l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> fume, c’est de l’arôme !

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : europe de merde, presse, santé Mots clés : aucun

          Une recette fumante. Faire brûler du bois — de noyer, de hêtre ou de chêne —, condenser et filtrer la fumée obtenue, puis extraire les arômes du condensât. On obtient ainsi un liquide aromatisé avec lequel l'industrie agroalimentaire assaisonne pour pas cher une flopée de produits, des biscuits apéritifs au fromage en passant par les saucisses, les confiseries, la sauce barbecue, les chips ou les soupes de poisson. Une opération beaucoup plus rapide que le fumage traditionnel. Compter une semaine pour un saumon au feu de bois, deux heures si on le badigeonne d'arôme de fumée liquide.

            Pour le plus grand bonheur des fabricants de bouffe industrielle, la Commission européenne avait autorisé, en 2009, 11 arômes de fumée. Mais, aujourd'hui, elle réclame leur interdiction. Motif : ce petit goût fumé s'avère méchamment néfaste pour la santé. En novembre dernier l'Efsa, l'Autorité européenne de sécurité des aliments, a ainsi déclaré « génotoxiques » six des huit arômes dont les fabricants réclamaient une nouvelle autorisation de commercialisation pour dix ans. Il y a de quoi être fumasse quand on découvre que, dès 2009, l'Efsa, qui avait pour la première fois expertisé la toxicité desdites substances, avait entre les mains plusieurs résultats d'études in vitro pointant un risque génotoxique pour huit d'entre elles.

          Malgré cette sérieuse alerte, Bruxelles, arguant du fait que les expériences menées par les industriels sur les animaux ne montraient aucun dommage génétique, n'avait pas cru bon d'interdire la commercialisation des arômes de fumée et s'était contenté de limiter la dose autorisée dans l'assiette. Pour la petite histoire, comme l'a repéré « Que choisir » (8/2/24), parmi les experts de l'Efsa qui s'étaient alors penchés sur ces agents de saveur, l'un d'eux conseillait l'association américaine de l'industrie des arômes, tandis qu'un autre employait dans son labo un étudiant dont la thèse était financée par un fabricant. Il n'y a pas de fumée sans feu...

          Questionnée par« Le Canard » sur son étonnante bienveillance à l'égard des producteurs d'arômes, la Commission européenne botte en touche mais jure qu'elle va faire le ménage fissa, en proposant le 24 avril aux États membres de voter pour « retirer ces produits du marché ». Si c'est le cas, les industriels réclameront, bien sûr, un gros délai, le temps de trouver de nouvelles recettes et d'écouler leurs stocks aromatisés. En attendant, on croise les doigts pour que les Vingt-Sept ne prennent pas une décision fumeuse.

Bref, l'union européenne de merde dans toute sa splendeur, qui a établi, il faut le rappeler, des lois qui permettent aux industriels d'expertiser leurs propres produits pour en connaitre leurs dangerosité ou nocivité avant autorisation de mise sur le marché !!! En tous les cas, fuyez tout aliment qui est "fumé" à l'aide de produits aromatisés...

 

> La radinerie publique ( de l’office national d’indemnisation des accidents médicaux ) condamnée en justice

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : presse, santé Mots clés : aucun

 

          L’office national d’indemnisation des accidents médicaux (Oniam) condamné par la justice pour manque de générosité ! Créé en 2002 et placé sous la tutelle du ministère de la Santé, cet organisme public est censé indemniser à l’amiable, rapidement et gratuitement les malades victimes d’effets secondaires de médicaments. Sauf que les sommes versées sont rarement à la hauteur. Dans une décision inédite du 29 mars, le tribunal administratif de Rennes a ainsi estimé que l’offre faite à une patiente de 26 ans était « manifestement insuffisante ». Victime de « narcolepsie-cataplexie », elle s’endort de façon inopinée depuis qu’elle s’est fait vacciner contre le virus A(H1N1), en 2009, avec une injection de Pandemrix.

          Cet effet secondaire du vaccin est rare mais parfaitement documenté dans la littérature scientifique depuis plus de dix ans. Les 162 667 euros proposés par l’Oniam ont paru bien chiches au tribunal breton, qui a estimé que l’indemnisation devait s’élever à 814 000 euros... soit cinq fois le montant proposé.

Oniam en peine

          Dans la foulée, il a condamné l’Office à 7 000 euros supplémentaires pour avoir proposé une offre « manifestement insuffisante au regard du dommage subi » ayant contraint la patiente à « engager une action contentieuse pour en obtenir la réparation intégrale en lieu et place de bénéficier des avantages d'une procédure de règlement amiable ». Voilà ce qu’il en coûte, de se moquer du monde !

          En février 2017, la Cour des comptes avait déjà épinglé l’organisme, estimant qu’il « interv[enaitl comme un assureur qui s'attacherait à limiter sa charge de sinistre », au lieu d’indemniser au juste prix. Pour les victimes, la radinerie ne fait qu’aggraver le mal. - L C. -

plus > wikipedia. L'Oniam subirait-elle de mauvaises ondes en provenance de l'industrie pharmaceutique ?

 

> la qualité sanitaire des eaux du groupe Nestlé ( Hépar, Perrier, Vittel, Contrex,... ) "pas garantie"

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : santé Mots clés : aucun

selon une expertise remise au gouvernement.

            Dans cette note de l’Anses transmise au gouvernement en octobre dernier, que franceinfo dévoile, des experts évoquent un "niveau de confiance insuffisant" pour assurer "la qualité sanitaire des produits finis".

            "La sécurité sanitaire de nos produits a toujours été garantie et reste notre priorité absolue". Telle fut la réponse que nous avait adressé le groupe Nestlé, fin janvier, lors des révélations de franceinfo sur l’utilisation de traitements illicites de purification de ses eaux minérales naturelles.

            Des eaux contaminées mais traitées comme de la banale eau du robinet. Une tromperie présumée dissimulée pendant des années par la multinationale, qui était allée jusqu’à dissimuler des filtres dans des armoires électriques pour tromper les agents des contrôles sanitaires. Mais selon Nestlé, cette vaste supercherie avait été mise en place pour la bonne cause, c’est-à-dire pour garantir la sécurité sanitaire de ses produits. Or une expertise réalisée pour le compte de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses) par le laboratoire d’hydrologie de Nancy, et que franceinfo et le journal Le Monde dévoilent jeudi 4 avril, semble bien moins affirmative à ce sujet.

► pour lire la suite...

> rendez-vous médicaux non honorés : Attal propose une «taxe lapin» de 5 euros

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : santé Mots clés : aucun

          Cette sanction, qui ne serait pas automatique, doit permettre de récupérer 15 à 20 millions de créneaux médicaux.

           Les contours de la «taxe lapin», qui doit sanctionner les rendez-vous médicaux non honorés ( 27 millions par an, selon l'Union régionale des professionnels de santé d'Île-de-France ), ont été précisés ce samedi par Gabriel Attal. Lors d’un échange avec des journalistes de la presse régionale, le premier ministre a annoncé une entrée en vigueur de cette taxe le 1er janvier 2025. Et un montant.

Une «taxe lapin»

          Si le rendez-vous n’est pas annulé au moins 24h à l’avance, la sanction pourra s’élever à cinq euros, destinés au praticien, quels que soient les revenus dudit patient. « Qu'on ait des difficultés financières ou pas, on a les mêmes droits et les devoirs », a déclaré le chef du gouvernement. Les exceptions seront toutefois possibles : le praticien aura la main sur la sanction et pourra décider de ne pas l'appliquer s'il considère que son patient n'avait pas les moyens d'annuler ou qu'il dispose de trop faibles ressources.

► pour lire la suite...

> le géant pharmaceutique GSK qui déshabille ses patients ( avec le Requip )

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : presse, santé Mots clés : aucun

          Libido hors de contrôle, addiction au jeu, le labo britannique GSK s’obstine à minimiser les effets secondaires désastreux de son médicament contre Parkinson.

          Stupeur et tremblements ! L’un des plus gros labos pharmaceutiques de la planète a-t-il sciemment minoré les drôles d’effets secondaires de l’un de ses médocs contre Parkinson ? Pour Stéphane G., la descente aux enfers commence en 2018. A 48 ans, ce haut cadre d’un groupe mondial d’assurances apprend qu’il est atteint de la maladie de Parkinson. Pour réduire ses spasmes, son neurologue lui prescrit du Requip, un médicament du labo britannique GSK. Et voilà que, sous l’effet du traitement, Stéphane G. se métamorphose en obsédé sexuel et en joueur compulsif, sans comprendre ce qu’il lui arrive. Quand il ne se ruine pas en paris sportifs, il écume les sites pornos. En deux ans, ses 82 977 euros d’épargne partent en fumée. Son mariage sombre, il tombe dans la dépression, et ce n’est qu’en 2020 qu’un neurologue établit le lien entre son naufrage conjugal et financier et le Requip. Une simple réduction de dose aurait permis de résoudre ses problèmes, assure le praticien...

          Depuis 1997, GSK commercialise un produit qui ne guérit pas la maladie mais réduit la tremblote en stimulant la production de dopamine. Avec un bémol de taille : quand il est trop imbibé par cette molécule du plaisir, le cerveau ne contrôle plus ses impulsions. Le patient se livre alors à ses démons.

► pour lire la suite...