protection de la propriété intellectuelle particulier : le certificat d’obtention végétale. À la différence du système des brevets appliqué aux États-Unis, ce régime octroie aux producteurs de semences — les sélectionneurs — européens le droit de disposer du « matériel génétique » pour le faire évoluer. En d’autres termes, un sélectionneur a le droit d’utiliser une plante de l’un de ses concurrents à des fins de recherche et de s’en servir pour développer de nouvelles variétés. Il pourra ensuite la commercialiser, si, bien sûr, la variété obtenue présente de nouvelles caractéristiques. Les nouvelles techniques d’édition du génome — des procédés technologiques déjà brevetés — pourraient remettre en cause ce système.

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🎨 Andrea La Martina, vous connaissez ?

Classé dans : arts

          Andrea La Martina (NEXA ART), artiste italien né à Cuneo en 1959 ..." Mon parcours artistique a commencé dans le monde de l'informatique, où j'ai développé une compréhension profonde des technologies numériques. Cela m'a permis d'expérimenter diverses formes d'art numérique, en combinant mon expertise technique à une approche artistique intuitive. Au fil des ans, j'ai techniques numériques avancées, telles que la manipulation d'images et l'impression manipulation d'images et l'impression giclée, pour créer des œuvres qui reflètent une interprétation personnelle et moderne de l'art visuel."...

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> suppression de l’ASS : une punition pour les demandeurs d’emploi de plus de 50 ans

Classé dans : autres

          Gabriel Attal a annoncé la suppression prochaine de l’allocation spécifique de solidarité (ASS) pour les chômeurs en fin de droits. Les anciens bénéficiaires – une majorité de séniors, devraient basculer vers le RSA. Alors qu’il a déclaré vouloir « fermer une trappe à inactivité », le Premier ministre élargit en réalité un gouffre à pauvreté

          Basculer les bénéficiaires d’une allocation conditionnée à l’activité vers une allocation pour les personnes qui sont le plus éloignées de l’emploi ? La suppression de l’ASS au bénéfice du RSA pourrait surprendre pour un gouvernement qui n’a de cesse de déclarer son amour à la « valeur travail ». C’est pourtant l’annonce faite par le nouveau Premier ministre, à la surprise générale, lors de sa déclaration de politique générale, devant l’Assemblée nationale le 30 janvier. Selon le cabinet de la ministre du Travail, Catherine Vautrin détaillera la mesure dans les prochaines semaines.

          La suppression de l’ASS a plusieurs avantages pour l’exécutif. Le premier est d’ordre budgétaire, puisque le RSA est à la charge des départements. Le transfert de plus de 320 000 bénéficiaires de l’ASS, allocation versée par Pôle emploi, vers le RSA représente une économie d’environ deux milliards d’euros, selon Département de France. D’autant que l’association d’élus dénonce le fait que les dépenses liées au RSA ne soient déjà pas entièrement compensées par les dotations de l’État aux collectivités territoriales.

          Autre intérêt de la mesure pour le gouvernement : poursuivre le détricotage des droits à l’assurance chômage. L’attaque cible cette fois les seniors, puisqu’ils représentent plus de la moitié des bénéficiaires de l’ASS. Objectif : pousser encore les demandeurs d’emploi à accepter n’importe quel petit boulot pour atteindre un taux de chômage de 5 % et un taux d’emploi des seniors à 65 %, alors que l’âge de départ à la retraite a été repoussé de deux ans en septembre 2023.

Appauvrir les plus pauvres en supprimant l’ASS

          Le passage de l’ASS au RSA rimera avec perte de droits et de revenus pour nombre de bénéficiaires. Au premier abord, le changement de dispositif peut sembler sans grand effet. Rappelons que pour toucher l’ASS, il faut avoir travaillé au moins 5 ans sur les 10 dernières années. Son montant, pour une personne seule, varie de 545 euros à 563 euros – selon que le mois comprenne 30 ou 31 jours. Le RSA, lui, varie de 607€ à taux plein, à 535€ si la personne bénéficie d’aides au logement.

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